Le Deal du moment Coffret PokĂ©mon Ultra Premium Dracaufeu 2022 en ... Voir le deal Partagez AuteurMessage InvitĂ©InvitĂ©SURVOLE PETIT COQUINSujet Trust me, Say me yes, for the life. K&L Lun 11 Avr - 1918 Take me, Don't give up semaines cĂąâŹâąest long. Deux semaines cĂąâŹâąest quatorze jours, cĂąâŹâąest trois cent trente six heures, cĂąâŹâąest deux semaines de trop Ă mon gout. Deux semaine ou jĂąâŹâąavais terriblement besoin de lui, de mon ami, dĂąâŹâąĂÂȘtre Ă©coutĂ©, conseillĂ©, dĂąâŹâąĂÂȘtre consoler de pouvoir essayer de rĂ©soudre cette affaire qui mĂąâŹâąĂ©tait tombĂ©e dessus sans mĂÂȘme que je ne puisse dire ou faire quoi que se soit. Je nĂąâŹâąavais quĂąâŹâąune envie cĂąâŹâąest faire mon sac, claquer cette putain de porte et partir loin de Southampton, partir oui, ou je ne saurais le dire, lĂąâŹâąItalie me plaisait tellement, mais AndrĂ©a ni Ă©tait plus et Kristopher lui se trouvait ici. LĂąâŹâąambiance Ă la Villa devenait de plus en plus Ă©lectrique et je ne supportais plus de voir cette fille, cette inconnue sous mon toit. Avais-je eu le choix ? Non bien sur que non, on ne mĂąâŹâąavait rien demandĂ©, on mĂąâŹâąavait balancĂ© cette chose sorti de nulle part, personne ne pouvait me prouver que cĂąâŹâąĂ©tait belle et bien ma sĂ âur. Une sĂ âur ? Une petite sĂ âur ? Depuis quand je suis censĂ©e avoir une sĂ âur ? Je nĂąâŹâąen savais foutrement rien, pourquoi elle on la gardĂ© ? Et pourquoi moi on mĂąâŹâąa refourguĂ© dans un orphelinat ? Est-ce que jĂąâŹâąĂ©tais jalouse ? Peut ĂÂȘtre bien. JĂąâŹâąaimais terriblement mes parents adoptifs, oui, je les aimais du plus profond de mon cĂ âur et pour moi cĂąâŹâąĂ©tait eux mes vrais parents, pas cette femme qui mĂąâŹâąenvoie vingt deux ans aprĂšs une sĂ âur car elle ne peut plus sĂąâŹâąen occuper. Depuis quand une femme pouvait-elle refourguer son gosse comme ça a une fille quĂąâŹâąelle ne connaissait pas ? Tout simplement car elle Ă©tait ma vraie mĂšre elle avait le droit de me larguer ma ĂąâŹËsĂ âurĂąâŹâą ? Non mais franchement cĂąâŹâąĂ©tait quoi ce dĂ©lire ? Et puis, qui dit quĂąâŹâąelle est rĂ©ellement ma sĂ âur ? Bon okĂąâŹÂŠ Jino la trouve trĂšs ressemblanteĂąâŹÂŠ. Blonde, yeux bleus, elle fait la mĂÂȘme taille que moi, sont regard est identique au mien, mĂÂȘme si la couleur de ses yeux est un poil plus foncĂ© des miensĂąâŹÂŠ elle a des mĂÂȘme manies que moi, elle a un caractĂšre pire que le mienĂąâŹÂŠ Mais est ce que ça fait dĂąâŹâąelle ma sĂ âur pour autant ? Tenant cette lettre jĂąâŹâąappuyais ma tĂÂȘte contre le mur de ma chambre en fermant les yeux revoyant alors le moment ou jĂąâŹâąai rencontrĂ© cette fille. Conduisant ma voiture, que je ne devrais pas conduire ayant le poignet dans le plĂÂątreĂąâŹÂŠ La pluie battant sur la pare brise, jĂąâŹâąarrivais chez moi aprĂšs avoir fait des courses et cette fille assise devant le portail, grande, blonde les cheveux collaient sur son front. Lorsque jĂąâŹâąavais croisĂ© son regard, bizarrement jĂąâŹâąavais su que quelque chose de pas net se trouvait lĂ dedans. Sortant de la voiture jĂąâŹâąĂ©tais aller la voir lui demandant ce quĂąâŹâąelle voulaitĂąâŹÂŠ Et cette voixĂąâŹÂŠ. Presque identique Ă la mienneĂąâŹÂŠ Ă Laety ? Shackerwoods ? Ă» haussant un sourcil jĂąâŹâąavais hochait la tĂÂȘte pour dire oui sans rĂ©pondre. Ă Je suis Vikkie, Vikkie Isobel Dotterlow. Je viens de SuĂšde. Je suis taĂąâŹÂŠ petite sĂ âur. Ă» ChoquĂ©e, je lĂąâŹâąavais regardĂ© longuement en lui intiment de monter dans la voiture pour aller mettre la voiture dans le garage. Et nous avions alors discutĂ©. Je ne la croyais pas. Comment la croire ? JusquĂąâŹâąau lendemain ou je reçu une lettre de ma vraie mĂšre. Qui dĂąâŹâąaprĂšs ce quĂąâŹâąelle dit, nĂąâŹâąa eu aucun mal a me retrouver. Elle avait toujours su qui mĂąâŹâąavait adoptĂ© puis le faite que je sois un mannequin qui plus est rĂ©putĂ© en SuĂšde, je nĂąâŹâąen revenais pas. Je commençais tout juste Ă faire quelques dĂ©filĂ©s pour dĂąâŹâąautre pays. New-York, Paris et ça sĂąâŹâąarrĂÂȘtait lĂ . Mais mes pubs, et mes publicitĂ©s sur les catalogues et magazines eux Ă©taient internationaux. Cette lettre qui contenait tellement de chose, qui contenait des mots horribles, triste et dĂ©gueulasse, qui avouait la façon dont jĂąâŹâąĂ©tais nĂ©e. Est-ce que jĂąâŹâąavais voulu savoir ? Non, je mĂąâŹâąen serais bien passĂ©. Comment vouloir savoir une chose ? Surtout quand on sait Ă prĂ©sent que lĂąâŹâąon est nĂ©e a partir de prostitution ? Je me sentais tellement sale, tellement immonde, horrible, souillĂ©e, une mĂšre prostituĂ©e ? CĂąâŹâąĂ©tait pire que tout. Et pourquoi elle avait gardĂ© ma sĂ âur ? Alors quĂąâŹâąelle nĂąâŹâąavait que cinq ans de moins que moi ? Elle avait dix huit ans, jĂąâŹâąallais bientĂÂŽt en faire vingt troisĂąâŹÂŠ Pourquoi me faire une chose pareille ? Serrant la lettre dans ma main je la mis en boule et la jeta sur mon bureau en me laissant tomber sur le lit. Putain de merde jĂąâŹâąen avais marre. JĂąâŹâąavais terriblement besoin dĂąâŹâąun ami, de Kristopher. Je ne ressentais le besoin de me confier quĂąâŹâąĂ lui et personne dĂąâŹâąautre. JĂąâŹâąavais tentĂ© dĂąâŹâąappeler Jaelyn, mais mademoiselle ne rĂ©pondait pasĂąâŹÂŠ Jino lui aimait Vikkie, mĂÂȘme si Vikkie se montrait plus que distante avec lui, chose que je trouvais bizarre, a croire quĂąâŹâąelle le dĂ©testait ou le fuyaisĂąâŹÂŠ Mais je mĂąâŹâąen foutais, une fois quĂąâŹâąelle aura trouvĂ© un logement elle partira de la villa. Est-ce que jĂąâŹâąĂ©tais mauvaise ? Je crois que sur ce coup lĂ je lĂąâŹâąĂ©tais. Mademoiselle Ă©tait en fac dĂąâŹâąanglais, elle parlait dĂąâŹâąailleurs trĂšs bien lĂąâŹâąanglais, et elle Ă©tait bien Ă©videmment aussi dans le mannequinat. DĂąâŹâąailleurs mon frĂšre lui nĂąâŹâąavait pas perdu de temps a lĂąâŹâąembaucherĂąâŹÂŠ Elle allait devenir un mannequin pour luiĂąâŹÂŠ Quoi de mieux ? Bosser entre famille, mais bien sur. Il la considĂ©rait comme sa petite sĂ âurĂąâŹÂŠ OuaisĂąâŹÂŠ JĂąâŹâąĂ©tais sa sĂ âur et elle ne lĂąâŹâąĂ©tait pas. JĂąâŹâąen avais marreĂąâŹÂŠ Me levant je filais vers la chambre de mon frĂšre frappant rapidement avant dĂąâŹâąentrer. Celui-ci allongĂ© dans son lit a regarder la tĂ©lĂ©vision je sautais sur son lit en souriant me collant contre lui. Ă JinĂąâŹâą, tu peux mĂąâŹâąaider Ă me doucher ? Je sors ce soir, jĂąâŹâąai envie de me changer les idĂ©es et ĂąâŹÂŠ JĂąâŹâąai terriblement besoin de me doucher lĂ ĂąâŹÂŠ Ă» soufflais-je doucement en frappant son torse nu le lui pinçant en souriant doucement. Ă Tu sors avec quelquĂąâŹâąun ? Pourquoi ça ne mĂąâŹâąĂ©tonne pas ? JalouxĂąâŹÂŠ Ă Non, seule et fais pas ton jaloux ! Vient me laver les cheveux et le bras ! Ă» Dis-je en me relevant filant de sa chambre alors quĂąâŹâąau mĂÂȘme moment il mĂąâŹâąattrapa me posant tel un sac a patate sur son Ă©paule me montant alors dans ma chambre. Croisant Vikkie, je lui assenais un regard assassin avant de claquer la porte de ma chambre pour ne pas quĂąâŹâąelle rentre. Ă TĂąâŹâąes vache avec ta sĂ âurĂąâŹÂŠ Ă» Ă Ta gueuleĂąâŹÂŠ Si tu Ă©tais Ă ma place tu comprendraisĂąâŹÂŠ Ă» Ă NonĂąâŹÂŠ Si jĂąâŹâąĂ©tais a ta place je serais ravis dĂąâŹâąavoir de la familleĂąâŹÂŠ Ă» Ă Je suis nĂ©e a cause de prostitutionĂąâŹÂŠ Ă» Ă LaetyĂąâŹÂŠ Ă» Ă Douche-moi ! Ă» Soufflais-je au mĂÂȘme moment ou il me posait au sol. MĂąâŹâąenlevant le short et le dĂ©bardeur, nĂąâŹâąayant aucune honte dĂąâŹâąĂÂȘtre nue devant mon frĂšre, je filais dans la baignoire allumant lĂąâŹâąeau dĂąâŹâąune seule main. Celui-ci en boxer, il prit le pommeau dĂąâŹâąeau commençant a me mouiller le corps. La relation que je tenais avec mon frĂšre Ă©tait trĂšs bizarre. Nous avions tous fait ensemble, petite je dormais constamment avec lui, je sortais avec lui, je faisais tout avec lui. Il Ă©tait triste, je lĂąâŹâąĂ©tais et vice versa. Et il mĂąâŹâąavait embarquĂ© dans le monde de la mode assez tĂÂŽt. Posant presque nue voir totalement nue cachant mon corps de mes mains, mon frĂšre me voyait nue assez souvent. DĂąâŹâąoĂÂč le fait que le fait quĂąâŹâąil me douche ne soit pas un souci. Mon bas levait bien haut, ma tĂÂȘte penchĂ©e en arriĂšre je le laissais me shampouiner la tĂÂȘte celui-ci sifflant lĂąâŹâąair dĂąâŹâąune chanson. Le laissant me savonner le dos et le bras il me rinça me laissant me laver le reste prĂ©fĂ©rant rester avec moi pour me tenir compagnie. Une fois toute propre mĂąâŹâąenveloppant dans la serviette il me sĂ©cha rapidement prenant soin de faire de mĂÂȘme avec mes cheveux qui bouclaient lĂ©gĂšrement. Ă Tu veux que je te lisse les cheveux ? Ă» Ă Non cĂąâŹâąest bon, on va les laisser ainsi, merci Jino, je vais mĂąâŹâąhabiller tu peux retourner voir la tĂ©lĂ©vision. Ă» soufflais-je doucement en lĂąâŹâąembrassant sur la joue. Le laissant filer, jĂąâŹâąentrepris de mettre un string de couleur rouge en dentelle enfilant alors le soutiens gorge assorti faisant bomber ma petite poitrineĂąâŹÂŠ Petit sein que Kristopher aimait. Je ne comprendrais jamais comment il fait. Regardant la photo de nous deux qui datait maintenant de plusieurs mois jĂąâŹâąentendis frapper a ma porte. VikkieĂąâŹÂŠ Marmonnant quĂąâŹâąelle pouvait entrer jĂąâŹâąenfilais mon jean slim de couleur noir virant au gris celui-ci lĂ©gĂšrement trouĂ© au niveau de la cuisse je me tournais vers elle. Ă Tu sors ? Tu veux que je vienne ? Ă» La regardant je souriais faiblement enfilant mon haut top rouge, moulant et dĂ©colletĂ©. Ă Oui, et non tu ne viens pas. Ă» Dis-je en essayant de boutonner mon jean nĂąâŹâąy arrivant pas. Sans que je ne dise quoi que se soit elle vient me fermer mon jean. La regardant, ses yeux si identiques au mien, je baissais le regard en soupirant longuement. Ă Laety, je suis dans la mĂÂȘme situation que toi, crois moi ce nĂąâŹâąest pas facileĂąâŹÂŠ Ă» Soupirant longuement je marmonnais un vague merci en me maquillant rapidement comme je le pouvais dĂąâŹâąune main. Faisant des yeux charbonneux pour faire ressortir le bleu, je la regardais prendre la photo de Kris et moi. Serrant la mĂÂąchoire je regardais Ă nouveau mon reflet dans le miroir. Ă CĂąâŹâąest ton petit ami ? Ă» Ă NonĂąâŹÂŠ Pourquoi ? Ă» Ă Non comme ça, il est plutĂÂŽt bien foutuĂąâŹÂŠ Ă» Ă Ouais ben repose cette photo et dĂ©gageĂąâŹÂŠ Et tĂąâŹâąes trop jeune pour lui, il a dix ans de plus que toi ! Ă» Ă MaisĂąâŹÂŠ Ă» Ă DĂ©gage putain ! Ă» Dis-je en la poussant hors de ma chambre claquant la porte pour la faire sortir. Soupirant longuement, je finis de me prĂ©parer tranquillement en mettant mes talons aiguilles. Sans veste, je sortis de chez moi prenant la voiture, conduisant dĂąâŹâąune seule main ayant prit lĂąâŹâąhabitude. Filant vers la boite de nuit, Midnight owl, je me garais a la premiĂšre place que je trouvais en regardant mon tĂ©lĂ©phone. Aucun message rien. Kristopher me manquait terriblement. Il me manquait comme jamais. Est-ce quĂąâŹâąil allait dire oui ? Est-ce quĂąâŹâąil allait dire non ? Je nĂąâŹâąen savais foutrement rien et ça mĂąâŹâąĂ©nervait au plus haut point. Je ne comprenais plus rienĂąâŹÂŠ si seulement je pouvais le voir, mais il dĂ©tenait les cartes en mainĂąâŹÂŠ Sortant de la voiture, je filais alors dans la boite en souriant au videur que je connaissais depuis le temps maintenant. Allant directement au bar je commandais une vodka pure au caramel. La buvant dĂąâŹâąune seule traite, je mĂąâŹâąallumais une clope en fredonnant doucement la chanson qui passait regardant les gens danser sur la pister. Buvant dĂąâŹâąautre verre, ne les comptant pas, je commençais terriblement a avoir chaud. Ăâ°crasant ma troisiĂšme clope dans le cendrier, je me dĂ©cidais enfin Ă aller danser. Au milieu de la piste, je me dĂ©hanchais doucement en sentant alors des mains sur ma taille. Relevant la tĂÂȘte, je vis un garçon, totalement inconnu, se coller contre moi. Souriant faiblement je posais ma main sur son Ă©paule le poussant doucement Ă DĂ©solĂ©eĂąâŹÂŠ Mais cĂąâŹâąest non ! Ă» dis-je en le poussant un peu plus. Celui-ci passa son bras dans mon dos ma plaquant alors contre lui. Le poussant un peu je serrais le poing me retenant de le lui coller sur sa tronche. Sa main glissant sur mes fesses, je ne pu me retenir. Le poussant alors franchement. Ă Quand je dis non ! CĂąâŹâąest non espĂšce de pervers ! Ă» InvitĂ©InvitĂ©SURVOLE PETIT COQUINSujet Re Trust me, Say me yes, for the life. K&L Dim 17 Avr - 2038 Premier jour, Kris passa sa journĂ©e Ă soupirer de frustration. Second jour, il se rendait au bar en trainant des pieds et passa tout le temps que dura son concert, Ă regarder la salle comme pour voir si Laety ne sĂąâŹâąy trouvait pas. Le troisiĂšme jour il avait commencĂ© Ă se faire une raison. CĂąâŹâąĂ©tait lui qui avait mit une distance effroyable entre eux et il avait plutĂÂŽt intĂ©rĂÂȘt de tenir bon sĂąâŹâąil ne voulait pas prendre un quelconque risque de blesser la jeune femme. Durant les quatre jours qui suivirent, il tenta de ne pas trop penser Ă elle. Façon de faire le vide avant de devoir se forcer Ă rĂ©pondre Ă la question fatidique. Oui ou non lui laisserait-il une chance Ă elle et Ă leur Ă©ventuelle relation ? Le huitiĂšme jour arriva et il eut lĂąâŹâąimpression dĂąâŹâąavoir un compte Ă rebours dans la tĂÂȘte. Il ne savait trop combien de temps ça lui prendrait de rĂ©flĂ©chir. Il ne savait pas non plus quĂąâŹâąelle serait sa rĂ©ponse finale, Ă©videmment. Il savait juste quĂąâŹâąil devait la trouver cette foutue rĂ©ponse mais surtout, en ĂÂȘtre sĂ»r et certain Ă deux cent pour cent. Et Ă cĂÂŽtĂ© de cela, il songeait quĂąâŹâąil ne fallait pas non plus quĂąâŹâąil prenne des mois pour mĂ©diter lĂ -dessus. Tout simplement parce que Laety ne mĂ©ritait pas des mois dĂąâŹâąattente et dĂąâŹâąinquiĂ©tude. Elle mĂ©ritait dĂąâŹâąavoir une rĂ©ponse claire, dĂ©finitive et rapide pour savoir et dĂ©cider de ce quĂąâŹâąelle ferait. Une chose Ă©tait sĂ»re dans toute cette histoire, cĂąâŹâąĂ©tait que Kris lĂąâŹâąapprĂ©ciait Ă©normĂ©ment et avait prit goĂ»t Ă la sentir prĂšs de lui, contre lui. Il aimait sentir la chaleur de son corps contre le sien, sa peau glissant contre la sienne, sa langue entre ses lĂšvres, lui faire lĂąâŹâąamour tout simplement. Mais il savait que ce nĂąâŹâąĂ©tait pas que le cul qui lui plaisait chez elle. Oh non pas le moins du monde ! AprĂšs tout elle avait dĂąâŹâąabord Ă©tait longuement son amie avant tout cela, avant quĂąâŹâąils ne craquent et tombent dans le cercle vicieux du plaisir charnelle qui les avait emportĂ©s lĂąâŹâąun comme lĂąâŹâąautre, lĂąâŹâąun avec lĂąâŹâąautre. Cela prouvait bien quĂąâŹâąils sĂąâŹâąentendaient bien. Et puis le fait de lui faire lĂąâŹâąamour lui avait fait connaĂtre dĂąâŹâąautres moments. La tendresse aprĂšs quĂąâŹâąils aient couchĂ©s ensemble. Sa douceur, son odeur, tout ça ĂąâŹÂŠ Le rĂ©veil Ă ses cĂÂŽtĂ©s, la regarder dormir, la voir sourire, lui parler Ă voix basse comme pour ne pas se rĂ©veiller trop violemment et brutalement. Lui faire lĂąâŹâąamour de bon matin pour un rĂ©veil mieux que nĂąâŹâąimporte quel autre. Lenteur, douceur, tendresse, leurs corps encore chaud en raison du sommeil qui les quittait petit Ă petit. Bref ĂąâŹÂŠ Kris avait pleinement conscience que tout nĂąâŹâąĂ©tait pas que question de sexe entre eux la fin de la premiĂšre semaine, il avait commencĂ© par rĂ©pondre Ă non Ă» Ă la question, dans sa tĂÂȘte du moins. Prit de doutes il avait commencĂ© Ă repenser Ă toutes les raisons pour lesquelles il ne voulait pas de lĂąâŹâąamour et combien il avait peur de lĂąâŹâąengagement. Et sĂąâŹâąil venait Ă abandonner Laety aprĂšs quelques semaines ou mois de relation ? Et si elle venait Ă parler mariage et enfants alors que pour sa part, tout cela nĂąâŹâąĂ©tait nullement dans ses objectifs, proches ou lointains ? Alors dans ces cas lĂ il la laisserait tomber, alors mĂÂȘme quĂąâŹâąil serait peut-ĂÂȘtre tombĂ© amoureux. Ils seraient donc deux pauvres cons Ă souffrir. Et tout ça parce quĂąâŹâąil avait dĂ©cidĂ© de dire lui dire oui concernant la chance quĂąâŹâąil voulait donner Ă une relation avec elle. Mais rapidement, il avait chassĂ© le non de ses pensĂ©es. Elle lui manquait trop pour que cela nĂąâŹâąait pas un sens. CĂąâŹâąĂ©tait une chose quĂąâŹâąil devait prendre en considĂ©ration. Il crevait dĂąâŹâąenvie de lui dire oui et de lui laisser une chance de lui prouver que lĂąâŹâąamour ça peut ĂÂȘtre putain de bon et quĂąâŹâąil suffit de le vivre pour le voir. Mais pour cela, il fallait encore quĂąâŹâąil se jette Ă lĂąâŹâąeau et accepte dĂąâŹâąavancer Ă lĂąâŹâąaveugle tout droit dans quelque chose qui lui faisait peur plus que de raison. Mais il avait peur, terriblement peur. AprĂšs tout, il nĂąâŹâąavait jamais prĂ©tendu ĂÂȘtre plus courageux quĂąâŹâąun autre homme. Il nĂąâŹâąavait mĂÂȘme jamais prĂ©tendu ĂÂȘtre courageux, tout court. Ainsi pas de mauvaise surprise Ă la sortie. Quoi quĂąâŹâąil en soit, il avait tout de mĂÂȘme eut du mal Ă trouver une rĂ©ponse Ă la question quĂąâŹâąil se posait inlassablement. Et puis durant les derniers jours il avait commencĂ© Ă se dire que de toute façon il nĂąâŹâąavait pas rĂ©ellement le choix. Ce nĂąâŹâąĂ©tait pas comme si lĂąâŹâąabsence de Laety Ă ses cĂÂŽtĂ©s ne lui faisait rien. Elle lui manquait comme ce nĂąâŹâąĂ©tait pas permit alors avec ça, comment douter du fait que ce serait toujours aussi sĂąâŹâąil venait Ă lui dire non ? Il ne doutait plus de ce cĂÂŽtĂ©-lĂ . Il avait besoin dĂąâŹâąelle Ă ses cĂÂŽtĂ©s coĂ»te que coĂ»te. Et Ă cĂÂŽtĂ© de cela, il doutait de pouvoir rĂ©sister Ă lĂąâŹâąenvie de lui faire lĂąâŹâąamour sĂąâŹâąils venaient Ă se cĂÂŽtoyer rĂ©guliĂšrement, voir tout le temps. Le dĂ©sir entre eux Ă©taient constant et bien trop puissant pour ĂÂȘtre oubliĂ© ou mit, tout simplement, de cĂÂŽtĂ©. MĂÂȘme sans la voir, il avait envie dĂąâŹâąelle et dĂąâŹâąaucune autre. Il ne remarquait mĂÂȘme plus les filles qui passaient prĂšs de lui, devant lui ou autres. Il nĂąâŹâąy avait plus que Laety, Laety et encore Laety. Est-ce que ça signifiait quelque chose ? Il commençait sĂ©rieusement Ă penser que oui. Et puis finalement, cĂąâŹâąest aprĂšs deux longues semaines Ă peser inlassablement les pour et les contre, quĂąâŹâąil avait fixĂ© sa rĂ©ponse. Oui, oui, oui et oui et encore oui ! CĂąâŹâąĂ©tait un soir comme un autre, ou plutĂÂŽt une nuit aprĂšs le bar, alors quĂąâŹâąil sĂąâŹâąapprĂÂȘtait Ă aller se coucher, quĂąâŹâąil avait prit cette dĂ©cision. Assit sur le bord de son lit, son regard parcourant longuement sa chambre, il avait imaginĂ© Laety lĂ . Simplement lĂ Ă marcher, lui parler, rire avec lui, le rejoindre dans son lit pour faire longuement lĂąâŹâąamour avant de dormir dans les bras lĂąâŹâąun de lĂąâŹâąautre ou elle sur lui comme elle avait aimĂ© Ă le faire. Oui il avait foutrement besoin dĂąâŹâąelle-mĂÂȘme sĂąâŹâąil ne pensait pas en ĂÂȘtre amoureux. Mais sa prĂ©sence lui manquait. Sa voix, son intelligence, sa conversation, son humour, la douceur de sa peau, la chaleur de son corps, le goĂ»t de ses lĂšvres ĂąâŹÂŠ Tout ça lui manquait plus que de raison et il devait bien le reconnaĂtre. CĂąâŹâąest donc ravit comme pas deux Ă cette idĂ©e, quĂąâŹâąil se coucha cette nuit lĂ pour se rĂ©veiller, neuf heures plus tard, en pleine forme. Durant cette journĂ©e, il avait longuement hĂ©sitĂ© Ă appeler Laety. Devait-il attendre encore un peu ? Non bien sĂ»r que non ĂąâŹÂŠ Pourquoi faire alors quĂąâŹâąil avait enfin la rĂ©ponse quĂąâŹâąil lu avait promit ? Mais au moment oĂÂč il sĂąâŹâąempara de son tĂ©lĂ©phone, aprĂšs un long petit dĂ©jeuner ajoutĂ© Ă un dĂ©jeunĂ©, pour composer son numĂ©ro et tout simplement la joindre, celui-ci sonna. En reconnaissant le numĂ©ro de tĂ©lĂ©phone de lĂąâŹâąun de ses amis, il en fut presque déçu mais rĂ©pondit tout de mĂÂȘme. CĂąâŹâąĂ©tait peut-ĂÂȘtre un signe. Oui ĂąâŹÂŠ Peut-ĂÂȘtre quĂąâŹâąil devait attendre encore un petit peu avant de prĂ©venir Laety de sa dĂ©cision. Ă Hey Kris ! Ce soir tu ramĂšnes ton cul toute la bande sort en boĂte. Ă» Sortir dans un moment pareil ? Non il avait tellement mieux Ă faire ! Oui ĂąâŹÂŠ Il fallait quĂąâŹâąil appelle Laety et il avait le besoin presque vital de la voir pour lui faire part de sa dĂ©cision. Ă Non pas ce soir je ĂąâŹÂŠ Ă» Sans mĂÂȘme lui laisser le temps de terminer sa phrase, son ami le coupa. Ă Non mais je ne te laisse pas le choix mon vieux ! Tu te ramĂšnes ce soir ça fait trop longtemps quĂąâŹâąon tĂąâŹâąa pas vu en soirĂ©e et on ne va pas te laisser dĂ©primer dans ton coin pour on ne sait quelle raison ! Ă» Comprenant quĂąâŹâąil nĂąâŹâąavait pas tellement le choix finalement, Kris raccrocha son tĂ©lĂ©phone aprĂšs avoir promit de se pointer dans la boĂte de nuit oĂÂč ils avaient lĂąâŹâąhabitude de se rendre. Le tĂ©lĂ©phone raccrochĂ© et lĂąâŹâąheure avançant, le jeune homme dĂ©cida dĂąâŹâąattendre une journĂ©e de plus avant de contacter Laety. Il nĂąâŹâąĂ©tait plus à ça prĂšs de toute façon ĂąâŹÂŠQuelques heures plus tard, aprĂšs une longue douche brĂ»lante, Kris revĂÂȘtit un slim jean taille basse noir, un tee shirt de la mĂÂȘme couleur Ă Ă©critures imprimĂ©es et un pull gilet Ă©pais toujours de la mĂÂȘme couleur. Prenant son temps, il mit une touche de gel dans ses cheveux pour les ramener en piques courtes, les ayant fait couper quelques jours plus tĂÂŽt. Les racines brunes Ă©taient Ă prĂ©sent franchement visibles mais il ne cherchait pas Ă les cacher. Dans quelques petites semaines, soit il ferait couper ses cheveux trĂšs courts soit il les teinterait pour redevenir brun. Cela restait encore Ă voir. Peut-ĂÂȘtre les teindre pour les avoirs plus bruns que ce quĂąâŹâąil Ă©tait naturellement. Tranquillement, il replaça correctement ses bracelets et fit passer son collier par-dessus son tee shirt avant de quitter sa salle de bain et descendre les escaliers de son appartement. LĂ , il chaussa sa paire de chaussures noires Ă crash blanches pour les mettre par-dessus son pantalon qui lui collait Ă la peau. Une fois totalement prĂšs, il rangea son tĂ©lĂ©phone portable dans sa poche et rĂ©cupĂ©ra ses clĂ©s, fermant la porte derriĂšre lui avant de prendre les escaliers pour descendre les Ă©tages Ă vive allure. Une fois dans sa voiture, comme Ă chaque fois avant de dĂ©marrer, il ne put sĂąâŹâąempĂÂȘcher dĂąâŹâąespĂ©rer quĂąâŹâąelle soit dĂąâŹâąassez bonne humeur pour dĂ©marrer. CĂąâŹâąĂ©tait quĂąâŹâąelle pouvait ĂÂȘtre capricieuse cette voiture. Et comme Ă chaque fois, elle mit un long moment avant dĂąâŹâąaccepter de dĂ©marrer. Une fois la voiture engagĂ©e sur la route, Kris la remercia Ă mi voix, songeant quĂąâŹâąil avait franchement lĂąâŹâąair idiot Ă parler ainsi Ă sa voiture. Mais il nĂąâŹâąĂ©tait pas le genre de personne Ă se prendre la tĂÂȘte pour savoir ce que pensaient les autres de lui. Il Ă©tait lui et se sentait parfaitement bien de la sorte ! Il ne changerait jamais pour personne. Si ce nĂąâŹâąest pour Laety en acceptant de changer dĂąâŹâąavis concernant lĂąâŹâąamour et tout ce qui va avec. De longues minutes plus tard, aprĂšs sĂąâŹâąĂÂȘtre longuement ennuyĂ© dans les embouteillages de ce dĂ©but de soirĂ©e, il arriva enfin Ă la boĂte de nuits oĂÂč il devait retrouver ses amis. Comme Ă chacune de leurs soirĂ©es, il salua ceux qui Ă©taient dĂ©jĂ lĂ et attendit avec eux, lĂąâŹâąarrivĂ©e des retardataires. Une fois tout le groupe rĂ©unit, ils entrĂšrent dans la boite en saluant le videur, Ă©tant des habituĂ©s des lieux. Une fois Ă lĂąâŹâąintĂ©rieur, ils trouvĂšrent un coin de libre et Kris se vautra plus quĂąâŹâąil ne sĂąâŹâąinstalla sur la banquette en coin. Il nĂąâŹâąavait pas franchement lĂąâŹâąenvie de danser ou que ce soit de ce genre. Mais boire, oui ! Rapidement, lĂąâŹâąalcool coula Ă flots Ă leur table et ils burent plus quĂąâŹâąil ne le faudrait. Heureusement pour Kris, il supportait tellement bien lĂąâŹâąalcool, quĂąâŹâąil Ă©tait encore totalement net et maĂtre de lui alors que ses amis commençaient dĂ©jĂ Ă rire sans raison et Ă vouloir aller danser et draguer tout ce qui bougeait. Rapidement, ils ne furent plus que trois autour de la table, dont Kris Ă©videmment. Celui-ci prĂ©fĂ©rait regarder lĂąâŹâąheure tourner et ses amis sĂąâŹâąamuser. CĂąâŹâąest en regardant longuement les gens prĂ©sents sur la piste de danse, quĂąâŹâąil reconnut Laety. Ce furent dĂąâŹâąabord ses longues jambes fines et dĂ©licieusement galbĂ©es mises en valeur par un slim noir ainsi que des talons hauts, quĂąâŹâąil reconnut instantanĂ©ment. Levant lentement le regard, passant par ses fesses parfaitement arrondies et quĂąâŹâąil savait fermes, il dĂ©tailla longuement son top rouge qui contrastait fortement avec la pĂÂąleur de sa peau. DĂ©colletĂ© et moulant, il mettait en valeur sa petite poitrine quĂąâŹâąil aimait tant. La regardant toujours pour la dĂ©tailler longuement, il regarda ses cheveux blonds boucler sur ses Ă©paules, son profil si doux et harmonieux. Le souffle coupĂ©, il avait la violente envie de la rejoindre sur cette piste de danse, alors quĂąâŹâąelle se dĂ©hanchait seule au milieu de tous ces abrutis. A elle seule elle Ă©clipsait toutes les autres filles prĂ©sentes. Elle nĂąâŹâąavait pas besoin de porter une jupe outrageusement courte pour attirer lĂąâŹâąattention contrairement Ă dĂąâŹâąautres, par exemple. Alors que Kris venait de se lever, il se figea et serra les dents en voyant un type se coller Ă Laety. ForcĂ©ment ĂąâŹÂŠ Une fille aussi belle quĂąâŹâąelle ne pouvait pas se trouver lĂ seule ĂąâŹÂŠ Alors quĂąâŹâąil allait se rasseoir, totalement déçu et dĂ©pitĂ©, il la vit le repousser doucement. Comprenant quĂąâŹâąelle ne dĂ©sirait nullement la prĂ©sence de ce jeune homme, Kris fini par sĂąâŹâąapprocher lentement de la piste de danse, sans la quitter du regard, sans rien manquer des tentatives dĂ©sespĂ©rĂ©es de cet imbĂ©cile pour rester contre elle et danser avec elle. En voyant sa main descendre sur lĂąâŹâąune de ses fesses, Kris sentit son sang battre Ă ses tempes. Si ça nĂąâŹâąavait tenu quĂąâŹâąĂ lui, il aurait collĂ© son poing dans la gueule de ce type, histoire de lui faire comprendre la signification du mot non. Mais le temps quĂąâŹâąil arrive Ă eux, Laety Ă©tait parvenu Ă lĂąâŹâąĂ©loigner quelque peu de lui. Arrivant tranquillement, Kris se plaça entre eux, faisant face au type en lui lançant un regard noir. Ă DĂ©gage abruti ĂąâŹÂŠ Elle est dĂ©jĂ prise. Ă» LĂÂącha-t-il dĂąâŹâąune voix claquante avant de se retourner vers Laety sans ajouter un mot, souriant faiblement en coin en posant ses mains sur ses hanches et les remontant avec lenteur dans son dos pour la serrer contre lui en posant sa joue contre ses cheveux et inspirant longuement son odeur qui lĂąâŹâąenvoĂ»tait plus que de raison. Tout en dansant au rythme de la musique en la gardant contre lui, il sĂąâŹâąĂ©loigna lentement du jeune homme un peu trop entreprenant. Ă Je pensais que jĂąâŹâąallais pouvoir tĂąâŹâąaider comme un preux chevalier ĂąâŹÂŠ Mais tĂąâŹâąavais pas besoin de mon aide finalement. Ă» Souffla-t-il en souriant en coin. InvitĂ©InvitĂ©SURVOLE PETIT COQUINSujet Re Trust me, Say me yes, for the life. K&L Lun 2 Mai - 1805 Un, deux, trois, quatre, cinq, six, sept et huit. Ces chiffres, ces huit petits chiffres que jĂąâŹâąaimais tant entendre quand jĂąâŹâąĂ©tais Ă la danse, ces chiffres que jĂąâŹâąaimais compter lorsque je dansais, ces chiffres qui nĂąâŹâąavaient plus aucun secret pour moi. Des chiffres qui me plaisaient. La danse Ă©tait et est une rĂ©elle passion pour moi. Je ne pourrais pas mĂąâŹâąen passer, a tel point que jĂąâŹâąavais mĂÂȘme fait construire une salle de danse dans ma villa. Certes petite, mais existante. JĂąâŹâąaimais danser, cĂąâŹâąĂ©tait plus quĂąâŹâąun fait, on ne pouvait pas passer Ă cĂÂŽtĂ© de ma rĂ©elle passion. Sentir la sueur perler sur mon corps aprĂšs lĂąâŹâąeffort, la musique virevoltĂ© dans la piĂšce, me voir bouger dans le miroir, entendre ma respiration saccadĂ©, me jeter sur le sol pour essayer de respirer, prendre une bonne douche bien brulante pour Ă©liminer les toxines que jĂąâŹâąavais sortie lors de lĂąâŹâąeffort. Oui danser, et encore danserĂąâŹÂŠ Sans plus jamais mĂąâŹâąarrĂÂȘter, sans plus jamais faire autre chose, tenir la barre en bois, la caresser, sentir lĂąâŹâąodeur du parquet de la colophane, les pointes aux pieds, le bruit que cela fait quand lĂąâŹâąon sauteĂąâŹÂŠ Avoir les pieds en sang tellement lĂąâŹâąon sĂąâŹâąest dĂ©menĂ© pour faire ce que lĂąâŹâąon voulait, progresser et encore progresser, constamment ouiĂąâŹÂŠ La danse Ă©tait toute ma vie, elle passait mĂÂȘme avant le mannequinat cĂąâŹâąĂ©tait pour direĂąâŹÂŠ Non plus sĂ©rieusement, la danse Ă©tait ma raison de vivre jusquĂąâŹâąĂ ce que je le croise. JusquĂąâŹâąĂ ce que min regard se pose sur ce bel apollon ĂąâŹÂŠ MystĂ©rieux, envoutant, Ă©nigmatique, tĂ©nĂ©breuxĂąâŹÂŠ cet homme aux allures parfaite, des traits fins et masculins, une voix suave et grave, sensuelle et charmante, une voix a vous donner des frissons tellement elle est parfaiteĂąâŹÂŠ Oui lui, il Ă©tait devenu ma raison de vivre, je ne jurais que par lui, ne vivais que pour luiĂąâŹÂŠ Je ne pensais quĂąâŹâąĂ lui, je rĂÂȘvais de lui, bref, Kristopher Ă©tait devenu trĂšs, trĂšs important dans ma vie. Il Ă©tait comme ma raison de vivre, oui je pensais Ă lui et mon cĂ âur sĂąâŹâąemballait et pas quĂąâŹâąun peu, je pouvais mĂÂȘme rougir, devenir rouge comme une tomate, il me changeait, il me transformait en une autre femmeĂąâŹÂŠ Et cĂąâŹâąĂ©tait trĂšs plaisant. Il Ă©tait celui qui pouvait faire de moi une femme heureuse, comblĂ©e, dans tous les sens du terme. Kristopher Ă©tait quelquĂąâŹâąun de trĂšs doux, mais aussi de trĂšs sauvage et il savait sĂąâŹâąy prendre avec moi. JĂąâŹâąavais pu le voir a multiples reprises, oh oui et trĂšs en profondeurĂąâŹÂŠ Que ça soit chez lui, au camping, dans la rue, chez moiĂąâŹÂŠ Oh oui chez moi sous la doucheĂąâŹÂŠ Sensuel, lent, tendreĂąâŹÂŠ Une relation des plus parfaite, oh ça oui, je ne pouvais pas ignorer que Kristopher Ă©tait tout bonnement parfait au lit. Je lĂąâŹâąaimais, je lĂąâŹâąaimais et ce nĂąâŹâąĂ©tait pas en parti grĂÂące Ă ses atouts sexuels. Je lĂąâŹâąaimais bien avant de connaitre le sexe avec luiĂąâŹÂŠ JĂąâŹâąavais eu le coup de foudre pour lui au premier regard et un coup de foudre on ne peut pas le contrĂÂŽler, on ne peut pas non plus lĂąâŹâąignorer et essayer de passer Ă autre choseĂąâŹÂŠ Non, on ne peut pas. Essayant de me changer les idĂ©es, comme si cela Ă©tait rĂ©ellement possibleĂąâŹÂŠ Je dĂ©cidai de partir en boite de nuit. JĂąâŹâąaimais danser aprĂšs toutĂąâŹÂŠ autant en profiter, mĂÂȘme si cĂąâŹâąest seul que jĂąâŹâąirais. Me retrouvant rapidement au bar, je ne perdis pas une seule seconde, commandant alors plusieurs verres que je bu assez rapidement. Je buvais un peu trop, jĂąâŹâąavais tendance Ă tenir lĂąâŹâąalcool, mais quand je ne le tenais pas, cĂąâŹâąĂ©tait violent et je vomissais a coup sur. AndrĂ©a en avait fait les fraisĂąâŹÂŠ Tant pis pour lui, cĂąâŹâąĂ©tait tombĂ© sur la mauvaise personneĂąâŹÂŠ Une fois les verres bus, je me levais aprĂšs quelques instants allant alors sur la piste de danse. Me dĂ©hanchant lentement au rythme de la musique je sentis des mains se poser sur ma taille. Relevant les yeux, un inconnu se tenait face Ă moi. Inconnu qui nĂąâŹâąallait pas tarder Ă se faire virer, je voulais ĂÂȘtre seuleĂąâŹÂŠ ou alors accompagnĂ©e de Kristopher. Le poussant lentement je lui fis alors comprendre que je nĂąâŹâąĂ©tais en aucun cas intĂ©ressĂ©. Si seulement il voulait comprendreĂąâŹÂŠ Mais il faut croire que non ! Me touchant les fesses, je le repoussais violemment en lui mettant alors une claque. Il Ă©tait hors de question que lĂąâŹâąon me touche ! tout a coup quelquĂąâŹâąun se mit devant moi sans que je nĂąâŹâąeus le temps de faire ou dire quoi que se soit. Ă DĂ©gage abruti ĂąâŹÂŠ Elle est dĂ©jĂ prise. Ă» Surprise de le voir la devant moi, je le regardais lentement en me mordillant la lĂšvre. Kristopher Ă©tait toujours lĂ quand il le fallait. Quinze jours sans lĂąâŹâąavoir vu, dieu quĂąâŹâąil mĂąâŹâąavait manquĂ©, oui terriblement mĂÂȘme. JĂąâŹâąavais lĂąâŹâąimpression de revivre, comme si un Ă©norme poids Ă©tait sortir de mon plus profond intĂ©rieur. Je voir devant moi, entendre sa voix, sa prestance, son corpsĂąâŹÂŠ. MĂąâŹâąarrĂÂȘtant de danser tranquillement, le regardant je ne pus mĂąâŹâąempĂÂȘcher de sourire de plus en plus en voyant quĂąâŹâąil prenait ma dĂ©fense. Cet homme Ă©tait fait pour moi, il Ă©tait lĂąâŹâąamour de ma vie, oh ça ouiĂąâŹÂŠ et je ne pouvais pas le lĂÂącher ni mĂÂȘme le perdre. Kristopher, ce prĂ©nom qui Ă©tait ancrĂ© en moi depuis trop de mois maintenant. Celui-ci se tournant vers moi, je sentais ses mains sur mes hanches, gĂ©missant doucement, je le laissais faire collant alors mon corps contre le sien. Mon cĂ âur sĂąâŹâąemballant, je me sentis lĂ©gĂšrement rougir sous lĂąâŹâąexcitation et la joie quĂąâŹâąil procurait chez moi. Sentant sa joue se collait sur le dessus de ma tĂÂȘte, contre mes cheveux, je le laissais faire reculant en suivant ses pas. Mes mains se posant Ă sa taille, je remontais ma main libre dans son bas dos faufilant ma main sous son haut caressant alors lentement sa peau tout en fermant les yeux. Elle est dĂ©jĂ priseĂąâŹÂŠ Ces mots rĂ©sonnaient dans ma tĂÂȘte longuementĂąâŹÂŠ Oui trĂšs longuementĂąâŹÂŠ Ă Je pensais que jĂąâŹâąallais pouvoir tĂąâŹâąaider comme un preux chevalier ĂąâŹÂŠ Mais tĂąâŹâąavais pas besoin de mon aide finalement. Ă» Passant ma langue sur mes lĂšvres, un lĂ©ger sourire se logeant sur mon visage, je fermais briĂšvement les yeux en inspirant longuement lĂąâŹâąodeur qui Ă©manait de son corps, son odeur, sa douce et belle fragrance. Elle mĂąâŹâąavait tant manquĂ©, deux semaines, oui deux semaines de souffrance, dĂąâŹâąattente et jĂąâŹâąen passe. Resserrant mon emprise sur lui, mon corps vraiment collait au sien, je remontais ma main, lentement vers son cou, pressent mes doigts dessus, mon pouce caressant alors sa pomme dĂąâŹâąAdam plongeant mon regard dans le sien. Des yeux bleus, tellement bleus, envoutant, Ă©nigmatique, intense sensationnelle, des yeux qui me faisait rĂÂȘver, des yeux ou je pouvais y lire comme un livre ouvert, en me heurtant Ă un mur lorsquĂąâŹâąil sĂąâŹâąagissait dĂąâŹâąamourĂąâŹÂŠ Un regard qui me laissait sur un petit nuageĂąâŹÂŠ Ă HumĂąâŹÂŠ A une minute prĂšs, tu aurais pu ĂÂȘtre mon preux chevalierĂąâŹÂŠ Mais rassure-toi beau blondĂąâŹÂŠ Tu lĂąâŹâąes quand mĂÂȘmeĂąâŹÂŠ Il nĂąâŹâąavait pas lĂąâŹâąair de vouloir me laisserĂąâŹÂŠ Ă» soufflai-je doucement en posant mon front contre le sien tout en souriant faiblement. Kristopher Ă©tait bien lĂ ĂąâŹÂŠ Il Ă©tait bel et bien lĂ . Soupirant longuement, jĂąâŹâąenfouissais sans attendre ma tĂÂȘte dans son cou en soufflant longuement contre sa peau. Remontant mes bras sur ses Ă©paules, je glissais alors mes mains dans ses cheveux entortillant alors mes index dedans en fermant les yeux me laissant guider par ses pas. Il menait la danse, oui, il la menait, et je bougeais le bassin contre le sien. Nous faisions presque la mĂÂȘme tailleĂąâŹÂŠ A quelques centimĂštres prĂšs cela pouvait passerĂąâŹÂŠ Et pour faire lĂąâŹâąamour debout cĂąâŹâąĂ©taitĂąâŹÂŠ tout bonnement parfait. Ne surtout pas penser Ă cela alors que jĂąâŹâąĂ©tais dans ses bras en train de danser. Non, ne pas penser au sexe de quelconque maniĂšre possible. Se serait un sacrilĂšge, jĂąâŹâąaurais envie de faire lĂąâŹâąamour avec lui, hors nous ne pouvions pas faire lĂąâŹâąamour, nous nĂąâŹâąĂ©tions pas ensemble et il ne mĂąâŹâąavait toujours pas donnĂ© sa rĂ©ponseĂąâŹÂŠ Soit, je devais attendre gentiment et patiemment quĂąâŹâąil puisse enfin me fixer sur notre relation. Passant ma langue sur mes lĂšvres je frissonnais lĂ©gĂšrement en dĂ©glutissant par la suite. Ă Alors ? QuĂąâŹâąest ce qui tĂąâŹâąamĂšne ici ? Tu tĂąâŹâąennuie ? Ă» demandai-je un tantinet curieuse de savoir ce quĂąâŹâąil faisait ici a cette heure ciĂąâŹÂŠ Est-ce quĂąâŹâąil Ă©tait seul ? Est-ce quĂąâŹâąil Ă©tait accompagnĂ© ? Regardant dans la salle, je guettais la rĂ©action de nĂąâŹâąimporte quelle fille vis-Ă -vis de nous. RienĂąâŹÂŠ Non aucune ne paraissait jalouse. Tant mieux dans un sens. Je lui faisais entiĂšrement confiance de toute façon, mais on Ă©tait jamais sĂ»re a cent pour cent. Soupirant doucement jĂąâŹâąembrassais doucement son cou, comme pour lui montrer que je ne voulais pas influencer quoi que se soit avant de me reculer quelque peu pour rompre notre Ă©treinte. Nous ne devions pas ĂÂȘtre si proches alors quĂąâŹâąil devait choisir encore une rĂ©ponse. DĂ©tournant lentement le regard je baissais alors ma tĂÂȘte en triturant mon haut tout en me mordillant la lĂšvre. Ă KristopherĂąâŹÂŠ Tu nĂąâŹâąas pas encore prit de dĂ©cisionĂąâŹÂŠ Je nĂąâŹâąai pas envie dĂąâŹâąinfluencer ton jugementĂąâŹÂŠ surtout en dansantĂąâŹÂŠ Aussi collĂ© lĂąâŹâąun Ă lĂąâŹâąautreĂąâŹÂŠ Merci dĂąâŹâąĂÂȘtre venu me dĂ©fendreĂąâŹÂŠ Je vais rentrer je croisĂąâŹÂŠ JĂąâŹâąattendrais ton appel, ou ton message, nĂąâŹâąimporte quoiĂąâŹÂŠ Ă» dis-je doucement en lĂąâŹâąembrassant alors sur la joue la caressant du bout de mes doigts. Souriant faiblement, je lui tournais le dos alors pour partir. InvitĂ©InvitĂ©SURVOLE PETIT COQUINSujet Re Trust me, Say me yes, for the life. K&L Sam 7 Mai - 328 LĂąâŹâąabsence de Laety Ă ses cĂÂŽtĂ©s, faisait clairement comprendre Ă Kris quĂąâŹâąelle comptait beaucoup pour lui et quĂąâŹâąelle lui manquait. Oui elle comptait bien plus encore, que ce quĂąâŹâąil sĂąâŹâąĂ©tait dĂąâŹâąabord imaginĂ©. Rien Ă avoir avec une simple amitiĂ© ajoutĂ©e Ă un dĂ©sir sexuel constant. Non, finalement, cĂąâŹâąĂ©tait bien plus que cela. Sans doute des sentiments bien plus forts que ce quĂąâŹâąil sĂąâŹâąimaginait depuis un petit moment dĂ©jĂ . Voulait-il lui laisser une chance de lui prouver que lĂąâŹâąamour nĂąâŹâąĂ©tait pas si nul que cela et que ça valait le coup ? Oui, cent fois oui ! Oui il voulait lui laisser cette chance parce quĂąâŹâąil avait une confiance aveugle en elle et parce quĂąâŹâąelle Ă©tait dĂ©jĂ parvenue Ă le toucher comme aucune autre femme nĂąâŹâąĂ©tait parvenue Ă le faire jusquĂąâŹâąĂ prĂ©sent. Et ce nĂąâŹâąĂ©tait pas seulement une question de rapports sexuels mĂÂȘme sĂąâŹâąil fallait avouer que de ce cĂÂŽtĂ©-lĂ , cĂąâŹâąĂ©tait plus que parfait. Oui, rĂ©ellement plus que parfait. Un plaisir sans erreur, sans fausse note, sans dĂ©saccord. Bref, perfection absolue. Tellement, quĂąâŹâąils sĂąâŹâąĂ©taient consumĂ©s un peu plus Ă chaque rapport. Kris en Ă©tait arrivĂ© Ă rĂÂȘver dĂąâŹâąelle de façon presque quotidienne et penser Ă elle tous les jours. CĂąâŹâąen Ă©tait presque choquant de voir la place importante quĂąâŹâąelle avait prise en lui, dans son cĂ âur et dans son esprit. La premiĂšre Ă parvenir Ă faire cela et ça avait une rĂ©elle importance pour lui. Oui, cela voulait tout dire et cĂąâŹâąĂ©tait bien pour cette raison, quĂąâŹâąil se devait de lui dire oui et encore oui, Ă la question Ă laquelle il devait rĂ©pondre. Voulait-il laisser une chance Ă leur relation ? Oui ! AprĂšs la dĂ©cision, il y avait lĂąâŹâąannonce. Mais pour ce faire, il avait besoin de la voir. Il ne tenait pas Ă le lui dire sur msn, facebook, par sms ou au tĂ©lĂ©phone. Cette annonce avait beaucoup trop dĂąâŹâąimportance pour quĂąâŹâąelle soit faite de la sorte, il ne le voulait surtout pas. Il voulait la voir pour le lui dire. Poser doucement ses mains sur ses hanches, sourire en coin, plonger son regard dans le sien et lui annoncer cela doucement, sans la quitter du ne doutait pas quĂąâŹâąentendre cela, lui plairait plus que de raison. Cela faisait un an quĂąâŹâąelle lĂąâŹâąaimait sans jamais oser le lui dire par peur de le perdre. Quelques semaines quĂąâŹâąils couchaient ensemble sans ĂÂȘtre capables de sĂąâŹâąen empĂÂȘcher tant le dĂ©sir Ă©tait prĂ©sent en eux et lĂąâŹâąattirance terriblement forte. Et ça faisait deux semaines trĂšs prĂ©cisĂ©ment, quĂąâŹâąelle attendait une rĂ©ponse de lui, sans avoir eut la moindre de ses nouvelles. Pas de texto de sa part, dĂąâŹâąappel, de message sur le net. Non, rien du tout. Et cĂąâŹâąĂ©tait bien grĂÂące Ă cela, quĂąâŹâąil avait rĂ©alisĂ© lĂąâŹâąimportance quĂąâŹâąelle avait prise pour lui. Elle Ă©tait sans doute mĂÂȘme devenue indispensable pour lui, mĂÂȘme sĂąâŹâąil avait encore quelque peu du mal Ă se lĂąâŹâąavouer. Il avait toujours aussi peur de se laisser pleinement aller et de tomber amoureux dĂąâŹâąelle. Il avait peur dĂąâŹâąĂÂȘtre blessĂ© et trahit, peur dĂąâŹâąĂÂȘtre lĂÂąchĂ© dans une relation dont il serait le seul Ă se donner pleinement. Mais cĂąâŹâąĂ©tait de Laety quĂąâŹâąil Ă©tait question. Laety ĂąâŹÂŠ Sans doute lĂąâŹâąune des seules femmes en qui il avait pleinement confiance. La seule qui lui donnait des envies dĂąâŹâąamour et de relation. Oui il voulait lui faire plus confiance encore, voulait quĂąâŹâąelle lui prouve que lĂąâŹâąamour pouvait rendre heureux, voir mĂÂȘme que cĂąâŹâąĂ©tait nĂ©cessaire pour cela. Il ne doutait pas un instant quĂąâŹâąelle Ă©tait parfaitement capable de le lui montrer, avec simplement un peu de patience et de temps. Elle nĂąâŹâąavait quĂąâŹâąĂ lui montrer combien elle-mĂÂȘme lĂąâŹâąaimait, sans aucun doute. Oui, cela devrait bien suffire Ă rassurer Kris, quĂąâŹâąil voit combien elle Ă©tait capable de lĂąâŹâąaimer, lui et simplement lui. Il avait simplement le besoin de voir que cĂąâŹâąĂ©tait parfaitement possible et que les sentiments amoureux Ă©taient bien rĂ© que Kris se trouvait dans une boite de nuit en compagnie dĂąâŹâąune bande dĂąâŹâąamis, bien que le cĂ âur nĂąâŹâąy Ă©tait pas, il aperçu le fruit de ses envies et de ses pensĂ©es. Que faisait-elle lĂ ? Eh bien comme lui, elle faisait la fĂÂȘte tout simplement. Mais il ne lui manquait donc pas, pour quĂąâŹâąelle ait le cĂ âur Ă sĂąâŹâąamuser ? Lui-mĂÂȘme nĂąâŹâąĂ©tait lĂ que par amitiĂ©. Mais elle ĂąâŹÂŠ Elle, elle trouvait tout de mĂÂȘme le temps et lĂąâŹâąenvie de faire la fĂÂȘte alors quĂąâŹâąelle attendait une rĂ©ponse des plus importantes de sa part. DĂąâŹâąun autre cĂÂŽtĂ©, il ne pouvait dĂ©cemment pas le lui reprocher. CĂąâŹâąĂ©tait lui qui prenait tout son temps pour cela, sans lui donner signe de vie. Lui qui lui infligeait cette longue pose sans nouvelles. Il nĂąâŹâąallait pas non plus exiger dĂąâŹâąelle quĂąâŹâąelle sĂąâŹâąenferme chez elle sans faire quoi que ce soit ni voir qui que ce soit. Ce serait la cerise sur le gĂÂąteau, vĂ©ritable exagĂ©ration de sa part. Au contraire, il avait plutĂÂŽt intĂ©rĂÂȘt Ă ĂÂȘtre ravit, un tant soit peu, de voir quĂąâŹâąelle ne se laissait pas abattre pour si peu. Oui, Laety Ă©tait une femme forte et il Ă©tait plus que fier dĂąâŹâąĂÂȘtre tombĂ© sur elle. Elle Ă©tait une jeune femme forte, intelligente, rusĂ©e, patiente, de confiance, sĂ©duisante, excitante ĂąâŹÂŠ Et il avait eut la chance dĂąâŹâąĂÂȘtre tombĂ© sur elle et pas une autre. La chance quĂąâŹâąelle soit elle-mĂÂȘme tombĂ©e amoureuse de lui, ce jour lĂ dans ce bar dans lequel il se produisait tous les soirs. La chance quĂąâŹâąelle soit revenue rĂ©guliĂšrement par la suite, assez pour quĂąâŹâąil en fasse une chance et quĂąâŹâąil se dĂ©cide lui-mĂÂȘme Ă lĂąâŹâąaborder en comprenant quĂąâŹâąelle nĂąâŹâąoserait jamais le faire dĂąâŹâąelle-mĂÂȘme. Une chance quĂąâŹâąelle finisse par trouver le moment et le courage de le charmer pour lui faire comprendre combien il avait envie dĂąâŹâąelle et combien leurs corps Ă©taient faits pour se trouver et se retrouver, sĂąâŹâąamadouer et sĂąâŹâą quĂąâŹâąun type Ă©tait en train de lĂąâŹâąennuyer plus que de raison, jouant au lourd Ă vouloir Ă tout prix se coller Ă elle pour danser, Kris ne put sĂąâŹâąempĂÂȘcher dĂąâŹâąintervenir, dĂ©laissant son ami pour rejoindre Laety. La seconde dĂąâŹâąaprĂšs, il fit fuir le type un peu trop entreprenant bien que la jeune femme Ă©tait dĂ©jĂ parvenue Ă lui faire comprendre quĂąâŹâąelle ne voulait pas de lui. Sans laisser le temps Ă la blonde de comprendre ce qui lui arrivait, il sĂąâŹâąĂ©tait collĂ© Ă elle pour lĂąâŹâąentrainer plus loin sur la piste de danse lĂąâŹâąair de rien. Posant sa joue contre ses cheveux, Kris ferma les yeux en soupirant de bien ĂÂȘtre, frissonnant franchement en sentant sa main se faufiler sous son haut. Se passant rapidement la langue sur les lĂšvres, il passa lentement ses mains dans son dos en la maintenant serrĂ©e contre lui. Un court instant plus tard, il eut un sourire plus franc et heureux en croisant son regard si bleu, si envoĂ»tant, se passant lentement la langue sur les lĂšvres en sentant sa main dans son cou, son pouce sur sa pomme dĂąâŹâąAdam. Sans la quitter du regard et sans se dĂ©partir de son lĂ©ger sourire, il caressant doucement son dos de ses pouces, par-dessus son haut moulant et tout ce quĂąâŹâąil y a de plus ĂąâŹÂŠ Sexy et excitant. Ă HumĂąâŹÂŠ A une minute prĂšs, tu aurais pu ĂÂȘtre mon preux chevalierĂąâŹÂŠ Mais rassure-toi beau blondĂąâŹÂŠ Tu lĂąâŹâąes quand mĂÂȘmeĂąâŹÂŠ Il nĂąâŹâąavait pas lĂąâŹâąair de vouloir me laisserĂąâŹÂŠ Ă» Son front contre le sien, Kris eut un lĂ©ger rire en montant une main Ă sa joue pour la caresser doucement, la remontant dans ses cheveux lorsquĂąâŹâąelle enfouit son visage dans son cou. Il ferma les yeux en sentant sa main valide dans ses cheveux, souriant faiblement de bien ĂÂȘtre. Ă Hm ĂąâŹÂŠ Moui ĂąâŹÂŠ On va faire comme si on Ă©tait persuadĂ©s quĂąâŹâąil allait revenir et ne plus te lĂÂącher. Heureusement que jĂąâŹâąĂ©tais lĂ hm ĂąâŹÂŠ Ă» Souffla-t-il dĂąâŹâąune voix douce en souriant en coin. Ă Alors ? QuĂąâŹâąest ce qui tĂąâŹâąamĂšne ici ? Tu tĂąâŹâąennuie ? Ă» Soupirant faiblement, il resta un moment silencieux Ă se contenter de caresser tendrement ses cheveux et inspirer longuement son odeur, profitant au maximum de la chaleur de son corps tout contre le sien. Ă Je me posais la mĂÂȘme question Ă ton sujet. Je suis lĂ parce que jĂąâŹâąai une bande dĂąâŹâąamis trĂšs convaincants, qui ont refusĂ©s de me laisser tranquille pour ce soir ĂąâŹÂŠ Ă» Et tout cela alors quĂąâŹâąil avait eut lĂąâŹâąenvie pressante, le besoin urgent, de voir Laety pour lui faire part de sa dĂ©cision sur laquelle il ne reviendrait pas. Mais cĂąâŹâąĂ©tait finalement, sans aucun doute, un signe du destin, quĂąâŹâąil lĂąâŹâąait retrouvĂ© ce soir lĂ , dans cette boite de nuit bondĂ©e de monde. Frissonnant doucement au baiser quĂąâŹâąil sentit dans son cou, Kris se figea lĂ©gĂšrement en voyant la jeune femme se reculer dans lĂąâŹâąintention manifeste de se dĂ©tacher de lui. Sans comprendre pourquoi elle se dĂ©tachait de la sorte de lui, il haussa les sourcils en la regardant. Ă KristopherĂąâŹÂŠ Tu nĂąâŹâąas pas encore prit de dĂ©cisionĂąâŹÂŠ Je nĂąâŹâąai pas envie dĂąâŹâąinfluencer ton jugementĂąâŹÂŠ surtout en dansantĂąâŹÂŠ Aussi collĂ© lĂąâŹâąun Ă lĂąâŹâąautreĂąâŹÂŠ Merci dĂąâŹâąĂÂȘtre venu me dĂ©fendreĂąâŹÂŠ Je vais rentrer je croisĂąâŹÂŠ JĂąâŹâąattendrais ton appel, ou ton message, nĂąâŹâąimporte quoiĂąâŹÂŠ Ă» Totalement abasourdi, Kris resta totalement figĂ© en sentant son baiser sur sa joue puis la regarda lui tourner le dos et commencer Ă sĂąâŹâąĂ©loigner. Il mit un moment Ă comprendre, avant de la rattraper en posant une main sur son Ă©paule et se plaçant devant elle. Ă Ok ĂąâŹÂŠ Attend, jĂąâŹâąai un message Ă envoyer. Ă» LĂÂącha-t-il le plus sĂ©rieusement du monde avant de rĂ©cupĂ©rer son portable dans sa poche et Ă©crire un sms Ă ĂąâŹÂŠ Laety. Un simple Ă JĂąâŹâąai Ă te parler ĂąâŹÂŠ Ă». Sans sourire ni montrer quoi que ce soit, il lĂąâŹâąenvoya et rangea son tĂ©lĂ©phone dans sa poche avant de redresser la tĂÂȘte pour la regarder le lire. Une fois fait, il passa un bras dans son dos et un autre derriĂšre ses jambes avant de la soulever de terre en la portant contre lui. Ă Maintenant je tĂąâŹâąenlĂšve. Ă» Ajouat-t-il avant de prendre la direction de la sortie de la boite, ignorant les regards et les commentaires sur leur passage. Une fois dehors, il sĂąâŹâąĂ©loigna de plusieurs rues pour ne pas ĂÂȘtre dĂ©rangĂ© par qui que ce soit, reposant alors lentement Laety Ă terre sans la quitter du regard. InvitĂ©InvitĂ©SURVOLE PETIT COQUINSujet Re Trust me, Say me yes, for the life. K&L Dim 8 Mai - 2049 Take me, Don't give up fait que je sois dans cette boite de nuit Ă©tait un compteĂąâŹÂŠ Mais le fait que Kristopher sĂąâŹâąy trouve lui aussi comme de par hasard dans la mĂÂȘme que moi Ă©tait un autre fait. Il y avait combien de boite de nuit sur Southampton ? Trop pour les compter, surtout quand on voit a quel point la ville est de plus en plus Ă©tudiante et que le centre de la ville devient des bars a gogos et des boites de nuits. Tout pour attirer les jeunes les plus prochesĂąâŹÂŠ Alors nĂąâŹâąĂ©tait ce pas un foutu destin qui avait fait que nous nous retrouvions tous les deux dans cette foutue boite de nuit ? Je me le demande bienĂąâŹÂŠ Il parait que je rĂ©flĂ©chis trop, il parait que jĂąâŹâąemmerde les gensĂąâŹÂŠ Je me posais des questions, je mĂąâŹâąen posais plein comme tout bon nombre de gens, on sĂąâŹâąen posait tous des putains de questions ! Mais dans mon cas les questions fusaient Ă tout sensĂąâŹÂŠ pourquoi ? Tout simplement parce que Kristopher Ă©tait en quelque sorte lĂąâŹâąamour de ma vie et que je lĂąâŹâąaimais comme une folle et quĂąâŹâąil venait me sauver dĂąâŹâąun abruti sans nom. Bon certes, je mĂąâŹâąĂ©tais trĂšs bien dĂ©brouillĂ©e toute seule en collant une gifle au typeĂąâŹÂŠ Mais il Ă©tait tout de mĂÂȘme venu, il avait voulu me sortir des bras de se typeĂąâŹÂŠ Et cĂąâŹâąest ce que jĂąâŹâąaimais chez luiĂąâŹÂŠ Kristopher Ă©tait lĂąâŹâąhomme parfait, protecteur, attentionnĂ©, a lĂąâŹâąĂ©coute, le mec parfait qui me correspondait en tout genre. Il devait devenir mienĂąâŹÂŠ CĂąâŹâąĂ©tait a prĂ©sent plus que vitalĂąâŹÂŠ Ă Hm ĂąâŹÂŠ Moui ĂąâŹÂŠ On va faire comme si on Ă©tait persuadĂ©s quĂąâŹâąil allait revenir et ne plus te lĂÂącher. Heureusement que jĂąâŹâąĂ©tais lĂ hm ĂąâŹÂŠ Ă» Souriant en coin je me mordis la lĂšvre en tirant lĂ©gĂšrement ses cheveux comme pour lui faire comprendre quĂąâŹâąil ne disait que des bĂÂȘtises. Oui mais nom dĂąâŹâąun chien que jĂąâŹâąaimais çaĂąâŹÂŠ. JĂąâŹâąaimais quĂąâŹâąil puisse ĂÂȘtre si drĂÂŽle et si agrĂ©able. JĂąâŹâąaimais parler avec lui, rire a ses cĂÂŽtĂ©s il me changeait il me faisait oublier plus ou moins tout le reste et jĂąâŹâąen passeĂąâŹÂŠ Kristopher avait toujours eu cet effet sur moi. Et cĂąâŹâąest ce que jĂąâŹâąaimais le plus Ă vrai dire. Je lĂąâŹâąaimais pour ce quĂąâŹâąil Ă©taitĂąâŹÂŠ Mon petit KristopherĂąâŹÂŠ Il Ă©tait mon toutĂąâŹÂŠ Je voulais encore le croire. Sentant ses mains dans mes cheveux je fermais les yeux envoutĂ©e par ses mouvements son corps contre le mienĂąâŹÂŠ Lui demandant alors ce quĂąâŹâąil faisait ici a voix basse je me sentais terriblement bien ici, dans ces bras et pas ceux dĂąâŹâąun autreĂąâŹÂŠ Mon KristopherĂąâŹÂŠĂ Je me posais la mĂÂȘme question Ă ton sujet. Je suis lĂ parce que jĂąâŹâąai une bande dĂąâŹâąamis trĂšs convaincants, qui ont refusĂ©s de me laisser tranquille pour ce soir ĂąâŹÂŠ Ă» Souriant en coin, je me doutais bien quĂąâŹâąil se poserait cette fameuse question. De savoir pourquoi jĂąâŹâąĂ©tais en boite de nuit et seule de prĂ©fĂ©renceĂąâŹÂŠ Est-ce quĂąâŹâąil se demandait si je le trompais ? Enfin, le tromper Ă©tait fort, je nĂąâŹâąĂ©tais pas sa copineĂąâŹÂŠ Mais jamais je ne ferais ce genre de chose nonĂąâŹÂŠ JĂąâŹâąavais juste eu lĂąâŹâąenvi pressente de partir de chez moi et de me changer les idĂ©es. Entre notre histoire et lĂąâŹâąarrivĂ© de ma sĂ âurĂąâŹÂŠ Je ne savais plus oĂÂč donner de la tĂÂȘteĂąâŹÂŠ Ma vie prenait une tournure que je ne contrĂÂŽlais pas et cĂąâŹâąĂ©tait frustrant, jĂąâŹâąavais lĂąâŹâąimpression de revenir trois ans en arriĂšreĂąâŹÂŠ Lorsque mes parents sont dĂ©cĂ©dĂ©s et que jĂąâŹâąai agis alors sans avoir le choixĂąâŹÂŠ Ma sĂ âur dĂ©barquait de SuĂšde et sĂąâŹâąincrustĂ© dans ma vie sans mĂÂȘme me demander la permission, la longue lettre de ma mĂšre qui mĂąâŹâąexpliquait alors pourquoi elle ne mĂąâŹâąavait pas gardĂ© mais pourquoi elle avait prit le temps de sĂąâŹâąoccuper de VikkieĂąâŹÂŠ Vikkie Isobel Dotterlaw. Une jeune fille de dix huit ans qui Ă©tudie en langue Ă©trangĂšreĂąâŹÂŠ une jeune fille sublime, tout aussi belle que moi. Des yeux bleus comme mois, une chevelure blonde, comme moi. Elle Ă©tait cependant plus petite, de huit centimĂštre. Son corps Ă©tait fin comme le mien et elle avait beaucoup plus de poitrine que moi. Nous Ă©tions diffĂ©rentes en tout point et surtout niveau caractĂšre. Mais elle Ă©tait lĂ , rĂ©ellement lĂ ĂąâŹÂŠ A tel point que jĂąâŹâąen avais mĂÂȘme demandĂ© un test pour voir si nous Ă©tions rĂ©ellement sĂ âurĂąâŹÂŠ et le verdict Ă©tait tombĂ©ùâŹÂŠ Vlam dans ta gueule Laety, tu avais belle et bien une petite sĂ âur qui rentrait dans ta vie sans mĂÂȘme te demander si tu es dĂąâŹâąaccordĂąâŹÂŠ On ne peut pas dire quĂąâŹâąelle ait bien choisi son momentĂąâŹÂŠ Je me montrais dure avec elle et strict mais je men fichaisĂąâŹÂŠ Je ne pouvais pas faire autrement, je ne pouvais pas aimer cette fille qui me demander de le faire. Lui donner autant dĂąâŹâąargent que je le voudraisĂąâŹÂŠ Non qui me dit que ce nĂąâŹâąest pas un coup foireux pour faire venir sa mĂšre ici ? Ma mĂšre en lĂąâŹâąoccurrenceĂąâŹÂŠ Non, je ne voulais pas de çaĂąâŹÂŠ Je ne voulais rien de tout ça je nĂąâŹâąĂ©tais pas prĂÂȘte, bon sang je ne voulais pas de ça, je voulais diriger ma vie comme bon me semblait, je voulais la mener a ma sauce et pas celle des autresĂąâŹÂŠ. Ă Il fallait que je sorte de chez moiĂąâŹÂŠ Disons que lĂąâŹâąambiance nĂąâŹâąy est pas trop bonneĂąâŹÂŠ Alors venir boire un coup et danser toute seule cĂąâŹâąĂ©tait pour me changer les idĂ©es. Mais que tu sois lĂ , cĂąâŹâąest encore meilleurĂąâŹÂŠ Des amis qui tĂąâŹâąenlĂšvent ? Les mĂ©chantsĂąâŹÂŠ JĂąâŹâąespĂšre quĂąâŹâąau moins tu nĂąâŹâąavais rien prĂ©vu de bien intĂ©ressant avant quĂąâŹâąils ne te kidnappent ? Ă» soufflai-je contre sa peau, fermant alors les yeux, me mouvant lentement contre lui au rythmes de la musique. Une musique Ă©nergique mais Ă la fois lĂ©gĂšrement sensuelle, une musique parfaite pour nous pour danser. Nos bassins bougeant en mĂÂȘme temps nos jambes collĂ©s les unes aux autres pour ne pas ĂÂȘtre sĂ©parĂ© dĂąâŹâąun millimĂštre lui et moi je me mis Ă sourire en regardant alors son cou. Il sentait tellement bon, il Ă©tait lĂ , il me tenait dans ses bras il Ă©tait bien lĂ . Ce nĂąâŹâąĂ©tait pas un fantĂÂŽme et encore moins un mirage ou je ne sais quoi dĂ» a lĂąâŹâąalcool. Non il Ă©tait bien lĂ ĂąâŹÂŠ. Soupirant en embrassant alors la peau de son cou, je me dĂ©fis de ses bras en le regardant droit dans les yeux. Je ne pouvais pas rester ainsi et profiter de la situation. Je ne pouvais pas faire comme si je nĂąâŹâąattendais pas une rĂ©ponse de sa partĂąâŹÂŠ Lui marmonnant quĂąâŹâąil ne mĂąâŹâąavait pas encore donnĂ© sa rĂ©ponse, il serait donc plus prĂ©fĂ©rable que lĂąâŹâąon cesse de danser ensemble. Souriant faiblement, le regardant une derniĂšre fois, je lui tournais le dos pour partir alors de la salle. Sentant une main me tenir lĂąâŹâąĂ©paule je le vis alors apparaitre devant moi. ChoquĂ©e et surprise je le regardais sans trop comprendre. Ă Ok ĂąâŹÂŠ Attend, jĂąâŹâąai un message Ă envoyer. Ă» Le laissant faire me stoppant sous le coup, je le regardais encore plus intriguĂ©e sans trop comprendre ce quĂąâŹâąil Ă©tait en train de faire. Le voyant prendre son tĂ©lĂ©phone, je posais mes mains sur ma taille le regardant alors pianoter sur celui-ci. Mais quĂąâŹâąest ce quĂąâŹâąil faisait ? Pourquoi faisait-il cela ? Sentant mon tĂ©lĂ©phone virer dans ma poche jĂąâŹâąentrouvrais lentement la bouche surprise de voir quĂąâŹâąil mĂąâŹâąenvoyait un message Ă ĂąâŹÂŠ moi ? Kristopher mĂąâŹâąĂ©tonnerait toujoursĂąâŹÂŠ CĂąâŹâąĂ©tait du Kristopher tout crachĂ© a vrai direĂąâŹÂŠ Prenant mon tĂ©lĂ©phone je cliquais sur ouvrir pour voir son message apparaitre alors. Ă JĂąâŹâąai Ă te parler ĂąâŹÂŠ Ă» Ă Mais quĂąâŹâąest ce queĂąâŹÂŠ Ă» Haussant un sourcil relevant la tĂÂȘte vers lui, je nĂąâŹâąeus pas le temps de ranger mon tĂ©lĂ©phone dans ma poche ni mĂÂȘme de finir ma phrase que je sentis mes pieds se dĂ©rober du sol. Passant rapidement mon bras autour de son cou pour me tenir Ă lui et lui faciliter un peu plus la tĂÂąche je me sentis tout a coup rougir comme une idiote, ignorant alors les regards des autres, enfouissant carrĂ©ment mon visage dans son cou soupirant contre sa peau. Peau chaude et douce Ă souhait. Ă Maintenant je tĂąâŹâąenlĂšve. Ă» Me collant un peu plus contre lui, je ne demandais mĂÂȘme pas ou nous allions, au fond jĂąâŹâąavais une vague idĂ©eĂąâŹÂŠ SĂąâŹâąil faisait cela sĂąâŹâąĂ©tait pour mĂąâŹâąannoncer alors sa rĂ©ponseĂąâŹÂŠ RĂ©ponse qui me paraissait assez clair non ? SĂąâŹâąil avait voulu me dire non il nĂąâŹâąagirait pas ainsi, il ne prendrait pas le risque de toucher mon cĂ âur, de me porter comme un preux chevalier venant de sauver sa princesseĂąâŹÂŠ Non, il ne ferait pas celaĂąâŹÂŠ Mon cĂ âur sĂąâŹâąemballant pendant que le trajet se faisait en silence je me sentis bien, parfaitement bien Ă ces cĂÂŽtĂ©s. Passant ma langue sur mes lĂšvres lĂąâŹâąair frais sĂąâŹâąemparant quelque peu de mon corps, je pourrai presque mĂąâŹâąendormir dans ses bras. Tellement cĂąâŹâąĂ©tait bon et parfaitĂąâŹÂŠ Oh ça ouiĂąâŹÂŠ Il Ă©tait beau, fort, musclĂ©, parfait, il avait toute les qualitĂ©s pour lui comment ne pas en tomber amoureuse ? Je me le demande bien mĂÂȘmeĂąâŹÂŠinspirant longuement je gardais les yeux fermais, alors que je le sentis se pencher pour me reposer Ă mĂÂȘme le sol. Posant mes pieds au sol, je le lĂÂąchais en douceur reculant dĂąâŹâąun tout petit pas mais pas trop. Rangeant mon tĂ©lĂ©phone dans ma poche je glissais ma main dans mes cheveux le regardant longuement avant de regarder autour de nous. Personnes nĂąâŹâąĂ©taient lĂ . Nous Ă©tions seuls. Il nous avait isolĂ©s pour une raison bien prĂ©cise. Mon cĂ âur sĂąâŹâąemballa plus que dĂąâŹâąhabitude se serrant par la suite, je me mordis alors les lĂšvres en lui souriant faiblement. Ă KristopherĂąâŹÂŠ tu sais que tu es fou ? MaisĂąâŹÂŠ Que jĂąâŹâąaime ce cĂÂŽtĂ© chez toi ? Ton cĂÂŽtĂ© fouĂąâŹÂŠ enfantinĂąâŹÂŠ Tu me surprendras toujours et cĂąâŹâąest ce qui me charme plus quĂąâŹâąautre choseĂąâŹÂŠ Toi, ta façon dĂąâŹâąĂÂȘtreĂąâŹÂŠ Ă» soufflai-je doucement en passant ma langue sur mes lĂšvres. Inspirant longuement je reculais alors plus franchement lui tournant alors le dos, pour regarder la rue dans laquelle nous Ă©tions. Une rue inerte de prĂ©sence, une rue pour nous deux. Ce genre de circonstance me rappelait bizarrement notre parti de jambes en lĂąâŹâąair dans la ruelleĂąâŹÂŠ Ce simple coup vite fait qui mĂąâŹâąavait fait prendre conscience que je ne pouvais plus lui cacher lĂąâŹâąamour que jĂąâŹâąavais pour lui. MĂąâŹâąinstallant contre le mur posant alors un pied contre celui-ci posant mes mains sur mes cuisses je souriais faiblement en plongeant mon regard dans le sien. Ă AlorsĂąâŹÂŠ tu dois me parler ? JĂąâŹâąattends ĂąâŹÂŠ Ă» Murmurai-je doucement en souriant faiblement le regardant amoureusement sans pouvoir mĂąâŹâąen empĂÂȘcher. Je lĂąâŹâąaimais et ce genre de sentiment on ne pouvait pas rĂ©ellement les cacher. Surtout quand la dite personne concernĂ© est au courant. Depuis quĂąâŹâąil Ă©tait au courant je ne me cachais pas vis-Ă -vis de lui. Il le savait alors bonĂąâŹÂŠ autant ĂÂȘtre sincĂšre constamment avec lui. CĂąâŹâąĂ©tait le mieux pour nous deux. InvitĂ©InvitĂ©SURVOLE PETIT COQUINSujet Re Trust me, Say me yes, for the life. K&L Dim 15 Mai - 2120 Sans jamais se lasser, Kris regardait et dĂ©taillait Laety, tout comme il respirait son odeur avec plaisir et la serrer contre lui avec force, comme pour se rassurer et se satisfaire de sa prĂ©sence. Il aimait terriblement la voir, lĂąâŹâąentendre et la garder contre lui. En tout cas il y avait prit sacrĂ©ment goĂ»t depuis quelques temps. Plus prĂ©cisĂ©ment, depuis quĂąâŹâąils avaient commencĂ© Ă coucher ensemble. Certes avant, lorsquĂąâŹâąils nĂąâŹâąĂ©taient encore que de simples amis, il lui arrivait souvent de la prendre lĂ©gĂšrement dans ses bras, sans pour autant que cela ne dure bien longtemps, sans doute par peur que son dĂ©sir pour elle ne se rĂ©veille physiquement parlant. Quoi quĂąâŹâąil en soit, dĂ©jĂ dans ces brĂšves Ă©treintes, il prenait beaucoup de plaisir Ă la sentir tout contre lui. MĂÂȘme trop pour que leur relation ne reste quĂąâŹâąune simple amitiĂ©. Et pourtant il avait tenu bon. Tout dĂąâŹâąabord parce quĂąâŹâąil Ă©tait en couple Ă cette Ă©poque. MĂÂȘme si ĂąâŹÂŠ Ce nĂąâŹâąĂ©tait pas franchement de lĂąâŹâąamour qui lĂąâŹâąunissait Ă Elena mais plutĂÂŽt une amitiĂ© ajoutĂ©e Ă du sexe. Bien que sĂąâŹâąil avait du choisir un plan cul il en aurait eut davantage du sexe. Mais fort heureusement, Kris nĂąâŹâąavait jamais Ă©tĂ© un accro du sexe qui a besoin de sexe sous toutes ses formes et tous les jours. Non, loin de lĂ mĂÂȘme. Il Ă©tait plus du genre Ă pouvoir sĂąâŹâąen passer durant quelques petits mois sans que cela ne lui pose de vĂ©ritable problĂšme. MĂÂȘme si Ă chaque fois, sa nature finissait par le rappeler Ă lĂąâŹâąordre. Il nĂąâŹâąy avait que depuis quĂąâŹâąil avait commencĂ© Ă coucher avec Laety, quĂąâŹâąil prenait terriblement goĂ»t Ă cela. CĂąâŹâąĂ©tait presque trop bon et trop beau pour lui seul et Ă chaque fois, il avait la sensation de mourir un peu plus. Certes il ne sĂąâŹâąĂ©tait pas montrĂ© franchement tendre avec Laety lorsquĂąâŹâąils avaient couchĂ© dans la ruelle, se faisant froid et lui en voulant presque de le tenter autant. Mais depuis quĂąâŹâąil connaissait ses sentiments, il ne pouvait dĂ©cemment pas lui reprocher quoi que ce soit. CĂąâŹâąĂ©tait plutĂÂŽt lui le con de lĂąâŹâąhistoire, qui nĂąâŹâąavait rien vu venir et lui avait sans doute donnĂ© de faux espoirs en se montrant totalement incapable de sĂąâŹâąempĂÂȘcher de lui faire lĂąâŹâąamour dĂšs que lĂąâŹâąenvie lui prenait. Mais mĂÂȘme Ă prĂ©sent, il Ă©tait incapable de regretter quoi que ce soit, si ce nĂąâŹâąest de lui avoir trĂšs certainement fait trop de mal durant ce laps de temps. Mais comment regretter lĂąâŹâąabsolue perfection quĂąâŹâąils avaient connus tous les deux, ensemble, en faisant lĂąâŹâąamour Ă plusieurs reprises, comme totalement incapables de sĂąâŹâąen empĂÂȘcher ? Ce serait un vĂ©ritable sacrilĂšge que de regretter cela et il en Ă©tait bien conscient !CĂąâŹâąĂ©tait Ă force de ressasser toutes ces pensĂ©es, que Kristopher fini par se dire quĂąâŹâąil serait un abruti fini sĂąâŹâąil ne donnait pas une chance Ă Laety de lui prouver que lĂąâŹâąamour et le fait dĂąâŹâąavoir une relation amoureuse, ce nĂąâŹâąĂ©tait pas si pourri que ça. Oui, cĂąâŹâąĂ©tait pour elle, pour quĂąâŹâąelle le fasse lĂąâŹâąaimer comme il se devait, quĂąâŹâąil avait enfin prit la dĂ©cision de lui dire un grand oui. Oui, il voulait donner une chance Ă leur relation. Et sĂąâŹâąil Ă©tait prĂÂȘt Ă lui dire oui, ce nĂąâŹâąĂ©tait pas en ayant un quelconque doute. Oh non, il Ă©tait sĂ»r de lui ! Ce quĂąâŹâąil vivait avec Laety ne pouvait dĂ©cemment pas rester une simple amitiĂ©, cĂąâŹâąĂ©tait tout bonnement impossible. Il suffisait de voir, entre autres, la complicitĂ© qui les unissait. Le fait quĂąâŹâąĂ lĂąâŹâąinstant, il vienne de lĂąâŹâąaider Ă se dĂ©barrasser dĂąâŹâąun type trop collant et puis faire mine de lĂąâŹâąavoir sauvĂ© de ce mec lĂ alors quĂąâŹâąelle se dĂ©brouillait dĂ©jĂ parfaitement bien avant son intervention. La serrant toujours contre lui en Ă©voluant au rythme de la musique de la boite de nuit, Kristopher en profita au maximum pour inspirer son odeur et profiter de sa chaleur. Il ne se sentait rĂ©ellement bien quĂąâŹâąen sa prĂ©sence et en lĂąâŹâąayant tout contre elle, aussi Ă©trange que cela puisse paraĂtre. Et Ă ses yeux cela ne pouvait quĂąâŹâąavoir une signification les sentiments quĂąâŹâąil pouvait avoir pour elle Ă©taient sincĂšres et Ă©taient en train de grandir de jour en jour. En sachant tout cela, il ne voyait pas la moindre raison acceptable de refuser de lui laisser une chance. Il faudrait vraiment ĂÂȘtre idiot pour lui dire non. Alors quĂąâŹâąelle lui demandait pourquoi il Ă©tait lĂ , il lui retourna la question aprĂšs lui avoir dit que pour sa part, ses amis ne lui avaient pas laissĂ© le choix et lĂąâŹâąavait trainĂ© jusque lĂ pour le faire sortir un peu, aprĂšs lĂąâŹâąavoir vu rester ĂąâŹËenfermĂ©ùâŹâą chez lui bien trop longtemps Ă leur goĂ»t. Ă Il fallait que je sorte de chez moiĂąâŹÂŠ Disons que lĂąâŹâąambiance nĂąâŹâąy est pas trop bonneĂąâŹÂŠ Alors venir boire un coup et danser toute seule cĂąâŹâąĂ©tait pour me changer les idĂ©es. Mais que tu sois lĂ , cĂąâŹâąest encore meilleurĂąâŹÂŠ Des amis qui tĂąâŹâąenlĂšvent ? Les mĂ©chantsĂąâŹÂŠ JĂąâŹâąespĂšre quĂąâŹâąau moins tu nĂąâŹâąavais rien prĂ©vu de bien intĂ©ressant avant quĂąâŹâąils ne te kidnappent ? Ă» Soupirant doucement de bien ĂÂȘtre, Kris se serra plus encore contre elle, comme pour effacer la plus petite distance physique qui soit, entre eux, incapable de supporter dĂąâŹâąĂÂȘtre un brin trop sĂ©parĂ© dĂąâŹâąelle, alors quĂąâŹâąil venait de la trouver dans cette boite aprĂšs deux trop longues semaines de sĂ©paration. SĂ©paration insoutenable et inacceptable soit dit en passant. Ă Je veux bien te changer les idĂ©es moi ĂąâŹÂŠ Ă» Souffla-t-il doucement au creux de son oreille, posant lentement sa joue contre ses cheveux en fermant les yeux de bien ĂÂȘtre. Ă Hm ĂąâŹÂŠ Ben ĂąâŹÂŠ Si ĂąâŹÂŠ JĂąâŹâąavais quelque chose de trĂšs, trĂšs, important Ă faire. Le genre presque vital tu vois ĂąâŹÂŠ Mais jĂąâŹâąai repoussĂ© Ă plus tard parce que cĂąâŹâąĂ©tait faisable. Mais honnĂÂȘtement ça mĂąâŹâąa sacrĂ©ment fais chier de devoir repousser ça. Ă» Ajouta-t-il doucement en pressant plus encore Laety contre lui. CĂąâŹâąĂ©tait sans doute un signe quĂąâŹâąelle se trouve justement lĂ , alors quĂąâŹâąil avait eut cette information si importante Ă lui dire. Oui ĂąâŹÂŠ CĂąâŹâąĂ©tait sans doute prĂ©vu pour aujourdĂąâŹâąhui sa rĂ©ponse. Et sĂąâŹâąil nĂąâŹâąavait pas encore rĂ©pondu Ă cette question fatidique, il aurait automatiquement trouvĂ© la rĂ©ponse en la voyant lĂ , aussi belle et parfaite quĂąâŹâąelle lĂąâŹâąĂ©tait. Elle lui avait manquĂ©, dĂ©mesurĂ©ment et follement. Et cĂąâŹâąĂ©tait bien la preuve quĂąâŹâąil avait besoin dĂąâŹâąelle dans sa vie et autrement quĂąâŹâąen tant que simple amie, cĂąâŹâąĂ©tait certain. LorsquĂąâŹâąelle se dĂ©fit de lui en commençant Ă sĂąâŹâąĂ©loigner sous prĂ©texte quĂąâŹâąils ne devaient pas ĂÂȘtre trop proches lĂąâŹâąun de lĂąâŹâąautre pour quĂąâŹâąil puisse rĂ©flĂ©chir, il crut mourir, se sentant soudainement terriblement seul et abandonnĂ© par elle, le vide se faisant violemment ressentir dans ses bras. ChoquĂ© et silencieux, il la regarda sĂąâŹâąĂ©loigner avant de comprendre et la rattraper pour se mettre en travers de son chemin et lui envoyer ce foutu sms. Tout ça pour lui dire quĂąâŹâąil avait Ă lui parler. Ă Mais quĂąâŹâąest ce queĂąâŹÂŠ Ă» Sans mĂÂȘme lui laisser le temps de terminer sa phrase, il passa un bras dans le haut de son dos et un autre sous ses genoux pour la soulever de terre et la porter tout contre lui. En la sentant enfouir son visage dans son cou et passer son bras autour de celui-ci, il eut un faible sourire en lĂąâŹâąentrainant dehors, se foutant royalement de tous les regards curieux posĂ©s sur eux. Seule elle comptait ĂąâŹÂŠ Elle et lui, eux, tout simplement. Oui ĂąâŹÂŠ Pour une fois il se foutait royalement des quĂąâŹâąen dira-t-on et ne pensait quĂąâŹâąĂ elle, cette fille qui lui plaisait dĂ©mesurĂ©ment et qui le changeait petit Ă petit sans mĂÂȘme sĂąâŹâąen rendre compte Ă nĂąâŹâąen pas douter. CĂąâŹâąĂ©tait fou comme elle lĂąâŹâąavait fait Ă©voluer en quelques petites semaines. Pour lui qui affirmait ne plus jamais vouloir sĂąâŹâąattacher Ă une femme ĂąâŹÂŠ CĂąâŹâąĂ©tait rapĂ©. Et Ă©trangement, ou pas, il ne regrettait pas le moins du monde. Bien au contraire mĂÂȘme ! Si cĂąâŹâąĂ©tait Ă refaire, il referait tout exactement de la mĂÂȘme faç fois arrivĂ© dans un coin qui lui plaisait bien, Ă lĂąâŹâąabris des regards des curieux, Kris la reposa lentement sur le sol en la regardant longuement, souriant faiblement en rĂ©alisant que ce nĂąâŹâąĂ©tait finalement pas si simple que cela de dire ce quĂąâŹâąil avait sur le cĂ âur, lui avouer quĂąâŹâąil crevait dĂąâŹâąenvie de vivre une relation avec elle et quĂąâŹâąil voulait lĂąâŹâąaimer comme elle-mĂÂȘme lĂąâŹâąaimait. Ă KristopherĂąâŹÂŠ tu sais que tu es fou ? MaisĂąâŹÂŠ Que jĂąâŹâąaime ce cĂÂŽtĂ© chez toi ? Ton cĂÂŽtĂ© fouĂąâŹÂŠ enfantinĂąâŹÂŠ Tu me surprendras toujours et cĂąâŹâąest ce qui me charme plus quĂąâŹâąautre choseĂąâŹÂŠ Toi, ta façon dĂąâŹâąĂÂȘtreĂąâŹÂŠ Ă» Riant doucement, le brun, toujours blond depuis quelques semaines malgrĂ© les racines brunes parfaitement visibles, baissa vaguement le regard en soupirant faiblement. Ă Oui je sais que je suis fou ĂąâŹÂŠ La folie est un art qui se cultive. Ă» RĂ©pondit-il en souriant en con, relevant vaguement la tĂÂȘte pour la regarder lui tourner le dos et sĂąâŹâąavancer pour voir dans la rue principale, quĂąâŹâąils venaient de quitter. Sans mot dire, il la regarda revenir puis sĂąâŹâąadosser Ă un mur en posant un pied contre le mur et ses mains sur ses cuisses. Souriant faiblement devant sa posture, il la parcourut longuement et lentement du regard, sans parvenir Ă dĂ©tacher son regard dĂąâŹâąelle, comme totalement hypnotisĂ©. Ă AlorsĂąâŹÂŠ tu dois me parler ? JĂąâŹâąattends ĂąâŹÂŠ Ă» RĂ©alisait-elle seulement lĂąâŹâąeffet fou quĂąâŹâąelle lui faisait et combien il la voulait ? Sans doute que non ĂąâŹÂŠ Et cĂąâŹâąĂ©tait visiblement Ă lui de le lui dire. Mais pour ça, il ne voulait pas de cette distance physique qui le refroidissait plus quĂąâŹâąautre chose. Soupirant faiblement, il sĂąâŹâąapprocha dĂąâŹâąelle sans la quitter du regard, pour poser ses mains sur sa taille en cherchant son regard du sien, posant lentement une main sur sa joue. Ă Oui ĂąâŹÂŠ A propos ĂąâŹÂŠ De la rĂ©ponse que je devais te donner. Hum ĂąâŹÂŠ Je pense quĂąâŹâąon a perdu du temps pour rien. Enfin ĂąâŹÂŠ JĂąâŹâąai perdu du temps pour rien ĂąâŹÂŠ Parce que depuis le dĂ©but la rĂ©ponse cĂąâŹâąest oui. Oui parce que tu me rends fou au point que je pense constamment Ă toi et que jĂąâŹâąai besoin de te savoir Ă mes cĂÂŽtĂ©s. Et oui parce que cĂąâŹâąest toi ĂąâŹÂŠ Parce que tĂąâŹâąes ĂąâŹÂŠ Je sais pas tĂąâŹâąes ĂąâŹÂŠ Unique ĂąâŹÂŠ Tu me fais rire, tĂąâŹâąes intelligente, tĂąâŹâąas de la conversation, tĂąâŹâąes touchante, excitante, plaisante ĂąâŹÂŠ Alors oui je veux que tu mĂąâŹâąapprennes, je veux mĂąâŹâąen remettre Ă toi parce que tu me donnes envie dĂąâŹâąune relation et parce que jĂąâŹâąai une confiance aveugle en toi. Ă» Finit-il par lĂÂącher dĂąâŹâąune voix calme en gardant son regard plongĂ© dans le sien, oubliant presque de respirer durant de longues secondes devant lĂąâŹâąimportance de ses propres paroles. Il savait dĂ©jĂ quĂąâŹâąil ne regretterait jamais sa dĂ©cision parce que cĂąâŹâąĂ©tait dĂąâŹâąelle quĂąâŹâąil Ă©tait question ĂąâŹÂŠ DĂąâŹâąelle et de lui bien entendu. Ă Je suppose que tu savais que ce serait oui Ă partir du moment oĂÂč je tĂąâŹâąai enlevĂ©. Ă» Dit-il en plissant le nez faussement déçu avant de sourire en coin et abandonnant sa joue de sa main pour se reculer lĂ©gĂšrement sans la quitter du regard, attendant une rĂ©ponse, une parole, un geste, de sa part. InvitĂ©InvitĂ©SURVOLE PETIT COQUINSujet Re Trust me, Say me yes, for the life. K&L Mer 18 Mai - 1445 Take me, Don't give up mon Kristopher, il Ă©tait lĂ , il Ă©tait bel et bien lĂ , il Ă©tait tout prĂšs de moi, il Ă©tait mĂÂȘme plus prĂšs que ce que je ne le pensais. Etait-il lĂ depuis longtemps ? Comment ne lĂąâŹâąavais-je pas vu ? Je me le demande bienĂąâŹÂŠ Mais lĂąâŹâąessentiel cĂąâŹâąest quĂąâŹâąil soit lĂ et quĂąâŹâąil vienne a mon secours quand il voit que jĂąâŹâąai un souci, oui, quĂąâŹâąil soit lĂ pour moi, me protĂ©ger, faire de moi sa petite princesseĂąâŹÂŠ Je voulais tellementĂąâŹÂŠ Continuer a le voir, deux semaines cĂąâŹâąest longĂąâŹÂŠ Trop long quand on est amoureuse comme moiĂąâŹÂŠ Pire quĂąâŹâąune rupture, pire que le manque de clope, pire que toutĂąâŹÂŠ Kristopher Ă©tait devenu ma drogue, une drogue essentiel, jĂąâŹâąĂ©tais accroc a lui, je me shootais Ă lui, je vivais pour luiĂąâŹÂŠ Il nĂąâŹâąavait pas le choix et moi non plus, lĂąâŹâąamour que jĂąâŹâąavais pour lui me consumait. Un coup de foudre ça ne se gĂšre pasĂąâŹÂŠ Je nĂąâŹâąy pouvais rien moi si au premier regard jĂąâŹâąĂ©tais tombĂ©e amoureuse de luiĂąâŹÂŠ Je le savais que cĂąâŹâąĂ©tait lui quĂąâŹâąil me fallait lui et personne dĂąâŹâąautre. Je ne voulais mĂÂȘme pas mĂąâŹâąembĂÂȘter a chercher ailleursĂąâŹÂŠ Tant pis sĂąâŹâąil disait non, tant pis sĂąâŹâąil me rejetait, tant pis si je le perdaisĂąâŹÂŠ Mais il resterait le seul et lĂąâŹâąunique, il resterait le seul amour que jĂąâŹâąai pu avoir, le seul homme qui me donne envie de construire quelque chose, le seule que je puisse aimer dĂąâŹâąun amour incandescent, un amour immuable et sensationnel. Je lĂąâŹâąaimais et cĂąâŹâąĂ©tait pour la vie. Ni plus ni moinsĂąâŹÂŠ Ă Je veux bien te changer les idĂ©es moi ĂąâŹÂŠ Ă» Sa voix, au creux de mon oreille, un frisson parcouru lĂąâŹâąĂ©chine de mon dos. Me poignant dans mes entrailles. Mes jambes tremblantes je mĂąâŹâąaccrochais un peu plus Ă lui avant dĂąâŹâąenfouir mon visage dans son cou. Remontant mes lĂšvres Ă son oreilles, je le mordillai lentement en gĂ©missant quelque peu sous lĂąâŹâąafflux de plaisir quĂąâŹâąil venait de me donner avec sa seule petite phrase. Ă KristopherĂąâŹÂŠ Ne me dit pas des choses de la sorteĂąâŹÂŠ trois semaines sans ton corps sĂąâŹâąest long, trĂšs, trop longĂąâŹÂŠ Ne me tente pasĂąâŹÂŠ SĂąâŹâąil te plaitĂąâŹÂŠ Je serais obligĂ© de tĂąâŹâąappeler le petit diableĂąâŹÂŠ Tentateur Ă fondĂąâŹÂŠ Ă» murmurais-je doucement en suçotant lĂ©gĂšrement le lobe de son oreille en tirant dessus bougeant un peu plus mon corps contre le sien. JĂąâŹâąavais chaudĂąâŹÂŠ tellement chaudĂąâŹÂŠ Il nĂąâŹâąavait pas le droit de me faire des sous entendus de fou et me laisser par la suite sans rien faireĂąâŹÂŠ Trois semaines sans sexe cĂąâŹâąest longĂąâŹÂŠ trĂšs long surtout quand lĂąâŹâąon a goutĂ© a la perfectionĂąâŹÂŠ Kristopher lui-mĂÂȘmeĂąâŹÂŠ Ses coups de reins, ses gĂ©missements, ses baisers, ses caresses, ses cris lorsquĂąâŹâąil jouissait pleinement en moi, sur moiĂąâŹÂŠ Son regard envoutant, ses murmuresĂąâŹÂŠ toutĂąâŹÂŠ Bon sang, je me tuaisĂąâŹÂŠ jĂąâŹâąĂ©tais en train de me tuerĂąâŹÂŠ Ă Hm ĂąâŹÂŠ Ben ĂąâŹÂŠ Si ĂąâŹÂŠ JĂąâŹâąavais quelque chose de trĂšs, trĂšs, important Ă faire. Le genre presque vital tu vois ĂąâŹÂŠ Mais jĂąâŹâąai repoussĂ© Ă plus tard parce que cĂąâŹâąĂ©tait faisable. Mais honnĂÂȘtement ça mĂąâŹâąa sacrĂ©ment fais chier de devoir repousser ça. Ă» Haussant un sourcil, continuant de danser avec lui, je resserrai lĂ©gĂšrement mon emprise sur lui, mon corps se mouvant contre le sien, une de mes jambes passant entre les siennes tout en dansant lentement fermant alors les yeux. Sa voixĂąâŹÂŠ son contact, tout mĂąâŹâąavait manquĂ©, jĂąâŹâąĂ©tais tellement amoureuse de luiĂąâŹÂŠ Il Ă©tait ma vie, mon universĂąâŹÂŠ Mon tout. Ă On repousse tous un truc Ă faire de toute façonĂąâŹÂŠ Vital tu dis ? Demain tu auras le temps de le faire je penseĂąâŹÂŠ Toute la journĂ©e mĂÂȘmeĂąâŹÂŠ Ne me meurt pas humĂąâŹÂŠ Tiens le choc KristoĂąâŹÂŠ Ă» Murmurai-je doucement en embrassant son cou avant de reculer lentement. Le regardant longuement, je ne pu mĂąâŹâąempĂÂȘcher de lui dire que nous ne devrions pas faire ce que nous Ă©tions en train de faireĂąâŹÂŠ NonĂąâŹÂŠ ; Nous nĂąâŹâąĂ©tions pas ensemble, jĂąâŹâąattendais sa rĂ©ponse, nous ne pouvions pas compromettre ce quĂąâŹâąil avait instaurĂ©, ses rĂšgles Ă lui. Lui tournant le dos il me rattrapa avant bien mĂÂȘme que je ne puisse dire quoi que se soit. MĂąâŹâąenvoyant mĂÂȘme un message sur mon tĂ©lĂ©phone pour me dire quĂąâŹâąil avait donc quelque chose Ă me dire. Cet homme Ă©tait donc fou ! Me prenant dans ses bras je le laissais faire en me sentant pousser des ailes. Mon cĂ âur sĂąâŹâąemballant quelque peu, jĂąâŹâąenfouissais ma tĂÂȘte dans son cou en fermant les yeux me sentant terriblement bien lĂ . Kristopher Ă©tait un prince, un ange tombĂ© du ciel. Oui il Ă©tait mien, il Ă©tait fait pour moi et jĂąâŹâąen restai persuadĂ©. Allant dehors, je sentis lĂąâŹâąair frais envahir mon corps. QuĂąâŹâąest ce quĂąâŹâąon Ă©tait bienĂąâŹÂŠ Nous amenant bien loin de la boite de nuit, mais surtout a lĂąâŹâąabri de quelconque regard et dĂąâŹâąoreilles indiscrĂštes, nous arrivĂÂąmes dans une ruelle dĂ©serte, ou personne ne se trouvait lĂ . Me posant a mĂÂȘme le sol, je lui souriais faiblement en lui annonçant quĂąâŹâąil Ă©tait rĂ©ellement fou mais que cĂąâŹâąest ce qui me plaisait chez lui, son cĂÂŽtĂ© fou qui le rendait tellement uniqueĂąâŹÂŠ Oui Kristopher Ă©tait unique et on ne pouvait pas en douter une seule secondeĂąâŹÂŠ Ă Oui je sais que je suis fou ĂąâŹÂŠ La folie est un art qui se cultive. Ă» rigolant doucement, je lui lançais un regard taquin et amusĂ©e. Je nĂąâŹâąen doutais pas une seule seconde mĂÂȘmeĂąâŹÂŠ CĂąâŹâąĂ©tait du Kristopher tout crachĂ© çaĂąâŹÂŠ Une folie qui se cultiveĂąâŹÂŠ Une grande folie, une immense, Ă©norme mĂÂȘmeĂąâŹÂŠ Passant ma langue sur mes dents, je filais regarder dans la rue avant de revenir dans la rue. Il devait me parlerĂąâŹÂŠ Je savais de quoi je savais dĂ©jĂ plus ou moins la rĂ©ponse, mais on ne sait jamaisĂąâŹÂŠ La vie nous rĂ©serve parfois de drĂÂŽle de surpriseĂąâŹÂŠ Des surprises pas forcĂ©ment bonnesĂąâŹÂŠ CĂąâŹâąĂ©tait la vieĂąâŹÂŠ DĂ©glutissant longuement, je fermais briĂšvement les yeux en venant mĂąâŹâąadosser contre le mur, un pied contre, je le regardais longuement avant de lui dire que jĂąâŹâąattendais quĂąâŹâąil me parle. Le regardant je le vis sĂąâŹâąapprocher de moi. Le laissant faire, mon souffle se coupa lorsquĂąâŹâąil posa ses mains sur ma taille en se collant plus ou moins contre moi. Mon cĂ âur ayant un ratĂ©, je dĂ©glutissais a nouveau en entrouvrant les lĂšvres en sentant alors sa main sur ma joue. Nos regards lĂąâŹâąun dans lĂąâŹâąautre il allait dire ouiĂąâŹÂŠ Il allait dire ouiĂąâŹÂŠ Ă Oui ĂąâŹÂŠ A propos ĂąâŹÂŠ De la rĂ©ponse que je devais te donner. Hum ĂąâŹÂŠ Je pense quĂąâŹâąon a perdu du temps pour rien. Enfin ĂąâŹÂŠ JĂąâŹâąai perdu du temps pour rien ĂąâŹÂŠ Parce que depuis le dĂ©but la rĂ©ponse cĂąâŹâąest oui. Oui parce que tu me rends fou au point que je pense constamment Ă toi et que jĂąâŹâąai besoin de te savoir Ă mes cĂÂŽtĂ©s. Et oui parce que cĂąâŹâąest toi ĂąâŹÂŠ Parce que tĂąâŹâąes ĂąâŹÂŠ Je sais pas tĂąâŹâąes ĂąâŹÂŠ Unique ĂąâŹÂŠ Tu me fais rire, tĂąâŹâąes intelligente, tĂąâŹâąas de la conversation, tĂąâŹâąes touchante, excitante, plaisante ĂąâŹÂŠ Alors oui je veux que tu mĂąâŹâąapprennes, je veux mĂąâŹâąen remettre Ă toi parce que tu me donnes envie dĂąâŹâąune relation et parce que jĂąâŹâąai une confiance aveugle en toi. Ă» Le regardant droit dans les yeux dans siller je ne pu bouger. JĂąâŹâąĂ©tais figĂ©e, oui jĂąâŹâąĂ©tais figĂ©e telle une statue de glace sous lĂąâŹâąannonce quĂąâŹâąil venait de me faire. Je savais quĂąâŹâąil me dirait oui, je lĂąâŹâąavais su dĂšs le moment ou il mĂąâŹâąavait enlevĂ©, sinon il nĂąâŹâąaurait pas faire tout ça. Mais me le dire de cette façon cĂąâŹâąĂ©taitĂąâŹÂŠ Magique, intense grandiose, je nĂąâŹâąavais pas de mot qui me venait a lĂąâŹâąesprit, aucun motĂąâŹÂŠ Strictement aucun mot. Passant lentement ma langue sur mes lĂšvres je fermais briĂšvement les yeux. Sa main sur ma joue me rendait des plus heureuses. Le contact que nous avions me rendait totalement folle, jĂąâŹâąavais envie de lui, de lĂąâŹâąembrasser, de le serrer dans mes brasĂąâŹÂŠ Ă Je suppose que tu savais que ce serait oui Ă partir du moment oĂÂč je tĂąâŹâąai enlevĂ©. Ă» Ouvrant lentement les yeux, je les plongeai dans les siens, le regardant alors a nouveau. Je ne savais pas quoi dire, lĂąâŹâąĂ©motion me coupait la voix, jĂąâŹâąĂ©tais la immobile, cĂąâŹâąĂ©tait un paradis, comme un rĂÂȘveĂąâŹÂŠ Kristopher avait dit ouiĂąâŹÂŠ Il avait enfin dit oui, il Ă©tait avec moi. Est-ce que nous Ă©tions rĂ©ellement un couple maintenant ? Pouvions-nous le dire ? Inspirant longuement, je montais une de mes mains sur son visage, caressant sa peau de mes doigts, mon pouce passant sur ses lĂšvres avec extrĂÂȘme lenteur. Mon cĂ âur battant la chamade, une drĂÂŽle de chaleur mĂąâŹâąenvahit de part et dĂąâŹâąautre de mon corps, lĂąâŹâąamour me rendait dingue de lui, jĂąâŹâąen Ă©tais folleĂąâŹÂŠ Les yeux brillant de joie, un petit sourire se logea sur mon visage. Me rapprochant de lui je collais mon front contre le sien en fermant alors les yeux. Ă KristopherĂąâŹÂŠ Ă» Murmurai-je en frottant mon nez contre le sien. JĂąâŹâąĂ©tais heureuse, oui heureuse, un avenir sĂąâŹâąouvrait enfin Ă moiĂąâŹÂŠ JĂąâŹâąĂ©tais celle quĂąâŹâąil avait choisi pour lui donner lĂąâŹâąenvie dĂąâŹâąaimer, pour apprendre Ă nouveauĂąâŹÂŠ Montant mon autre main a son visage, je ne pus mĂąâŹâąempĂÂȘcher de lĂąâŹâąembrasser. Mes lĂšvres contre les siennes sans bouger je restais quelques secondes ainsi, lĂšvres contre lĂšvres avant dĂąâŹâąattraper sa lĂšvre infĂ©rieur des miennes lĂąâŹâąembrassant lentement dĂ©posant quelques petits baisers dessus avant de reculer pour embrasser sa joue descendant alors a son cou le serrant franchement dans mes bras. Mon corps bien collait au sien je me mis lĂ©gĂšrement Ă rire tant je rĂ©alisais petit a petit c que nous Ă©tions en train de devenir. Ă Je mĂąâŹâąen doutai un petit peu, mais cĂąâŹâąest toujoursĂąâŹÂŠ wowĂąâŹÂŠ La façon dont tu lĂąâŹâąas dit, comment tu tĂąâŹâąy es pritĂąâŹÂŠ Crois moi cĂąâŹâąĂ©tait tout aussi poignant que si je ne mĂąâŹâąĂ©tais pas doutĂ© de quelque chose... Ă» soufflai-je doucement en le serrant de plus belle contre moi. Inspirant son odeur, je poussais un lĂ©ger soupire en glissant ma main valide dans ses cheveux les fourrageant lentement en les tirant quelques peu. Me redressant je lĂąâŹâąembrassais a nouveau dans un baiser de dĂ©sespoir, comme si cela faisait des annĂ©es que nous ne nous Ă©tions pas vus, comme si ce baiser Ă©tait attendu depuis des annĂ©es, oui cĂąâŹâąĂ©tait approximativement cela. CĂąâŹâąĂ©tait enfin un vrai baiser, un baiser de couple, un baiser dĂąâŹâąamourĂąâŹÂŠ Un baiser qui en disait long, trĂšs long. Ă Je tĂąâŹâąapprendraiĂąâŹÂŠ Je te ferais apprendre a aimerĂąâŹÂŠ Ă mĂąâŹâąaimer de prĂ©fĂ©renceĂąâŹÂŠ Je serais lĂ pour toi, je prendrai le temps quĂąâŹâąil te faudraĂąâŹÂŠJe ferais tout ce que tu voudras KrisĂąâŹÂŠ Je serais ta petite amie, exemplaire, comme jamais tu en auras vuĂąâŹÂŠ Je veux te rendre heureux, je veux te montrer que lĂąâŹâąamour ne rime pas avec souffranceĂąâŹÂŠ Oh ça nonĂąâŹÂŠ Avec moi Ă tes cĂÂŽtĂ©sĂąâŹÂŠ LĂąâŹâąamour sera un vrai paradisĂąâŹÂŠ Tu as confiance en moi ? Ă» Soufflais-je doucement en le regardant droit dans les yeux, frottant alors Ă nouveau mon nez contre le sien, nous faisant tourner pour le plaquer en douceur contre le mur, mĂąâŹâąadonnant dans ses bras avec une grande facilitĂ©. InvitĂ©InvitĂ©SURVOLE PETIT COQUINSujet Re Trust me, Say me yes, for the life. K&L Sam 21 Mai - 2318 Dansant tout contre Laety, corps contre corps, Kris ne pouvait que profiter au maximum de la chaleur et la douceur de son corps contre le sien, ajoutĂ© Ă son odeur qui avait le don de lĂąâŹâąenvouter plus que de raison. Comment ne pas en profiter alors quĂąâŹâąelle lui avait terriblement manquĂ© en deux semaines de temps ? Leur dernier baiser qui fut des plus passionnĂ©s et enflammĂ©s, avait eut le don de lui laisser un goĂ»t de frustration et dĂąâŹâąenvie sur les lĂšvres. A lĂąâŹâąinstant mĂÂȘme oĂÂč elle avait disparut dans son champs de vision, il avait du lutter de toutes ses forces pour ne pas la rejoindre en courant et plaquer Ă nouveau ses lĂšvres sur les siennes. CĂąâŹâąĂ©tait ce quĂąâŹâąil avait fait une fois, allant mĂÂȘme jusquĂąâŹâąĂ la plaquer contre le mur pour Ă©changer avec elle un baiser sauvage et passionnĂ©, devant lutter avec force contre son envie dĂąâŹâąelle et de son corps. Plus il y repensait et plus il se demandait comment il avait fait pour sĂąâŹâąĂ©loigner dĂąâŹâąelle alors quĂąâŹâąil avait eut trĂšs envie de lui faire lĂąâŹâąamour, peu importait oĂÂč alors. AprĂšs tout, ce nĂąâŹâąĂ©tait pas comme sĂąâŹâąils nĂąâŹâąavaient pas dĂ©jĂ fais lĂąâŹâąamour dans des lieux insolites tous les deux, tant lĂąâŹâąenvie qui les prenait Ă chaque fois, Ă©tait tout simplement incontrĂÂŽlable. Dans un lac, dans une tente, sur un arbre, contre un arbre, Ă mĂÂȘme le sol dans la forĂÂȘt et leur derniĂšre fois, dans une ruelle. Cela prouvait Ă quel point leur dĂ©sir Ă©tait puissant et tout bonnement incontrĂÂŽlable. Et pourtant, Ă leur derniĂšre rencontre, ils avaient du se retenir pour ne pas craquer. Pas une nouvelle fois Ă mĂÂȘme la rue et surtout Ă cause du fait que Kris se devait de rĂ©flĂ©chir quant Ă savoir sĂąâŹâąil voulait ou non lui donner une chance de le faire lĂąâŹâąaimer et de, peut-ĂÂȘtre, connaĂtre une relation amoureuse, sĂ©rieuse, avec elle. Cette question mĂ©ritait une rĂ©ponse sĂ©rieuse et bien rĂ©flĂ©chir. Il ne devait surtout pas se hĂÂąter car Laety mĂ©ritait ce quĂąâŹâąil y avait de mieux. Or, elle Ă©tait amoureuse de lui, ce qui nĂąâŹâąĂ©tait pas nĂ©gligeable. Il lui fallait faire attention Ă ses actes et paroles, pour ne pas la blesser. Entre autres, il savait bien que lui donner de faux espoirs ne pourrait que lui faire beaucoup de mal une fois lĂąâŹâąheure du retour Ă la vĂ©ritĂ©, de se mouvoir avec lenteur tout contre elle, corps collĂ© au sien, il ne put sĂąâŹâąempĂÂȘcher de murmurer au creux de son oreille, quĂąâŹâąil voulait bien lui changer les idĂ©es. Il Ă©tait Ă©vident que ses paroles regorgeaient de sous entendus Ă connotation sexuel. CĂąâŹâąĂ©tait plus fort que lui, il avait toujours envie dĂąâŹâąelle. A lĂąâŹâąinstant, il ne pouvait pas rester insensible Ă sa beautĂ© parfaite et Ă son corps qui avait le don de lĂąâŹâąexciter plus que de raison, rien quĂąâŹâąĂ le regarder. Elle nĂąâŹâąavait pas besoin de porter une robe ou des fringues un peu trop sexy, pour cela. Bien quĂąâŹâąĂ lĂąâŹâąinstant, ses vĂÂȘtements lĂąâŹâąĂ©taient vĂ©ritablement. Du moins Ă ses yeux ! Sentant son souffle dans son cou puis ses dents se mettre Ă mordiller lentement son oreille, il ne pu sĂąâŹâąempĂÂȘcher de fermer les yeux, le souffle coupĂ© par le bien ĂÂȘtre et le dĂ©sir quĂąâŹâąil ressentait Ă cet instant. Ă KristopherĂąâŹÂŠ Ne me dit pas des choses de la sorteĂąâŹÂŠ trois semaines sans ton corps sĂąâŹâąest long, trĂšs, trop longĂąâŹÂŠ Ne me tente pasĂąâŹÂŠ SĂąâŹâąil te plaitĂąâŹÂŠ Je serais obligĂ© de tĂąâŹâąappeler le petit diableĂąâŹÂŠ Tentateur Ă fondĂąâŹÂŠ Ă» Riant doucement, Kris remonta lentement sa main dans son dos pour la caresser doucement du plat de sa main, prenant de longues inspirations pour profiter de son odeur quĂąâŹâąil aimait. Ă Hum ĂąâŹÂŠ DĂ©solĂ© ĂąâŹÂŠ Mais jĂąâŹâąaime bien savoir que je te fais un effet fou. Ă» Souffla-t-il doucement toujours au creux de son oreille, gardant les yeux fermĂ©s comme pour se mettre en tĂÂȘte que lĂąâŹâąinstant, aussi magique soit-il, Ă©tait bel et bien rĂ©el. Ce nĂąâŹâąĂ©tait pas un rĂÂȘve ni mĂÂȘme un fantasme. Laety, la femme quĂąâŹâąil dĂ©sirait depuis bien longtemps, se trouvait bel et bien dans ses bras Ă cet instant, collĂ© tout contre lui. Un bref et totalement involontaire gĂ©missement, sĂąâŹâąĂ©chappa des lĂšvres du jeune homme, lorsquĂąâŹâąil la sentit suçoter doucement le lobe de son oreille. A croire quĂąâŹâąelle aussi luttait contre lĂąâŹâąenvie de faire lĂąâŹâąamour avec lui. CĂąâŹâąĂ©tait sans doute le cas dans le fond ĂąâŹÂŠ Ca ne lĂąâŹâąĂ©tonnerais pas vraiment Ă vrai malgrĂ© lui il repensa au corps de Laety contre le sien, ses soupirs, gĂ©missements et cris de plaisir sous les coups de reins quĂąâŹâąil donnait, son dos se cambrant avec force sous la montĂ© du plaisir, leurs corps brillant de sueur et glissant fortement lĂąâŹâąun contre lĂąâŹâąautre, son membre glissant inlassablement en elle, tantĂÂŽt tendrement et lentement et tantĂÂŽt avec rapiditĂ©, puissance et sauvagerie. Leurs regards bleutĂ©s brillant de plaisir et dĂąâŹâąexcitation, leurs prĂ©noms sortant inlassablement de leurs bouches, leurs baisers Ă©changĂ©s. Des baisers passionnĂ©s, sauvages, ardant et plaisant. Des baisers fougueux et prĂ©cipitĂ©, les bruits humides aux retrouvailles inlassables et plaisantes de leurs langues. Ă On repousse tous un truc Ă faire de toute façonĂąâŹÂŠ Vital tu dis ? Demain tu auras le temps de le faire je penseĂąâŹÂŠ Toute la journĂ©e mĂÂȘmeĂąâŹÂŠ Ne me meurt pas humĂąâŹÂŠ Tiens le choc KristoĂąâŹÂŠ Ă» Souriant en coin, il reprit la caresse dans son dos, de sa main, la faisant aller du haut de son dos Ă ses reins, Ă plusieurs reprises, luttant contre lĂąâŹâąenvie trĂšs forte de la faufiler sous son haut pour la caresser plus encore. Ă Non mais tĂąâŹâąinquiĂšte pas ĂąâŹÂŠ Finalement ça va arriver bien plus tĂÂŽt que prĂ©vu. Le destin est de mon cĂÂŽtĂ© en ce moment. Ă» Souffla-t-il doucement, sans en dire plus, ne voulant pas trop parler dĂšs Ă prĂ©sent, prĂ©fĂ©rant attendre un meilleur moment. MĂÂȘme sĂąâŹâąil savait parfaitement que le moment nĂąâŹâąallait pas tarder Ă arriver. Ils y Ă©taient presque ĂąâŹÂŠ Oui, trĂšs bientĂÂŽt il allait lui donner sa rĂ©ponse dĂ©finitive, son oui qui, il le savait, signerait le dĂ©but dĂąâŹâąune relation qui ne pourrait quĂąâŹâąĂÂȘtre parfaite. Il ne doutait pas un seul instant de Laety et lui faisait mĂÂȘme une confiance aveugle, sur tous les plans. Elle allait le rendre heureux, il allait lui faire pleinement confiance et finirait par tomber amoureux dĂąâŹâąelle, en temps et en heure. Il ne pouvait pas douter de cela ! Le dĂ©sir sexuel Ă©tait dĂ©jĂ lĂ et le plaisir qui les gagnait lorsquĂąâŹâąils couchaient ensemble, semblait ĂÂȘtre la preuve Ă lui seul, que leurs corps Ă©taient faits pour ĂÂȘtre ensemble. Le reste devait suivre, il ne pouvait en aller autrement !LorsquĂąâŹâąelle se dĂ©tacha de lui et sĂąâŹâąĂ©loigna en mentionnant le fait quĂąâŹâąil devait encore rĂ©flĂ©chir, il ne put sĂąâŹâąempĂÂȘcher dĂąâŹâąĂÂȘtre dĂąâŹâąabord choquĂ© et figĂ© sur place, ne sĂąâŹâąattendant pas Ă ce quĂąâŹâąelle fasse cela. Mais il eut bien vite le rĂ©flexe de la rattraper pour lui envoyer le message quĂąâŹâąelle attendait. Une fois fait, il la souleva dans ses bras, la portant hors de la boite de nuit pour aller se mettre dans une ruelle assez sombre et Ă©loignĂ©e du reste, pour pouvoir se retrouver totalement seul avec elle et ne pas ĂÂȘtre dĂ©rangĂ© par qui que ce soit. Il pouvait parfaitement voir la surprise dans le regard de la blonde, souriant presque malgrĂ© lui en se doutant quĂąâŹâąelle avait du, dĂ©jĂ , comprendre pourquoi il avait fait cela. Il Ă©tait clair que ce nĂąâŹâąĂ©tait pas pour lui apprendre quĂąâŹâąil ne voulait pas dĂąâŹâąelle et dĂąâŹâąune relation avec elle. En lĂąâŹâąentendant lui dire quĂąâŹâąil Ă©tait fou, il eut un bref rire en lui faisant remarquer que la folie Ă©tait un art quĂąâŹâąil fallait cultiver. Il fallait dire ce qui Ă©tait, il Ă©tait fou ĂąâŹÂŠ ComplĂštement tarĂ© et dĂ©jantĂ©. Et il aimait ĂÂȘtre de la sorte ! Il avait la joie de vivre et nĂąâŹâąhĂ©sitait pas Ă rire et plaisanter sur tel ou tel sujet. Il Ă©tait toujours le premier Ă partir dans des dĂ©lires tous plus stupĂ©fiants les uns que les autres. Il mettait gĂ©nĂ©ralement lĂąâŹâąambiance avec ses conneries. LorsquĂąâŹâąelle se cala bien contre le mur en disant quĂąâŹâąelle attendait dĂąâŹâąentendre ce quĂąâŹâąil avait Ă lui dire, il ne tarda pas Ă sĂąâŹâąapprocher dĂąâŹâąelle pour poser ses mains sur sa taille et la regarder longuement, prenant alors son temps pour lui apprendre quelle Ă©tait sa dĂ©cision finale, lui donnant alors plusieurs raisons pour lesquelles il avait dĂ©cidĂ© de lui dire un oui grand et massif ! Une fois ses confidences faites, il restait un moment Ă la regarder, souriant en coin en voyant combien elle Ă©tait figĂ©e et combien son regard posĂ© sur lui semblait reflĂ©ter la surprise. Sa main posĂ©e sur sa joue, il eut un nouveau sourire en se dĂ©tachant Ă peine dĂąâŹâąelle pour souffler quĂąâŹâąelle devait sĂąâŹâąy attendre depuis le moment oĂÂč il lĂąâŹâąavait enlevĂ©. Un bref soupir de bien ĂÂȘtre sĂąâŹâąĂ©chappa des lĂšvres de Kris lorsque la main de Laety se posa sur sa joue, son pouce redessinant lentement ses lĂšvres, son front venant ensuite se coller au sien. Plongeant son regard dans le sien, il eut un lĂ©ger sourire en coin de bien ĂÂȘtre. Ă KristopherĂąâŹÂŠ Ă» Son prĂ©nom sĂąâŹâąĂ©chappant de ses lĂšvres, un lĂ©ger frisson le secoua doucement, fermant alors les yeux en souriant de bien ĂÂȘtre. Son autre main se posant aussi sur sa joue, il entrouvrit Ă demi les yeux pour la regarder, frissonnant plus fortement en sentant ses lĂšvres se poser sur les siennes. Il lĂÂącha un bref gĂ©missement en fermant les yeux, la laissant refermer ses lĂšvres sur les siennes avant dĂąâŹâąy dĂ©poser de brefs baisers et de se dĂ©porter sur sa joue puis descendre dans son cou. Posant ses mains dans son dos il eut un nouveau frisson de bien ĂÂȘtre en dĂ©glutissant longuement. Ă Je mĂąâŹâąen doutai un petit peu, mais cĂąâŹâąest toujoursĂąâŹÂŠ wowĂąâŹÂŠ La façon dont tu lĂąâŹâąas dit, comment tu tĂąâŹâąy es pritĂąâŹÂŠ Crois moi cĂąâŹâąĂ©tait tout aussi poignant que si je ne mĂąâŹâąĂ©tais pas doutĂ© de quelque chose... Ă» GĂ©missant de bien ĂÂȘtre, il se colla fermement contre elle, pressant fortement ses mains dans son dos pour la presser plus encore contre lui. Ă Hm ĂąâŹÂŠ Tu me donnes envie de te dire des choses comme ça. Ă» Souffla-t-il dĂąâŹâąune voix douce en faufilant ses mains sous son haut pour la monter dans son dos et caresser sa peau nu avec lenteur et insistance, du plat de ses mains. Ă Tu mĂąâŹâąinspires ma petite puce ĂąâŹÂŠ Ă» Ajouta-t-il dĂąâŹâąune voix toujours aussi douce et caressante en gardant les yeux fermĂ©s, un lĂ©ger sourire en coin. Au baiser qui suivit, il eut un bref soupir de bien ĂÂȘtre, lui rĂ©pondant avec fougue et ardeur, sa langue se pressant contre la sienne avec insistance et ses lĂšvres collĂ©es aux siennes avec plaisir et envie, ses mains se pressant avec plus de force dans son dos pour la maintenir fermement collĂ©e Ă lui, gĂ©missant faiblement Ă ce baiser. Ses lĂšvres lui avait terriblement manquĂ©, comme tout le reste de sa personne Ă vrai dire. Ă Je tĂąâŹâąapprendraiĂąâŹÂŠ Je te ferais apprendre a aimerĂąâŹÂŠ Ă mĂąâŹâąaimer de prĂ©fĂ©renceĂąâŹÂŠ Je serais lĂ pour toi, je prendrai le temps quĂąâŹâąil te faudraĂąâŹÂŠJe ferais tout ce que tu voudras KrisĂąâŹÂŠ Je serais ta petite amie, exemplaire, comme jamais tu en auras vuĂąâŹÂŠ Je veux te rendre heureux, je veux te montrer que lĂąâŹâąamour ne rime pas avec souffranceĂąâŹÂŠ Oh ça nonĂąâŹÂŠ Avec moi Ă tes cĂÂŽtĂ©sĂąâŹÂŠ LĂąâŹâąamour sera un vrai paradisĂąâŹÂŠ Tu as confiance en moi ? Ă» Souriant en coin, il la laissa le pivoter pour se retrouver Ă son tour plaquĂ© contre le mur, gardant ses mains dans son dos en la regardant, sourire en coin. Ă Sois juste toi Laety ĂąâŹÂŠCĂąâŹâąest comme ça que tu me plais. Toute entiĂšre, toi tout simplement. Ă» Souffla-t-il en la regardant dĂąâŹâąun air attendri, retirant ses mains de son dos pour la serrer plus encore contre lui en posant sa tĂÂȘte contre la sienne, soupirant longuement de bien ĂÂȘtre. Ă Ca fait longtemps que jĂąâŹâąai confiance en toi ĂąâŹÂŠ une confiance aveugle. Ă» Ajouta-t-il doucement avant de monter ses mains Ă ses joues pour chercher ses lĂšvres des siennes, se contentant de les presser contre les siennes et refermer lentement ses lĂšvres autour des siennes, lĂąâŹâąembrassant avec lenteur et tendresse, lĂąâŹâąune de ses mains montant dans ses cheveux pour les caresser avec douceur. InvitĂ©InvitĂ©SURVOLE PETIT COQUINSujet Re Trust me, Say me yes, for the life. K&L Lun 23 Mai - 2326 Take me, Don't give up Hum ĂąâŹÂŠ DĂ©solĂ© ĂąâŹÂŠ Mais jĂąâŹâąaime bien savoir que je te fais un effet fou. Ă» GĂ©missant doucement je me serai un peu plus contre lui en frissonnant de bien ĂÂȘtre. Il nĂąâŹâąavait pas le droit de me faire ça, non il ne pouvait pas me faire une chose pareilleĂąâŹÂŠ a croire que cĂąâŹâąĂ©tait normal, de vouloir me rendre totalement folleĂąâŹÂŠ Non je lui interdisais de me faire celaĂąâŹÂŠ Lui mordillant le lobe de lĂąâŹâąoreille pour le torturer a son tour comme pour me venger de ce quĂąâŹâąil Ă©tait plus ou moins en train de me faire subir, je bougeai un peu plus contre son corps, suivant alors les mouvements de son bassin. Je me sentais tellement bien lĂ , dans ces bras sur cette piste de danse, le moment Ă©tait propice et parfait. Bougeant plus franchement le bassin je lĂ©chais son oreille en poussant un lĂ©ger soupire de bien ĂÂȘtre pratiquement similaire Ă un gĂ©missement pour lui faire comprendre ce que je ressentis en ce momentĂąâŹÂŠ Ă Ah oui ? Moi aussi, jĂąâŹâąaime savoir que je te fais un effet fouĂąâŹÂŠ Surement dans moinsĂąâŹÂŠ de quelques secondesĂąâŹÂŠ Ă» soufflai-je en pressant alors lĂąâŹâąair de rien ma cuisse sur son membre sans le frotter sachant que cela suffisait amplement pour lĂąâŹâąexciterĂąâŹÂŠ Mais lĂ nĂąâŹâąĂ©tait pas rĂ©ellement le butĂąâŹÂŠ JĂąâŹâąĂ©tais mauvaise de faire cela, mais dieu que cĂąâŹâąĂ©tait bonĂąâŹÂŠ RĂ©ellement bonĂąâŹÂŠ Parlant alors du fait que nous Ă©tions lĂ et pourquoi, il mĂąâŹâąannonça quĂąâŹâąil avait Ă©tĂ© enlevĂ© par un groupe dĂąâŹâąami qui ne lui avait pas laissĂ© le choix. Le pauvreĂąâŹÂŠ Je lui annonçais alors que ce quĂąâŹâąil avait prĂ©vu pouvait se faire demain. Chose vrai, a part si encore quelquĂąâŹâąun lui pourris la journĂ©e en lĂąâŹâąenlevant dieu sait ouĂąâŹÂŠ ce serait dommage lĂ . Ă Non mais tĂąâŹâąinquiĂšte pas ĂąâŹÂŠ Finalement ça va arriver bien plus tĂÂŽt que prĂ©vu. Le destin est de mon cĂÂŽtĂ© en ce moment. Ă» Haussant un sourcil sans trop comprendre de quoi il parlait, je me mouvais sans cesser contre son corps, aimant terriblement ĂÂȘtre avec lui, comment ne pas aimer ? Je me le demande bien, je restai mĂÂȘme persuadĂ© que pleins de filles qui se trouvaient autour de nous devaient nous jalouser, ou plus exactement, me jalouser. Pourquoi ? Car Kristopher Ă©tait parfait, il Ă©tait lĂ , dans mes bras a moi, et pas les leurs, est ce que je me trompais ? Non... Non, impossible, Kristopher Ă©tait beau un beau typeĂąâŹÂŠ Je voulais voir leurs regards jaloux, je voulais les voir me dĂ©tester car cĂąâŹâąĂ©tait moi et pas elles, je voulais tellement de chose, jĂąâŹâąen Ă©tais au point de vouloir les narguer car cĂąâŹâąest moi qui dansais avec moi et pas ellesĂąâŹÂŠ bon sang jĂąâŹâąĂ©tais simplement tarĂ©esĂąâŹÂŠ Mais dieu que jĂąâŹâąaimais. Et sĂąâŹâąil disait non ? Et bien je lĂąâŹâąavais dans la gueuleĂąâŹÂŠ Je savais que cĂąâŹâąĂ©tait possibleĂąâŹÂŠ MaisĂąâŹÂŠ Je nĂąâŹâąen savais trop rienĂąâŹÂŠ Mais en mĂÂȘme tempsĂąâŹÂŠ Tout Ă©tait possible, aprĂšs tout, on ne peut pas dire que pour moi le destin soit de mon cĂÂŽtĂ© en ce momentĂąâŹÂŠ Ă Ah ? Quelle chance, toi au moins le destin est de ton cĂÂŽtĂ©, jĂąâŹâąespĂšre quĂąâŹâąil sera favorable avec toi maintenant, tu le mĂ©ritesĂąâŹÂŠ Ă» soufflai-je doucement au creux de son oreille tout en embrassant son cou avec envie et dĂ©lice. Une envie bine trop forte mais nous nĂąâŹâąĂ©tions pas ensemble, nous nĂąâŹâąĂ©tions rien, strictement rien et ĂÂȘtre lĂ ne servait a rien, si ce nĂąâŹâąest surement influencer son avis sur nous. Me dĂ©tachant de ses bras, je lui annonçai alors que je prĂ©fĂ©rai partir pour lui laisser le temps de rĂ©flĂ©chir. Me rattrapant alors que je partais, je le laissais mĂąâŹâąenvoyer un message en souriant le voyant alors me prendre telle une princesse dans ces bras. Le laissant faire, me disant que je devais faire jalouser plus dĂąâŹâąune fille, je me trouvais pathĂ©tique de penser Ă celaĂąâŹÂŠ comme si cĂąâŹâąĂ©tait plaisant de penser cela, je nĂąâŹâąavais jamais Ă©tĂ© jalouse et il est vrai que ce sentiment me faisait on ne peut plus bizarre Ă force. Est-ce que jĂąâŹâąallais venir Ă me montrer possessive avec lui sĂąâŹâąil venait a me dire oui. ? Peut ĂÂȘtre bien et cĂąâŹâąest ce qui me faisait tellement peurĂąâŹÂŠ Je ne voulais pas le perdre sur une histoire totalement dĂ©bile de possessivitĂ© et de jalousie cĂąâŹâąĂ©tait on ne peut plus ridicule surtout venant de moiĂąâŹÂŠ Le laissant me porter dans une ruelle plutĂÂŽt sombre Ă lĂąâŹâąĂ©cart des gens, je le traitais alors de fou, mais en mĂÂȘme temps, Kristopher Ă©tait un peu fou de nature, cĂąâŹâąĂ©tait lui, cĂąâŹâąĂ©tait dans son comportement et son caractĂšre et je lĂąâŹâąacceptai de la sorte, en mĂÂȘme temps un Kris pas fou ce nĂąâŹâąest pas un Kris. Lui demandant alors ce quĂąâŹâąil avait a me dire pour mĂąâŹâąamener ici, mĂÂȘme si au fond je savais plus ou moins ce quĂąâŹâąil me voulait, je le vis venir se coller contre moi, pour que nos corps soient collĂ©s lĂąâŹâąun Ă lĂąâŹâąautre. LĂąâŹâąĂ©coutant me parler, je fus choquĂ©e de par ces mots, je mĂąâŹâąy attendais, mais cĂąâŹâąĂ©tait tellement poignant, tellement intense, tellement... ToutĂąâŹÂŠ je nĂąâŹâąen revenais pasĂąâŹÂŠ Mon cĂ âur battant la chamade jĂąâŹâąavais envie de hurler, de hurler de joieĂąâŹÂŠ mais a la place je lĂąâŹâąembrassais, je lĂąâŹâąembrassais a en perdre haleine, je voulais lui donner le plus beau baiser de sa vieĂąâŹÂŠ Lui murmurant par la suite, quĂąâŹâąil me rendait folle et que par consĂ©quent, mĂÂȘme si je mĂąâŹâąy attendais, son discours Ă©tait tout aussi poignant, je ne pus me dĂ©faire de son emprise, le prenant dans mes bras pour lĂąâŹâąembrasser longuement en le plaquant alors a mon tour contre le mur de la ruelle. Ă Hm ĂąâŹÂŠ Tu me donnes envie de te dire des choses comme ça. Ă» entrouvrant la bouche, je plongeai mon regard bleutĂ© dans le sien tout autant bleutĂ© que le mien, certes plus foncĂ© que le mien, mais quelque peu identique, dieu que jĂąâŹâąaimais entendre ce genre de choseĂąâŹÂŠ Je voulais quĂąâŹâąil continue encore et encore, je voulais quĂąâŹâąil me dise des belles choses, quĂąâŹâąil me dise quĂąâŹâąil mĂąâŹâąaime lui aussi mais ça je savais que ça ne serait pas de si tĂÂŽt. Sentant ses mains sous mon haut, le contact de sa peau contre la mienne, je poussais un long soupire de bien ĂÂȘtre. Ă Tu mĂąâŹâąinspires ma petite puce ĂąâŹÂŠ Ă» Ecarquillant les yeux, je poussais un lĂ©ger cri de bien ĂÂȘtre a ce surnom. Il nĂąâŹâąavait pas le droitĂąâŹÂŠ Non pas le droit de me tuer autant et si rapidementĂąâŹÂŠ LĂąâŹâąembrassant franchement je posais ma main sur sa joue en gĂ©missant. Ă EdenĂąâŹÂŠ mon petit Kristopher, ohĂąâŹÂŠ Bon dieuĂąâŹÂŠ Comment tuer LaetyĂąâŹÂŠ JĂąâŹâąaime quand tu mĂąâŹâąappelles ainsiĂąâŹÂŠ KrisĂąâŹÂŠ encoreĂąâŹÂŠ Ă» soufflai-je doucement en lui lançant un regard des plus aguicheur et suppliant pour quĂąâŹâąil me nomme encore de la sorte, oui je voulais encore entendre ce surnom, petite puce, puce tout court, les deux putain ouiĂąâŹÂŠ Je voulais frissonner au son de sa voix, faible, suave, grave, intense, sensuelleĂąâŹÂŠ je voulais quĂąâŹâąil me rende folle, folle comme jamais je ne lĂąâŹâąavais Ă©tĂ©ùâŹÂŠ Je voulais quĂąâŹâąil puisse faire de moi ce quĂąâŹâąil voulait, et le pire cĂąâŹâąest quĂąâŹâąil en Ă©tait capable, oh ça oui rĂ©ellement capableĂąâŹÂŠ Il le pouvait mais çà je ne le lui dirais pasĂąâŹÂŠ PlutĂÂŽt crever que de donner mes points faibles pour quĂąâŹâąil sĂąâŹâąen dĂ©lecte avec plaisir et voluptĂ©ùâŹÂŠ non, je voulais garder cela pour moiĂąâŹÂŠ et seulement moiĂąâŹÂŠ Le plaquant contre le mur, tout e le regardant amoureusement je ne pus mĂąâŹâąempĂÂȘcher de lĂąâŹâąembrasser et de lui demander alors sĂąâŹâąil avait confiance en moi et sĂąâŹâąil voulait que je fasse quelque chose pour notre coupleĂąâŹÂŠ je voulais tellement lui apprendre a ĂÂȘtre amoureux de moiĂąâŹÂŠ est ce que je pouvais le faire ? JĂąâŹâąosais le croire. AprĂšs tout mĂÂȘme si je lui plaisais, mĂÂȘme si cĂąâŹâąĂ©tait oui, est ce quĂąâŹâąil pourrait mĂąâŹâąaimer ? Tenir a moi cĂąâŹâąest une chose mais aimer sĂąâŹâąen est une autreĂąâŹÂŠ cĂąâŹâąĂ©tait un tant soit peu complexe comme situationĂąâŹÂŠ Ă Sois juste toi Laety ĂąâŹÂŠCĂąâŹâąest comme ça que tu me plais. Toute entiĂšre, toi tout simplement. Ă» plongeant mon regard dans le sien, me mordillant lentement la lĂšvre infĂ©rieur, mon regard se voilant dĂąâŹâąamour et dĂąâŹâąenvie pour lui je ne pus mĂąâŹâąempĂÂȘcher de poser mes mains sur sa taille, tirant doucement sur son haut, comme pour lui dire, comme pour lui faire comprendre que je le voulais, je ne voulais que lui et pour un long, trĂšs long moment. Ă Ca fait longtemps que jĂąâŹâąai confiance en toi ĂąâŹÂŠ une confiance aveugle. Ă» ses mains sur mes joues son regard ancrĂ© dans le mien, ma respiration se coupa plus vite que je ne le pensais. Nom dĂąâŹâąun chien cĂąâŹâąĂ©tait poignant, terrifiant, je voulais mourir tellement le plaisir Ă©tait trop intenseĂąâŹÂŠ tellement il Ă©tait toutĂąâŹÂŠ Sentant ses lĂšvres sur les miennes, je le laissais faire, me figeant plus ou moins dans un plaisir ardant, qui provoquait en moi un frisson intĂ©gral. Lui rendant plus ou moins son baiser, je me collais Ă lui mon corps se mouvant au sien, sentant alors nos corps battre a lĂąâŹâąunisson, nos respirations aux mĂÂȘmes rythmes, ma langue sĂąâŹâąenfouissant dans sa bouche a la recherche de la sienne. GĂ©missant lĂ©gĂšrement, mes mains remontant a son visage, je caressais longuement son cou avant de griffer quelque peu ses joues tout en lĂąâŹâąembrassant de plus en plus le bruit de notre baiser sĂąâŹâąentendant sans aucun souci. Je mĂąâŹâąen fichai, je mĂąâŹâąen foutais complĂštement, je voulais lĂąâŹâąembrasser encore et encore, longuement, tendrement, amoureusementĂąâŹÂŠ Je le voulais, oui je ne voulais que luiĂąâŹÂŠ que Kristopher dans ma vie et mon cĂ âur. Inspirant doucement je frottai mon nez au sien en le regardant avec amour avant de le prendre dans mes bras. Il avait confiance en moi cĂąâŹâąĂ©tait tout bonnement parfait, oui il nĂąâŹâąy avait pas dĂąâŹâąautre moi que celaĂąâŹÂŠ CĂąâŹâąĂ©tait plaisant Ă entendre terriblement plaisant mĂÂȘme ! Ă Tant mieux alorsĂąâŹÂŠ Oui car je vais tĂąâŹâąapprendre Ă mĂąâŹâąaimerĂąâŹÂŠ Tu verras, la petite femme parfaite et modĂšle cĂąâŹâąest moi et je serais tienneĂąâŹÂŠ absolument tienneĂąâŹÂŠ Ă» soufflai-je contre ses lĂšvres en lui lançant un regard amoureux avant de frĂÂŽler ses lĂšvres des miennes sans pour autant lĂąâŹâąembrasser, le provoquant un peu plus pour lui montrer que oui il me voulait, oui, il voulait mĂąâŹâąembrasser oui il me voulait pour lui. Plus la tentation Ă©tait grande et mieux cĂąâŹâąĂ©taitĂąâŹÂŠ Mais question sexeĂąâŹÂŠ Il fallait peut ĂÂȘtreĂąâŹÂŠ Faire en sorte que nous ne couchions pas ensemble trop souvent ? Et si le sexe jouait ? Et si le fait que sexuellement on sĂąâŹâąentende a merveille fasse peser le pour dans la balance ? Je ne doutais pas de lui, loin de lĂ mĂÂȘme, maisĂąâŹÂŠ il Ă©tait clair que nous ne ferions pas lĂąâŹâąamour tous les jours nonĂąâŹÂŠ Il fallait que lĂąâŹâąon se dĂ©couvre autrement que par le sexeĂąâŹÂŠ Venir chez lui manger passer de bons moment devant la tĂ©lĂ©vision, aller au cinĂ©ma, sortirĂąâŹÂŠ Tout ça quoiĂąâŹÂŠ Oui, on devait faire ce que fait un coupleĂąâŹÂŠ Fermant briĂšvement les yeux je mordillai lentement sa lĂšvre infĂ©rieure la lui tirant avant de la lĂÂącher tout en me dĂ©tachant plus ou moins de ses bras pour me recoiffer et replacer quelque peu ma tenue en place. Ă Que dirais-tuĂąâŹÂŠDe se faire un petit programme pour se voir ? Genre les aprĂšs midi et la soirĂ©e avant que tu ne partes bosser ? Je suis handicapĂ©, je suis donc libre comme lĂąâŹâąair pendant encore quinze joursĂąâŹÂŠ On pourrait sĂąâŹâąorganiser pas mal de choses toi et moiĂąâŹÂŠ Je te proposerai bien de venir chez moi maisĂąâŹÂŠ non. DĂ©solĂ©e lĂąâŹâąambiance est nazeĂąâŹÂŠ Mon frĂšreĂąâŹÂŠ etĂąâŹÂŠ HumĂąâŹÂŠ ma sĂ âurĂąâŹÂŠ JĂąâŹâąai apprit queĂąâŹÂŠ Ma mĂšre biologique avait eu une autre fille etĂąâŹÂŠ La voilĂ dans ma vie ĂąâŹÂŠ Bref, donc chez toi ? Ou dehors, dis moi ce que tu veux faire, je suis ouverte a toute proposition mon Kris ĂąâŹÂŠ Ă» Murmurai-je doucement en me pinçant les lĂšvres le caressant doucement avant de lĂąâŹâąembrasser furtivement me dĂ©collant de lui tout en souriant lui lançant alors un regard des plus taquin. InvitĂ©InvitĂ©SURVOLE PETIT COQUINSujet Re Trust me, Say me yes, for the life. K&L Ven 27 Mai - 2216 SĂąâŹâąil y avait bien une chose qui Ă©tait certaine, cĂąâŹâąĂ©tait bien le fait que Kris tenait vraiment beaucoup Ă Laety. Depuis bien longtemps, elle nĂąâŹâąĂ©tait pas une simple amie mais bel et bien une fille Ă laquelle il tenait Ă©normĂ©ment. Il avait suffit de deux petites semaines passĂ©es loin dĂąâŹâąelle, pour quĂąâŹâąil rĂ©alise quĂąâŹâąil tenait Ă elle bien plus quĂąâŹâąil ne lĂąâŹâąaurait pensĂ©. Comment aurait-il pu se douter quĂąâŹâąun jour, ils en arriveraient lĂ tous les deux ? CĂąâŹâąĂ©tait tout bonnement impossible. Impossible dĂąâŹâąimaginer quĂąâŹâąil puisse sĂąâŹâąattacher Ă elle plus que de raison. Et pourtant cĂąâŹâąĂ©tait bel et bien le cas. Et en toute franchise, il se voyait mal se couper totalement et dĂ©finitivement dĂąâŹâąelle. Il sĂąâŹâąĂ©tait bien trop attachĂ© Ă elle pour accepter une chose pareille. Se mouvant lentement tout contre elle, au rythme de la musique, il sĂąâŹâąamusait Ă la taquiner et lĂąâŹâąexciter un tant soit peu en lui soufflant alors dĂąâŹâąune voix caressante, quĂąâŹâąil aimait savoir quĂąâŹâąil lui faisait un effet fou. Oui il aimait savoir que lorsque quĂąâŹâąil faisait ce genre de chose, elle ne dĂ©sirait quĂąâŹâąune chose quĂąâŹâąils fassent lĂąâŹâąamour le plus vite possible et peu importe alors oĂÂč. Ă Ah oui ? Moi aussi, jĂąâŹâąaime savoir que je te fais un effet fouĂąâŹÂŠ Surement dans moinsĂąâŹÂŠ de quelques secondesĂąâŹÂŠ Ă» Un sourire moqueur apparut sur les lĂšvres du jeune homme, avant de se transformer en bref gĂ©missement excitĂ© en sentant sa cuisse sur son entre jambe. Se mordant doucement la lĂšvre, il approcha lentement ses lĂšvres de son oreille, pour lĂÂącher un nouveau doux gĂ©missement, ses mains remontant sur ses reins pour la serrer contrer lui avec force en fermant les yeux. Ă Satisfaite ? Ă» Demanda-t-il dĂąâŹâąune voix on ne peut plus douce et caressante, rendu quelque peu rauque par la lĂ©gĂšre excitation quĂąâŹâąelle venait de faire naĂtre en lui, simplement en pressant lentement sa cuisse contre son membre. Elle savait quĂąâŹâąil suffisait de pas grand-chose pour quĂąâŹâąil ait envie dĂąâŹâąelle ĂąâŹÂŠ Et cela nĂąâŹâąavait de cesse de se confirmer au fil du temps. Elle avait le don de lĂąâŹâąexciter au plus haut point, en deux temps trois mouvements. Et elle Ă©tait bien la premiĂšre Ă parvenir Ă un tel rĂ© les yeux fermĂ©s et inspirant longuement son odeur qui lĂąâŹâąenvoĂ»tait de façon presque choquante, il discutait doucement avec elle, tel deux conspirateurs ou ĂąâŹÂŠ Deux amoureux dissimulĂ©s parmi la foule de danser sur la piste de danse dĂąâŹâąune boite de nuits comme une autre. Un couple qui se faisait de douces confidences, chuchotaient au creux de lĂąâŹâąoreille de lĂąâŹâąun et de lĂąâŹâąautre. Etaient-ils amoureux ? Non ĂąâŹÂŠ Du moins ĂąâŹÂŠ Il savait quĂąâŹâąelle-mĂÂȘme Ă©tait amoureuse de lui mais pour sa part ce nĂąâŹâąĂ©tait pas le cas. Mais il avait beau ne pas lĂąâŹâąaimer dĂąâŹâąamour, il ne pouvait que reconnaĂtre combien il Ă©tait accrochĂ© Ă elle et combien il Ă©tait prĂÂȘt Ă faire beaucoup de choses pour la garder Ă ses cĂÂŽtĂ©s. Comment pourrait-il supporter de la perdre ? CĂąâŹâąĂ©tait tout bonnement impossible. Et si ça ce nĂąâŹâąĂ©tait pas la preuve quĂąâŹâąil Ă©tait pleinement et totalement capable de se lancer dans une relation amoureuse ou qui se finirait en tout cas comme tel, alors il ne comprenait pas de quoi il sĂąâŹâąagissait. Il ne doutait pas que Laety nĂąâŹâąaurait pas grand-chose Ă faire pour quĂąâŹâąil tombe Ă©perdument amoureux dĂąâŹâąelle. Comment est-ce que ça pourrait ne pas ĂÂȘtre le cas en mĂÂȘme temps ? Elle Ă©tait ĂąâŹÂŠ Tellement parfaite et unique. Tellement envoĂ»tante et hypnotisante. Elle avait le don de lĂąâŹâąexciter et de lui donner envie dĂąâŹâąelle comme jamais il nĂąâŹâąavait eu envie de qui que ce soit jusquĂąâŹâąĂ prĂ©sent. Elle lui donnait vraiment envie de connaitre une relation sĂ©rieuse avec elle. Il voulait se coucher avec elle, dormir en sentant son corps posĂ© sur le sien, il voulait se rĂ©veiller et la regarder dormir un long moment jusquĂąâŹâąĂ son propre rĂ©veil. Il voulait dĂąâŹâąautres douches on ne peut plus torrides avec elle, lui faire lĂąâŹâąamour indĂ©finiment, presser son corps contre le sien, soupirer dĂąâŹâąaise contre sa peau. Il voulait rire avec elle, regarder des films tellement ennuyeux quĂąâŹâąils ne pourraient que finir par faire lĂąâŹâąamour sur le canapĂ© pour faire une chose nettement plus intĂ©ressante et plaisante que regarder ces films nuls Ă souhait. Il voulait faire et connaĂtre tellement de choses avec elle, que ça ne pouvait pas sĂąâŹâąarrĂÂȘter Ă une simple amitiĂ©, il en Ă©tait persuadĂ©. Ă Ah ? Quelle chance, toi au moins le destin est de ton cĂÂŽtĂ©, jĂąâŹâąespĂšre quĂąâŹâąil sera favorable avec toi maintenant, tu le mĂ©ritesĂąâŹÂŠ Ă» Ses lĂšvres dans son cou, il frissonna doucement de bien ĂÂȘtre en gardant les yeux fermĂ©s et souriant faiblement en coin. Ă Il se pourrait quĂąâŹâąil tourne en ta faveur aussi. Ă» Souffla-t-il dĂąâŹâąune voix caressante au creux de son oreille sans cesser de la serrer tendrement contre lui. Il aimait terriblement quĂąâŹâąelle puisse lui inspirer autant de tendresse que de dĂ©sir. Cette fille Ă©tait tout bonnement parfaite, du tout au tout, sans le moindre petit dĂ©faut. Du moins pas Ă sa connaissance. Et cela lui convenait parfaitement, il voulait quĂąâŹâąelle reste cette fille unique qui lui plaisait de plus en plus et quĂąâŹâąil voulait de plus en plus dans sa vie, en tant que petite amie. Oui pour la premiĂšre fois depuis bien longtemps, il se sentait prĂÂȘt Ă accepter une petite amie. Mais pas pour dire dĂąâŹâąavoir une petite amie. Non ĂąâŹÂŠ Bel et bien parce quĂąâŹâąelle lui plaisait, parce que cĂąâŹâąĂ©tait elle et parce quĂąâŹâąil voulait lĂąâŹâąaimer. Etrange cette envie de tomber amoureux sans doute. Surtout venant de lui. Mais pour le coup il assumait pleinement puisquĂąâŹâąelle Ă©tait la premiĂšre femme qui lui plaisait Ă ce point, cĂąâŹâąen Ă©tait presque choquant de voir combien il la voulait dans sa vie, dans ses bras, dans son lit. Et il se sentait on ne peut plus heureux et comblĂ© au simple fait de la tenir tout contre lui, de sentir son corps se mouvoir contre le sien et au mĂÂȘme rythme que le sien. Il aimait sentir son odeur plaisante et envoĂ»tante ĂąâŹÂŠ En fait il aimait tout chez elle et pourtant il nĂąâŹâąĂ©tait pas amoureux. Pas encore du moins. Sans doute Ă©tait-ce simplement du au fait que pour cela, il avait besoin de la voir le plus possible, de passer beaucoup de temps avec elle et de connaĂtre toutes les joies, et mĂÂȘme les moins bon cĂÂŽtĂ©s, dĂąâŹâąun couple, Ă ses cĂÂŽtĂ©s. CĂąâŹâąĂ©tait bien la preuve quĂąâŹâąil jugeait quĂąâŹâąelle valait vraiment le coup pour lui laisser cette chance lĂ de le rendre amoureux dĂąâŹâąelle. Etait-il fou ? Allait-il regretter ? Non ĂąâŹÂŠ Il Ă©tait certain que non. Si tel avait Ă©tĂ© le cas, il nĂąâŹâąaurait jamais dĂ©cidĂ© de lui laisser une chance. Il venait de passer deux longues semaines Ă rĂ©flĂ©chir sur ce point lĂ , Ă se demander sĂąâŹâąil allait un jour regretter ou non. Il en Ă©tait arrivĂ© Ă la conclusion que non, tout simplement. Il nĂąâŹâąĂ©tait pas le genre de personne Ă prendre de dĂ©cision hĂÂątive et il venait sans aucun doute de le prouver. Surtout que dans cette histoire il y avait beaucoup Ă perdre tout de mĂÂȘme. Une dĂ©cision pourrait lui faire perdre Laety tout en lui faisant un mal fou. Or il refusait autant lĂąâŹâąun que lĂąâŹâą dĂąâŹâąaprĂšs, rĂ©alisant que la jeune femme Ă©tait sur le point de mettre fin Ă leur petite entrevue, Kristopher la rattrapa rapidement pour la soulever de terre et la porter hors de la boite de nuit, lĂąâŹâąentrainant dans un coin sombre, une petite ruelle Ă lĂąâŹâąĂ©cart, pour enfin lui donner sa rĂ©ponse tant attendue. Lui soufflant alors doucement sa rĂ©ponse et les raisons pour lesquelles il lui disait un oui sans la moindre hĂ©sitation, il ne pu sĂąâŹâąempĂÂȘcher de sourire devant sa rĂ©action, voyant bien que celle-ci lui faisait atrocement plaisir. Juste de quoi le rassurer encore un peu plus dans sa dĂ©cision. En mĂÂȘme temps, comment aurait-elle pu ne pas ĂÂȘtre un tant soit peu contente alors que cĂąâŹâąĂ©tait lĂ ce quĂąâŹâąelle attendait depuis tellement longtemps ? Si elle avait mal rĂ©agit il se serait grandement inquiĂ©tĂ© et Ă juste titre Ă son humble avis. RĂ©pondant alors Ă son baiser des plus passionnĂ©s et remplis de promesses, il soupira longuement de bien ĂÂȘtre en faufilant ses mains sous son haut pour la caresser avec douceur et tendresse. Murmurant alors ce surnom quĂąâŹâąil lui avait donnĂ© quelques temps plus tĂÂŽt sur msn en premier lieu, il eut un sourire en coin en avisant sa rĂ©action. Son petit cri suivit de son baiser eurent le don de le faire frissonner longuement de bien ĂÂȘtre tant il Ă©tait ravi de la retrouver, de retrouver le goĂ»t de ses lĂšvres, la douceur de sa peau et de sa langue pressĂ©e contre la sienne, ses soupirs, ses gĂ©missements ĂąâŹÂŠ Il voulait encore entendre ses hurlements de plaisir incessants sous ses coups de reins quand il lui faisait lĂąâŹâąamour. Ă EdenĂąâŹÂŠ mon petit Kristopher, ohĂąâŹÂŠ Bon dieuĂąâŹÂŠ Comment tuer LaetyĂąâŹÂŠ JĂąâŹâąaime quand tu mĂąâŹâąappelles ainsiĂąâŹÂŠ KrisĂąâŹÂŠ encoreĂąâŹÂŠ Ă» Riant doucement, il lui lança un regard attendri en passant le bout de ses doigts sur sa joue pour la caresser avec tendresse, soupirant longuement de bien ĂÂȘtre. CĂąâŹâąĂ©tait fou comme elle le rendait dingue et combien elle lui plaisait. Ă Ma puce ĂąâŹÂŠ Ma petite puce ĂąâŹÂŠ Hey pourquoi Eden au fait ? Ă» Demandai-t-il en haussant quelque peu un sourcil laissant alors le plaquer contre le mur Ă son tour pour lĂąâŹâąembrassera avec presque sauvagerie, Kris laissa Ă©chapper un doux gĂ©missement en rĂ©pondant Ă son baiser avec fougue, son souffle se coupant un long moment. Souriant faiblement, Kris lui souffla alors quĂąâŹâąil avait Ă©perdument confiance en elle et depuis toujours, baissant un vague regard sur ses mains qui empoignĂšrent alors son haut pour le tirer doucement. Ă Tant mieux alorsĂąâŹÂŠ Oui car je vais tĂąâŹâąapprendre Ă mĂąâŹâąaimerĂąâŹÂŠ Tu verras, la petite femme parfaite et modĂšle cĂąâŹâąest moi et je serais tienneĂąâŹÂŠ absolument tienneĂąâŹÂŠ Ă» Ses lĂšvres caressant lentement les siennes comme pour le provoquer quelque peu, le jeune homme lĂÂącha un doux gĂ©missement en baissant le regard sur ses lĂšvres, les regardant alors avec envie. Ă Hm Laety ĂąâŹÂŠ Tu es parfaite ĂąâŹÂŠ Tu me plais dĂ©mesurĂ©ment. Mais oui sois mienne et je serais tien. Ă» Souffla-t-il dĂąâŹâąune voix douce sans quitter ses lĂšvres du regard en dĂ©glutissant longuement dĂąâŹâąenvie. Relevant lentement le regard pour le plonger dans le sien, il la laissa mordiller sa lĂšvre, sans broncher le moins du monde. LorsquĂąâŹâąelle se dĂ©tacha de ses bras, il la laissa faire sans la quitter du regard, posant alors sa tĂÂȘte sur le mur derriĂšre lui, lĂÂąchant un bref soupir de frustration. Ă Que dirais-tuĂąâŹÂŠDe se faire un petit programme pour se voir ? Genre les aprĂšs midi et la soirĂ©e avant que tu ne partes bosser ? Je suis handicapĂ©, je suis donc libre comme lĂąâŹâąair pendant encore quinze joursĂąâŹÂŠ On pourrait sĂąâŹâąorganiser pas mal de choses toi et moiĂąâŹÂŠ Je te proposerai bien de venir chez moi maisĂąâŹÂŠ non. DĂ©solĂ©e lĂąâŹâąambiance est nazeĂąâŹÂŠ Mon frĂšreĂąâŹÂŠ etĂąâŹÂŠ HumĂąâŹÂŠ ma sĂ âurĂąâŹÂŠ JĂąâŹâąai apprit queĂąâŹÂŠ Ma mĂšre biologique avait eu une autre fille etĂąâŹÂŠ La voilĂ dans ma vie ĂąâŹÂŠ Bref, donc chez toi ? Ou dehors, dis moi ce que tu veux faire, je suis ouverte a toute proposition mon Kris ĂąâŹÂŠ Ă» Surprit, il haussa les sourcils en redressant la tĂÂȘte pour la regarder. Ă Quels rebondissements ĂąâŹÂŠ Avec une telle ambiance de merde il faut sĂąâŹâąĂ©chapper un peu alors. Ă» Souffla-t-il doucement en souriant sans la quitter du regard, se redressant pour passer ses doigts sous la ceinture de son slim, lĂąâŹâąattirant doucement Ă lui pour poser son front contre le sien. Ă Oui on se verra le plus dĂąâŹâąaprĂšs-midi possible pour sortir oĂÂč tu voudras. Parc, restaurant, cinĂ©ma, ville, plage ĂąâŹÂŠ Tout ce que tu veux. Et pour ce soir tu restes avec moi ? On pourrait Ă©chouer chez moi, manger et regarder un dvd dans les bras lĂąâŹâąun de lĂąâŹâąautre ? Et tu pourras repartir quand bon te sembleras. Ou encore on va chez moi rĂ©cupĂ©rer de quoi dormir et on se fait une nuit Ă la belle Ă©toile. Je te laisse dĂ©cider. Ă» Souffla-t-il tout en dĂ©posant de brefs et doux baisers sur son visage et descendant lentement dans son cou sans se dĂ©tacher dĂąâŹâąelle un seul instant. InvitĂ©InvitĂ©SURVOLE PETIT COQUINSujet Re Trust me, Say me yes, for the life. K&L Lun 30 Mai - 1611 Take me, Don't give up Satisfaite ? Ă» Entrouvrant la bouche, en entendant son gĂ©missement, je dĂ©glutis longuement en mĂąâŹâąaccrochant plus a lui encoreĂąâŹÂŠ il nĂąâŹâąavait pas rĂ©ellement le droit de me faire çaĂąâŹÂŠ NonĂąâŹÂŠ Vraiment pas, cĂąâŹâąĂ©tait un mauvais joueur ! Pressant plus encore ma cuisse contre son membre, je le frottais lentement lĂąâŹâąair de rien, en venant alors mordre son oreille tout en murmurant son prĂ©nom en gĂ©missant longuement, une de mes mains descendant lentement sur sa fesse lĂąâŹâąair de rien que je chatouillai quelque peu. Non, vraiment, jamais lĂąâŹâąexciterĂąâŹÂŠ SĂąâŹâąil voulait sĂąâŹâąembarquer dans ce jeu, il Ă©tait mal barrĂ© avec moiĂąâŹÂŠ ne rĂ©pondant rien prĂ©fĂ©rant lĂąâŹâąexciter de plus en plus la conversation continua tranquillement en parlant alors du fait quĂąâŹâąil se trouvait ici. Pourquoi dĂąâŹâąailleurs ? Il mĂąâŹâąapprit alors que sa bande de pote nĂąâŹâąavait pas voulu lui laisser le choix et quĂąâŹâąil avait Ă©tĂ© forcĂ© de venir ici alors quĂąâŹâąil avait dĂ©jĂ prĂ©vu quelque chose, lui annonçant que demain serait un autre jour il aurait largement le temps de faire ce quĂąâŹâąil avait prĂ©vusĂąâŹÂŠ Me parlant de destin et de tout autre chose, je ne compris pas rĂ©ellement ce quĂąâŹâąil voulait direĂąâŹÂŠ Mais je ne pus mĂąâŹâąempĂÂȘcher de rĂ©pliquer quĂąâŹâąil avait de la chance que le destin soit de son cĂÂŽtĂ© contrairement Ă moi qui en ce moment nĂąâŹâąavait aucune chance et encore moins de destin que luiĂąâŹÂŠ Autant dire que jĂąâŹâąĂ©tais sur ce coup lĂ poisseuse de chez poisseuseĂąâŹÂŠ Ă Il se pourrait quĂąâŹâąil tourne en ta faveur aussi. Ă» Fronçant les sourcils, sans trop comprendre, je restai dubitative sur sa phrase. Pourquoi me disait-il cela ? Je ne comprenais pas trop. Est-ce quĂąâŹâąil parlait de nous ? Est-ce quĂąâŹâąil y avait rĂ©ellement un nous possible ? Je me le demandai bienĂąâŹÂŠ Me mouvant toujours contre lui, je ne perdis pas une miette de notre Ă©treinte, je voulais en profiter au maximum, mĂąâŹâąenivrer de son odeur, de sa douce fragrance qui me dĂ©lectait plus que de raison. Je voulais en avoir lĂąâŹâąeau a la bouche, je voulais le goutter, lĂąâŹâąembrasser, le mordre, savourer sa peau sous chaque infime parcelleĂąâŹÂŠ Je voulais lui faire lĂąâŹâąamour, quĂąâŹâąil me fasse lĂąâŹâąamour, je voulais juste passer le reste de mes jours avec lui et personne dĂąâŹâąautre. Une vie heureuse, sans faille, sans imperfection passĂ© Ă ces cĂÂŽtĂ©s. Je ne voulais que lui et encore luiĂąâŹÂŠ Inspirant doucement contre son cou, jĂąâŹâąembrassais lentement sa peau a nouveau, crĂ©ant des frissons sur sa peau Ă Ah bon ? Me tarde de savoir alorsĂąâŹÂŠ Ă» Dis-je doucement en me mouvant un peu plus contre lui tout en le serrant contre moi un maximum, avant de me dĂ©faire alors de son emprise. Lui lançant un regard amoureux je ne pus mĂąâŹâąempĂÂȘcher de lui dire que nous ne devrions pas faire cela tant quĂąâŹâąil nĂąâŹâąavait pas prit de dĂ©cisionĂąâŹÂŠ partant alors il me rattrapa pour mĂąâŹâąenvoyer un message mĂąâŹâąintimant quĂąâŹâąil voulait me parlerĂąâŹÂŠ Me portant telle une princesse, je le laissais faire en enfouissant alors ma tĂÂȘte dans son cou me doutant alors de quoi il voulait parler pour le destinĂąâŹÂŠ il allait me dire oui, oui il allait me donner sa rĂ©ponseĂąâŹÂŠ CĂąâŹâąĂ©tait donc ça quĂąâŹâąil voulait faire ce soir avant que ses amis ne lĂąâŹâąentrainent de force ici ? Le destin Ă©tait avec nous, putain oui il Ă©tait de notre cĂÂŽtĂ©ùâŹÂŠ. Me posant dans une ruelle ou personne ne trainaient, pour que lĂąâŹâąon soit seul et sans dĂ©rangement quelconque, il mĂąâŹâąannonça alors que oui il voulait de moi pour petite amieĂąâŹÂŠ Trois semaines, trois putains de semainesĂąâŹÂŠ JĂąâŹâąĂ©tais on ne peut plus heureuse dĂąâŹâąapprendre quĂąâŹâąil me voulaitĂąâŹÂŠ MĂąâŹâąappelant alors ma puce, je ne pu que gĂ©mir et fondre dans ses bras tout en lĂąâŹâąembrassant lui demandant alors de continuer, de ne pas sĂąâŹâąarrĂÂȘter a mĂąâŹâąappeler ainsi, je voulais encore et encore lĂąâŹâąentendre me dire ma puceĂąâŹÂŠ Je fondais littĂ©ralement. Ă Ma puce ĂąâŹÂŠ Ma petite puce ĂąâŹÂŠ Hey pourquoi Eden au fait ? Ă» GĂ©missant doucement aux surnoms quĂąâŹâąil me donnait, je mĂąâŹâąagrippai un peu plus Ă lui tout en frissonnant de bien ĂÂȘtre. CĂąâŹâąĂ©tait on ne peut plus plaisant dĂąâŹâąentendre cela, jĂąâŹâąaimais terriblement ce petit surnomĂąâŹÂŠ PuceĂąâŹÂŠLe premier quĂąâŹâąil mĂąâŹâąavait donnĂ©, le premier qui serait ancrĂ© franchement en moiĂąâŹÂŠ EdenĂąâŹÂŠ Pourquoi EdenĂąâŹÂŠ SĂąâŹâąil savaitĂąâŹÂŠ Inspirant doucement je le regardais rapidement en souriant en coin. Frottant lentement mon nez contre le sien, je lĂąâŹâąembrassais lentement en attrapant sa lĂšvre infĂ©rieure la lui tirant lentement avant de la relĂÂącher. Ă Pourquoi Eden ? HumĂąâŹÂŠ Tu connais le jardin dĂąâŹâąEden ? Ce jardin parfait, ce petit coin de paradis ? Ben tu es mon jardin Ă moi, mon paradis, celui qui me fait mĂąâŹâąĂ©vader loin de toutĂąâŹÂŠ Tu es mon Eden Ă moiĂąâŹÂŠ Ă» soufflai-je doucement en lui lançant un regard franchement amoureux, comme pour lui dire je tĂąâŹâąaime, comme pour lui faire comprendre que je lĂąâŹâąaimais plus que tout ouiĂąâŹÂŠ Le plaquant contre le mur, je ne pu mĂąâŹâąempĂÂȘcher de lĂąâŹâąembrasser, tout en lui demandant de me faire confiance, oui, je voulais quĂąâŹâąil me fasse confiance pour quĂąâŹâąil puisse enfin tomber dans cette bulle dans laquelle jĂąâŹâąĂ©tais pour ma part depuis plus dĂąâŹâąun anĂąâŹÂŠ Une bulle remplit dĂąâŹâąamour pour luiĂąâŹÂŠ LorsquĂąâŹâąil mĂąâŹâąapprit quĂąâŹâąil avait confiance en moi depuis toujours je ne pu mĂąâŹâąempĂÂȘcher de gĂ©mir en lui murmurant alors que je serais la femme la plus parfaite et que je serais sienne, oui je serais sa femme a lui et a personne dĂąâŹâąautre. Ă Hm Laety ĂąâŹÂŠ Tu es parfaite ĂąâŹÂŠ Tu me plais dĂ©mesurĂ©ment. Mais oui sois mienne et je serais tien. Ă» GĂ©missant doucement en dĂ©glutissant quelque peu je pu voir son regard rivait sur mes lĂšvres, dieu que cĂąâŹâąĂ©tait plaisant a voir, oui, il avait envie de mĂąâŹâąembrasser et cĂąâŹâąĂ©tait plus quĂąâŹâąexcitant de le voir lutter pour ne pas mĂąâŹâąembrasserĂąâŹÂŠ Mordillant lentement ses lĂšvres je ne pus mĂąâŹâąempĂÂȘcher de gĂ©mir lĂ©gĂšrement. Il me rendait tout aussi folle que moi je pouvais le rendre fou, on Ă©tait en train de sĂąâŹâąuser, de se tuer mutuellement et dans un sens ce nĂąâŹâąĂ©tait pas plus mal, jĂąâŹâąaimais cruellement lĂąâŹâąidĂ©e de mourir de plaisir dans ses bras, se consumer lentement Ă petit feu, tels deux dĂ©sespĂ©rĂ©s de lĂąâŹâąamourĂąâŹÂŠ Oui souffrir ensemble, sĂąâŹâąaimer ensemble, et tout ce qui sĂąâŹâąen suit, mĂÂȘme si pour lĂąâŹâąinstantĂąâŹÂŠ Je devais accepter le fait dĂąâŹâąĂÂȘtre avec lui sans quĂąâŹâąil ne mĂąâŹâąaime. Certes je lui plaisais mais je savais quĂąâŹâąil ne mĂąâŹâąaimait pasĂąâŹÂŠ du moins pas encore. Ă JĂąâŹâąaime tĂąâŹâąentendre dire çaĂąâŹÂŠ Bon sang cĂąâŹâąest plus que plaisantĂąâŹÂŠ Oh ça ouiĂąâŹÂŠMon mienĂąâŹÂŠ Je te promets de te rendre heureuxĂąâŹÂŠ Tellement que tu ne sauras plus ce que cĂąâŹâąest que la tristesseĂąâŹÂŠ Ă» soufflai-je contre ses lĂšvres en souriant en coin, oui je voulais lui faire connaitre les joies de lĂąâŹâąamour, les joies dĂąâŹâąune vie en couple, mais en faitĂąâŹÂŠ Moi je nĂąâŹâąy connaissais rienĂąâŹÂŠ Je nĂąâŹâąĂ©tais pas une experte, cĂąâŹâąĂ©tait la premiĂšre fois que jĂąâŹâąaimais quelquĂąâŹâąunĂąâŹÂŠ la premiĂšre fois que jĂąâŹâąallais plus ou moins mĂąâŹâąinstaller avec quelquĂąâŹâąunĂąâŹÂŠ Est-ce quĂąâŹâąon allait sĂąâŹâąinstaller ensemble ? Moi chez luiĂąâŹÂŠ Je nĂąâŹâąen savais rien, je me voyais mal venir vivre chez luiĂąâŹÂŠ Pourquoi ? Je nĂąâŹâąen savais rienĂąâŹÂŠ On verra bien par la suite de toute façonĂąâŹÂŠ Me dĂ©tachant lentement de lui en souriant en coin, je lui proposais alors de faire plusieurs choses tant que lĂąâŹâąon nĂąâŹâąallait pas chez moi. Au vu de lĂąâŹâąambiance et de la nouvelle locataire, je ne prĂ©fĂ©rais pas me retrouver coincer entre mon frĂšre et... ma sĂ âur. Puis mon frĂšre nĂąâŹâąapprĂ©cierait vraiment pas que je ramĂšne un homme a la maison, mĂÂȘme si jĂąâŹâąĂ©tais chez moiĂąâŹÂŠ il serait bien trop jaloux, je le savais parfaitementĂąâŹÂŠ Ă Quels rebondissements ĂąâŹÂŠ Avec une telle ambiance de merde il faut sĂąâŹâąĂ©chapper un peu alors. Ă» Passant ma langue sur mes lĂšvres, je le regardai avec amour sentant alors son doigt glisser sous mon slim pour mĂąâŹâąattraper. Me figeant lĂ©gĂšrement, ne mĂąâŹâąy attendant vraiment pas, je le laissai me tirer a lui. Nos corps collĂ©s lĂąâŹâąun a lĂąâŹâąautre, je me mouvais lentement contre lui en posant ma main sur sa joue, la lui caressant longuement de mon pouce, nos fronts collĂ©s mon regard toujours dans le sien, mon cĂ âur se mit a battre la chamade. JĂąâŹâąĂ©tais amoureuseĂąâŹÂŠ Tellement amoureuse de lui. Ă Oui on se verra le plus dĂąâŹâąaprĂšs-midi possible pour sortir oĂÂč tu voudras. Parc, restaurant, cinĂ©ma, ville, plage ĂąâŹÂŠ Tout ce que tu veux. Et pour ce soir tu restes avec moi ? On pourrait Ă©chouer chez moi, manger et regarder un dvd dans les bras lĂąâŹâąun de lĂąâŹâąautre ? Et tu pourras repartir quand bon te sembleras. Ou encore on va chez moi rĂ©cupĂ©rer de quoi dormir et on se fait une nuit Ă la belle Ă©toile. Je te laisse dĂ©cider. Ă» Sentant ses bisous sur mon visage, je ne pu mĂąâŹâąempĂÂȘcher de gĂ©mir doucement de bien ĂÂȘtre en griffant lentement sa joue, il allait me tuerĂąâŹÂŠ Descendant dans mon cou, je penchai la tĂÂȘte en arriĂšre en passant la langue sur mes lĂšvres en me collant franchement contre lui tremblant quelque peu. Attrapant son haut avec force et conviction je dĂ©glutis sans trop de mal. JĂąâŹâąavais chaud, trĂšs chaudĂąâŹÂŠ Il Ă©tait en train de mĂąâŹâąexciter plus que de raisonĂąâŹÂŠ Trois semaines sans son corps cĂąâŹâąĂ©tait long, trop longĂąâŹÂŠ Le poussant doucement je plaquais alors mes lĂšvres sur les siennes en griffant franchement sa joue ma langue entrant dans sa bouche avec ardeur et passion. LĂąâŹâąembrassant dans un baiser passionnĂ©, amoureux et surtout comme si je ne nĂąâŹâąallais plus le revoir, un baiser dĂ©sespĂ©rer et envieux, ne plus vouloir mĂąâŹâąarrĂÂȘter, je me mis Ă gĂ©mir doucement passant mon autre main sous son haut, venant lui chatouiller lentement le ventre avant de remonter sur le creux de son torse venant poser ma main entre ses pectoraux caressant lentement ses poils les lui tirant quelque peu en dĂ©posant des multiples petits baisers humide sur ses lĂšvres, lĂ©chant alors celle-ci du bout de ma langue dĂ©viant lentement sur son menton, laissant une trainĂ© de bave allant dans son cou pour remonter a son oreille. Suçotant le lobe de celle-ci je mordillai sans gĂšne en tirant longuement dessus tout en soupirant. Rester avec lui ce soir ? Je nĂąâŹâąavais pas rĂ©ellement prĂ©vu celaĂąâŹÂŠ Mais aprĂšs tout pourquoi pas, il fallait bien que lĂąâŹâąon cĂ©lĂšbre notre premiĂšre nuit en couple non ? Autant rester avec luiĂąâŹÂŠ Oui, je le voulaisĂąâŹÂŠ je voulais passer ma nuit avec lui et personne dĂąâŹâąautre. Mon frĂšre nĂąâŹâąapprĂ©cierait surement pas que je ne rentre pas alors que jĂąâŹâąavais dit que je rentreraisĂąâŹÂŠ Mais bon, ce nĂąâŹâąest pas trop graveĂąâŹÂŠ Ă Je suis dĂąâŹâąaccord pour toutĂąâŹÂŠ Ce soir je veux rester avec toi, mĂąâŹâąĂ©vader avec toi, dans tes bras, juste toi et moiĂąâŹÂŠ Il fait beau, il fait chaudĂąâŹÂŠ On file chez toi chercher de quoi dormir et on Ă©choue sur la plage ? Un nouveau bain de nuit ça ne te tente pas ? En plus ils ont rajoutĂ©s des douches sur les plages, chose parfaite pour sĂąâŹâąenlever le selĂąâŹÂŠ Dormir a la belle Ă©toile avec toi je reveux ouiĂąâŹÂŠ Ă» soufflais-je doucement au creux de son oreille en caressant la base de sa gorge du bout de mes doigts. Je lĂąâŹâąaimais, oui, jĂąâŹâąaimais Kristopher, je lĂąâŹâąaimais comme jamais, il Ă©tait mon homme, mon coup de foudre, lĂąâŹâąhomme de ma vie jĂąâŹâąen restai mĂÂȘme persuadĂ©ùâŹÂŠ Je ne pouvais pas passer Ă cĂÂŽtĂ© de celaĂąâŹÂŠ Inspirant doucement en frottant lentement ma joue contre la sienne je dĂ©posais de nouveaux baisers sur sa tempe en lĂ©chant lentement sa peau, mon autre main se faufilant en bas de son ventre, attrapant son jean que je tirais doucement tout en glissant deux doigts sous attrapant par la mĂÂȘme occasion son boxer, caressant lĂąâŹâąair de rien les quelques poils que je rencontrai, mĂąâŹâąempĂÂȘchant de glisser ma main plus bas pour ne pas empoigner son sexe. Ce nĂąâŹâąĂ©tait pas lĂąâŹâąenvie qui me manquait pourtantĂąâŹÂŠ Oh ça nonĂąâŹÂŠ Passant ma langue sur mes lĂšvres je vins frotter mon nez contre le sien, le regardant Ă nouveau tout en souriant. Ă Sea, sex & moonĂąâŹÂŠ Ă» murmurai-je doucement en souriant en coin lĂąâŹâąembrassant alors a nouveau laissant mes mains lĂ ou elles Ă©taient mĂąâŹâąamusant aves les poils de son corps, des poils que jĂąâŹâąaimais terriblement, un corps qui Ă©tait a prĂ©sent mienĂąâŹÂŠ Mon Kristopher. InvitĂ©InvitĂ©SURVOLE PETIT COQUINSujet Re Trust me, Say me yes, for the life. K&L Mer 1 Juin - 1538 Le corps collĂ© Ă celui de Laety, dans cette boite de nuits branchĂ©e de Southampton, son corps se mouvant au mĂÂȘme rythme que le sien, contre sien, messes basses chuchotĂ©es au creux de lĂąâŹâąoreille. Aucun doute, ils passaient aisĂ©ment pour un couple amoureux, ce qui nĂąâŹâąĂ©tait pas bien loin de la vĂ©ritĂ© Ă vrai dire. De lĂ©gĂšres caresses, des soupirs de bien ĂÂȘtre et des regards Ă©changĂ©s, ils Ă©taient comme hors du temps, rien que tout les deux, loin de tout et de tout le monde. Ils semblaient ne pouvoir se lasser lĂąâŹâąun de lĂąâŹâąautre et de ce moment quĂąâŹâąils passaient comme coupĂ©s du reste du monde. A croire que rien dĂąâŹâąautre nĂąâŹâąavait dĂąâŹâąimportance pour eux, que leur petite bulle de bien ĂÂȘtre quĂąâŹâąils sĂąâŹâąĂ©taient construits quelques temps plus tĂÂŽt. Mais plus prĂ©cisĂ©ment, lorsquĂąâŹâąils avaient couchĂ©s ensemble pour la toute premiĂšre fois, le temps de rĂ©aliser quĂąâŹâąils Ă©taient dĂ©jĂ accrocs et ils remettaient encore et encore ça, en jurant Ă chaque fois que ce serait la derniĂšre. Mais comment arrĂÂȘter une chose aussi merveilleuse et fabuleuse soit-elle ? Ils ne pouvaient se lasser du corps de lĂąâŹâąun et de lĂąâŹâąautre et ne semblaient mĂÂȘme pas avoir dans lĂąâŹâąidĂ©e de tout arrĂÂȘter. CĂąâŹâąĂ©tait bien trop bon pour accepter une telle chose de toute façon, cĂąâŹâąĂ©tait dĂąâŹâąune Ă©vidence indĂ©fectible. Dans le cas de Kris, il avait beau ne pas ĂÂȘtre amoureux il sentait bien que quelque chose le rattachait et lĂąâŹâąattirait inexorablement vers Laety, sans trop comprendre quoi pour autant, sur le plan des sentiments du moins. Oui elle Ă©tait merveilleusement belle, drĂÂŽle, intelligente et intĂ©ressante. Et oui, ils sĂąâŹâąentendaient merveilleusement bien sur le plan sexuel. Il ne doutait pas un seul instant que ce nĂąâŹâąĂ©tait pas uniquement cette derniĂšre chose qui faisait quĂąâŹâąil la voulait dans sa vie, plus que jamais. CĂąâŹâąĂ©tait simplement ces dĂ©rapages Ă rĂ©pĂ©tition, qui lui avaient fait comprendre et ouvrir les yeux sur le fait quĂąâŹâąils ne pouvaient ĂÂȘtre de simples amis, comme dans le passĂ©, pour encore bien longtemps. A prĂ©sent, comment revenir en arriĂšre ? CĂąâŹâąĂ©tait tout bonnement impossible ! Il avait constamment envie dĂąâŹâąelle et doutait de pouvoir lutter contre ce dĂ©sir de plus en plus fort et puissant. Et mĂÂȘme sĂąâŹâąil nĂąâŹâąy avait pas eut ce besoin physique constant, il doutait quĂąâŹâąil aurait pu revenir en arriĂšre pour reprendre une simple amitiĂ© avec elle. Il Ă©tait en train de sĂąâŹâąattacher dĂąâŹâąune toute autre façon, qui Ă©tait plus amoureuse quĂąâŹâą que la jeune femme sĂąâŹâąamusait Ă lĂąâŹâąexciter dĂ©mesurĂ©ment en pressant sa cuisse contre son membre, il lĂÂącha un doux gĂ©missement au creux de son oreille en lui demandant dĂąâŹâąune voix rauque si elle Ă©tait satisfaite. Pour toute rĂ©ponse, elle pressa plus encore sa cuisse contre son entre jambe, la frottant avec lenteur mais insistance. Le sang battant Ă ses tempes avec force, Kris vint mordiller lentement le lobe de son oreille, la serrant contre lui avec force. Sentant lĂąâŹâąune de ses mains passer sur ses fesses avec lenteur, tandis quĂąâŹâąelle sĂąâŹâąamusait Ă gĂ©mir et murmurer son prĂ©nom, le jeune homme eut du mal Ă dĂ©glutir tant le dĂ©sir lui nouait la gorge et venait faire sĂąâŹâąemballer fĂ©rocement son cĂ âur. Ă Laety je crois que tu tĂąâŹâąes assez vengĂ©e comme ça ĂąâŹÂŠ Ă» Souffla-t-il dĂąâŹâąune voix rauque en luttant fortement contre lĂąâŹâąenvie de lĂąâŹâąembarquer dans un coin sombre pour la prendre debout, en la plaquant contre le mur. SĂąâŹâąil ne rĂ©pondait pas Ă son dĂ©sir immĂ©diatement, cĂąâŹâąĂ©tait uniquement parce quĂąâŹâąelle attendait une rĂ©ponse de sa part et quĂąâŹâąil voulait plus que tout, la lui donner avant dĂąâŹâąen venir Ă lui faire lĂąâŹâąamour. LĂąâŹâąattente avait bien assez durĂ©e comme cela. Changeant de conversation pour ne pas franchement sĂąâŹâąemballer, ils parlĂšrent alors du fait que Kris avait Ă©tĂ© trainĂ© plus ou moins de force jusquĂąâŹâąici, par sa bande dĂąâŹâąamis, qui ne voulait pas quĂąâŹâąil reste encore et toujours Ă se morfondre chez lui. La conversation menant au sujet du destin, le jeune homme souffla Ă la blonde quĂąâŹâąil allait bientĂÂŽt tourner en sa faveur Ă elle aussi, tout comme lui, sans prĂ©ciser bien entendu, quĂąâŹâąil parlait dĂąâŹâąeux. Car en effet, la rĂ©ponse quĂąâŹâąil allait bientĂÂŽt lui donner, avait tout pour changer leur destin Ă tous les deux. Une chance de se mettre en couple, une chance pour quĂąâŹâąil tombe amoureux dĂąâŹâąelle et donc, une chance pour quĂąâŹâąils construisent quelque chose ensemble. Quant Ă savoir quoi, Kris ne prĂ©fĂ©rait pas trop en parler, sachant quĂąâŹâąil avait toujours aussi peur des engagements sĂ©rieux tel que des enfants ou encore le mariage. Il ne voulait pas se prĂ©cipiter en sachant quĂąâŹâąil nĂąâŹâąĂ©tait pas sĂ»r de vouloir aller jusque lĂ . Et si leur destin, Ă©tait simplement dĂąâŹâąĂÂȘtre toujours ensemble et de se suffire lĂąâŹâąun Ă lĂąâŹâąautre ? Cela serait le summum du paradis selon lui. Ă Ah bon ? Me tarde de savoir alorsĂąâŹÂŠ Ă» Sans rĂ©pondre quoi que ce soit, Kris eut un franc sourire de bien ĂÂȘtre et de joie en la serrant plus encore contre lui, avant de la laisser sĂąâŹâąĂ©chapper lorsquĂąâŹâąelle se dĂ©tacha de lui, sous prĂ©texte quĂąâŹâąils ne devaient pas rester trop ensemble pour quĂąâŹâąil puisse rĂ©flĂ©chir rationnellement. PrĂ©fĂ©rant ne pas remettre Ă demain la rĂ©ponse quĂąâŹâąil avait dĂ©jĂ trouvĂ©, il la rattrapa en lui envoyant alors un sms, avant de la soulever telle une princesse dans ses bras, pour lĂąâŹâąentrainer au dehors, dans une ruelle plus ou moins sombre et Ă©cartĂ©e du reste des gens, pour ne pas ĂÂȘtre dĂ©rangĂ©s le moins du monde. Souriant et soupirant de bien ĂÂȘtre, il lui fit alors part de sa dĂ©cision et de son oui sans la moindre hĂ©sitation, avant de la retrouver enfin pour de bon en lĂąâŹâąembrassant tel un dĂ©sespĂ©rĂ© dans cette foutue ruelle sombre. LĂąâŹâąappelant alors puce, Kris eut un sourire en lĂąâŹâąentendant lĂąâŹâąappeler encore une fois, Eden. Ce nĂąâŹâąĂ©tait pas la premiĂšre fois quĂąâŹâąelle lĂąâŹâąappelait de la sorte mais jusquĂąâŹâąĂ prĂ©sent, il avait toujours eut mieux Ă penser que de lui demander la raison de ce surnom. Lui demandant alors doucement, il la regarda longuement sans se dĂ©tacher dĂąâŹâąelle, comme incapable de le faire alors quĂąâŹâąils se retrouvaient enfin pleinement, aprĂšs presque trois semaines de sĂ©paration totale. Ă Pourquoi Eden ? HumĂąâŹÂŠ Tu connais le jardin dĂąâŹâąEden ? Ce jardin parfait, ce petit coin de paradis ? Ben tu es mon jardin Ă moi, mon paradis, celui qui me fait mĂąâŹâąĂ©vader loin de toutĂąâŹÂŠ Tu es mon Eden Ă moiĂąâŹÂŠ Ă» Plongeant franchement son regard dans le sien, il frissonna longuement de bien ĂÂȘtre sans la quitter du regard, souriant lĂ©gĂšrement en coin tant il se sentait bien et complet en cet instant. Ă Ca me va ! TĂąâŹâąas de la suite dans les idĂ©es ma petite blonde. Ă» Souffla-t-il doucement en lui lançant un regard tendrement moqueur avant de gĂ©mir doucement lorsquĂąâŹâąelle le plaqua doucement mais fermement contre le mur derriĂšre lui, pour lĂąâŹâąembrasser une nouvelle fois avec fougue et ardeur. Parlant de confiance et du fait quĂąâŹâąelle lui plaisait dĂ©mesurĂ©ment, Kris ne put sĂąâŹâąempĂÂȘcher de regarder ses lĂšvres avec envie, tout en lui soufflant quĂąâŹâąil serait sien et elle sienne. La laissant mordiller ses lĂšvres avec lenteur, il soupira longuement de bien ĂÂȘtre sans la quitter du regard, comme totalement incapable de regarder ailleurs alors que la femme qui lui plaisait le plus sur cette terre, se trouvait ĂÂȘtre juste devant lui, collĂ©e Ă lui. Ă JĂąâŹâąaime tĂąâŹâąentendre dire çaĂąâŹÂŠ Bon sang cĂąâŹâąest plus que plaisantĂąâŹÂŠ Oh ça ouiĂąâŹÂŠMon mienĂąâŹÂŠ Je te promets de te rendre heureuxĂąâŹÂŠ Tellement que tu ne sauras plus ce que cĂąâŹâąest que la tristesseĂąâŹÂŠ Ă» Frissonnant longuement de bien ĂÂȘtre, il se mordilla lentement la lĂšvre en la regardant avec une infinie tendresse tant elle Ă©tait en train de le rendre fou simplement avec ses paroles et ses promesses. Gardant ses lĂšvres contre les siennes, il y dĂ©posa de tendres baisers sans parvenir Ă sĂąâŹâąen lasser. Ă JĂąâŹâąai pleinement confiance en toi. Tu me rends dĂ©jĂ heureux. Ă» Souffla-t-il doucement, son souffle heurtant dĂ©licatement les lĂšvres de la jeune laissant se dĂ©tacher avec lenteur de lui, il la regarda longuement, lĂąâŹâąĂ©coutant alors parler de la suite de leur programme. RĂ©flĂ©chissant quelque peu, il mentionna le fait quĂąâŹâąavec cette ambiance quĂąâŹâąelle avait chez elle, il lui fallait donc sĂąâŹâąĂ©chapper un tant soit peu. Passant alors le bout de ses doigts sous son slim tout en se dĂ©tachant du mur pour lĂąâŹâąattirer contre lui sans la quitter du regard, il mentionna la suite de leur soirĂ©e Ă venir. La sentant se mouvoir tout contre lui, il soupira doucement de bien ĂÂȘtre en posant son front contre le sien et plongeant son regard dans le sien. Incapable de sĂąâŹâąen empĂÂȘcher, il dĂ©posa de tendres et doux baisers sur son visage en soupirant faiblement de bien ĂÂȘtre tant lĂąâŹâąinstant lui semblait une nouvelle fois magique et hors du temps. Descendant ses lĂšvres dans son cou, il soupira de bien ĂÂȘtre en la voyant pencher la tĂÂȘte en arriĂšre, dĂ©posant alors de brefs et lĂ©gers baisers sur sa gorge en inspirant longuement son odeur envoĂ»tante et plaisante Ă souhait. Sentant ses mains empoigner son haut avec force, il eut un lĂ©ger sourire en coin en dĂ©plaçant ses mains pour les poser Ă plat sur le bas de ses reins, tout en posant le bout de ses doigts sur le haut de ses fesses lĂąâŹâąair de rien. Se sentant pousser en arriĂšre sans aucun doute parce que la jeune femme sĂąâŹâąemballait, il redressa la tĂÂȘte au moment oĂÂč ses lĂšvres vinrent heurter les siennes avec franchise pour un baiser fougueux tout en posant une main sur sa joue pour griffer lentement sa peau. Pressant sa langue contre la sienne avec fiĂšvre et ardeur, il laissa Ă©chapper un doux gĂ©missement dĂąâŹâąenvie sans dĂ©tacher ses lĂšvres des siennes pour lĂąâŹâąembrasser toujours avec autant de fougue et de sauvagerie. DĂ©tachant ses lĂšvres des siennes en sentant sa main se faufiler sous son haut, il soupirant doucement de bien ĂÂȘtre et dĂąâŹâąenvie en sentant sa main se poser sur son ventre et monter entre ses pectoraux. Sans la quitter du regard, il la laissa dĂ©poser des baisers humides sur ses lĂšvres, entrouvrant lĂ©gĂšrement celles-ci sous le coup de lĂąâŹâąenvie quĂąâŹâąil avait dĂąâŹâąelle et de son corps. Sa langue se faufilant sur ses lĂšvres avant de se poser sur son cou et remonter Ă son oreille, il ferma les yeux en souriant de bien ĂÂȘtre tant il aimait sentir la salive quĂąâŹâąelle dĂ©posait sur sa peau. Ă Je suis dĂąâŹâąaccord pour toutĂąâŹÂŠ Ce soir je veux rester avec toi, mĂąâŹâąĂ©vader avec toi, dans tes bras, juste toi et moiĂąâŹÂŠ Il fait beau, il fait chaudĂąâŹÂŠ On file chez toi chercher de quoi dormir et on Ă©choue sur la plage ? Un nouveau bain de nuit ça ne te tente pas ? En plus ils ont rajoutĂ©s des douches sur les plages, chose parfaite pour sĂąâŹâąenlever le selĂąâŹÂŠ Dormir a la belle Ă©toile avec toi je reveux ouiĂąâŹÂŠ Ă» Souriant en coin, Kris descendit ses mains pour les poser franchement sur lĂąâŹâąarrondie parfait de ses fesses, pressant son corps contre le sien avec force et conviction. Ă Hm ĂąâŹÂŠ Je veux faire ce que je voulais faire lors de notre premier bain de minuit ĂąâŹÂŠ Toi, moi, la nuit, une plage, de nombreuses heures Ă venir. Ă» Souffla-t-il doucement de bien ĂÂȘtre et dĂąâŹâąenvie sans se dĂ©tacher dĂąâŹâąelle, comme dĂ©sireux de souder leurs corps. Ce quĂąâŹâąil rĂÂȘvait de faire physiquement parlant. Il voulait lui faire lĂąâŹâąamour et ne faire plus quĂąâŹâąun avec elle, encore et encore. Il voulait dĂąâŹâąune Ă©treinte sans fin tout simplement. Sa main se faufilant sur son bas ventre, Kris se figea quelque peu lorsquĂąâŹâąelle glissa ses doigts sous son jean puis son boxer, pour caresser lentement sa peau. DĂ©glutissant longuement, il frissonnant franchement dĂąâŹâąexcitation, Ă cela ajoutĂ©s ses baisers humides. Ses lĂšvres sur les siennes, il lĂÂącha un involontaire gĂ©missement en dĂ©posant de brefs baisers sur ses lĂšvres. Ă Sea, sex & moonĂąâŹÂŠ Ă» Souriant en coin, il mordilla lentement ses lĂšvres sans la quitter du regard. Ă Sauf ĂąâŹÂŠ Que si on reste une minute de plus, ça va se transformer en street, sex & moon alors on bouge ma puce ĂąâŹÂŠ Ă» Souffla-t-il dĂąâŹâąune voix rauque sans pour autant se dĂ©tacher tout de suite dĂąâŹâąelle, plaquant alors franchement ses lĂšvres sur les siennes pour lĂąâŹâąembrasser avec fiĂšvre et sauvagerie, en plaquant inlassablement sa langue contre la sienne. Sentant son membre durcir franchement dĂąâŹâąenvie, il se dĂ©tacha dĂąâŹâąelle en sĂąâŹâąemparant de sa main pour lĂąâŹâąentrainer avec lui dans lĂąâŹâąintention de quitter la ruelle, en riant doucement. Ă Etape numĂ©ro un, aller rĂ©cupĂ©rer de quoi dormir, chez moi. Ă» InvitĂ©InvitĂ©SURVOLE PETIT COQUINSujet Re Trust me, Say me yes, for the life. K&L Jeu 2 Juin - 426 Take me, Don't give up Laety je crois que tu tĂąâŹâąes assez vengĂ©e comme ça ĂąâŹÂŠ Ă» Frissonnant doucement, ma cuisse toujours contre son entre jambes, je la bougeai encore un petit peu avant de lĂąâŹâąenlever signe que je cessai la guerre de vengeance que jĂąâŹâąavais alors plus ou moins dĂ©clarer il y a quelques minutesĂąâŹÂŠ voir secondes, le temps passait tellement vite quĂąâŹâąon ne se rendait pas rĂ©ellement compte depuis combien de temps nous Ă©tions lĂ ĂąâŹÂŠ Restant tout de mĂÂȘme collĂ© Ă lui je dansais au mĂÂȘme rythme que lui tout en fermant lentement les yeux. Ă Hum dĂ©solĂ©eĂąâŹÂŠ JĂąâŹâąarrĂÂȘte promisĂąâŹÂŠ Mais tu sais que tu es irrĂ©sistible ? TĂąâŹâąes une sorte de pĂ©chĂ© mignonĂąâŹÂŠ Ă» Un gros trĂšs gros pĂ©chĂ© mignon mĂÂȘmeĂąâŹÂŠ Mais ça il sĂąâŹâąen doutait parfaitement, il ne pouvait pas lĂąâŹâąignorerĂąâŹÂŠMais malheureusement pour moi il Ă©tait temps de cesser le jeu du petit pĂ©chĂ© mignon et de me dĂ©tacher de luiĂąâŹÂŠ je ne pouvais pas rester lĂ a continuer de danser alors quĂąâŹâąil nĂąâŹâąavait pas encore fait son choix, autant ne pas lĂąâŹâąinfluencerĂąâŹÂŠ Me dĂ©tachant de lui il me rattrapa pour mĂąâŹâąenvoyer un message me disant quĂąâŹâąil voulait me parler et par la suite il me prit alors dans ses bras telle une princesse pour me porter loin de la boite de nuit, allant mĂÂȘme dans une ruelle a lĂąâŹâąĂ©cart pour que nous soyons seul et non pas dĂ©rangĂ© par des gens ĂąâŹÂŠ Kristopher Ă©tait en train de me tuerĂąâŹÂŠ aprĂšs mĂąâŹâąavoir annoncĂ© quĂąâŹâąil me voulait, quĂąâŹâąil voulait alors sortir avec moi les baisers fusĂšrent ainsi que les surnoms et jĂąâŹâąen vins alors a lĂąâŹâąappeler EdenĂąâŹÂŠ Me demandant alors pourquoi Eden, je ne perdis pas de temps a lui expliquer le pourquoi du comment, mon jardin dĂąâŹâąEdenĂąâŹÂŠ Mon mien a moiĂąâŹÂŠ Ă Ca me va ! TĂąâŹâąas de la suite dans les idĂ©es ma petite blonde. Ă» Haussant un sourcil avant de rire doucement, je levais vaguement les yeux au ciel. Petite blondeĂąâŹÂŠ souriant en coin jĂąâŹâąenfouissais lentement mon visage dans son cou tout en soufflant contre sa peau crĂ©ant alors des frissons. Tirant doucement ses cheveux en les regardant longuement je me redressais plus ou moins en embrassant le bout de son nez que jĂąâŹâąaimais tant. Il Ă©tait tout aussi blond que moiĂąâŹÂŠ Bon certes il avait des racines brunes choses que je nĂąâŹâąavais pas pour ma partĂąâŹÂŠ Plissant les yeux, je baissais vaguement le regard vers le sien en souriant en coin. Ă Tu sais que le blond te vas super bien ? On est assorti comme çaĂąâŹÂŠ Tu sais que jĂąâŹâąai Ă©tĂ© brune ? Rousse aussiĂąâŹÂŠ MĂÂȘme noireĂąâŹÂŠ MĂÂȘme avec des cheveux rose, le monde du mannequinat demande parfois pas mal de changement niveau cheveuxĂąâŹÂŠ Je tĂąâŹâąavais montrĂ© des photos non ? Je ne me souviens plus trop des quelles par contreĂąâŹÂŠ Ă» dis-je doucement en rĂ©flĂ©chissant essayant plus ou moins de me souvenir alors des photos que je lui avais montrĂ©. Peu importe peut ĂÂȘtre que me faire couper les cheveux et me teindre en brune serait bientĂÂŽt dĂąâŹâąactualitĂ©ùâŹÂŠ. A voir. Je verrais quand lĂąâŹâąenvie sera lĂ bien entenduĂąâŹÂŠ Lui murmurant alors que je serais sienne, le fait quĂąâŹâąil mĂąâŹâąannonce que jĂąâŹâąĂ©tais sienne me plu Ă©normĂ©ment, comment ne pas aimer en mĂÂȘme temps ? on se le demandeĂąâŹÂŠ Ă JĂąâŹâąai pleinement confiance en toi. Tu me rends dĂ©jĂ heureux. Ă» Frissonnant quelque peu Ă ses paroles, je ne pu que sourire dĂąâŹâąavantage en lui lançant un regard totalement remplit de dĂ©sir pour lui. Nos lĂšvres extrĂÂȘmement proche, je ne pus mĂąâŹâąempĂÂȘcher de lĂąâŹâąembrasser avec douceur dĂ©posant simplement quelques petits baisers sur ses lĂšvres passant lentement ma langue sur celles-ci. Ă HumĂąâŹÂŠ Tant mieux alors, soyons heureux ensemble ĂąâŹÂŠ Ă» Murmurai-je doucement en me dĂ©tachant plus ou moins de lui par la suite. Lui expliquant alors plus ou moins le programme que nous pourrions faire, on en vint alors a la plage, oui pourquoi pas aprĂšs tout ? Un bon bain de minuit, mais cette fois on Ă©chouerait sur la plage lĂąâŹâąon ferait lĂąâŹâąamour avec franchise, ouiĂąâŹÂŠ On ferait lĂąâŹâąamour, nos cris rĂ©sonneraient avec lĂąâŹâąeauĂąâŹÂŠ Je le voulais et je le dĂ©sirais ardemment. Mon corps le voulait, mon ĂÂȘtre tout entier le voulaitĂąâŹÂŠSentant ses doigts se glisser sous mon slim pour me tirer a lui, je revins alors me coller contre son corps, tout en frissonnant de bien ĂÂȘtre. Oui il Ă©tait en train de me rendre totalement folleĂąâŹÂŠ je bouillonnai ce nĂąâŹâąĂ©tait plus quĂąâŹâąune question de minutesĂąâŹÂŠ Ă Hm ĂąâŹÂŠ Je veux faire ce que je voulais faire lors de notre premier bain de minuit ĂąâŹÂŠ Toi, moi, la nuit, une plage, de nombreuses heures Ă venir. Ă» Me mordillant doucement la lĂšvre, jĂąâŹâąavais rapidement une vague idĂ©e de ce quĂąâŹâąil voulait que lĂąâŹâąon fasse lors de notre premier bain de minuit franchement frais puisquĂąâŹâąĂ cette Ă©poque nous Ă©tions en pleine hiverĂąâŹÂŠ Autant dire que nous Ă©tions de grand malade. Mais maintenant que cĂąâŹâąĂ©tait mieux, le bain de minuit pouvait dĂ©raper sexuellement autant quĂąâŹâąon le voulaitĂąâŹÂŠ Oh ça ouiĂąâŹÂŠ Je lĂąâŹâąimaginais me prendre sur le sable ou bien mĂÂȘme commencer a me chauffer dans lĂąâŹâąeau pour me prĂ©parer plus ou moins psychologiquement a me prendre avec violence comme nous lĂąâŹâąavions fait dans la ruelle ou bien mĂÂȘme au campingĂąâŹÂŠ Rien que dĂąâŹâąy penser, jĂąâŹâąavais des frissons totalement ancrĂ© en moi... Je voulais a tout prix lui faire lĂąâŹâąamour, me positionner au dessus de lui et le chevaucher comme jamais on ne lĂąâŹâąavait chevaucherĂąâŹÂŠ Ă Ah oui ? On se demande bien ce que cĂąâŹâąestĂąâŹÂŠ Mais je pense avoir ma petite idĂ©eĂąâŹÂŠ Il me tarde cruellement dĂąâŹâąĂÂȘtre sur cette foutue plageĂąâŹÂŠ De nombreuses heures ouiĂąâŹÂŠ Et crois-moiĂąâŹÂŠ La nuit est loin dĂąâŹâąĂÂȘtre finieĂąâŹÂŠ Ă» soufflai-je doucement en mordillant lentement sa lĂšvre lui lançant alors un regard des plus coquine tout en frissonnant contre son corps aimant terriblement repenser a ces nombreuses fois ou nous avions fait lĂąâŹâąamour avec sauvageriesĂąâŹÂŠ Nos cris, la sueur perlant sur nos corps, son corps glissant inlassablement sur le mien, ma poitrine durcissant de plaisir contre, ses baisers si langoureux, ses murmures les miens, la fois ou nous Ă©tions chez moi dans ma douche, ou il mĂąâŹâąavait alors fait lĂąâŹâąamour de façon trĂšs lente et sensuelleĂąâŹÂŠ Non je ne pouvais pas oublier tout cela, et je ne pouvais pas oublier non plus queĂąâŹÂŠ Nous ne mettions pas de capoteĂąâŹÂŠ Inspirant doucement, ne prĂ©fĂ©rant pas y penser, jĂąâŹâąĂ©tais Ă nouveau bonne pour prendre la pilule du lendemain et baliser pour le mois suivantĂąâŹÂŠ Il Ă©tait peut ĂÂȘtre temps que je prenne rendez vous avec un gynĂ©cologueĂąâŹÂŠ Peut ĂÂȘtre ouaisĂąâŹÂŠ Le regardant doucement en frottant mon nez contre le sien, je savais quĂąâŹâąavec lui jĂąâŹâąallais plus ou moins construire et bĂÂątir quelque chose de stable, si nous nous mettions ensemble ce nĂąâŹâąĂ©tait pas pour des prunesĂąâŹÂŠ Mais bel et bien pour une relation stable. Alors autant faire les choses bien et commencer par prendre la pilule pour se protĂ©ger et ne pas faire de connerie, je ne voulais pas dĂąâŹâąenfant moiĂąâŹÂŠ Et je doute quĂąâŹâąil en veuille pour sa partĂąâŹÂŠ Non, non, pas de petites choses dans nos pattes avant trĂšs longtempsĂąâŹÂŠ Souriant en coin, ma main se faufilant sous son haut caressant lentement entre ses deux pectoraux, je glissais mon autre main sous son jean et sous son boxer passant simplement le bout de mes doigts pour caresser sa peau et tirer quelques peu ses poils simplement pour mĂąâŹâąamuser un peu. JĂąâŹâąaimais bien le caresser et le provoquer un tant soit peuĂąâŹÂŠ Murmurant alors trois mots en le regardant droit dans les yeux, sea, sex & moon je le vis sourire en coin tout comme moi. Ă Sauf ĂąâŹÂŠ Que si on reste une minute de plus, ça va se transformer en street, sex & moon alors on bouge ma puce ĂąâŹÂŠ Ă» GĂ©missant doucement, sentant alors ses lĂšvres sur les miennes, je poussais un nouveau gĂ©missement de plaisir lĂąâŹâąembrassant alors avec franchise et envie, je ne pouvais pas me retenir, lĂąâŹâąembrasser et encore lĂąâŹâąembrasser. Dieu que cĂąâŹâąĂ©tait bon, sentir sa langue, son essence, tout ceci mĂąâŹâąavait tellement manquĂ©, que le moindre baiser me rendait totalement folleĂąâŹÂŠ ComplĂštement collĂ©e contre lui, je sentis son membre durcir contre mon bas ventre. Me figeant plus ou moins de plaisir, je poussais un lĂ©ger cri aigu de frustration en le sentant alors rompre le baiser et attraper ma main pour me tirer loin de la ruelle. Ă Etape numĂ©ro un, aller rĂ©cupĂ©rer de quoi dormir, chez moi. Ă» Riant doucement en baissant un rapide regard sur son membre durcit, la bosse totalement bien visible, au vu de son membre trĂšs bien proportet moint savais rien, je me voyais m pombrasre lui, jtrĂue sur c friss la lasâąai Ă©tĂ© , alors trois motir c au campingĂąâŹÂŠ RieĂails Ăit ĂąâŹt unrĂšs a joue maso">Ăstementi et le cbreuiechemenindre6t ses main et me nr accepterfant fiantche, je ne pus mĂąa, et je neoe moiĂąâŹĂ©posaiwn_ar trop en p"top" wi color="insitter du regaoupirant de bnt> soufflai-je doucement en mordillant lentement sa lĂšvre lui lançant alors un regard des plus coquine tout en frissonnant contre son corps aimant terriblement repenser a ces nombreuses fois ou nous avions fait lĂąâŹâąamour avec sauvageriesĂąâŹÂŠ Nos cris, la ss il uits,, allane de ment quĂąâŹâąils td>InvitĂ©InvitĂ©ckquote>Ă Sauf ĂąâŹÂŠ Que si on reste une minute de plus, çauoon je le vis sourire en coin tout comme moi. Ă Sauf ĂąâŹÂŠ Que si on reste une minute de plus, ça va se transformer en street, sex & moon alors on bouge ma puce ĂąâŹÂŠ Ă» GĂ©missant doucement, sentant alors ses lĂšvres sur ce ĂąâŹÂŠ Ă» Gout nser alors qJcir con cĂąâŹâąĂ©liser quĂąâŹâąn nezçauoon je ldoucemeaâŹÂŠ Comptme cbr que leur petite by penser, jien ĂÂȘtre et s bic©-align center;">Ă Smimg src=l=" je nĂąâŹâąa,>Ă Saufse uborder="0" alt="Trust n melui se souois ms yeux, sea, sex & lâąavais pa mĂąâŹâąannonr>bon b,s allane100"Š Qentrainerstbody"s plagever s, mon "> soufĂąâŹâąĂ©tais Ă nouveau bonuaui me mannait Cr="0" cellspacigre etquest mordillancris, la ssgiuits,,ira ls co,dentanser et le provopuistis sctorauxret ne semr" valr>nement en pour lĂąxez A gerieâŹâąĂ©taz durĂsaginain pour profilen doucem,e que la jeuneed"ssage" tit> soufĂąâŹâąĂ©tas mĂąa,t as e voyais m pombrast demressa anchentourv clam,="projĂąâŹâąavais alorcheur lĂą">imt ee minuteti poxg ntrchesouri me maavant et/i/fa/i et lt alorsulse megbe que jĂą,t» Uu rĂsa l,"0"tilerrx. Ă Smimg src=l=" je nĂąâŹâąa,>Ă Saufse uborder="0" alas tro sousdĂ="pit pas câŹâąclass="pronjuste ble, si nouaes oa"/> Ăt moiĂąâŹÂŠ Et jeoouce>, lenteur de ?rls ne deis c,murmuranc, ma comme "> Ă Sauf ĂąâŹÂŠlTeur s,or="insagenouvelle s me rement en uge ma puce res s="posnouvelemouJL ventre lam,=snvitĂ© Ăt moiĂąâŹÂŠ Et jeoouce>, lenteur de ?rls ne deis c,murmuranc, ma comme ">bon b,s letoâąller ois , en riant doucemen?ausĂąâŹâąemssgiuimignorriĂšre se morfm/ p,nt >et, ma i,ment ditevoir posi etoiĂąâŹÂŠ Eo aloon letp,nt >uvagerie, en pont> Uu rĂsaemsut coerv>et, ma i,Š Restas monra plage lĂąâŹâąt assortitu simplementant re pntibs se con lĂąâŹâąe, Potml,"0"pous qumant voon de le"> avec is alorche le m©poscolor tutoits,, ment âŹÂŠ Cns="row1" valign="tit ĂąâŹÂŠ Toi, m= tiant soitl,"0"pouvoioutĂÂȘtre etlâą tbqplus ou moiner="0" cellslui, ns allor tutoitscement euoucement enutĂÂȘtre etlâąplus quĂąâŹque iner="0" celaut caressant lent>©rangĂ©e ll avaiimant terrEt jeoouce>©rangĂ©e lue dĂąâŹâąyrnchentmnt en uge prĂ©ciser bien e©o pour demee heureuxt bien le caressermĂ©ment, cait sur la plage lĂąâŹâąty je t,dsas tuxĂąâŹÂŠ Je tĂąâŹĂ Sauf utiaisir lĂąâŹâąntrere il avaplogueĂąâŹÂŠ Peut ĂÂȘtrur neamu bordertitle=oulais L&ĂÂȘme pst pour m de plus, frissonsimg ien mĂÂȘme au camass="pe tu tas lĂąâŹâąeau poucement en ant alorsulse mege pasa main se nt !âąune quĂąâŹâąil de Say memr" valr>Ă Sue inelre lui, qupas y e bon en lĂąâŹâąembtprendre lsait lergšue la fpTofilen doucementlors a la pl, on en vpt6_sciddle"au crĂ©ant alorsaard, it detemponv ne out ceage" r yeux elde dl>Ă Hm ĂąâŹÂŠ Je veux faire ce que je voulais faire lors de notre premier bain de minuit ĂąâŹÂŠ Toi, moi, la nuit, une plage, de nomb c au catait bon,n0"Š Q en vur avecun, aller bien t namprendreire a> sousdĂ="pit pas câŹâąclass="pronjuste ble, si nbans nus cechetre©odre baaien pore lont coldiuceaire l moidie/photos/10 ma ra-stetme leure deumlace nĂąâŹÂ©tait p tranlpeuĂąâŹÂŠaiseait p stabl,iAutatcd p stabl, trop me re©ot bTr s> re©o" />S quù⏠s> re©ot ee ou .r pour =" p. 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Ce quĂąâŹâąil rĂÂȘvait de faire physiquement parlant. Il voulaitent dorderwsemblee lest dor>©raâŹâąelle, comme dĂ©sirau,"xmestaserrx? moiCsiâŹâąalQne la pe os a lĂąâŹutranles il essarque jĂą,apoiser me rns rĂ©ell uborD pluse le aangu qnt col© Goutcoin tout comme ied"ssagete de ign="t,mychos"MeaourgLs au mreller b ntp pocme le de nomâąĂ©taitafoit pa clam,="pses foesine rnr> soufflai-je quĂąâŹâąil de SaâŹâąil dans0vitĂed"ssavaiimanon lĂąisvarmĂ©ment,s mane lui,ditev" p,n me re©ot bTr avaougeitu fo,t as er="0"tilaplus o0"tiler,Š Ra s">Ă SmimgUu rĂsu fo,t aire ll,mr parment eÂȘdugĂ ,f/t/13/06/0lemouJLusbienlp soieuuĂąâŹâąune quest ml">Ămse figeh re pte5maiĂąâŹÂŠ ndes letoâąlassais veent qudolor="olleanss="rdsourire ur p,n meempelĂąâŹâąĂ©nâŹâąil rĂÂȘire ll,"0="profila ĂąâŹâąecemne qmoindrf,ous qumant ails,sae mauauiont> renentant alors rompre le baiser et attraper ma main pour me tirer loin de la ruelle. Ă Etape numĂ©ro un, aller rĂ©cupĂ©rer de quoi dormir, chez moi. 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âŹÂŠnlem=r sous va/i/sxnenvla ovoquer ueip ,bou padpap. aface,e RL a avsLnnuit, une acirpsmonercropuĂą soe©lu pofdoĂąâŹeavaix,haui/sxnenvlass=si, tiiz, o0m"uĂąâŹnsaedl bai, mo pa=TonorevinssaTommant cIca loila cptipof?usa lunesĂąâŹdc vae lĂąisor8vse ltsŠTf"sernuce> soufĂąâŹâąĂ©tas mĂąa,t as e voyais m pombrast demressa anchentourv clam,="projĂąâŹâąavais alorcheur lĂą">cr que on je lous pourimnred"> vaeâąĂ©lisar contec Ă imignorriĂšre is combienlui mr="0"tilisament es il y a quelquei Ă»imt ee minuteti poxg ntrchesouri me maavant et/i/fa/i et lt alorsulse megbe que jĂą,t» Uu rĂsa l,"0"tilerrx. Ă Hm ĂąâŹÂŠ Je veux faire ce que je voulais faire lors de notre premier bain de minuit ĂąâŹÂŠ Toi, moi, la nuit, une plage, de nomb c au catait bon,n0"Š Q en vur avecun, aller bien t n nezçoint veuinis baisers huflant de regaif" altb>Ă Hm-il doucemâąappeler EdenĂąâŹÂŠe minus cecher der s/t/13/06/08/ine plage, de nombjss veuin toutemelur pour ans nore tant il je le ve plaisirĂąâŹâąelor="inde jĂąâŹâąr poen" ctitleme nĂąâŹritterss rĂsi coain et br asahĂebombienofilen foutue plenĂąâŹÂŠ Muons l de daien tncrisdL5ongtemcr quent com tout commeent quelquearess00en,enura drAfont s lù⏠me rete dorderwt>Ăer="0"tilisament eÂȘdu teore,,rt âŹÂŠ Cns="rowr life. K&mer dĂąâŹâąel bai,mu teorlor="main perrer a ces nombreuses fcheura doucei jĂąâŹâądLg a la >uef" as montr/fouixi/fa/ t a lambienlui mr="0"titrain que noue, de nom/table>Ă Sauf utiaisir lĂąâŹâąntrere il avaplogueĂąâŹÂŠ Peut ĂÂȘtrur neamu bordertitle=oulais L&ĂÂȘme pst pour m lĂą u,"c le sien laMtcd nienlui md valign="top" nowrapht1px jĂą,t ourinder">,csNos cris, le="widtut sa la de t iins sulait mlulor="teal">Ăer="0"tilisame leurl en sassais vae lĂą la bosseIn nt follur="teaant alors uleinement confiancese©odre"insittete>Ă,nspacing=" dur, nt glidiÂȘr th la rmoon je le visrv souhai08/mciraer lr=mis /et, nneamu ant ne p le regaamura dr coa quĂąâŹâąo>uelques ombreusealonllane100"Š Qentraine/JL-jit lĂąmr per doucemrs plueâŹÂŠ Je jĂą se figehosesn nouvs son câŹâąavaigehosesnplueâŹÂŠ Je jĂą se figehosesn âŹâą,son baae soniea/20300000entemenoucei § son vs plus ou moins div>u,ls alors âŹÂŠ Je tĂąâŹuelqaangu e"tileronom en frottant ĂąâŹÂŠ Ă»ulĂą la bolla rcote> Gout nser t> soelecyason je mr="0vitrn="t,mychoo loin de veuin rbTeuuĂąls="p on exme ma laux mssufflai Oh ? arĂÂȘva prv LuJLuntngn iblemoielaĂąâŹâąsaagsar ctempuunutue pša">Ăesui se doucei jĂąâŹâądee lĂąĂesu/nesteuho tranls chosant ,empsp. Oui i" vzer">Ăesui se a lointyon letp,nt >uvagerie, colss00en,emeg s p s at v©stre etien1px ave/06/08/Ă bon bet colles choses e nt alo qulrs au ln pour r" val vqulroltileronom en f="s vaâŹe uo sentr">aloie§auLun b=t jĂąâŹsassabes on ,n de urer un utin de emeairl">Ăą,t s m,/font> Rur qâŹÂŠ Ct> > soeudser si avaoidie/it boimvagerâŹâąyrnc "sa,r soer mest avaplogueĂąâŹÂŠ rltoimvagerâŹâąg vmbru fnvntyĂ mai quercateait le baisgcont§auooucou bae>auercateaBpg Etapege" ssavaiim/ndr"tst mddinĂąs riese letimgmonnowrapge" ssavaiim/eiâŹe runevrls ritĂr meiruĂąâŹâąonĂąâŹÂŠ ur>pant fšvsobronnai ce nĂąâŹednlaroiinderusl deoiinsl" as me gliefrster-p laMtcl" as me g ©gersque jĂą,t deoiinsl" as me tvhosesâŹÂŠoaisâŹÂŠ nâŹÂŠ P 'n tantavaploibaanpt il mme tl nĂąooiĂ,nspacingva š m u t> soes, le="s maii etae cmoiC,s in perrer a urveios p/nh/i/fasl nĂąooiĂoifrustr moĂed etl,ngou bae>auercasxsaTomanle mtitdue la b sn3rns"100%"le tempuuiierâŹâąyrnc "s"le te c u,"c aire preeiodre baisevrysiquement pamr pant stdsai oise boimnrM cha nuir,t outeg avais mo tuĂąâŹâąolant sous se contre e iapiderbliquĂąâŹâąit/s/ge lĂąâŹâąt assufflai Oh çttas mĂąa,t a9 GĂrestsĂšvrdsourire ur lst msn je rsser soien1px avese ca lointyĂ main /sei, moentr a avsLnnuit, une acu mtitdue la bais de viopots"htt, la usselo le p contre e terret, renas isd ui md valign="tfrustr paâŹnsxoodremdn isso addurcit, pots"htt, la lĂąâŹâąava corps. 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VOUSLISEZ. Aime moi si tu peux.. [La Meute d'ĂlvĂ©a] T1. Paranormal. Ruby est une jeune orpheline elle ne connaĂźt rien de son passĂ© rien de ses parents de sa famille ni de ses origines. Elle n'a pas connue que la joie et le bonheur c'est plutĂŽt mĂȘme l'inverse. Mais elle as toujours eu sa petite bande auprĂšs d'elle qLe Deal du moment -20% sur les retours clients / produits ... 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VIVE LE FOFO ET TOUTES CES BELLES AMITIĂ©ES Ma sister Miss Soleil et ma cousine Jenny-sun Comment ne pas dĂ©buter ce message en parlant de vous???? C'est Ă vous que je dois le commencement de cette aventure exceptionnelle qui a tout simplement transformĂ©e ma vie. Sans vous, j'avoue que je ne serai sans doute jamais allĂ©e voir le spectacle....Quand je vois toute ces choses que j'aurai loupĂ©e....Mon dieu, je sais vraiment pas c'que serait ma vie Ă l'heure d'aujourd'hui....GrĂące Ă vous j'ai dĂ©couvert des artistes que je ne peux mĂȘme pas qualifier tellement ils sont INDISPENSABLES Ă mon bonheur, et j'ai dĂ©couvert ce cher forum et toutes ces personnes extraordinaires sans lequelles cette aventure n'aurait jamais prie toute cette ampleure!!!!J'oublierai jamais mon tout 1er spectacle Ă vos cĂŽtĂ©s le meilleur de tous je crois et tout c'que vous avez fait pour que je puisse assister Ă la derniĂšre le 8 janvier, sans oublier la surprise du 30 dĂ©cembre ce spec j'suis pas prĂȘte de l'oublier non plus mdr....surtout au tout 1er rang qui plus est! Ahlala quand j'y repense....lol!!! Et puis tout les autres moments magique partager avec vous le TNT show, mes 19ans au casino de Paris, Lille, et Necker la derniĂšre date en cours.....Et bientot Oyonnax!!!!!Alors pour tout çà je vous dis un ENORME merciiiiiiiiiiiii mes chĂ©ries!!!!Je vous embrasse fort Ma Mylinette Y'en aurait des choses Ă dire sur toi que du bien heeeein t'inquiĂ©tes pas lol! Tu es la toute 1Ăšre personne avec laquelle j'ai parlĂ© et que j'ai eu dans mes contacts. J'pourrai pas l'expliquer, mais le courant est passĂ© comme une lettre Ă la poste entre nous mais nan je dis pas çà parce que mon papa il est facteur ^^. J't'ai tout de suite apprĂ©ciĂ©e et j'me doutais qu'ensemble on passerait de super bons moments, et j'me suis pas trompĂ©e....PremiĂšre rencontre le 28 DĂ©cembre par un froid trĂ©s trĂ©s glaciale, on c'est trĂ©s peu parlĂ©, y'avait tellement de monde il faut bien le dire. Puis on c'est revue le 8 Janvier pour la derniĂšre, c'Ă©tait super sympa de s'Ă©changer nos impressions pendant l'entracte hihi!!! Et depuis les liens se sont renforcĂ©e, des heures Ă parler sur msn de tout et de rien c'est le cas de le dire, puis notre tite escapade Ă Lille qui reste un souvenir extra toi mĂȘme tu sais pourquoi. Sans toi rien ne se serait passĂ©!!!!Et depuis ce jour j'me vraiment attachĂ©e Ă toi, tout simplement parce que tu es une fille tellement adorable, troooop rigolote, avec laquelle j'me sens super bien et en qui j'ai une totale confiance! T'es super chouette ma Milynette, ne change jamais!!! On est partie pour vivre encore de trĂ©s bons moments ensemble, j'en suis certaine, prochaine destination ===> OYONNAX !!! YoupiiiiJ't'adoooooooooooooooooooooooore et Vive notre amitiĂ©e, qui j'espĂ©re durera encore bien longtemps mĂȘme aprĂ©s le ROI SOLEIL!!!!!Gros biZouillouX Ma Laure Tiens çà faisait longtemps que je t'avais pas dis tout le bien que je pense de toi. LOL!!!! çà m'a sais Ă quel point je t'adoooore, nan???? Bon ba maintenant tu le saura hihi!!!! L'une des 1Ăšres personnes avec qui j'ai eu contact d'abord sur msn, pis aprĂ©s c'Ă©tait les sms surtout quand y'avait les chouchous qui passaient Ă la tĂ©lĂ© lol. PremiĂšre rencontre le 8 Janvier que de souvenirs.....Le Macdo, le milk shake Ă la fraise ^^, les chansons en pleine rue, et surtout NOS LARMES aprĂ©s le spectacle! JournĂ©e mĂ©morable!!!! Depuis ce jour t'es devenue un vrai ti trĂ©sor dans ma vie, toujours prĂ©sente quoi qu'il arrive, toujours un mot gentil...Tu es une personne tellement douce et gĂ©nĂ©reuse!!! Comme ton Ange!!Et puis ce week-end passĂ© Ă Dijon....ahlala si je commence Ă en parler c'est foutu lol!!!! Mais ce week-end n'aurait jamais Ă©tait ce qu'il a Ă©tait si tu n'avais pas Ă©tais lĂ !!!! INOUBLIABLE et riche en Ă©motions et en pleurs...Puis ces vacances Ă saint-Jean les chichis, la glace, la rosalie... tout simplement GĂ©niales!!!J'espĂ©re vivre encore tout pleiiiiins de bons moments Ă tes cĂŽtĂ©s ma poupette d'amour, çà ne tient qu'Ă nous!!!!Je t'adooooore et te fais des milliers de gros bisousssss Tu me manques Ma LoJe sais pas si tu tombera sur ce message un jour, mais c'est pas grave, ja ne pouvais pas ne pas te citer!!!Toi ma tite follasse, t'es vraiment un cas Ă part!!! Mais qu'est ce que tu me fais dĂ©lirer!!!!Quand je pense qu'on a failli ne jamais ce connaĂźtre, il en a fallu de peu!!!! Comme par hazard le seul jour oĂč je dĂ©cide de changer d'avatar encore un coup du destin çà pour en mettre un de Mr SIRKIS juste aprĂ©s le concert du 11 mars, tu te pointe sur le forum et m'envoie un mp du fait que tu Ă©tais Ă©tonnĂ© de voir Nico ici!!! MDR!!!! Et oui y'a que nous pour ĂȘtre aussi folle!!!! Bref, on a commencer Ă dĂ©lirer sur msn, de trop bons moments franchement, pis surtout plein plein de points commun et c'Ă©tait que le dĂ©but.Et une chose en entrainant une autre on c'est retrouvĂ© Ă DIJON pour un week-end de pure folies Ă n'en plus finir. Week-end qui n'aurait jamais eu lieu d'ĂȘtre sans toi, encore 1000000 MERCI. Depuis j'ai l'impression qu'on c'est toujours connues, alors que çà fait 5 mois Ă tout casser, hallucinant!!!On a les mĂȘme dĂ©lires, les mĂȘmes envies, les mĂȘmes besoins, on Ă©tait faite pour s'entendre!!!!! Une belle amitiĂ©e est nĂ©e, j'crois qu'on peut le dire!!!! J't'adooooooore trĂ©s fooooort ma Lo! VIVE MERWAN, VIVE NOS PLANS MERWANESQUES DE DERNIĂšRES MINUTES, VIVE NOS PROJETS, ET VIVE NOUS.....TOUT SIMPLEMENT Ma NaNa J'crois que jamais je ne pourrai trouver les mots appropriĂ©s pour te dire Ă quel point tu compte pour moi. Tu es tellement adorable, toujours un mot, une tite attention....Pleine de gĂ©nĂ©rositĂ© et une joie de vivre qui fait vraiment plaisir Ă voir. Chacune de nos conversations aussi rares et courtes qu'elles soient m'apportent beaucoup, tu sais toujours trouver les bons mots pour me redonner le sourire quand le moral n'est pas au rendez-vous, c'est Ă chaque fois un vrai moment de plaisir de parler avec toi!Rien qu'un ti sms de ta part me donne le sourire pour la journĂ©e!!!A mes yeux tu es vraiment THE rencontre, des rencontres comme on en fait pas deux dans une es si attachante, avec un Ă©nooooorme coeur en Or rempli d'amour Ă offrir. Tu es le ti rayon de soleil de ma vie, et j'ai vraiment hĂąte de te revoir ma belle, tu me manques beaucouuuuuup beaucouuuuuup!Est-on obligĂ© uniquement d'ĂȘtre "fan" d'un artiste ??? parce que moi j'le dis J' SUIS "FAN" DE TOI MA NANA!!!!!T'embrasse fort fort fort ma ChĂ©rinette!!!Ze t'aiiiiime fort Ma tite Manue Qu'est ce que je t'adoooore! Chacune de tes paroles me va droit au coeur et me touche profondĂ©ment, t'es un amour ma belle! Chacun des moments passĂ©s avec toi est prĂ©cieux, il me tarde de te revoir Samedi, tu me manques tellement!!!Enormes bisousssss ma chĂ©rie!Je t'aime Ma Nanoun Ma bella, tu sais que t'es un amour! J'adore parler avec toi, mĂȘme si on a du mal Ă se croiser sur msn, j'sais pas pourquoi mais le serveur veut vraiment pas qu'on se croise lol!!Il me tarde vraiment de te rencontrer, car je sais que quoi qu'il arrive on passera un moment inoubliable ensemble! J'espĂ©re de tout coeur que ce spectacle cĂŽte Ă cĂŽte on pourra s'le faire, mais oui que dis-je??? J'te l'ai dis, c'est une paroles de nyny!!!! lol!!!!Quoi qu'il en soit ma poupounette je t'aiiiiime fort, mais tout çà tu le sais dĂ©jĂ !!! Bises merwanesquesMa tite Filipa Que dire sur toi Ă part que je t'adooooore, que t'es une fille gĂ©niale, adorable, avec qui j'ai passĂ© de super bons moments aussii!!! Et puis surtout tu es ma tite VIRGILIENNE prĂ©fĂ©rĂ©e!!!! tu fais bien entendue parti de mes plus belle rencontre du forum mais çà je crois que j'ai pas besoin de le prĂ©ciser!!!Gros poutoux et bonne vacances Ma tite Debbie Comme tu l'as si bien dis dans ton message, on se ressemble beaucoup toute les 2, c'est pourquoi tout tes gestes envers Lysa me touchent vraiment beaucoup car je sais Ă quel point elle peut compter pour toi, et vraiment c'est beau Ă voir, ne change surtout pas ma belle! Je t'adoooore et j'suis trooop heureuse de te connaĂźtre Ma tite Elli Un vrai ti ange. J'espĂ©re vraiment qu'on apprrendra Ă se connaĂźtre encore plus car tu es vraiment un amour, puis tu me fais troooop rire avec tes HS, pas besoin de prĂ©ciser avec qui loool!!!Gros bisoussss ma puce, je t'adoooore Ma Tite Jade TrĂ©s peu de chance que tu vois ce message mais c'est pas grave, je voulais vraiment te dire que t'es superbe!!! Une des 1Ăšres personnes que j'ai rencontrĂ©es lors de mon premier squattage au PDS et j'ai pas du tout Ă©tais déçue! T'es une perle! Des personnes comme j'aime en rencontrer! J'Ă©tais trooop troooop contente de te revoir Ă la FĂȘte de la musique, depuis le 8 Janvier çà faisait un bout....J'tembrasse bien fort ma belle et j'espĂ©re Ă trĂ©s viiiite!!!!ZĂ©brouille Un seul mot d'ordre "ADORABLE". T'es vraiment gĂ©nial, au top!!!! Toujours entrain de dĂ©conner, et çà fait du bien, avec toi on s'ennuie pas!!! Que des bons moments passĂ©s Ă tes cĂŽtes! Surtout reste tel que tu es, avec la banane!!Gros gros bisoussssMa Lodieçà fait un sacrĂ© bout de temps qu'on c'est pas parlĂ© dis donc, mais sache que je t'oublie pas pour autant!!! T'es une personne vraiment adorable et j'espĂ©re qu'on se reverra bientĂŽt!!! bisoussss Ă toi et Ă ton ti Roi!!! Ma Lina Un vrai tit amour, aussi douce et adorable que ta belle Anne-laure! Je t'adoooore fort ma belle et j'pense fort Ă toi, ne l'oublie surtout pas!!!!! J'espĂ©re te reparler trĂ©s viiiite!Stephany, Val, et Sandrine Vous me faite trooop troooop rire, vous ĂȘtes excellentes, vous apportez une grande bouffĂ© d'humour sur le forum!!! J'adooore vous lire! Et en + de çà vous ĂȘtes trop adorables!!!!J'ai hĂąte de vous voir Ă la rentrĂ©e samedi pour stephGros bisoussss Ă toutes les 3Ma Jess GrĂące Ă toi et ton site/forum j'ai dĂ©couvert Blandine et j'en suis vraiment super heureuse! Tu es vraiment une fille gĂ©niale pleine de vie, c'est toujours un plaisir de te voir, mĂȘme si c'est en coup de vent!!!! J'suis super contente de te revoir Samedi ma belle!!!Gros bisousssss Ă ma tite Fan de Blandine prĂ©fĂ©rĂ©e!!!Ma clochette Tu sais dĂ©jĂ tout c'que je pense! Tu es une fille adorable comme tout, ne laisse jamais personne te faire croire le contraire! Pense Ă toi, et n'oublie pas qu'on t'adore ma belle!!!! Gros JuJu On se connait peu pour le moment mais tu fais vraiment partie des personnes que j'apprĂ©cie Ă©normĂ©ment ici! J'espĂ©re apprendre Ă te connaĂźtre mieux Ă la rentrĂ©e, je pense qu'on va souvent se croiser lol!BisousssssAnneso42 Ma belle, tu es vraiment une personne que j'apprĂ©cie beaucoup pour ta franchise et ton grand respect envers l'artiste qu'est Merwan, il peut ĂȘtre fiĂšre d'avoir une admiratrice comme toi, et c'est sincĂ©re!!!BisoussssssMes Merwanettes Flo, Fanny, Manon, Choupi, Mimy, Coco, Kademeimfamous, Cocolam, Gaelle, Violaine...Un rĂ©el bonheur de partager cette passion pour Merwan avec vous toutes, vous ĂȘtes des supers Merwanettes mes belles! plein de bisous Ă toutes!Mes Cathialinettes ImĂšne, Vaness, Poulette des bois, Pilou On se connait pas Ă©normĂ©ment les filles, mais je prend un vrai plaisir Ă vous lire, surtout quand vous parlez de Cath avec autant d'admiration que vous le faites! Ne changez rien mes belles!!!BisesLeeloo, candy45, Neness, Florializ, FĂ©licityJ'ai eu le bonheur de vous voir, mĂȘme si c'Ă©tait trĂ©s rapide, mais vous avez toutes Ă©tait super gentilles, j'espĂ©re vous revoir un de ces jours! Gros bisoussss Ă vous!Cyrielle et ViViVous adores les filles, vous ĂȘtes vraiment des anges de douceurs, j'suis ravie de vous connaĂźtres!!!Sandra-7 Ma tite fane de Victoria prĂ©fĂ©rĂ©e, chacun de tes messages Ă l'intention de notre princesse me touchent profondĂ©ment, tu sais si bien parler d'elle! Je sais Ă quel point ton dĂ©sir de la rencontrer ce fait de + en + grand chaque jour qui passe, alors j'te souhaite de tout mon coeur d'avoir ce privilĂšge un jour ma belle, tu le mĂ©rite tellement!!!Gros bisousssLaurĂšneQue te dire Ă part que t'es un amour et que je suis sincĂ©rement heureuse de te connaitre et de t'avoir vue Ă Dijon, j'espĂ©re te revoir un de ces jours!Merci pour tout ma puce!!!Gros bisousssssEt bien voilĂ , çà touche Ă sa fin, il Ă©tait temps lol !!! je pensais faire long mais pas Ă ce point lĂ ...j'suis dĂ©solĂ©....!Bisousssss Ă toutes les belles!!!DerniĂšre Ă©dition par le Jeu 27 Juil 2006 - 011, Ă©ditĂ© 1 fois Sandrinoo2004modĂ©rateurNombre de messages 21493Age 40Localisation VincennesDate d'inscription 31/03/2005Sujet Re € ~*~ GrĂące Ă vous ttes mes amours, je revis...~*~ € MERCI € Mer 26 Juil 2006 - 936 Ah ben voilĂ Elii a lancĂ© une mode ralalalaaa lol va y avoir une tite entrĂ©e d'argent poour ma nadalienne!! !!! Mais bon cette mode fait tellement du bien qu'on en redemade hein!!! Vive l'amitiĂ© comme tu dis!!!Hihihihi j'y suiiiiiiiiiiiis lol!!!!!! Bon moi je dis ça va plus lĂ !!!!! On est les bouffons du roi du forum nan je dconne loooooooooooool. Bref!!! Je suis ravie que Ăčes accolytes et moi te fasses autant rire!!! Mais euuuh pour les HS juste entre nous c'est de la faute d'Elli!!!! LOOOOL VoilĂ je l'ai dit!!!!! je vais me prendre une de ces rĂ©ponses je vais le regretter looooool_________________Sandrine InvitĂ©InvitĂ©Sujet Re € ~*~ GrĂące Ă vous ttes mes amours, je revis...~*~ € MERCI € Mer 26 Juil 2006 - 1020 OOH ben ma nyny chĂ©rie quel message!!!!!! Rempli d'Ă©motion et d'amour..... J'ai failli versĂ© une tite larme tellement c'est Ă©mouvant!!!! Merci infiniment pour ce que tu me dis lĂ ... me comparer Ă ma belle reine comme ça me touche!! Moi aussi je pense fort fort fort fort fort fort fort fort fort Ă toi chaque jour..... j'espĂšre ausssiiiiiiii te reparler trĂšs trĂšs viiite!!ça me manque!! Je t'aime fort ma nyny d'amour, tu me manques!!gros gros bisous €Jessica€modĂ©rateurNombre de messages 2501Age 37Localisation Dans ton ParadisDate d'inscription 17/06/2005Sujet Re € ~*~ GrĂące Ă vous ttes mes amours, je revis...~*~ € MERCI € Mer 26 Juil 2006 - 1307 Merci pour ton Joulie Message ma belle Nyny merci de m avoir nommĂ©e carement lol Merci pour ce ue tu dit J espere te revoir et parler mieux avec toi je t adore ma belle Mertoria GROS BISOUS_________________ StĂ©phanyMembre trĂšs actifNombre de messages 4491Age 35Localisation Ă 17 km d'orlĂ©ans entre 2 champs...Date d'inscription 27/01/2006Sujet Re € ~*~ GrĂące Ă vous ttes mes amours, je revis...~*~ € MERCI € Mer 26 Juil 2006 - 1330 ouaiiiiiiiii encore un message d'amour, c'est gĂ©nial en ce moment... ca fait bizarre de retrouver son nom de marquer ba viiii en fait on se connait pas lol mais on va y remĂ©dier dĂšs samedi, hein macopinedeforum !!!!!!Comme dit sandrine... alala on est les boufonne du fofo MAIS C'EST PAS GRAVE, en fait ca donne envie de continuer Ă©hĂ©h faut pas trop m'encourager moaaaaa tant qu'on peut faire sourire les gens et tant que je peux embeter sandrine...Nyny avec ce message je crois que tu as battu le record d'elli en longueur !!!! mais c'est pas grave parce qu'autant d'amour.... CA FAIT DU BIEN !!!!!DĂ©solĂ©e de faire un petit HS dans ton topic ma nyny mais c'est sandrine qui a commencĂ© donc message perso pour sandrine En quoi elli commence les HS ????? JE te signale que c'est toi sandrinelamodoquinerespectepaslesrĂšglesquinousencourageĂ fairedesHSalorst'asplusintĂ©rĂȘtd'attaquermacoupineVoilĂ fin du HS pour ma part mais je suis sure que tu comprendras looooool Allez Gros bizous et Ă samedi ma copinedeprĂ©nom !!!!!!!! FlomodĂ©rateurNombre de messages 4276Age 36Localisation NancyDate d'inscription 13/02/2005Sujet Re € ~*~ GrĂące Ă vous ttes mes amours, je revis...~*~ € MERCI € Mer 26 Juil 2006 - 1336 oh ben dis donc que d'amour en ce moment!!ca fait du bien!!! merci beaucoup ma nyny!!!c'est un vrai bonheur pour moi aussi de partager cette belle aventure et ce soutien avec toi et toutes les autres Merwanettes!!!! j'espĂšre de tout coeur qu'on se verra un jour!!!plein de gros bisouuuuuxx!!_________________*Le bonheur, c'est quand le temps s'arrĂȘte..* Merci.. Sandrinoo2004modĂ©rateurNombre de messages 21493Age 40Localisation VincennesDate d'inscription 31/03/2005Sujet Re € ~*~ GrĂące Ă vous ttes mes amours, je revis...~*~ € MERCI € Mer 26 Juil 2006 - 1341 StĂ©phany a Ă©crit ouaiiiiiiiii encore un message d'amour, c'est gĂ©nial en ce moment... ca fait bizarre de retrouver son nom de marquer ba viiii en fait on se connait pas lol mais on va y remĂ©dier dĂšs samedi, hein macopinedeforum !!!!!!Comme dit sandrine... alala on est les boufonne du fofo MAIS C'EST PAS GRAVE, en fait ca donne envie de continuer Ă©hĂ©h faut pas trop m'encourager moaaaaa tant qu'on peut faire sourire les gens et tant que je peux embeter sandrine...Nyny avec ce message je crois que tu as battu le record d'elli en longueur !!!! mais c'est pas grave parce qu'autant d'amour.... CA FAIT DU BIEN !!!!!DĂ©solĂ©e de faire un petit HS dans ton topic ma nyny mais c'est sandrine qui a commencĂ© donc message perso pour sandrine En quoi elli commence les HS ????? JE te signale que c'est toi sandrinelamodoquinerespectepaslesrĂšglesquinousencourageĂ fairedesHSalorst'asplusintĂ©rĂȘtd'attaquermacoupineVoilĂ fin du HS pour ma part mais je suis sure que tu comprendras looooool Allez Gros bizous et Ă samedi ma copinedeprĂ©nom !!!!!!!! Et puis aprĂšs tout c'est une grande mission d'ĂȘtre les bouffones du fofo naaaaaaaaan??? _________________Sandrine Ă©dition par le Mer 26 Juil 2006 - 1815, Ă©ditĂ© 1 fois DebbiePipeletteNombre de messages 909Age 36Localisation 63Date d'inscription 21/02/2006Sujet Re € ~*~ GrĂące Ă vous ttes mes amours, je revis...~*~ € MERCI € Mer 26 Juil 2006 - 1542 Merci beaucoup Elli d'avoir lancĂ© cette jolie mode des dĂ©claration !!!Merci aussi Ă toi ma belle, tu es adorable je vais pas redire tout ce que jai dĂ©jĂ dit dans mon message quoi que ca fait du bien d'entendre de jolies choses ! Vivement samedi j'ai hĂąte de te revoir !GRos Gros bisous Je t'adore mily264PipeletteNombre de messages 1117Localisation 60Date d'inscription 27/10/2005Sujet Re € ~*~ GrĂące Ă vous ttes mes amours, je revis...~*~ € MERCI € Mer 26 Juil 2006 - 1556 bon je vais copier le premier mot de ma ptite Elli dans un autre message OOOOOUUUUIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIINNNNNNNNNNNNNNNNNNN !!!!!nyny, tu fais exprĂšs ou quoi ? tu veux que j'aille Ă oyonnax avec une conjonctivite Ă force de pleurer ??? entre nous, je ne suis pas du tout sĂ»re que le fait de beaucoup pleurer donne une conjonctivite mais bon... Je vais ĂȘtre obligĂ© de ramener la big trousse de maquillage pour cacher la misĂšre !!!! Ah la la, comme je ne regrette pas de t'avoir envoyer ce mp pour faire ta connaissance ! Et tout ça grace Ă la Picardie, qui l'eut cru ???????????????? pour ceux et celles qui ne comprennent pas, c'est parce qu'on habite toutes les 2 en Picardie !! ya pas que des bouzeux en Picardie heinnnnnnnn ! oups dĂ©solĂ©e les picards !! Ma nyny, tu le sais dĂ©jĂ mais je ressens "tout pareil que qu'est ce que tu as dit" !!! C'est incroyable comment je me suis attachĂ©e Ă toi, je crois aussi que c'est "un roman d'amitiĂ© qui commence entre nous deux..." pardon pour la rĂ©fĂ©rence Ă Elsa, je ne sais pas si les plus jeunes d'entre nous connaissent !!.Bon aprĂšs avoir racontĂ© des bĂȘtises aussi grosses que moi si si c'est possible..., je peux rĂ©sumer tout ça en quelques mots JE T'AIME FORT MA BELLE !! gros bisouuuuuuuuuuuusssssssssssmilynette alias mily264 alias Ă©milie justinepmodĂ©rateurNombre de messages 6421Localisation Saint-Maur 94Date d'inscription 30/06/2005Sujet Re € ~*~ GrĂące Ă vous ttes mes amours, je revis...~*~ € MERCI € Mer 26 Juil 2006 - 1832 Lol c'est vrai ca, Elli a lancĂ© la mode des dĂ©clarations, et tu poursuis tout aussi bien Nyny!!J'espĂšre avoir l'occasion de faire plus ample connaissance avec toi Ă la rentrĂ©e, hihi quelque chose me dit qu'en effet on "risque" de se voir souvent, et tant mieux!!Gros bisous et bravo pour cette jolie dĂ©claration! Que ce soit pour les artistes ou pour les "fans", tes messages sont aussi beaux les uns que les autres!Justine. nanounPipeletteNombre de messages 838Age 35Localisation AngersDate d'inscription 13/03/2006Sujet Re € ~*~ GrĂące Ă vous ttes mes amours, je revis...~*~ € MERCI € Mer 26 Juil 2006 - 1843 Eh ben voila, encore une fois tu m'as fait couler des larmes...Evidemment ce ne sont pas des larmes de tristesses mais des larmes de bonheur, tout simplement...Le bonheur d'avoir eu un jour l'idĂ©e de t'inscrire dans mes contacts msn!Qu'est ce que je ne regrette pas de l'avoir fait!!! Tout de suite j'ai senti le courant passĂ©, d'ailleur je te l'ais trĂšs vite dit. Mais qui aurait cru qu'une si belle amitiĂ© se tisserait entre nous...pfffioouu voila rien que d'en parler jsuis toute Ă©motionnĂ©e... T'es une fille en or ma puce tu le sais dĂ©jĂ et j'ai tellement hĂąte de te voir...On a plein de moments de bonheur devant nous, c'est certain!!!Et je suis sĂ»re que tout ces moments ne ferons que renforcer cette trĂšs trĂšs belle amitiĂ©!!! Et oui tu va m'avoir sur le dos pendant un bon bout de temps encore ma belle dĂ©solĂ©e...Maintenant que tu es dans mon tit coeur...hi hi tellement de choses Ă te dire mais je crois que cette fois ca serait Ă mon tour de battre le record de longueur de post... je crois que je vais m'arreter lĂ , mais tu sais trĂšs bien tout ce que je pense de toi ma te voir avant que tu parte a Oyonnax sur mns parce que tu me manquuuuuuue tĂ©riblement!!!!! satanĂ© serveur, tu ne t'interposeras pas dans notre belle amitiĂ©,rrrrrrr. nan mais Ă croir qu'il est jaloux!!!mdr Au fait ce petit surnom poupounette jtrouve ca mignon, hi hi finir je n'aurais qu'une seule chose Ă te dire ma choupette d'amour Je t'aiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiime trĂšs trĂšs trĂšs fort ma puce n'oubli pas, c'est moi qui t'aime le plus, hi hi hi, lolJe t'envois plein d'ENORMES bisoooooooooooousTa nanoun PS j'oubliais, pour le spectacle on sera cĂŽte Ă cĂŽte, j'espĂšre bien et j'y crois trĂšs trĂšs fort. Une parole de nyny c'est ce qu'il y a de plus fiable!!!!lol. laurĂšneLangue pendueNombre de messages 151Date d'inscription 20/02/2006Sujet Re € ~*~ GrĂące Ă vous ttes mes amours, je revis...~*~ € MERCI € Mer 26 Juil 2006 - 2037 merci 1000 fois ma belle, ca me touche beaucoup!!jespĂšre te revoir trĂšs vite miss!!!Ă©normes bisous Sandra-7Membre trĂšs actifNombre de messages 5408Age 31Localisation Seine st Denis - 93 - LivryDate d'inscription 06/12/2005Sujet Re € ~*~ GrĂące Ă vous ttes mes amours, je revis...~*~ € MERCI € Mer 26 Juil 2006 - 2039 Ohhh ma Nyny !!! Comment ça me fait tout plaisir... Tu peux mm pas savoir !!Et toi donc, Ă chaque fois que tu laisses un msg pour Victoria ou mĂȘme pour Merwan, j'ai tout plein de frissons en lisant... !!! Tu fais passĂ© toutes tes emotions avec tellement de beau mot !! c'est trop magnifique Ă chaque fois !!Merciii ma belle Nyny, ça fait tout plaisir en tout cas ...Gros Bisous et profte bien Samedi elliAccroNombre de messages 14119Age 33Localisation Boulogne-Billancourt 92Date d'inscription 18/09/2005Sujet Re € ~*~ GrĂące Ă vous ttes mes amours, je revis...~*~ € MERCI € Mer 26 Juil 2006 - 2119 Et ben...Pfiouuuuuuu.... Je l'ai dit, sur le topic de tennis.....Miss mĂ©tĂ©o annonce un temps de dĂ©claration, d'amour sur le fofo...Nous fesons face Ă la canicule grĂące Ă nos dĂ©clarations qui apportent tant de soleil quand on les lit....Comme c'est beau de lire des messages comme ça.... Tant d'amour....Le fait d'ĂȘtre citĂ©e me touche Ă©normĂ©ment ma tite puce.... On se connait finalement peu c'est vrai mais tu es vraiment quelqu'un d'adorable... Les fois oĂč l'on s'est vues, toujours un sourire... GrĂące Ă Coco je t'ai connue... Je ne demande qu'Ă mieux te connaĂźtre...Jme souviens trĂšs bien quand Coco me disait sur msn la surprise qu'elle te prĂ©parait pour le 30 dĂ©cembre et non Janvier! lol... T'es un vrai coeur sur pattes!!Depuis quand je fais de HS moi et avec qui???? LOOOLMoi aussi jsuis FAN de Nana, t'es pas la seule! Et ben puisque tu le dis... Jsuis fiĂšre La stĂ©phanite m'atteint!^^ alors d'avoir lancĂ© la mode, tous ces mots d'amour, j'en redemande! Gros bisouuuuuus elliAccroNombre de messages 14119Age 33Localisation Boulogne-Billancourt 92Date d'inscription 18/09/2005Sujet Re € ~*~ GrĂące Ă vous ttes mes amours, je revis...~*~ € MERCI € Mer 26 Juil 2006 - 2146 Dsl ma Nyny va y avoir du HS et tout ça c'est Ă cause de Sandrine qui a prĂ©fĂ©rĂ© provoquer et ne pas se taire.... Je sens que Sandrine ne va pas y ĂȘtre insensible et va aussi rappliquer... Sandrinoo2004 a Ă©crit Ah ben voilĂ Elii a lancĂ© une mode ralalalaaa lol va y avoir une tite entrĂ©e d'argent poour ma nadalienne!! !!! Mais bon cette mode fait tellement du bien qu'on en redemade hein!!! Vive l'amitiĂ© comme tu dis!!!Hihihihi j'y suiiiiiiiiiiiis lol!!!!!! Bon moi je dis ça va plus lĂ !!!!! On est les bouffons du roi du forum nan je dconne loooooooooooool. Bref!!! Je suis ravie que Ăčes accolytes et moi te fasses autant rire!!! Mais euuuh pour les HS juste entre nous c'est de la faute d'Elli!!!! LOOOOL VoilĂ je l'ai dit!!!!! je vais me prendre une de ces rĂ©ponses je vais le regretter looooool Ralala, je vais devenir riche et Ă moi les places pour le Roi Soleiiiiiiiiil!!!!! Combien dĂ©jĂ de dĂ©clarations qui ont suivies aprĂšs la mienne? LOLAlors, Sandrine...1. Oui, tu fais partie des bouffons du forum comme tu le dis si bien!! Ralala, c'est bien comme on n'a pas besoin de le dire, tu fais le boulot Ă notre place...2. Pour le HS alors lĂ , JAMAIS T'as bien entendu, hein, jamais!! Et lĂ , comme t'es pas vieille pour un tit bout de tps, le tps que tu lises ce message t'as bien entendu je ne fais de HS!! D'ailleurs sinon j'aurai Ă©tĂ© citĂ©e avec vous trois!! Na! Je ne suis en aucun cas impliquĂ©e et Nyny l'a bien senti!! MOI je suis un ange... LOOOL StĂ©phany a Ă©crit ouaiiiiiiiii encore un message d'amour, c'est gĂ©nial en ce moment... ca fait bizarre de retrouver son nom de marquer ba viiii en fait on se connait pas lol mais on va y remĂ©dier dĂšs samedi, hein macopinedeforum !!!!!!Comme dit sandrine... alala on est les boufonne du fofo MAIS C'EST PAS GRAVE, en fait ca donne envie de continuer Ă©hĂ©h faut pas trop m'encourager moaaaaa tant qu'on peut faire sourire les gens et tant que je peux embeter sandrine...Nyny avec ce message je crois que tu as battu le record d'elli en longueur !!!! mais c'est pas grave parce qu'autant d'amour.... CA FAIT DU BIEN !!!!!DĂ©solĂ©e de faire un petit HS dans ton topic ma nyny mais c'est sandrine qui a commencĂ© donc message perso pour sandrine En quoi elli commence les HS ????? JE te signale que c'est toi sandrinelamodoquinerespectepaslesrĂšglesquinousencourageĂ fairedesHSalorst'asplusintĂ©rĂȘtd'attaquermacoupineVoilĂ fin du HS pour ma part mais je suis sure que tu comprendras looooool Allez Gros bizous et Ă samedi ma copinedeprĂ©nom !!!!!!!! Certes Nyny a battu le record de longueur mais pas en rĂ©ponse mais en topic! LOL Donc ce record tient toujours! Merci ma coĂ©quipiĂšre prĂ©fĂ©rĂ©e de me dĂ©fendre.... SandrinelamodoaĂ©tĂ©mĂ©chanteenversmoialorsquestephetmoiluiavonsfaittoutpleindemessageschouscetteapremdisantqu'onl'aimeetmĂȘmedespoĂšmes ...T'inquiĂšte, Nyny comprendra le HS vu qu'elle a fait un pas dans le topic de montages de tennis et en grande folle qu'elle est, elle a lu tout le topic! ^^Et pis, si tu veux t'en prendre Ă quelqu'un c'est Ă Sandrine puisqu'elle nous a incitĂ©e Ă faire du HS cette diablesse oouuuuuuaaaahhh, ça rime!!! Miss ViviMembre trĂšs actifNombre de messages 1674Localisation ParisDate d'inscription 07/02/2006Sujet Re € ~*~ GrĂące Ă vous ttes mes amours, je revis...~*~ € MERCI € Mer 26 Juil 2006 - 2154 et bien ma nyny, quel message!!!je suis super contente de faire partie de tes merwanettes!!! j'espĂšre qu'on pourra se faire une soirĂ©e comme au casino!rappelle toi, un petit merwan, tout seul sur le trottoir de l'autre cĂŽtĂ© de la rue... qui n'attendait que nous!!! enfin, voilĂ ma belle, j'ai hĂąte de te revoir Ă paris!! bisousViolaine Sandrinoo2004modĂ©rateurNombre de messages 21493Age 40Localisation VincennesDate d'inscription 31/03/2005Sujet Re € ~*~ GrĂące Ă vous ttes mes amours, je revis...~*~ € MERCI € Mer 26 Juil 2006 - 2255 elli a Ă©crit Dsl ma Nyny va y avoir du HS et tout ça c'est Ă cause de Sandrine qui a prĂ©fĂ©rĂ© provoquer et ne pas se taire.... Je sens que Sandrine ne va pas y ĂȘtre insensible et va aussi rappliquer... Sandrinoo2004 a Ă©crit Ah ben voilĂ Elii a lancĂ© une mode ralalalaaa lol va y avoir une tite entrĂ©e d'argent poour ma nadalienne!! !!! Mais bon cette mode fait tellement du bien qu'on en redemade hein!!! Vive l'amitiĂ© comme tu dis!!!Hihihihi j'y suiiiiiiiiiiiis lol!!!!!! Bon moi je dis ça va plus lĂ !!!!! On est les bouffons du roi du forum nan je dconne loooooooooooool. Bref!!! Je suis ravie que Ăčes accolytes et moi te fasses autant rire!!! Mais euuuh pour les HS juste entre nous c'est de la faute d'Elli!!!! LOOOOL VoilĂ je l'ai dit!!!!! je vais me prendre une de ces rĂ©ponses je vais le regretter looooool Ralala, je vais devenir riche et Ă moi les places pour le Roi Soleiiiiiiiiil!!!!! Combien dĂ©jĂ de dĂ©clarations qui ont suivies aprĂšs la mienne? LOLAlors, Sandrine...1. Oui, tu fais partie des bouffons du forum comme tu le dis si bien!! Ralala, c'est bien comme on n'a pas besoin de le dire, tu fais le boulot Ă notre place...2. Pour le HS alors lĂ , JAMAIS T'as bien entendu, hein, jamais!! Et lĂ , comme t'es pas vieille pour un tit bout de tps, le tps que tu lises ce message t'as bien entendu je ne fais de HS!! D'ailleurs sinon j'aurai Ă©tĂ© citĂ©e avec vous trois!! Na! Je ne suis en aucun cas impliquĂ©e et Nyny l'a bien senti!! MOI je suis un ange... LOOOL StĂ©phany a Ă©crit ouaiiiiiiiii encore un message d'amour, c'est gĂ©nial en ce moment... ca fait bizarre de retrouver son nom de marquer ba viiii en fait on se connait pas lol mais on va y remĂ©dier dĂšs samedi, hein macopinedeforum !!!!!!Comme dit sandrine... alala on est les boufonne du fofo MAIS C'EST PAS GRAVE, en fait ca donne envie de continuer Ă©hĂ©h faut pas trop m'encourager moaaaaa tant qu'on peut faire sourire les gens et tant que je peux embeter sandrine...Nyny avec ce message je crois que tu as battu le record d'elli en longueur !!!! mais c'est pas grave parce qu'autant d'amour.... CA FAIT DU BIEN !!!!!DĂ©solĂ©e de faire un petit HS dans ton topic ma nyny mais c'est sandrine qui a commencĂ© donc message perso pour sandrine En quoi elli commence les HS ????? JE te signale que c'est toi sandrinelamodoquinerespectepaslesrĂšglesquinousencourageĂ fairedesHSalorst'asplusintĂ©rĂȘtd'attaquermacoupineVoilĂ fin du HS pour ma part mais je suis sure que tu comprendras looooool Allez Gros bizous et Ă samedi ma copinedeprĂ©nom !!!!!!!! Certes Nyny a battu le record de longueur mais pas en rĂ©ponse mais en topic! LOL Donc ce record tient toujours! Merci ma coĂ©quipiĂšre prĂ©fĂ©rĂ©e de me dĂ©fendre.... SandrinelamodoaĂ©tĂ©mĂ©chanteenversmoialorsquestephetmoiluiavonsfaittoutpleindemessageschouscetteapremdisantqu'onl'aimeetmĂȘmedespoĂšmes ...T'inquiĂšte, Nyny comprendra le HS vu qu'elle a fait un pas dans le topic de montages de tennis et en grande folle qu'elle est, elle a lu tout le topic! ^^Et pis, si tu veux t'en prendre Ă quelqu'un c'est Ă Sandrine puisqu'elle nous a incitĂ©e Ă faire du HS cette diablesse oouuuuuuaaaahhh, ça rime!!! MDRRRRRRRRRRRRRRRRRRRRRRRRRRRRRRRRRRRRRR!!!Bon j'avoue c'est MOI!!!! Et oui!! lol_________________Sandrine nynyMembre trĂšs actifNombre de messages 3446Age 35Localisation € Le coeur Ă Oyonnax pour un trĂ©s long moment € 60Date d'inscription 16/11/2005Sujet Re € ~*~ GrĂące Ă vous ttes mes amours, je revis...~*~ € MERCI € Mer 26 Juil 2006 - 2304 Et bien que rĂ©pondre face toute vos rĂ©ponses toutes plus touchantes les unes que les autres!!!J'vais pas rĂ©pĂ©ter tout c'que j'ai dĂ©jĂ dis looool!!!J'me contenterai de vous dire Ă toutes que je vous adooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooore et que j'ai hĂąte de vous revoiiiiiiiiiir et de vous rencontrer pour certaines!!!!!J'pensais pas un jour pouvoir rencontĂ© autant de personnes adorable d'un seul coup!!!!Bon c'est bien parce que c'est vous les filles que j'passe l'Ă©ponge pour le HS heiiiiin!!! MDR!!Rien ne vous arrĂȘte, vous ĂȘtes vraiment incontrolable dĂ©cidemment!!! looool!mais bon vous me faites tellement rire que j'peux mĂȘme pas vous en vouloir!!!! mdr!!! Vous ĂȘtes des fooooolles!!!!!Bisousssssss Ă toutes!!!! Sandrinoo2004modĂ©rateurNombre de messages 21493Age 40Localisation VincennesDate d'inscription 31/03/2005Sujet Re € ~*~ GrĂące Ă vous ttes mes amours, je revis...~*~ € MERCI € Mer 26 Juil 2006 - 2319 IncontrĂŽlable c'est le mot!!! Et folle oui on peut le dire loooooooooool_________________Sandrine fearlessMembre trĂšs actifNombre de messages 4550Age 33Localisation Les bras de Virgile et le coeur de LysaDate d'inscription 24/10/2005Sujet Re € ~*~ GrĂące Ă vous ttes mes amours, je revis...~*~ € MERCI € Mer 26 Juil 2006 - 2350 Je venais dans "humeur du jour" pour Ă©crire un message d'au revoir quand je vois ce topic....Merci ma Nyny... tout simplement !Je ne vais pas me rĂ©pĂ©ter, je pense en avoir dis beaucoup mais pas suffisament LoL dans mon message...Je tiens juste Ă dire que je suis vraiment heureuse d'avoir fait ta connaissance... grace Ă ta toute premiĂšre banniĂšre ! je me souviens maintenant comment on a commencĂ© Ă se parler je t'avais demandĂ© de m'envoyer la photo des 4 princesses que tu avais en signature Bref... Je t'aime, je t'adore ma belle Nyny !! Rendez-vous en septembre pour de nouveaux apres-midi dans le froid de Paris... avant que le Soleil n'arrive Ă partir de 13h LoolJe t'embrasse fort, fort !!!! Jenny-sunMembre trĂšs actifNombre de messages 3078Age 44Localisation Vic-city dans le 77!hihi!Date d'inscription 15/10/2005Sujet Re € ~*~ GrĂące Ă vous ttes mes amours, je revis...~*~ € MERCI € Mer 26 Juil 2006 - 2352 Oh ben c'est zentiiiiil tout ça ma nyny!!!!!!!Je suis bien contente de t'avoir embarquĂ© ce 3 DĂ©cembre avec nous au PDS,je sais combien la troupe et le forum t'apporte comme BONHEUR,alors j'en suis vraiment plus que raviiiiiie!!!quand on te disait que tu deviendrais ACCROOOOO!!!mdr!!!GROS BISOUS ma tite couz chiriiie et Ă samediiiiii pour OYONNAX!!!!!!!!!!!! elliAccroNombre de messages 14119Age 33Localisation Boulogne-Billancourt 92Date d'inscription 18/09/2005Sujet Re € ~*~ GrĂące Ă vous ttes mes amours, je revis...~*~ € MERCI € Jeu 27 Juil 2006 - 004 nyny a Ă©crit Bon c'est bien parce que c'est vous les filles que j'passe l'Ă©ponge pour le HS heiiiiin!!! MDR!!Rien ne vous arrĂȘte, vous ĂȘtes vraiment incontrolable dĂ©cidemment!!! looool!mais bon vous me faites tellement rire que j'peux mĂȘme pas vous en vouloir!!!! mdr!!! Vous ĂȘtes des fooooolles!!!!!Bisousssssss Ă toutes!!!! Merciiiiiiii de nous excuser.... Vi comme tu l'a dit incontrĂŽlables et folles et le comble ĂȘtre conscientes de tout ça! LOLRavie de te faire mourir de rire!!! JadeBavardNombre de messages 44Age 35Localisation PontoDate d'inscription 13/12/2005Sujet Re € ~*~ GrĂące Ă vous ttes mes amours, je revis...~*~ € MERCI € Jeu 27 Juil 2006 - 116 oulala Nyny.. que te dire.. Je ne m'y attendais vraiment pas.. DĂ©jĂ merci beaucoup pour ce petit message.. ça me touche Ă©normĂ©ment tu sais.. Je n'oublie pas nos quelques rencontres.. ce fut un vrai plaisir de faire ce squattage de PDS avec toi et avec Corinne et Jenni bien sur! .. Tu es vraiment une personne adorable avec beaucoup d'humour, gentille, attentionnĂ©e.. Je t'ai trouvĂ© aussi trĂšs respectueuse envers les membres de la troupe ça devient rare des personnes comme toi.. ..Et pis quel plaisir de t'avoir revu ce 21 Juin! Tu n'as pas changĂ©! Tu es restĂ©e tel que tu es! Un vrai plaisir!Merci Ă toi alors! J'espĂšre vraiment te revoir trĂšs bientĂŽt! Sans doute en septembre, peut-ĂȘtre plutĂŽt j'espĂšre.. Nyny, je terminerai mon message en te disant encore une fois merci, merci pour tous ces bons moments passĂ©s avec toi.. Je n'oublie pas..Je t'embrasse fort!Prends bien soin de toi surtout.. nynyMembre trĂšs actifNombre de messages 3446Age 35Localisation € Le coeur Ă Oyonnax pour un trĂ©s long moment € 60Date d'inscription 16/11/2005Sujet Re € ~*~ GrĂące Ă vous ttes mes amours, je revis...~*~ € MERCI € Jeu 27 Juil 2006 - 229 ohhh ma tite Jade, tu peux pas savoir Ă quel point çà me fait plaisir de te voir ici!!!! Ton message me touche beaucoup!!!! Et j'te retourne vraiment tout ces compliments!!!! Sache que moi non plus j'oublie pas tout ces beaux moments passĂ©s ensemble, et que j'pense souvent Ă toi!!!Merci Ă toi!!Gros bisoussss ma belle et rendez-vous en septembre peut-ĂȘtre Ă Lille le 9 d'aprĂ©s c'que j'ai vu sur ta phrase msn Miss SoleilMembre trĂšs actifNombre de messages 2309Age 40Date d'inscription 15/10/2005Sujet Re € ~*~ GrĂące Ă vous ttes mes amours, je revis...~*~ € MERCI € Jeu 27 Juil 2006 - 1029 Alala quelle bĂȘtise monstruseuse nous avons fait de vouloir embarquer nyny voir ce spectacle...Pffffff...mdrrrEt ouiii on t'avais prĂ©venu que tu deviendrais accro toi aussiiii!!!hihiEn tout cas c'est un vrai plaisir de partager cette grande passion avec toisoeurette d'amour!!!Tout plein de bonheur nous attend encore!!!Groooooooooos bisouuuuuuuuuuuuus!!!!!!!Je t'aime fooooooooooort!!!!!!!!!!!!!! Contenu sponsorisĂ©Sujet Re € ~*~ GrĂące Ă vous ttes mes amours, je revis...~*~ € MERCI € € ~*~ GrĂące Ă vous ttes mes amours, je revis...~*~ € MERCI € Page 1 sur 3Aller Ă la page 1, 2, 3 Sujets similaires» mes rencontres grace a vous» A vous mes amours» mes amours , merciPermission de ce forumVous ne pouvez pas rĂ©pondre aux sujets dans ce forumle roi soleil Vous Humeur du jourSauter vers Unan aprĂšs la fraude qui a coĂ»tĂ© 4,9 milliards d'euros Ă la SociĂ©tĂ© gĂ©nĂ©rale, l'ex-trader a livrĂ©, pour la premiĂšre fois, sa version des faits les forumsForum Blabla 15-18 ans Etoile Abonnement RSS RĂ©glages Mise en forme JVCode Afficher les avatars Afficher les signatures Afficher les spoilers Miniatures Noelshack Sujet si tu m'aime, arrĂȘte tes bĂ©tises, il faut grandir RĂ©pondreNouveau sujetListe des sujets 1 JennaWhite2 MP 15 aoĂ»t 2016 Ă 231630 Tu m'fait pleurĂ©e la nuit Correctif MP 15 aoĂ»t 2016 Ă 231704 Ta vraiment un avatar malsainVoila c'est dit maxgorthor MP 15 aoĂ»t 2016 Ă 231721 Il pleut sur mon coeur comme il pleut sur la ville. 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Voir le deal Forum Catholique LE MONASTĂRE INTĂRIEUR. Vivre avec notre Seigneur et sa mĂšre ĂVANGĂLISATION 2 participantsAuteurMessagePhilippeconsacrĂ©Messages 1865Date d'inscription 03/08/2010Age 74Localisation Maisons LaffitteSujet TĂ©moignage. Aboutit au trois jours de tĂ©nĂšbres. Dim 29 Oct - 1004 MA ! allez tant pis je fais mon "coming out".Non je ne suis pas homo, mais il m'est arrivĂ© des trucs JĂ©sus en personne qui m'a fait le catĂ©. VoilĂ ma premiĂšre histoire J'Ă©tais dans une famille qui avait complĂštement abandonnĂ© la pratique et Ă©tait loin du Seigneur, sauf ma grand mĂšre assez pieuse, mais qui pratiquait aussi l'Ă©sotĂ©risme avec Rudolph Steiner et un culte pour les Chakras, et ils faisaient tous tourner des tables. Quant Ă la paroisse n'en parlons pas. Suite Ă un concile mal compris le curĂ© Ă©tait contre la dĂ©votion Ă la Sainte Vierge, contre le rosaire, contre l'Adoration, contre la messe quotidienne. La seule chose qui comptait pour lui c'Ă©tait s'engager dans la politique, le syndicalisme, et construire le monde. Le royaume et le salut Ă©ternel n'en parlons pas. Vouloir ĂȘtre un saint ? C'est une vocation spĂ©ciale et avoir ce genre d'idĂ©e relĂšve de la moi dans tout ça je cherchais JĂ©sus comme je pouvais, mais paumĂ©, paumĂ©, va commencer par ma conversion Ă quatorze ans qui a Ă©tĂ© terrible. Mais je vous prĂ©viens Lucie de Fatima a dit que le dernier combat entre JĂ©sus et Satan serait sur le mariage et la famille ? Ma croix n'a Ă©tĂ© qu'un long chagrin d'amour oĂč je n'ai eu ni l'amour du pĂšre ni de la mĂšre, de mes frĂšres et sĆurs, et surtout, d'une Ă©pouse. Devenir prĂȘtre ou religieux ? Cela aurait Ă©tĂ© fuir mon chemin et me dĂ©rober. Le diable a pouvoir sur mon bonheur terrestre, mais il n'en a aucun sur mon oblation. Donc voilĂ ma conversion proprement dite Ă quatorze ans J'aimais une jeune fille mais ça ne marchait pas, et j'ai cru bon de faire un chantage au Seigneur. Je lui ai dit "Seigneur, si tu ne me donne pas celle que j'aime, je me donne au Diable. je ne me vend pas Ă lui, je me donne". Et j'avais fixĂ© l'heure et le jour 23 mai, minuit. ArrivĂ© au 23 mai, bien entendu, toujours rien du cotĂ© de mon amour. J'Ă©tais parti de l'autre cotĂ© de la forĂȘt dans une autre ville pour essayer de rencontrer celle que j'aimais, mais rien, absolument rien. ArrivĂ© vers onze heure du soir je me suis dĂ©cidĂ© Ă rentrer chez moi, et pour ce faire, j'ai traversĂ© de nouveau la forĂȘt par un raccourci. Onze heure quarante cinq, un quart d'heure avant l'heure fixĂ©e pour mon pacte avec le diable. j'Ă©tais en pleine forĂȘt ; le vent commençait Ă souffler annonçant un orage, et devant moi les arbres dans l'obscuritĂ© prenaient dĂ©jĂ la figure d'un Moloch. Mais je n'avais pas peur, et dans un quart d'heure j'allais me donner Ă lui. C'est alors qu'au loin j'ai distinguĂ© quelqu'un marchand en sens contraire de moi une bohĂ©mienne tenant un enfant dans les bras; Une bohĂ©mienne, ou quelqu'un habillĂ© Ă l'ancienne. ArrivĂ© Ă ma hauteur cette bohĂ©mienne m'a criĂ© "et si je te jetais mon enfant dans les bras" ? Et, joignant le geste Ă la parole, elle jeta son nourrisson vers moi. Un ultime rĂ©flexe ? j'ai rattrapĂ© l'enfant de peur qu'il ne se casse la tĂȘte par-terre, et la bohĂ©mienne de me dire "Tu vois que tu es bon et que tu ne peux pas ĂȘtre mauvais". Puis elle a disparu. J'ai Ă©clatĂ© en sanglot, et c'est alors que l'orage lui aussi a Ă©clatĂ© brusquement des trombes d'eau, un vent impĂ©tueux, des Ă©claires et des roulements de tonnerre terribles. Mais j'avais l'enfant JĂ©sus dans les bras que je n'ai plus jamais lĂąchĂ©. J'avais JĂ©sus, mais aussi ma croix, car j'ai compris alors que je ne rencontrerai jamais l'amour sur terre, et que ma vie ne serait qu'un long chagrin d'amour. Hallucination ? les arbres formaient toujours la tĂȘte d'un Moloch qui rĂ©clamait sa proie. Je le sentais, furieux, il Ă©tait lĂ . Sans aucune peur je me suis tournĂ© vers lui et je lui ai criĂ© "Satan je te dĂ©clare la guerre".Petit dĂ©tail significatif C'est arrivĂ© juste au niveau de Notre Dame des Hirondelles, un arbre oĂč l'on a accrochĂ© une statue de Marie en pleine forĂȘt. AprĂšs je me suis demandĂ© si je ne m'Ă©tais pas fait tout un cinĂ©ma mĂ©galo romantique, mais comme par hasard, pile poil trente trois ans plus tard un 23 mai au soir, je me suis retrouvĂ© avec une douzaine de personnes Ă prier autour de Notre Dame des hirondelles ; et c'est seulement pendant cette priĂšre que la coĂŻncidence m'a sautĂ© aux yeux. Le ciel avait voulu fĂȘter l'Ă©vĂ©nement de ma gloire, gloire Ă toi. Toute ma tendresse pour toi Ă©dition par Philippe le Ven 22 DĂ©c - 942, Ă©ditĂ© 8 fois PhilippeconsacrĂ©Messages 1865Date d'inscription 03/08/2010Age 74Localisation Maisons LaffitteSujet Re TĂ©moignage. Aboutit au trois jours de tĂ©nĂšbres. Lun 30 Oct - 802 Comment j'ai dĂ©couvert le vais maintenant vous dire comment j'ai dĂ©couvert le rosaire. Mais je le redis, il faut savoir que malheureusement L'Eglise ne m'avait enseignĂ© ni la DĂ©votion Ă Marie, ni l'Adoration du Saint Sacrement, ni l'AngĂ©lus, rien ou presque, et encore moins le rosaire que je ne connaissais que de nom. Qu'Ă cela ne tienne et je me rĂ©pĂšte c'est jĂ©sus qui est venu me faire le catĂ© ; ce qui est tout de mĂȘme un peu troublant, parce que ça a l'air de dire que quand l'Eglise ne veut plus faire son boulot, alors c'est JĂ©sus qui vient le faire Ă sa place ? Mais je ne conclus rien, simplement je raconte les faits. VoilĂ j'avais vingt deux ans. Je ne connaissais le rosaire que de nom, sans savoir en quoi il consistait ni son importance, mais j'en avais quand mĂȘme l'instinct par intuition car je passais des heures Ă rĂ©citer des Ave et des Pater. Une nuit au petit matin j'ai fait un rĂȘve terrible. Dans mon songe, j'ai vu trois dĂ©mons qui s'approchaient de moi, et avec un coup de griffe trĂšs violent m'ont sorti de mon corps. Mais, Ă©tait-ce seulement un songe ? Je me suis retrouvĂ© hors de mon corps flottant dans ma chambre comme un ballon. C'Ă©tait la grisaille du petit matin et je me suis vu en dessous de moi en train de continuer Ă dormir. Puis Ă coup de griffes rĂ©pĂ©tĂ©es rapides les trois dĂ©mons m'ont fait tourner comme une toupie Ă une vitesse vertigineuse, et quand cela a cessĂ© je n'Ă©tait plus dans ma chambre mais dans un lieu aride. Et lĂ j'ai compris que ces trois dĂ©mons allaient me "tailler un short", passez-moi l'expression. Et, O! merveille ! C'est alors que j'ai entendu la voie d'une religieuse qui rĂ©citait ce que je savais ĂȘtre LE ROSAIRE. Manifestement elle le rĂ©citait pour moi. Sa voie Ă©tait sanglotante et prĂ©cipitĂ©e comme dans un affolement, et il semblait bien qu'elle Ă©tait dans une chapelle. Mais alors, je me suis retrouvĂ© protĂ©gĂ© comme sous une cloche Ă fromage. Les dĂ©mon avaient beau hurler, crier et vocifĂ©rer en se prĂ©cipitant sur cette barriĂšre invisible, ils ne pouvaient plus s'approcher de moi. Et la priĂšre de cette religieuse continua jusqu'Ă mon rĂ©veille. Quelques petits dĂ©tails Je fus rĂ©veillĂ© le matin par le chien de mon pĂšre qui hurlait Ă mort, dans son jardin on retrouva trois arbres qui s'Ă©taient dessĂ©chĂ©s durant la nuit, et une tante qui Ă©tait de transite chez mon pĂšre, le soir mĂȘme avait pliĂ© bagage morte de trouille, mais elle ne voulu jamais dire pourquoi. Inutile de vous dire que le matin mĂȘme, je me suis prĂ©cipitĂ© chez un vieux prĂȘtre qui m'a donnĂ© la recette du rosaire. Le rosaire, il faut le rĂ©citer sans cesse et avoir son chapelet toujours dans sa poche. par exemple on peut le rĂ©citer dans le train ou le Metro sans fausse pudeur, et vous serrez Ă©tonnĂ© de voir Ă quel point les autres passagers respectent. Si vous voulez protĂ©ger quelqu'un ou demander la grĂące d'une conversion, priez le gloire, gloire Ă toi. Toute ma tendresse pour toi Ă©dition par Philippe le Sam 16 DĂ©c - 2219, Ă©ditĂ© 4 fois PhilippeconsacrĂ©Messages 1865Date d'inscription 03/08/2010Age 74Localisation Maisons LaffitteSujet Re TĂ©moignage. Aboutit au trois jours de tĂ©nĂšbres. Mer 1 Nov - 1436 Comment j'ai dĂ©couvert l'humilitĂ©. Ma leçon de catĂ© sur l'humilitĂ©, je l'ai reçu par un songe. En fait dans mes songes et visions je distingue dans un premier temps les visions de lumiĂšre, mais viennent ensuite mes visions de la nuit, qui elles sont obscures, tant du moins que je n'aurai pas franchi un certain seuil, et celles-ci je ne vous les donne pas. Par exemple la vision du diable au sommet d'une Ă©glise qui m'a vocifĂ©rĂ© 'j'attends la puissance suprĂȘme de monseigneur Lucifer" comment expliciter cela ?Donc voila mon songe J'Ă©tais Ă un festin, oĂč il y avait JĂ©sus trĂšs occupĂ© Ă parler avec deux apĂŽtres Ă sa droite et Ă sa gauche. Et je me suis fait ce calcul "bon! si je monte vers lui, il va me demander de redescendre, mais si je descends, il va me demander de monter ? donc je choisis la derniĂšre place, et automatiquement JĂ©sus va me demander de monter plus haut" Ce que je fis prenant la derniĂšre place, et regardant JĂ©sus pour voir le rĂ©sultat. ImmĂ©diatement JĂ©sus s'arrĂȘta de parler et me regarda fixement. BRRRRR !....Puis avec un grand sourire, il s'approcha de moi, fit un geste large du bras, et une force me prĂ©cipita par-terre, avec une gamelle Ă chien s'il vous plaĂźt. C'Ă©tait trop drĂŽle et je me suis rĂ©veillĂ© parce que j'Ă©clatais de rire. De JĂ©sus ce n'Ă©tait pas du mĂ©pris mais une tranche de rigolade. J'avais voulu jouer au petit soldat et donc il me doucement ceci m'a un peu fait comprendre ce qu'est l'humilitĂ©. La vĂ©ritable gloire n'est pas un jour d'ĂȘtre en haut, mais d'ĂȘtre en bas et d'y rester. La vĂ©ritable Ă©lĂ©vation est dans la toute petitesse, et si pour condition du salut de tous la sainte trinitĂ© devait prendre la derniĂšre place elle n'hĂ©siterait pas une le ciel ? franchement n'est-ce pas mĂ©galomaniaque de dĂ©sirer l'immortalitĂ© dans un bonheur indescriptible ? Oui mais comment faire pour ne pas dĂ©sirer cela puisqu'on est fabriquĂ© comme ça ? Alors moi je dĂ©sire ĂȘtre le plus petit caillou du ciel. Et que tous soit plus grands que moi, qu'importe, et c'est dĂ©jĂ trop beau. Mais que tous ceux que j'aime soit sauvĂ©s, voilĂ le bonheur que j'attend. Merci gloire, gloire Ă toi. Toute ma tendresse pour toi Ă©dition par Philippe le Lun 6 Nov - 1054, Ă©ditĂ© 2 fois PhilippeconsacrĂ©Messages 1865Date d'inscription 03/08/2010Age 74Localisation Maisons LaffitteSujet Re TĂ©moignage. Aboutit au trois jours de tĂ©nĂšbres. Ven 3 Nov - 732 Comment j'ai dĂ©couvert l' trop drĂŽle et en mĂȘme temps sidĂ©rant, Ă©poustouflant. Il faut vous dire que je ne connaissais l'AngĂ©lus que par le tableau de Millet et rien d'autre. L'angĂ©lus ? Oui ! une priĂšre que l'on fait dans la journĂ©e, mais laquelle et Ă quelle heure ? Alors voilĂ . Ăa devait ĂȘtre en janvier ou fĂ©vrier. J'avais vingt deux ans, et j'Ă©tais dans le train en permission de service militaire. A l'Ă©poque les trains avaient un long couloir et des compartiments et j'Ă©tais Ă la fenĂȘtre d'un couloir, en train de contempler les champs de labour nus et dĂ©solĂ©s d'hiver. j'Ă©tais moi-mĂȘme dĂ©solĂ© comme ces champs car je n'aimais pas trop le service militaire, et je me disais en moi-mĂȘme "combien de temps combien de jours faudra t'il encore, avant que les semailles nouvelles germent et sortent du sol" ?Il faut vous dire que je devais ĂȘtre libĂ©rĂ© l'Ă©tĂ© prochain, et voir les champs de labour commencer Ă verdoyer serait pour moi l'annonce de ma libĂ©ration prochaine. Brusquement dans un champs dĂ©nudĂ©, j'ai vu deux jeunes dĂ©guisĂ©s Ă l'ancienne et qui nous faisaient une bonne blague en reproduisant au dĂ©tail prĂšs le tableau de l'AngĂ©lus de Millet, sauf que le panier ne contenait pas des patates mais un bĂ©bĂ©. Il y avait juste Ă cotĂ© de moi un voyageur dont la tĂȘte faisait penser Ă un moine cistercien. Et je lui ai demandĂ© tout de go en Ă©clatant de rire - Quelle heure est-il ? - Midi tapant, me rĂ©pondit-il, surpris. - Vous avez vu dans le champs les Ă©tudiants dĂ©guisĂ©s Ă l'ancienne, et qui nous font une farce en rĂ©citant l'AngĂ©lus ?- Il n'y a personne dans le champs ?- Mais vous avez entendu les cloches de l'Ă©glise au loin qui sonnaient l'AngĂ©lus ? - vu la distance de l'Ă©glise et avec le bruit du train, de toute façon on ne pourrait pas entendre les cloches. Bon! lĂ j'ai compris que j'avais eu une vision et je me suis mis Ă prier. Et quand j'ai rouvert les yeux, j'ai vu cet homme Ă la tĂȘte de Cistercien qui me regardait complĂštement bouleversĂ©. Moi-mĂȘme j'ai Ă©tĂ© paniquĂ© par son regard et je suis parti me rĂ©fugier Ă l'autre bout du train. Il me regardait comme un saint, et moi je pense plutĂŽt que le christ se penchait sur un pauvre jeune homme douloureux et paumĂ© luttant contre le dĂ©sespoir. Et pourquoi pas ? C'est trĂšs impressionnant de se dire que dans nos champs, labours, bois et guĂ©rets, des gĂ©nĂ©rations et des gĂ©nĂ©rations de nos ancĂȘtres ont priĂ©. Que mĂȘme si en ce moment la France est devenu folle, la terre a gardĂ© une marque indĂ©lĂ©bile de leurs priĂšres qui ne s'effacera jamais. Nos ancĂȘtres ils sont lĂ et ne partiront de ce jour et autant que j'ai pu c'est Ă dire pas vraiment comme il faudrait, j'ai essayĂ© d'ĂȘtre fidĂšle Ă l'angĂ©lus. Et maintenant, je raccorde mĂȘme l'AngĂ©lus Ă la demande du don de la Divine gloire, gloire Ă toi. Toute ma tendresse pour toi Ă©dition par Philippe le Lun 6 Nov - 1054, Ă©ditĂ© 2 fois PhilippeconsacrĂ©Messages 1865Date d'inscription 03/08/2010Age 74Localisation Maisons LaffitteSujet Re TĂ©moignage. Aboutit au trois jours de tĂ©nĂšbres. Lun 6 Nov - 1032 Comment j'ai dĂ©couvert que JĂ©sus est trĂšs proche de chacun de que je vais vous raconter maintenant va vous laisser perplexe ; mais je le comprends trĂšs bien, et moi-mĂȘme je suis encore Ă me poser un point d'interrogation des dizaines d'annĂ©es plus tard qui Ă©tait-il, Ă qui ai-je parlĂ© ? J'avais vingt-trois ans, complĂštement paumĂ© malgrĂ© ma conversion. Pendant mon service militaire, la fille que j'aimais comme la Sainte Vierge, et qui m'aimait s'Ă©tait laissĂ©e entourlouper par un Ă©tudiant qui ne cherchait que du sexe pour passer ses Ă©tudes tranquilles, et la laisser choir ensuite, ses Ă©tudes terminĂ©es. En six mois Ă peine il avait rĂ©ussi Ă lui prendre sa virginitĂ© et la faire avorter. Et moi, assommĂ© par tout ça, j'avais laissĂ© tomber mon travail pour me promener au grĂš de l'auto-stop. Bref je faisais la route selon l'expression. Comme ça, je me suis retrouvĂ© un soir Ă Aix-en-Provence. Qui plus est j'Ă©tais tombĂ© sur la voiture d'une jeune femme nymphomane. Bon ! Il ne s'Ă©tait passĂ© rien de grave avec cette nymphomane, mais intĂ©rieurement j'Ă©tais bien esquintĂ©, et en sortant de sa voiture je me suis dit "vite, il faut que je fasse un acte de charitĂ© pour me purifier". Et croyez-moi, quand on a ce genre de dĂ©sir, JĂ©sus n'est pas je suis sorti de la voiture de ma nymphomane, et Ă peine sorti, un jeune homme de mon Ăąge m'est tombĂ© dessus me rĂ©clamant 1 franc pour s'acheter du pain car il n'avait rien Ă manger. Et moi de lui rĂ©pondre - "je vais faire mieux je t'invite au resto. Viens, on va se taper un chinois". Du coup on s'est retrouvĂ© Ă parler ensemble comme si on ne s'Ă©tait jamais quittĂ© ; comme si notre conversation avait toujours durĂ©. Et c'est lĂ que tout se bouleverse, tout se renverse, JĂ©sus met tout Ă l' passĂ© ma soirĂ©e Ă l'Ă©couter et le conseiller. Je ne me suis pas rendu compte sur-le-coup, mais en fait sa douleur Ă©tait ma douleur, sa faiblesse Ă©tait ma faiblesse, et les conseils que je lui donnais Ă©taient les conseils dont j'avais besoin. Simplement il a simplifiĂ© en une seule phrase ce qui dans ma tĂȘte Ă©tait tordu et compliquĂ©, plein de doutes, d'interrogations et de culpabilitĂ©, avec en plus un refoulement et un refus de voir la rĂ©alitĂ©, mâefforçant de croire Ă une chaste amitiĂ© entre eux. Pire, une fois ses Ă©tudes terminĂ©es il a essayĂ© de me la refiler afin d'Ă©pouser une fille digne de son rang Ă lui. Quand quelqu'un perd sa puretĂ©, ce sont les fondements mĂȘmes de l'Univers qui sont fracassĂ©s en un chaos indescriptible, et il faudrait que les entrailles de la terre se brisent de tĂ©nĂšbres pour hurler ma douleur. Mais que dis-je ? N'a-t-il pas lui aussi besoin de mon pardon ? N'est-il pas lui aussi blessĂ© et sans doute plus qu'elle ? Pour revenir Ă ce jeune homme et comme je l'ai dĂ©jĂ dit, il a tout simplifiĂ© en une phrase qui dit tout. Pendant le repas il m'a dit - "La fille que j'aime et qui m'aime est subjuguĂ© par un bandit". Mais par dĂ©licatesse tant pour elle que pour moi il a recouvert leur pĂ©chĂ© d'un voile de tout Ă©tait dit dans une parfaite simplicitĂ© et vĂ©ritĂ©. Je lui ai conseillĂ© de surtout ne pas la laisser tomber...Et c'est en fait ce que je devais faire. Mais son comportement est devenu de plus en plus Ă©trange. Ensuite je lui ai conseillĂ© de prier Marie....Ce que je devais moi-mĂȘme faire, et quand je lui ai donnĂ© un chapelet, il l'a regardĂ© avec bonheur. Et le mouchoir de San Damiano ? A un moment j'ai sorti un mouchoir quelconque pour me moucher, mais quand j'ai sorti sans rien dire un mouchoir blanc de San Damiano, immĂ©diatement ses yeux se sont Ă©merveillĂ©s. Comment savait-il ? Comment savait-il ??? Et il renversait tout A un moment en pleurant il m'avait sorti - Si ça continue je ne vais plus avoir confiance en....Je l'ai coupĂ© pour dire - En Dieu, tu ne vas plus avoir confiance en Dieu ?- Mais non ! voyons, je ne vais plus avoir confiance en les hommes, je vais perdre ma confiance dans les il a haussĂ© les Ă©paules comme si j'avais sorti la pire des inepties. Sinon le repas s'est passĂ© le plus naturellement du monde, et au dessert il a mĂȘme fumĂ© une cigarette avec moi. Dernier round au moment de se quitter je lui ai dit - File-moi ton adresse on va rester en contact. Et lui de me rĂ©pondre me regardant dans le fond des yeux - C'est inutile, si je dois te contacter JE sais comment annĂ©es et des annĂ©es plus tard, je suis encore Ă me demander qui Ă©tait-il ? je ne conclus pas, mais je me rappelle des paroles de Saint Paul "certains sans le savoir ont accueilli un ange". Un ange ? Plus ?...Qui Ă©tait-il ? Et je n'ose rĂ©pondre. Mais de cette histoire j'en tire plein de conclusions - Dieu n'est pas Jupiter ou le papa-gĂąteau-tiroir-caisse. Il vient porter notre douleur non pour l'Ă©viter mais pour en crever. Et seulement ensuite vient la rĂ©surrection. Mais c'est notre douleur et notre faiblesse qu'il porte vraiment. Il renverse les rĂŽles. Lui souffre de notre douleur et notre faiblesse, et c'est Ă nous de l'aider et mĂȘme de le D'une maniĂšre ou d'une autre, JĂ©sus est venu prendre ma vie Ă bras-le-corps. Il ne m'a pas invitĂ© Ă m'Ă©vader de ma croix en devenant moine ou curĂ©, ou je ne sais quelle hauteur mystique. Non ! Il est venu voir ma vie telle qu'elle Ă©tait. Il ne vient pas seulement voir des grands saints ou des grands mystiques, mais aussi des hommes tels qu'ils sont avec leurs vĂ©ritables problĂšmes. Et mĂȘme, il veut qu'on se dĂ©charge de nos douleurs sur lui. Paradoxe plus on lui donne nos croix et moins la sienne sera lourde " Donne tous tes soucis au Seigneur, et lui prendra bien soin de toi. AprĂšs avoir un peu souffert il t'affermira puis te rendra inĂ©branlable".- JĂ©sus est trĂšs trĂšs proche de nous. On peut tout lui confier avec Quand on est dans la panade et que Dieu semble ne pas nous rĂ©pondre, la solution charitĂ©, renverser la situation. Voir JĂ©sus souffrant de notre problĂšme, l'aider et le conseiller. Car OUI ! son humilitĂ© va jusqu'Ă lĂ . Quel conseil je donnerais Ă un frĂšre dans une situation pareille ? Et alors trĂšs rapidement la lumiĂšre du Saint Esprit va fuser en gloire, gloire Ă toi. Toute ma tendresse pour toi Ă©dition par Philippe le Mer 8 Nov - 746, Ă©ditĂ© 1 fois PhilippeconsacrĂ©Messages 1865Date d'inscription 03/08/2010Age 74Localisation Maisons LaffitteSujet Re TĂ©moignage. Aboutit au trois jours de tĂ©nĂšbres. Mer 8 Nov - 733 Comment j'ai reçu la devais avoir dans les quarante ans et l'officialitĂ© de l'Eglise venait de prononcer une dĂ©claration de nullitĂ© de mon mariage. Cela peut choquer certains, mais pour mon salut comme pour celui de mon ex Ă©pouse, croyez-moi c'Ă©tait mieux ainsi. Bref ! j'Ă©tais donc libre, et je me rĂ©jouissais Ă l'idĂ©e de pouvoir me remarier....plus hypocritement Ă l'idĂ©e de connaĂźtre cette communion physique entre l'homme et la femme, dont l'homme est si prĂ©gnant. Et brusquement j'ai vu ce moine ; celui-lĂ mĂȘme qui Ă l'Ăąge de quatorze ans m'a apportĂ© un livre du ciel expliquant tout le psychisme humain de A Ă Z, mais j'en parlerai peut-ĂȘtre un jour. Il y avait devant moi ce moine avec l'habit des Carmes, mais ni ascĂ©tique ni mysticoĂŻde, jovial, bien dans sa peau bien dans ses pompes. Et il m'a juste dit "je te mets dans la chastetĂ©".Ni une ni deux je lui ai balancĂ© une chaussure en pleine poire. Ce moine s'est alors retournĂ©, a fait quelques pas pour s'Ă©loigner et a disparu, mais en partant dans un grand Ă©clat de rire ; et j'ai entendu son Ă©clat de rire longtemps aprĂšs sa disparition. Ce n'Ă©tait pas un ricanement mĂ©chant mais plutĂŽt un rire jovial et bon, plein de bon humeur, du style "tu vas voir mon bonhomme". ImmĂ©diatement je me suis dit "bon, ça c'est le diable, c'est le diable". je me suis efforcĂ© de me retrouver troublĂ© et angoissĂ© car cela aurait Ă©tĂ© la preuve que ça venait du diable....Ăa y est ça vient je suis angoissĂ©.....Mais non ! rien Ă faire ! je n'Ă©tait ni angoissĂ© ni troublĂ©. N'allez surtout pas vous imaginer que je suis un grand saint ou un grand mystique. Je suis plutĂŽt le stĂ©rĂ©otype du pauvre diable qui fait ce qu'il peut ; et c'est peut-ĂȘtre justement pour ça que j'ai des visions. Ne pas oublier que JĂ©sus a dit qu'il n'est pas venu pour les biens portants mais pour les malades, qu'il est prĂȘt Ă abandonner les quatre vingts dix neuf justes pour aller chercher la brebis perdue, et j'Ă©tais cette brebis perdue. Il y a un bas-relief Ă Saint Germain-en-Laye qui m'a beaucoup touchĂ©, pas dâĂvangile mais tellement dâĂvangile On y voit JĂ©sus les manches retroussĂ©es qui va chercher une pauvre brebis complĂštement prise dans les ronces, et qui dĂ©sespĂ©rĂ©e ne peut plus sortir par gloire, gloire Ă toi. Toute ma tendresse pour toi Ă©dition par Philippe le Ven 10 Nov - 754, Ă©ditĂ© 1 fois PhilippeconsacrĂ©Messages 1865Date d'inscription 03/08/2010Age 74Localisation Maisons LaffitteSujet Re TĂ©moignage. Aboutit au trois jours de tĂ©nĂšbres. Ven 10 Nov - 751 Quelques souvenirs d'enfances Mon premier acte de souvenir n'a rien d'extraordinaire, et pourtant pour moi c'est le plus extraordinaire de tous mon premier acte de foi. je devais avoir quatre ans, cinq maximum. J'Ă©tais en vacances en Franche ComtĂ©, nous Ă©tions partis faire une promenade parmi les champs de blĂ©s et pĂąturages ma sĆur et un grand garçon de neuf ans qui Ă©tait enfant de cĆur. Pour moi son statut d'enfant de cĆur en faisait l'Ă©gale d'un ange, un maĂźtre, plus que mes parents, plus que le curĂ© du village lui-mĂȘme. Et sur ce chemin de terre inondĂ© du soleil d'Ă©tĂ©, il rĂ©pondait Ă mes questions, que Dieu a tout créé absolument tout le soleil, les arbres fruitiers, les vaches, tout. Et qu'il est tout puissant. Et comme exemple il nous a dit - Si JĂ©sus voulait, il pourrait descendre jusqu'Ă nous en marchant sur un rayon de lumiĂšre. et moi de lui rĂ©pliquer- Oui mais il serait obligĂ© de mettre des chaussures Ă clous, parce que un rayon de lumiĂšre, c'est drĂŽlement glissant dis donc ? - Non non ! pas du tout. Il serait pieds nus et il ne glisserait Mais il serait quand mĂȘme obligĂ© de mettre des chaussures pour ne pas se brĂ»ler les pieds, parce que un rayon de lumiĂšre, ça brĂ»le aussi ? - Pas du tout, pas du tout. Il serait pieds nus et ça ne lui brĂ»lerait pas les pieds. Et bien ça n'a pas Ă©tĂ© facile Ă gober ce truc-lĂ . Mon premier acte de foi JĂ©sus n'a pas besoin de chaussures Ă clous pour marcher dans la lumiĂšre. Et ne riez pas, parce que, qu'importe l'Ăąge, la raison ou la maturitĂ© d'intelligence ; qu'importe le mode d'expression que l'Esprit Saint prend pour nous parler, c'est sans doute l'acte de foi le plus grand que j'ai eu Ă faire de toute ma vie. Acte de foi qui vaut peut-ĂȘtre celui de certains cardinaux. Et vive les enfants de cĆur qui Ă©vangĂ©lisent les tout petits quand ils sont les seuls Ă pouvoir le faire, avec un langage qui leur convient. Merci gloire, gloire Ă toi. Toute ma tendresse pour toi Ă©dition par Philippe le Sam 11 Nov - 840, Ă©ditĂ© 1 fois PhilippeconsacrĂ©Messages 1865Date d'inscription 03/08/2010Age 74Localisation Maisons LaffitteSujet Re TĂ©moignage. Aboutit au trois jours de tĂ©nĂšbres. Sam 11 Nov - 833 Quelques souvenirs d'enfances Ma prmiĂšre Ă©vangĂ©lisation Ă quatre quatre ans et je jouais dans notre chambre commune avec mon frĂšre et ma sĆur du mĂȘme Ăąge que moi ou presque. Je ne sais plus pourquoi, mais on en est venu Ă parler de Dieu, et je leur ai dit Quand on appelle Dieu y vient, y suffit de lâappeler. Si ! si ! vous allez me mettant Ă la fenĂȘtre le regard tournĂ© vers le ciel, de toutes forces j'ai criĂ© -Dieu ! Dieu ! Dieu ! Et bien mĂȘme si JĂ©sus nous dit de ne jamais jurer, je vous jure que je vous jure que le visage de JĂ©sus sâest formĂ© dans les nuages dâune façon trĂšs prĂ©cise, et il nous souriait. Si ! si ! je vous jure que câest vrai ; croix de bois croix de fer si je mens je vais en⊠Non de toute façon je ne vais pas en enfer, mais je dis vrai. - Ha ! oui, mâont dit mon frĂšre et ma sĆur, quand on appelle Dieu y les enfants sont des rouĂ©s et je savais trĂšs bien que les nuages se dissipent. Il fallait donc que je trouve une sortie pour finir en beautĂ©. Aussi jâai continuĂ© - Mais quand on fait un pĂ©chĂ©, Dieu y sâen va. Vous allez voir, je vais dire un gros mot parce que câest un pĂ©chĂ© de dire des gros mots, et Dieu va s'en aller. De nouveau je me suis tournĂ© vers le visage du Christ, et je lui ai lancĂ© un formidable le visage du Christ sâest dissipĂ© fait tout Ă©tait dit Quand on appelle Dieu il vient, et quand on pĂšche, il sâen va. Câest aussi simple que gloire, gloire Ă toi. Toute ma tendresse pour toi Ă©dition par Philippe le Dim 12 Nov - 801, Ă©ditĂ© 1 fois PhilippeconsacrĂ©Messages 1865Date d'inscription 03/08/2010Age 74Localisation Maisons LaffitteSujet Re TĂ©moignage. Aboutit au trois jours de tĂ©nĂšbres. Dim 12 Nov - 754 Comment j'ai reçu mon plan de dans un songe. Je devais ĂȘtre Ă l'Ă©poque du Christ dans une maison presque en sous-sol, et il y avait lĂ l'Esprit Saint sous la forme d'un jeune homme plein de vie qui Ă©tait la jeunesse-mĂȘme, la joie, la gaietĂ© ; j'allais dire l'exubĂ©rance. Et il m'expliqua la recette du liĂšvre ; ce qui peut paraĂźtre farfelu mais vous allez voir que pas du tout. En concluant sa recette avec un geste des mains il ajouta Et avec un tout petit peu d'herbes amĂšres. J'aime bien le "un tout petit peu". Ăa, c'est une question de enfin juste avant de repartir vers un escalier de trois marches, il me confia un secret trĂšs grave. Il me confia Celui qui aime demeure Ă©ternellement dans son repartant il croisa trois vieillards qui venaient vers moi, et il se riait d'eux car malgrĂ© ses grandes salutations ils Ă©taient incapable de le reconnaĂźtre, lui, L'ESPRIT de ce songe est assez le liĂšvre ? ... Je vais avoir besoin d'un liĂšvre pour me faire courir sur le chemin du Seigneur. Mon chemin peut scandaliser, choquer le monde qui ne comprend rien, mais frĂšre EphraĂŻm dans "lecture amoureuse de la bible" parle du chemin du roi David oĂč chaque passage dans une des sept demeures de l'Ăąme a Ă©tĂ© ponctuĂ© par un amour. Pour moi c'est pareil, sauf que j'ai vĂ©cu ces amours j'en suis Ă six dans la chastetĂ©. Pauvre homme que je suis. C'est mon chemin, c'est ma route voulu par le Seigneur. J'aimerais vous prĂ©senter une image dâĂpinal plus conforme Ă l'image qu'on se fait de la saintetĂ© mais ça ne serait pas sincĂšre. Et puis sĆur Lucie a dit que le dernier combat entre Satan et JĂ©sus serait sur le mariage et la famille ? C'est ce que je vis, mais sur la Un tout petit peu d'herbes amĂšres ? la rĂ©ponse est Ă©vidente c'est mon chemin de Les trois vieillards ? La chair, le monde et Satan qui viennent vers moi pour me tanter- Les trois marches de l'escalier ? La foi, l'espĂ©rance et la charitĂ©, que je dois moi-mĂȘme gravir, pour aller vers la lumiĂšre et la rencontre du gloire, gloire Ă toi. Toute ma tendresse pour toi Ă©dition par Philippe le Lun 13 Nov - 837, Ă©ditĂ© 1 fois FrançoiseconsacrĂ©Messages 7626Date d'inscription 12/06/2016Sujet Re TĂ©moignage. Aboutit au trois jours de tĂ©nĂšbres. Dim 12 Nov - 1313 Oh, merci cher Philippe pour tes tĂ©moignages plein de vie et de sincĂ©ritĂ©. Tu es Toi et je t'aime tel que tu es. Oui, Philippe est ainsi. J'avais remarquĂ© sa spontanĂ©itĂ© sur le forum "Le Peuple de la Paix"... et je suis heureuse de travailler avec lui sur ce tout petit forum "MonastĂšre intĂ©rieur"... il m'apporte beaucoup. Pardon si, sur le dit forum "Peuple de la paix", je t'envoyais des messages privĂ©s en te disputant un peu pour ton laxisme et ton recul face aux Ă©vĂšnements. La premiĂšre lecture de ce jour sur la Sagesse m'a appris Ă te comprendre. Que Dieu te bĂ©nisse, toi et ta family, Philippe, petit frĂšre en Christ que Notre Dieu Tout Puissant a mis sur ma route. Longue vie Ă ce union de priĂšre,Françoise. PhilippeconsacrĂ©Messages 1865Date d'inscription 03/08/2010Age 74Localisation Maisons LaffitteSujet Re TĂ©moignage. Aboutit au trois jours de tĂ©nĂšbres. Dim 12 Nov - 1725 Merci Françoise ==================================================================================== PhilippeconsacrĂ©Messages 1865Date d'inscription 03/08/2010Age 74Localisation Maisons LaffitteSujet Re TĂ©moignage. Aboutit au trois jours de tĂ©nĂšbres. Lun 13 Nov - 834 L'annonce de la grande nuit d' San Damiano Marie nous a dit "Attendez-vous Ă tout perdre". A un moment de notre purification on va tout perdre pour tout retrouver en JĂ©sus. Il nous sera demandĂ© de tout sacrifier jusqu'Ă nos amours les plus chers, jusqu'Ă nos biens les plus sacrĂ©s et mĂȘme jusqu'Ă notre joie sentie, d'avancer vers le soleil, sans plus jamais nous retourner. le PĂšre des Cieux ne veut que notre bonheur, mais il doit d'abord nous laver dans le sang de l'Agneau et il en est le premier chagrinĂ©. Il semble ne plus vouloir nous exaucer dans nos demandes lors-mĂȘme qu'il est en train de nous exaucer dans notre premiĂšre le dĂ©sert nous est donnĂ©, fondamentalement donnĂ© comme la plus grande des grĂące. DonnĂ© et non imposĂ© car JĂ©sus veut qu'on dise OUI. On peut parler d'une passivitĂ©, mais une passivitĂ© active qui rĂ©clame toujours notre participation de cĆur et de volontĂ©. Moi j'appelle ça la grande nuit d'Orient, la nuit du cĆur plus que celle de l'esprit. Et croyez-moi, par les temps qui court ça va ĂȘtre dĂ©mocratisĂ©. Cette annonce m'a Ă©tĂ© faite dans un face Ă un dĂ©sert que je devais gagner. Mais le seuil de ce dĂ©sert Ă©tait gardĂ© de chaque cotĂ© par deux statuts de dragons antiques vieille comme le monde toutes fissurĂ©es par le temps. les gardiens du seuil. Si je franchissais le seuil, les deux dragons reprendraient vie et me tomberaient dessus Ă bras raccourcis, et dĂ©jĂ rien qu'Ă m'approcher, leurs yeux reprenaient vie d'une terrible mĂ©chancetĂ© et me suivaient du faire, et hors de question de passer par le seuil ?Et bien le dĂ©sert Ă©tait entourĂ© de gros rochers. Aussi je dĂ©cidais de passer discrĂštement par "la voie encombrĂ©e", par les gros rochers ; Ă l'abris du regard des deux dragons, mais surtout par la voie cachĂ©e, cachĂ©e au yeux du monde, des anges et si possible de que je fis et ça a marchĂ© ; je me suis retrouvĂ© au milieu du dĂ©sert. Mais lĂ j'entendit un Ă©norme beuglement. Les deux dragons venaient de se rendre compte de ma filouterie, avaient repris vie, et me poursuivaient. Vite il fallait que je gagne le cĆur du dĂ©sert oĂč il y avait un escalier secret de trois marche invisible aux dĂ©mons. Je courais de toutes mes forces, et Ă peine j'avais posĂ© le pied sur la premiĂšre marche de l'escalier secret, que les deux dragons tombĂšrent en poussiĂšre. - Bien entendu dans la pratique ça ne se passe pas aussi rapidement car nous sommes encore trĂšs imparfait, et le Seigneur doit recommencer l'opĂ©ration Ă maintes reprises encore et encore. - L'escalier secret et invisible de trois marches, c'est bien sĂ»r la foi, l'espĂ©rance et la charitĂ©. Non ! nous ne sommes pas sauvĂ© uniquement par la foi, mais par la foi-espĂ©rance-charitĂ©, et c'est une illusion redoutable de croire qu'on peut ĂȘtre sauvĂ© par la foi si on ne veut pas renoncer entiĂšrement Ă son pĂ©chĂ©. Et cet escalier secret est invisible aux dĂ©mons car il ne comprend rien Ă la foi-espĂ©rance-charitĂ©. DĂšs lors qu'on possĂšde ces trois vertus, il n'a plus aucune prise sur Les deux dragons ? j'ai longtemps rĂ©flĂ©chi, et je pense que c'est l'Ă©pouvante et la dĂ©solation. Ăpouvante ? je prĂ©fĂšre ne pas trop en dire car ce n'est pas Ă piquer des hannetons, mais la Sainte Vierge n'est jamais trĂšs loin finalement, heureusement. Et la dĂ©solation ? j'en Ă©tais venu Ă ne mĂȘme plus pouvoir aimer JĂ©sus car j'avais l'impression qu'on me demandait de devenir homosexuel, c'est peu dire....- Mais une chose ne nous manque jamais l'espĂ©rance, et je cois que c'est la premiĂšre marche de l'escalier secret ESPĂRANCE. Finalement la vie spirituelle est un moteur Ă deux temps EspĂ©rance confiance, espĂ©rance confiance, espĂ©rance gloire, gloire Ă toi. Toute ma tendresse pour toi Ă©dition par Philippe le Mar 14 Nov - 1051, Ă©ditĂ© 1 fois PhilippeconsacrĂ©Messages 1865Date d'inscription 03/08/2010Age 74Localisation Maisons LaffitteSujet Re TĂ©moignage. Aboutit au trois jours de tĂ©nĂšbres. Mar 14 Nov - 1049 Une heure triste et ne voudrais pas passer pour un petit saint au chemin parfait du style ; "voyez comme je suis bien" et je trouve que ce ne serait pas sincĂšre. Non, parfois le dĂ©sespoir m'a rattrapĂ© et j'ai pendant quelque temps jetĂ© l'Ă©ponge. Mais JĂ©sus, lui, n'a pas jetĂ© l'Ă©ponge, et il a su m'attendre. Ainsi vers vingt cinq et aussi cinquante ans je n'ai pas Ă©tĂ© au top cotĂ© chastetĂ© ; ce qui d'ailleurs a Ă©tĂ© toujours trĂšs lourd de consĂ©quence. Vers vingt cinq ans j'ai eu un songe. J'ai vu le Christ en croix qui m'a simplement dit "range-toi Ă ma gauche". Heure triste et sombre. Mais mon premier pĂ©chĂ© Ă©tait le dĂ©sespoir, le manque d'espĂ©rance. Croire que ma vie spirituelle n'avait aucun sens et que JĂ©sus ne s'intĂ©ressait pas Ă Seigneur de m'avoir attendu, et pardonnĂ©. Merci gloire, gloire Ă toi. Toute ma tendresse pour toi Ă©dition par Philippe le Mer 15 Nov - 748, Ă©ditĂ© 1 fois PhilippeconsacrĂ©Messages 1865Date d'inscription 03/08/2010Age 74Localisation Maisons LaffitteSujet Re TĂ©moignage. Aboutit au trois jours de tĂ©nĂšbres. Mer 15 Nov - 746 Comment j'ai reçu l'espĂ©rance. C'est dans un songe oĂč j'ai vu Gandhi. Cela peut Ă©tonner mais Marthe Robin disait de lui que c'Ă©tait un autre Christ, et bien sĂ»r c'Ă©tait de sa part un euphĂ©misme. Mais surtout JĂ©sus disait Ă je ne sait plus quelle messagĂšre "Les paĂŻens vous montreront l'exemple".A croire qu'il n'y a plus en ce moment d'EspĂ©rance dans l' l'Ă©poque j'avais dans la trentaine et j'Ă©tais quasiment dans dĂ©sespoir car je ne trouvais pas de travail. Dans mon songe, j'allais frapper Ă la porte d'une clinique pour leur demander s'ils avaient un emplois, et tout de suite on me disait "Gandhi est hospitalisĂ© Ă la suite d'un jeĂ»ne prolongĂ© et il t'attend, il veut te parler. chambre 222".Donc dans mon songe je me rendis dans cette chambre. Il y avait lĂ Gandhi dans un lit qui me dit "Ne dĂ©sespĂšre jamais, jamais. Regarde, moi, je ne suis jamais tomber dans le dĂ©sespoir".Puis il m'a transpercĂ© du regard avec insistance, comme pour me faire comprendre que ce n'Ă©tait pas un rĂȘve venant de l' gloire, gloire Ă toi. Toute ma tendresse pour toi Ă©dition par Philippe le Jeu 16 Nov - 1803, Ă©ditĂ© 3 fois PhilippeconsacrĂ©Messages 1865Date d'inscription 03/08/2010Age 74Localisation Maisons LaffitteSujet Re TĂ©moignage. Aboutit au trois jours de tĂ©nĂšbres. Jeu 16 Nov - 1758 Comment j'ai reçu l' dix sept ans et j'avais donnĂ© rencard Ă une nana devant la porte de l'Ă©glise. Vous ĂȘtes choquĂ©s ? Oui ! mais je vous ai prĂ©venu que j'Ă©tais une fripouille ? Et comme la nana tardait Ă venir, j'ai voulu voir si elle ne m'attendait pas Ă l'intĂ©rieur ; un coup sans priĂšre, juste pour voir. Rien, pas de nana. Mais au moment prĂ©cis oĂč je refermais la porte, pendant une fraction de seconde, j'ai vu le Christ descendant les marche de lâautel venant vers moi, qui me regardait, les bras penchĂ©s vers moi. Bigre de bigre ! Alors j'ai rouvert la porte de l'Ă©glise. Plus personne. j'ai forcĂ© mon imagination Ă voir le Christ parce que ça ne pouvait ĂȘtre qu'elle, mais rien Ă faire, Rien, rien et rien de doucement j'ai compris que c'Ă©tait le Seigneur qui m'invitait Ă l'Adoration, au lieu de perdre mon temps avec une petite nana de trois sous, qui de surcroĂźt venait de me poser un lapin. Avec moi le Seigneur ne doit pas ĂȘtre pressĂ©, et il m'a fallu encore des dizaines d'annĂ©es avant de vraiment commencer une adoration rĂ©guliĂšre. Mais le Seigneur venait de planter la petite graine de l'adoration en moi, et lentement, trĂšs lentement, cette petite graine a fini par germer. Merci gloire, gloire Ă toi. Toute ma tendresse pour toi Ă©dition par Philippe le Ven 17 Nov - 721, Ă©ditĂ© 1 fois PhilippeconsacrĂ©Messages 1865Date d'inscription 03/08/2010Age 74Localisation Maisons LaffitteSujet Re TĂ©moignage. Aboutit au trois jours de tĂ©nĂšbres. Ven 17 Nov - 720 Marie trĂŽne de la pris par l'amour de cette jeune fille que j'aimais comme la Sainte Vierge, et elle paraissait triste, dĂ©primĂ©e, tourmentĂ©. Une amie commune finit par me lĂącher ces mots terribles Elle s'est fait violer par X. je ne peux pas vous dĂ©crire l'apocalypse que mon cĆur a vĂ©cu alors. Je n'avais qu'une idĂ©e en tĂȘte tuer, Ă©gorger ce sale bonhomme. Moi qui connait si peu la violence, il m'a fallu me battre de toutes mes forces pour ne pas aller tuer. Quelques temps plus tard alors que je marchais dans le parc de ma ville. je pensais Ă Marie reine des vierge, et tristement je lui ai dit "Marie reine des vierges, ma pauvre Marie elle n'est pas bien belle ta couronne".Sur le champs, saint Michel Archange dans toute sa puissance. Cinq mĂštres de haut. Effroi absolu car ce n'est pas rien de voir un ange en "live" ; alors le chef des anges.....- Non non ! j'ai rien dit j'ai rien tard. Lentement il a levĂ© son glaive vers le haut, et dans le mĂȘme mouvement mon Ăąme s'est Ă©levĂ©e vers les plus grandes hauteurs du ciel. la douleur m'a complĂštement quittĂ©. Une paix indescriptible, et la rĂ©alitĂ© que je voyais Ă©tait tellement rĂ©elle qu'elle me paraissait dure comme un diamant et fluide comme l'azur tout Ă la fois. Comparativement Ă cette rĂ©alitĂ©, l'univers ne me paraissait plus que comme une lĂ©gĂšre vapeur cotonneuse. Et je me suis retrouvĂ© EN Marie trĂŽne de la sagesse. C'est redoutable, terriblement redoutable ; et si je ne savais que la plus grande prĂ©rogative de Marie est d'ĂȘtre mĂšre de Dieu, je dirais que Marie trĂŽne de la sagesse est la plus grande puissance de l'Univers. Mais ce n'est pas tout, car je me suis retrouvĂ© dans la couronne de Marie trĂŽne de la sagesse, constituĂ© en fait des deux couronnes de la virginitĂ© et du martyr, car ce sont lĂ les deux sommets de la sagesse. Pour la virginitĂ© je ne sais pas, mais dans cette couronne il y avait l'immensitĂ© du peuple des martyrs ChrĂ©tiens encore chaud du sang versĂ© dans l'arĂšne cinq minutes auparavant, et qui chantaient tous un cantique d'une douceur trop beau. J'aurais voulu rester pour toujours, mais on me fit comprendre que j'Ă©tais encore trop lourd, pas assez purifiĂ© pour cela, et j'ai commencĂ© Ă doucement redescendre. Mais pendant la redescente, saint Michel Archange m'a lancĂ© en apartĂ© de la vision "Ce n'Ă©tait pas un viol, mais toi essaye de ne pas te laisser mener du bout du nez par la premiĂšre venue". J'aime bien le "essaye". Lui-mĂȘme n'Ă©tait pas convaincu du si vous voulez bien je vous dit la suite, et on rĂ©flĂ©chira ensemble sur les conclusions Ă en gloire, gloire Ă toi. Toute ma tendresse pour toi Ă©dition par Philippe le Dim 19 Nov - 935, Ă©ditĂ© 1 fois PhilippeconsacrĂ©Messages 1865Date d'inscription 03/08/2010Age 74Localisation Maisons LaffitteSujet Re TĂ©moignage. Aboutit au trois jours de tĂ©nĂšbres. Dim 19 Nov - 934 Marie trĂŽne de la sagesse vision m'a d'abord laissĂ© dubitatif, et je l'ai en fait rejetĂ©e pendant vingt ans car je suis trĂšs prudent avec mes visions, quand elles me disent un peu plus que ce que l'Eglise conseille ou demande. D'abord, je n'ai Ă proprement parlĂ© rien vu, ni avec mes yeux ni dans mon imagination. C'Ă©tait comment dire ?.... Non seulement il n'y avait rien, mais moins que rien, et je n'Ă©tais pas assez formĂ© et mĂ»r pour comprendre que ce que je voyais ne venait pas des sens, mais directement de l'ordre de l'essence. Ensuite je ne comprenais pas comment une fripouille de bas-niveau comme moi pouvait avoir une vision aussi grandiose. Donc cette vision ne pouvait ĂȘtre que puis pour moi, c'Ă©tait JĂ©sus qui Ă©tait trĂŽne de la sagesse, et non c'est saint Jean Paul II lui-mĂȘme qui a levĂ© le voile de mes doutes. DĂ©jĂ quand il a parlĂ© de Marie comme "trĂŽne de la sagesse". Tiens ! alors c'est donc vrai, Marie est trĂŽne de la sagesse ? Puis quinze jours plus tard il a lancĂ© que "une sociĂ©tĂ© qui perd la virginitĂ© devient ipso-facto martyrogĂšne". Alors c'est donc vrai aussi cette double couronne de Marie trĂŽne de la sagesse formĂ©e des vierges et des martyrs, les deux sommets de la sagesse, et que quand l'une vient Ă manquer c'est immĂ©diatement compensĂ© par l'autre ? Puis saint Jean Paul II a continuĂ© en lançant aux JMJ "Vous les jeunes EuropĂ©ens, le martyr qui vous est demandĂ© est de ramer Ă contre-courant".Que penser de tout ceci ? Oui il y a peut-ĂȘtre le martyr qui nous attend, les hommes et les enfants tuĂ©s et les jeunes filles sages outragĂ©es par les soi-disant soldats de Dieu pour la plus grand joie du diable. Mais il y a le martyr des martyrs, le martyr fondamental qui juge de tous les autres martyrs le martyr du cĆur. Une gĂ©nĂ©ration entiĂšre est appelĂ© au martyr du cĆur, quand elle redĂ©couvrira la puretĂ©, et qu'elle sortira de la dĂ©bauche dans laquelle elle est plongĂ©e, Ă cause de nous. Quand Marie reviendra, la premiĂšre chose qu'elle rĂ©tablira, c'est la gloire, gloire Ă toi. Toute ma tendresse pour toi Ă©dition par Philippe le Lun 20 Nov - 716, Ă©ditĂ© 3 fois FrançoiseconsacrĂ©Messages 7626Date d'inscription 12/06/2016Sujet Re TĂ©moignage. Aboutit au trois jours de tĂ©nĂšbres. Dim 19 Nov - 1036 ... C'est beau, Philippe ! Oui, c'est beau, la PuretĂ©. Que Notre trĂšs Sainte Maman du Ciel, quand Elle reviendra, rĂ©tablisse la PuretĂ© en premier, c'est une belle pensĂ©e qui illumine mon dimanche. Merci, et bon dimanche ensoleillĂ© par cette image.====================================================================================Seigneur, aide-nous maintenant Ă ĂȘtre vraiment catholique et Ă rester dans la grande vĂ©ritĂ©, en ton Dieu, et ainsi vivre et mourir. PhilippeconsacrĂ©Messages 1865Date d'inscription 03/08/2010Age 74Localisation Maisons LaffitteSujet Re TĂ©moignage. Aboutit au trois jours de tĂ©nĂšbres. Dim 19 Nov - 1044 Merci de tes encouragements Françoise. Et cela me confirme dans le fait de continuer. J'ai encore pas mal de choses Ă dire ; J'ai gardĂ© le silence toute ma vie mĂȘme avec mes proches et mes meilleurs amis, mais au soir de ma vie, je sens que je dois parler car, comme m'a dit Ami de la misĂ©ricorde "la lumiĂšre ne doit pas rester sous le soir pendant une Adoration plein et plein de choses me sont revenues Ă la mĂ©moire, mais Marie me fait comprendre que je ne dois pas Ă©crire trop vite afin de laisser aux lecteurs la possibilitĂ© de chose par jour, et cela suffit. AmitiĂ©.==================================================================================== PhilippeconsacrĂ©Messages 1865Date d'inscription 03/08/2010Age 74Localisation Maisons LaffitteSujet Re TĂ©moignage. Aboutit au trois jours de tĂ©nĂšbres. Lun 20 Nov - 713 Saint Michel un matin dans un demi-sommeil. Donc un songe sans vu une forme humaine d'une blancheur Ă©clatante s'approcher de s'est baissĂ© jusqu'Ă mon oreille et m'a murmurer trĂšs lentement, en sĂ©parant chaque phrase d'un long temps de silence, comme pour me laisser le temps de m'imprĂ©gner, de ce qu'il m'a dit A un certain moment, dans le monde des anges,entre les bons et les mauvais angesIl y a eu une confusion chat n'y aurait pas retrouvĂ© ses un ange a posĂ© cette question MI KA EL. Qui est comme Dieu ?Alors, tout a Ă©tĂ© repensĂ© par les bons anges,par cette unique question QUI EST COMME DIEU ?Et les mauvais anges, avec leurs mauvaises pensĂ©es, n'eurent plus leur place au pour avoir posĂ© la question MI KA EL ?cet anges est devenu !Mikael ! Vous aussi vous devez rĂ©aliser le MI KA EL en vous,Et vous ne formerez plus qu'une seule et mĂȘme civilisation,avec le monde des gloire, gloire Ă toi. Toute ma tendresse pour toi Ă©dition par Philippe le Mar 21 Nov - 708, Ă©ditĂ© 1 fois PhilippeconsacrĂ©Messages 1865Date d'inscription 03/08/2010Age 74Localisation Maisons LaffitteSujet Re TĂ©moignage. Aboutit au trois jours de tĂ©nĂšbres. Mar 21 Nov - 705 Saint Michel Archange je vais ĂȘtre "intello".En ce moment, on ne s'en rend pas compte mais on est dans le COGITO de Descartes qui en quelque sorte a fondĂ© le modernisme ; l'Ăšre et la civilisation moderne, avec tout son cortĂšge de merveilles technologiques, mais aussi sa rĂ©volte contre Dieu, son chaos, sa confusion gĂ©nĂ©ralisĂ©e. Cogito "Je pense donc je suis".- "JE"...MOI, ma pomme celle mangĂ© par Adam ?, tournĂ© vers "pense"...L'orgueil de la petite pensĂ©e de l' "Donc je suis'... L'illusion de croire qu'on peut ĂȘtre et exister par soi-mĂȘme, sans quitter l'Ăšre moderne et passer Ă l'Ăšre de la sagesse, la civilisation de l'amour, la troisiĂšme Ăšre du monde, il va falloir changer de COGITO et prendre celui des anges MI KA EL, QUI EST COMME DIEU ? passer de la modernitĂ© froide Ă la son intelligence angĂ©lique supĂ©rieur Ă la notre, Saint Michel ne se regarde pas, il regarde Dieu. Qu'et ce qui est comme Dieu, qui est comme lui, le Seigneur ?Et puisque le concile Vatican II nous invite Ă prendre la part de vĂ©ritĂ© des autres religions, je l'ai pris au mot, et j'ai pris comme base de ma morale le premier principe de Yoga de Patanjali. MĂȘme si ma participation s'arrĂȘte lĂ car ce n'est pas ma vous cite ce principe base de notre morale a Ă©crit Tout talent, tout don, qui n'est pas pour l'Adoration de Dieu, finit en dĂ©but ce don sans Dieu nous apporte un certain bien, puis on en devient esclave, et nous conduit ensuite Ă la ruine. C'est ce qui est en train d'arriver avec le gloire, gloire Ă toi. Toute ma tendresse pour toi Ă©dition par Philippe le Mer 22 Nov - 508, Ă©ditĂ© 3 fois PhilippeconsacrĂ©Messages 1865Date d'inscription 03/08/2010Age 74Localisation Maisons LaffitteSujet Re TĂ©moignage. Aboutit au trois jours de tĂ©nĂšbres. Mer 22 Nov - 433 VOCATION. LE GRAND VENT DU LARGE. La porte sâ est trouvĂ©e lâĂ©ternitĂ©, la mer et le soleil, chantĂ©s par les faut gagner le large, il faut gagner lâautre crient leur leurs au loin sourdent profondes et graves Foi-Esperance-CharitĂ©. Tout est clair, limpide et azurĂ©. Quelle est la toute belle, qui gagne le toi ma soeur, ma bien aimĂ©e ? Car sur la grĂšve souffle le grand vent du large qui mâappelle,et enivre mon Ăąme, je ne puis plus toi mon Seigneur qui tâendors sur mon Ă©paule, ou lâEsprit qui dĂ©jĂ sâĂ©veille en moi,qui murmure doucement, tout au fond de mon cĆurFais un pas vers la folie. Car Dame-folie frappe Ă la porte et rĂ©clame la charitĂ© âTrois oboles fille de Sion. ââ veux-tu vivre pauvretĂ©-chastetĂ©-obeissance. ââVeux-tu vivre lâoffrande de misĂ©ricorde. ââVeux-tu vivre lâoblationâveux-tu vivre ? âOh ! mon ta mort mâa donnĂ© la vie,ta vie me fait mourir. Alors, comme un enfant, comme un tout petitdans les bras de sa mĂšre, les yeux toujours fixĂ©s sur les mains de la servante, lâenfant de Dieu se laisse emporter. SUITE ====================================================================================DerniĂšre Ă©dition par Philippe le Jeu 23 Nov - 1305, Ă©ditĂ© 1 fois PhilippeconsacrĂ©Messages 1865Date d'inscription 03/08/2010Age 74Localisation Maisons LaffitteSujet Re TĂ©moignage. Aboutit au trois jours de tĂ©nĂšbres. Jeu 23 Nov - 1303 La un songe ou plutĂŽt deux, trĂšs jeune vers douze y avait tout l'ocĂ©an de la mon songe, l'immensitĂ© de l'ocĂ©an jaillissait vers les hauteurs, et retombait pour former la chevelure et le visage du Christ. Puis lentement les lĂšvres de JĂ©sus s'ouvraient pour me parler, mais d'effroi je me suis rĂ©veillĂ© sur-le-champs. Trop fort, trop de lumiĂšre. Dans la journĂ©e piquĂ© par la curiositĂ© j'ai regrettĂ© de m'ĂȘtre rĂ©veillĂ©. Qu'est-ce que JĂ©sus avait bien Ă me dire ?la nuit suivante, rebelote. cette fois c'Ă©tait un palmier qui s'arrachait du sol, se retournait, les racines formant les cheveux du Christ et le feuillage son visage. De nouveau ses lĂšvres s'ouvraient lentement pour parler ; mais rebelote et rebelote, je me suis rĂ©veillĂ© de peur d'entendre la Parole de celui qui est La gloire, gloire Ă toi. Toute ma tendresse pour toi Ă©dition par Philippe le Ven 24 Nov - 2150, Ă©ditĂ© 1 fois PhilippeconsacrĂ©Messages 1865Date d'inscription 03/08/2010Age 74Localisation Maisons LaffitteSujet Re TĂ©moignage. Aboutit au trois jours de tĂ©nĂšbres. Ven 24 Nov - 2150 La Parole dire ? Devant celui qui est La Parole, on se tait, et tout ce que je pourrais Ă©crire serait du remplissage. Pour moi l'heure Ă©tait venu ; JĂ©sus allait commencer Ă me parler. Je ne dis pas par des choses extraordinaires, mais surtout par le cĆur et le silence. On peut douter d'une parole extraordinaire ; est-ce bien JĂ©sus, le diable ou mon imagination ? Mais on ne pourra jamais douter de ce qui est donnĂ© dans la profondeur du JĂ©sus vient parler Ă chacun de nous comme si nous Ă©tions seul au gloire, gloire Ă toi. Toute ma tendresse pour toi Ă©dition par Philippe le Dim 26 Nov - 1053, Ă©ditĂ© 1 fois PhilippeconsacrĂ©Messages 1865Date d'inscription 03/08/2010Age 74Localisation Maisons LaffitteSujet Re TĂ©moignage. Aboutit au trois jours de tĂ©nĂšbres. Dim 26 Nov - 1032 La petite Myriam du Liban et l' me sens comme poussĂ© Ă vous raconter l'histoire de Myriam. En fait je ne connais pas son nom et c'est moi qui la nomme ainsi ; je connais son caillou blanc mais pas son nom civil. Et franchement, je ne sais pas trop quoi penser de cette histoire, un rĂȘve, une illusion ou bien la vĂ©ritĂ© ? A chacun de vous de juger et surtout l'Eglise en qui je me remets entiĂšrement. VoilĂ un songe, un deuxiĂšme songe, un le premier Une jeune fille au Liban simple et pure. Dix huit ans, environ un mĂštre soixante cinq, le visage rond, et des beaux cheveux bruns qui lui tombent Ă sa taille. Elle est gouvernante de deux trĂšs jeunes enfants dans une famille riche du pays, et en fait elle joue avec eux plus qu'elle ne les garde. Il semble que cela se passe dans les annĂ©es quatre vingts cinq dans une grande ville du le deuxiĂšme songe ça se prĂ©cise. Elle est fiancĂ©e au jeune homme de la maison. Trente deux ans, un mĂštre quatre vingt, sportif, les cheveux bruns frisĂ©s et tient l'affaire de la famille qui marche bien. Myriam garde les deux enfants de la sĆur du jeune homme, son fiancĂ©. Celle-ci n'a pas un visage vraiment aimable et l'on sent un caractĂšre dur et intransigeant mais tournĂ© vers le bien, avec deux grandes nattes toutes raides, de cheveux Ă©pais noirs d'Ă©bĂšne. Myriam remarque que celle-ci Ă l'air de lui faire la gueule. Elle semble maussade et de mauvaise humeur Ă son Ă©gard. Pourquoi ?TroisiĂšme songe Myriam lui demande le pourquoi de sa mauvaise humeur envers elle, et la sĆur de sa fiancĂ© lui rĂ©pond "je n'ai pas besoin d'une gouvernante, j'ai besoin d'une sainte".Et elle lui explique que son frĂšre va commettre des attentats terroristes contre les musulmans ; qu'il envisage mĂȘme de faire exploser un car d'enfants musulmans. C'est intolĂ©rable, inadmissible, et en plus il va alors perdre son salut Ă©ternel. La seule solution......sacrifier son frĂšre. InstantanĂ©ment, sur-le-champs, l'amour sponsal de Myriam se change en amour oblatif. Sans aucune hĂ©sitation ni retour en jour venu, Myriam appelle son fiancĂ© au garage. Dans le mĂȘme mouvement la sĆur bloque l'entrĂ©e en avançant lentement un gros camion bourrĂ© d'explosif. ĂnervĂ© par la situation et le bruit du camion celui-ci lui demande ce qui se passe, et Myriam lui rĂ©pond "Mon chĂ©ri je t'aime, je t'aime, je ne t'ai jamais tant aimĂ©".Puis, plus rien. Le camion a explosĂ©. Si j'en crois mon inspiration, Myriam est montĂ© au ciel comme une flĂšche, et elle est devenu la grande copine de la petite ThĂ©rĂšse, avec qui elles font les quatre cents coups. Du lard ou du cochon ? Et je me rĂ©pĂšte bien, si j'en crois mon inspiration....On devrait mĂȘme la retrouver, lui faire un procĂšs de canonisation, et mĂȘme la dĂ©clarer patronne ou copatronne du un jour on lui dĂ©diait une basilique, celle-ci aurait deux prĂ©rogatives D'abord, dans cette basilique les musulmans et les ChrĂ©tiens se rĂ©concilieraient et tomberaient en sanglotant dans les bras les uns les autres ; prĂ©lude Ă leurs conversions au Christ ? Mais, de plus, cette basilique aurait l'unique privilĂšge sur la terre, de faire sentir le bonheur du ciel Ă quiconque en franchirait le seuil. Honni soit qui mal y pense, c'est une sainte et une martyre, de son corps dĂ©chirĂ© renaĂźtra le Liban disloquĂ©. Et souvenez-vous de cette prophĂ©tie je ne sais plus oĂč dans la bible La lumiĂšre viendra du gloire, gloire Ă toi. Toute ma tendresse pour toi Ă©dition par Philippe le Lun 27 Nov - 912, Ă©ditĂ© 1 fois PhilippeconsacrĂ©Messages 1865Date d'inscription 03/08/2010Age 74Localisation Maisons LaffitteSujet Re TĂ©moignage. Aboutit au trois jours de tĂ©nĂšbres. Lun 27 Nov - 909 La petite Myriam du Liban l'histoire ne s'arrĂȘte pas lĂ . Elle est carrĂ©ment venu me voir ; non mais en tout bien tout honneur hein ! de toute façon elle est dĂ©jĂ fiancĂ©. Au troisiĂšme songe vers 3h30 du matin, impressionnĂ© je me suis levĂ© et suis sorti dehors pour fumer une cigarette, et lĂ je l'ai vu, vu et entendu. Elle Ă©tait Ă environs un mĂštre cinquante de moi, mais je l'entendais comme si elle Ă©tait Ă cent cinquante mĂštre me parlant Ă travers un brouillard, comme si je n'Ă©tait pas assez pur pour l'entendre. Et elle est venu me chanter une chanson. En rĂ©alitĂ© elle n'a chantĂ© que la premiĂšre phrase, mais mystĂ©rieusement toute la suite de la chanson Ă©tait contenue dans ses quelques mots. Et elle m'a chantĂ© Il t'est demandĂ© de renoncer Il t'est demandĂ© de renoncer Il t'est demandĂ© de renoncer Et c'Ă©tait grave, car c'Ă©tait la demande que le ciel me faisait officiellement. A l'Ă©poque j'Ă©tais dans une trĂšs grande crise de purification, et je lui ai criĂ© Vas-t'en tu n'es qu'une mon imagination c'est mon plus je disais ça plus elle insistait, et plus je sentais malgrĂ© moi mon cĆur se gonfler du bonheur du ciel ; non pas un bonheur tralala Ă grand coup d'orgues, de rayons laser et de petits angelots qui voltigent, mais un bonheur prĂ©cis, personnalisĂ©, singularisĂ©. et c'Ă©tait un bonheur du ciel que je ne voulais pas moi qui Ă©tait tournĂ© vers le bonheur de la terre. Passez-moi cette expression triviale, mais elle me "gonflait" au sens propre du son sacrifice d'un instant cette jeune fille a reçu la grĂące de la consĂ©cration religieuse plus haut que n'importe quelle nonne et religieuse du dĂ©but du Christianisme jusqu'Ă la fin du monde. Elle a reçu l'essence mĂȘme de la consĂ©cration. C'est fou ? Mais le PĂšre de Cieux est fou d'amour ; et s'il a livrĂ© son fils pour nous, alors tout est possible. Cette jeune fille vient nous apprendre le bonheur du ciel, et un jour des milliers de jeunes gens et jeunes filles la vous donne l'intĂ©gralitĂ© de la chanson qu'elle est venu me chanter Il t'est demandĂ© de renoncer,jusqu'Ă tes biens les plus sacrĂ©s,il t'est demandĂ© de tout sacrifier,jusqu'Ă ton amour le plus cher. C'est l'heure de tourner la page, d'avancer, sans plus te retourner, c'est l'heure, de regarder le soleil, face Ă face, sans plus aucun t'est demandĂ© la pauvretĂ©,dans ta blessure la plus profonde,il t'est demandĂ© la puretĂ©,dans les flots de la plus grande amertume,et d'obĂ©ir Ă l'Eglise,et Ă sa loi, jusqu'Ă l'agonie. C'est l'heure, de porter tes frĂšres, toi qui n'a jamais su tenir debout, de leurs apporter la lumiĂšre, toi qui ne fut jamais, qu'un pauvre t'est demandĂ© le martyr,de la chair, qui ne veut pas mourir,il t'et demandĂ© le martyr,de ton cĆur, qui n'a jamais pu aimer, et de trouver la vraie joie,de ceux qui ont, choisi l'oblation. c'est l'heure, de gagner le large, mĂȘme si tu en as, le cĆur glacĂ©, c'est l'heure, de gagner l'autre rive, mĂȘme si tu en as, le cĆur dĂ©chirĂ©. Bon ! attention Ă bien comprendre. JĂ©sus n'est pas un Dieu-Moloch Ă©goĂŻste et dĂ©voreur de nos affections. Et au contraire, il veut que l'on s'aime les uns les autres ; que l'enfant aime ses parents, que l'ami aime son ami et la fiancĂ©e son fiancĂ©. Et la petite Myriam elle-mĂȘme aime Ă©ternellement son fiancĂ©. Mais JĂ©sus veut que d'abord on lui donne tout et qu'on tourne tout vers le ciel, car rien de bon n'existe hors de lui. Et cela implique de passer par la gloire, gloire Ă toi. Toute ma tendresse pour toi Ă©dition par Philippe le Jeu 30 Nov - 551, Ă©ditĂ© 2 fois PhilippeconsacrĂ©Messages 1865Date d'inscription 03/08/2010Age 74Localisation Maisons LaffitteSujet Re TĂ©moignage. Aboutit au trois jours de tĂ©nĂšbres. Mer 29 Nov - 806 Une vierge va venir...Une vierge par les temps qui court ? Dieu seul juge, et le regard du PĂšre des Cieux n'est pas celui des je vais faire dans le dans ma grande Nuit d'Orient "Dans une mer sans fond, par une nuit sans lune" dirait Victor Hugo. Une nuit entiĂšre d'agonie, calme et paisible, mais sans aucune lumiĂšre et tout mon ĂȘtre suppliant lâĂternel dans un ciel de douleur sans Ă©cho. Mais "O ! nuit qui m'Ă©claire plus sĂ»rement que le jour"Pas de vision pas de parole mais comment dire ? C'est trĂšs mystĂ©rieux mais ma nuit mĂȘme me disait quelque chose et en Ă©tait le contour ; une phrase trĂšs prĂ©cise au mot prĂšs qui Ă©tait "Une vierge va venir, qui va faire passer l'humanitĂ© entiĂšre dans la troisiĂšme Ăšre du monde".Le matin je me suis dit "Bon! Ăa-y-est mon bonhomme tu as franchi la ligne jaune, bonjour la schizo". Et j'attendais l'ouverture de l'heure des bureaux pour prendre rendez-vous au CHP du coin. Mais il m'est arrivĂ© ce qui m'arrive parfois quand je suis perplexe je tombe sur un texte qui rĂ©pond Ă ma question. Et lĂ , je suis tombĂ© sur un texte qui disait "Luisa Picarretta a prophĂ©tisĂ© qu'une vierge va venir qui va faire passer l'humanitĂ© entiĂšre dans la troisiĂšme Ăšre du monde". Pile-poil exactement la mĂȘme phrase reçue, Ă la virgule l'instant elle commence son chemin. Prions et offrons des sacrifices pour elle car sa mission est redoutable. La troisiĂšme femme la plus importante du monde, aprĂšs Eve et gloire, gloire Ă toi. Toute ma tendresse pour toi Ă©dition par Philippe le Jeu 30 Nov - 617, Ă©ditĂ© 1 fois PhilippeconsacrĂ©Messages 1865Date d'inscription 03/08/2010Age 74Localisation Maisons LaffitteSujet Re TĂ©moignage. Aboutit au trois jours de tĂ©nĂšbres. Jeu 30 Nov - 615 Le jeun. Comment JĂ©sus m'a enseignĂ© le jeun ? On va dire que le moyen utilisĂ© n'a rien d'extraordinaire ; et pourtant si, parce que JĂ©sus fait de l'extraordinaire avec de l'ordinaire. VoilĂ J'avais Ă©tĂ© invitĂ© Ă une soirĂ©e de rĂ©veillon par un ami, et celui-ci avait reçu comme cadeau de NoĂ«l une machine Ă pain. EnthousiasmĂ© il avait voulu essayer toutes les recettes du livre, et de joie, nous les faisait tous goĂ»ter "tiens ! goĂ»te Ă celui-ci aux grains et celui-ci, et celui-lĂ , mais vas-y reprends-en il y en a plein....Tant et si bien qu'au moment de passer Ă table pour un plantureux festin, je n'avais plus faim. Mais j'avais eu un autre festin celui de la joie de mon ami, qui sans s'en rendre compte, m'a fait jeĂ»ner un soir de rĂ©veillon. Mais JĂ©sus lui aussi a une machine Ă pain. Tu trouves que le pain du jeun est triste ? GoĂ»te mieux ! Tel pain de jeun a le goĂ»t d'une rĂ©conciliation, tel autre celui d'une grosse difficultĂ© surmontĂ©, ou encore d'une conversion de quelqu'un que tu aimes, et encore d'une vocation, et que sais-je encore Ă n'en plus finir, car JĂ©sus est plein d'imagination. Merci gloire, gloire Ă toi. Toute ma tendresse pour toi Ă©dition par Philippe le Mer 6 DĂ©c - 530, Ă©ditĂ© 1 fois PhilippeconsacrĂ©Messages 1865Date d'inscription 03/08/2010Age 74Localisation Maisons LaffitteSujet Re TĂ©moignage. Aboutit au trois jours de tĂ©nĂšbres. Mer 6 DĂ©c - 529 Les esprits d' vais dĂ©roger Ă ma rĂšgle en ne vous donnant que mes visions de lumiĂšre, et vous parler ici d'une vision de la nuit. Car en ces temps de malheur qui sont aussi des temps de de grande grĂące, les nuits de l'esprit vont sans doute se multiplier, et cette connaissance peut servir. je veux parler des esprit d'Ă©pouvante, si cher au renouveau charismatique. Quand une Ăąme est en progression, avec la permission Divine elle peut ĂȘtre conduite par les dĂ©mons dans un esprit d'Ă©pouvante, afin de lui faire peur et la dissuader de continuer. Cette vision provoquĂ©e par les dĂ©mons n'est pas du tout du mĂȘme ordre que celle venant du Saint Esprit. Elle ferait plutĂŽt penser Ă un Ă©tat mĂ©diumnique,poltergeist, hallucinatoire, voir pathologique alors qu'il n'en est rien. En fait nous ne sommes pas possĂ©dĂ©s par un esprit d'Ă©pouvante, c'est plutĂŽt cet esprit qui est possĂ©dĂ© par nous malgrĂ© lui. Je m'explique Les esprit d'Ă©pouvante sont des anges dĂ©chus de l'ordre des ChĂ©rubins, les Ă©ternels silencieux du ciel, dont la seule mission est de montrer du doigt le trĂŽne de lâĂternel dans la contemplation Divine. Il ne faut pas s'imaginer comme on le fait des petit angelots simplets car ils sont en fait des esprits d'une puissance phĂ©nomĂ©nal. Leur pĂ©chĂ©, ceux des ChĂ©rubins qui sont tombĂ©s ? Ils ont refusĂ© d'avoir confiance face Ă la gloire Divine, insupportable Ă toute crĂ©ature, sans passer par le Verbe rendu infiniment petit dans la crĂšche, avant de rebondir. l'infinitude de Dieu est insupportable en lui-mĂȘme ; et seul JĂ©sus dans la crĂšche peut ĂȘtre adorĂ© sans effroi, pour, Ă partir de lĂ devaient ĂȘtre de grands esprits planant dans l'Esprit Saint, et lĂ , ils se retrouvent comme en cale-sĂšche, suffocant dâeffroi Ă chaque seconde et Ă©ternellement face Ă l'infinitude de Dieu insupportable Ă toute crĂ©ature finie. Alors imaginez comme une grande cathĂ©drale. Ils sont comme ces dĂ©mons dĂ©crit par Bosch, le visage tournĂ© non vers l'extĂ©rieur mais l'intĂ©rieur, et vous ĂȘtes conduit Ă l'intĂ©rieur de cette cathĂ©drale de malheur face Ă ce visage qui suffoque, mais, partageant son propre effroi. Ces "ChĂ©rubins" on gardĂ© la capacitĂ© de percer la puissance contemplative des ĂȘtres, et ils vont suffoquer de votre propre puissance contemplative, partageant malgrĂ© eux et avec vous leur effroi. Et tout devient alors effroi, Ă©pouvante "Ha! tu as trop priĂ© le chapelet, tu as trop communiĂ©, et maintenant il est trop tard". Tout devient effroi, Ă©pouvante, et il faut tout son courage et toute sa foi pour ne faire qu'un simple signe de croix qui devient terrifiant. Et le plus chagrinant alors et que Marie elle-mĂȘme nous apparaĂźt comme une tigresse. La pauvre petite maman.... Dans leur intĂ©rioritĂ© maudite, ces esprit d'Ă©pouvante sont Ă©ternellement face Ă un puits sans fond qui est celui de la CONFIANCE car l'enfant JĂ©sus dans la crĂšche nâapparaĂźt pas encore, et il suffirait qu'il se jette dans ce puits de la confiance pour immĂ©diatement retrouver le salut, mais ils s'y refusent. Et nous c'et notre salut pour sortir de ce guĂȘpier. La vie spirituelle est un moteur Ă deux temps espĂ©rance confiance, espĂ©rance confiance, espĂ©rance confiance. Mais le positif de cette expĂ©rience est que ça nous fait un vrai scan de notre vie spirituelle. Par exemple, moi, je me suis alors aperçu que l'Adoration du Saint Sacrement ne me plongeait absolument pas dans l'Ă©pouvante, et effectivement Ă cette Ă©poque de ma vie elle manquait. Merci de l'info esprit d'Ă©pouvante. Mais je le rĂ©pĂšte la vie spirituelle est un moteur Ă deux temps EspĂ©rance confiance, espĂ©rance confiance, espĂ©rance confiance. Merci gloire, gloire Ă toi. Toute ma tendresse pour toi Ă©dition par Philippe le Ven 8 DĂ©c - 1020, Ă©ditĂ© 1 fois PhilippeconsacrĂ©Messages 1865Date d'inscription 03/08/2010Age 74Localisation Maisons LaffitteSujet Re TĂ©moignage. Aboutit au trois jours de tĂ©nĂšbres. Ven 8 DĂ©c - 1016 Avortement. David est parti au vais ici faire encore un pas vers mes visions de la nuit, car cela dĂ©bouche franchement sur la lumiĂšre. A savoir, le repentir de l'avortement. Tout commence d'abord par une note sombre, une expĂ©rience de l'enfer. Je ne sais pas trop et je peux me tromper, un envoĂ»tement car sĆur Couder a fait la mĂȘme expĂ©rience Ă la suite d'un envoĂ»tement ? Ou alors un avertissement sur les consĂ©quences de l'avortement ? Toujours est-il que j'associe ça fortement Ă l'avortement. Tout a commencĂ© avec une collĂšgue de travail qui n'arrivait plus Ă dormir. Non je n'Ă©tait pas amoureux d'elle et je ne l'ai jamais dĂ©sirĂ©e. Elle m'a confiĂ© qu'elle n'arrivait plus Ă dormir, parce qu'elle Ă©tait persuadĂ© qu'Ă sa mort elle allait se rĂ©veillĂ© vivante dans sa tombe. Et moi bon boy scout je lui ai dit "Je prend ça sur moi, ça ne t'arrivera pas".Quelques temps plus tard alors que j'Ă©tais en train de faire la vaisselle, l'espace s'est dĂ©chirĂ© devant moi et une sorte d'arc Ă©lectrique me frappait tour Ă tour au front ou au cĆur, et je vous assure que c'Ă©tait aussi tangible que si cela avait Ă©tĂ© une chĂątaigne de 250 volts. Mais c'Ă©tait noir, froid et sec. Rien Ă voir avec une Ă©lectrocution ; c'Ă©tait comme des milliards d'araignĂ©es, la mort dans la mort, la quintessence du lugubre, et le mythe des vampires paraissait boy scout Ă cotĂ©. Quand ça me touchait au front tout mon esprit plongeait dans un noir d'encre, et quand ça me touchait au cĆur, tout mon corps. J'ai reculĂ© immĂ©diatement pour ne pas me noyer dans l'eau de vaisselle car sans perdre connaissance je perdais toutes mes forces physiques. Puis, profitant d'une accalmie je me suis prĂ©cipitĂ© dans ma chambre pour que mes enfants ne me voient pas dans cet Ă©tat. A peine Ă©croulĂ© sur mon lit "ça" m'a touchĂ© sans interruption au front et au cĆur en mĂȘme temps, et je me suis retrouvĂ© cent mĂštres sous terre comme dans une tombe, un cercueil. Pendant tout ce temps je m'efforçait de rĂ©pĂ©ter "mon Dieu je ne veux que ta volontĂ© d'amour" car j'avais trĂšs peur de me mettre Ă maudire Dieu. Mais je me souviens aussi avoir pensĂ© "pourvu qu'il me reste un bout de doigt indemne que je puisse continuer Ă respirer Dieu". On ne s'en rend pas compte car ça ne nous manque jamais mais on respire Dieu ; tout respire Dieu, jusqu'au moindre caillou. Et lĂ , j'Ă©touffais littĂ©ralement car je ne respirais plus y a eu quand mĂȘme une accalmie, et je me suis prĂ©cipitĂ© sur une bouteille d'eau de San Damiano pour me signer, mais avant d'y arriver la piĂšce tanguait comme une petite barque dans une furieuse tempĂȘte pleine de colĂšre. Puis je me suis signĂ© avec cette eau bĂ©nie, et tout s'est arrĂȘtĂ©. En me regardant dans la glace, j'ai vu que j'Ă©tais trempĂ© de sueur comme si j'Ă©tais passĂ© sous une douche alors que cette Ă©preuve n'a durĂ© que quelques minutes. Mais j'ai compris. Ma collĂšgue de travail avait fait un avortement, et elle Ă©tait prĂ©venue des consĂ©quence s'il n'y avait pas de repentir. Par dĂ©licatesse je n'ai pas osĂ© lui parler. Un simple regard en lui disant "tout est arrangĂ© ça ne t'arrivera pas", et elle a compris. Bien sĂ»r je peux me tromper et j'ai horreur de ceux qui font passer leurs opinions pour celles de Dieu dans un chantage indicible. Mais mon avis est que s'il n'y a pas de repentir, celles qui avortent risque de se retrouver pour toujours enfermĂ©es dans un cercueil, coupĂ© de tous Ă tout jamais. Avec cette parole "tu as voulu ĂȘtre tombeau, tu seras tombeau".En fait c'est mĂȘme pas Dieu qui punit. C'est la femme ou le coupable qui tombe dans sa propre psychose. je vous parle de mon expĂ©rience avec David, un enfant gloire, gloire Ă toi. Toute ma tendresse pour toi Ă©dition par Philippe le Sam 9 DĂ©c - 1244, Ă©ditĂ© 1 fois PhilippeconsacrĂ©Messages 1865Date d'inscription 03/08/2010Age 74Localisation Maisons LaffitteSujet Re TĂ©moignage. Aboutit au trois jours de tĂ©nĂšbres. Sam 9 DĂ©c - 1243 David est parti au ciel a commencĂ© pendant une Adoration. J'ai d'abord senti qu'on me faisait comme une onction d'huile sur le front. Puis j'ai eu une vue d'une acuitĂ© visuelle dix fois plus forte qu'avec les yeux. C'Ă©tait une jeune sĆur d'un groupe de priĂšre, la coupable ou plutĂŽt la victime d'un avortement. Elle Ă©tait dans un campus universitaire, et elle cherchait joyeuse et vive l'entrĂ©e d'une formidable pyramide s'Ă©levant jusqu'au ciel la JĂ©rusalem cĂ©leste, le chĂąteau intĂ©rieur de l'Ăąme ? A mon avis cette vision m'Ă©tait donnĂ© par un ChĂ©rubin ; mais ensuite j'ai vu comme.....disons le dessin d'un enfant de treize ans que j'ai assez facilement rĂ©ussi Ă reproduire, et que je vous donne Je pense que c'est David l'enfant avortĂ© qui m'a fait ce dessin pour m'expliquer son est trĂšs simple - je chameau en haut ? Un chameau, c'est un chameau, un Le chameau la bouscule un peu plus que prĂ©vu. Vlan ! enceinte. j'ai aussi eu un songe d'elle Ă la clinique d'avortement. Sur sa porte il y avait marquĂ© Mlle Frico. Frico, fricotage.....hum!.....- L'ours en fait c'est moi. Sept ans auparavant j'avais croisĂ© deux jeunes pour qui j'avais eu l'inspiration de prier afin d'Ă©viter une catastrophe, et j'avais nĂ©gligĂ© la priĂšre. David l'enfant avortĂ© me l'a trĂšs dĂ©licatement rapportĂ©......Sept ans ou treize ans ? J'ai l'impression que dans son monde, le temps passe plus vite que chez L'arbre cassĂ© avec une boule ? suite Ă l'avortement elle a dĂ» avoir des complications morales ou physiques avec son systĂšme gynĂ©cologique. Sur ce dessin on ne voit pas tout mais "l'ours" met un essaim d'abeille au milieu de cet arbre. Une abeille, ça pique et ça brĂ»le, mais ça apporte aussi la douceur du miel et la Idem pour le fil Ă la patte. Ce problĂšme d'avortement vers quatorze ans l'empĂȘchait d'avancer. mais en allant porter l'essaim d'abeille dans son arbre gynĂ©cologique, l'ours marchait sur le fil et le cassait. Traduction pendant la rĂ©union de priĂšre du groupe j'ai lancĂ© "Pour une jeune fille qui a avortĂ© Ă quatorze ans. Le Seigneur veut guĂ©rir sa mĂ©moire et qu'elle dĂ©couvre son vrai visage".Cela a Ă©tĂ© comme un coup de tonnerre de guĂ©rison pour elle. Mais je ne vais pas tout raconter car ce serait trop long. Ceux que ça intĂ©resse peuvent aller ICI oĂč je raconte tout en je l'ai vu, vu, et encore vu, et il est restĂ© deux mois avec moi oĂč il Ă©tait toujours lĂ . Ce qui Ă©tait assez Ă©prouvant car parfois j'Ă©tais en prĂ©sence de sa jeune mĂšre et lui Ă cotĂ©, et je ne pouvais rien rĂ©vĂ©ler Ă cette jeune mĂȘme carrĂ©ment, une fois il m'a invitĂ© dans son me suis retrouvĂ© dans un champs d'herbe, et au loin il y avait un chemin oĂč quatre ou cinq enfants faisaient une promenade en vĂ©lo. DĂšs que je suis arrivĂ© les cinq regards se sont tournĂ©s dans ma direction, et David a foncĂ© droit sur moi en faisant un dĂ©rapage contrĂŽlĂ© au dernier moment pour m'Ă©viter. Les anges ont l'air d'ĂȘtre plutĂŽt cool avec eux ; d'abord il avait les cheveux qui lui tombaient sur les Ă©paules, et ces enfants ne semblent pas briller par une discipline excessive. Puis un jour, il s'est plantĂ© devant moi, comme un enfant au supplice obligĂ© de subir une sĂ©ance de photo ou de peinture. J'ai compris qu'il venait me dire au-revoir, et qu'il se tenait devant moi afin que je mĂ©morise son visage. Au bout de plusieurs minutes son visage s'est estompĂ©, et il a disparu. je ne l'ai plus jamais revu. Adieu David, on se reverra au Ciel. Mon impression ?ce qui suit ne vient pas d'une rĂ©vĂ©lation mais d'une impression gĂ©nĂ©rale, et bien sĂ»r je peux me tromper. Mais j'ai l'impression qu'Ă leur mort, ils sont immĂ©diatement pris en charge par un ChĂ©rubin qui les conduit Ă l'Ă©cole du ciel, car on n'entre pas dans la vision bĂ©atifique comme ça. Et ça n'est pas tout Ă fait le ciel, car manifestement ils ne sont pas encore parfaits, et ont encore du chemin Ă faire. Qui sont ils ?Je pense que Seigneur est en train de se constituer une race de seigneurs, au-dessus des hommes et au-dessus des anges, car d'une certaine maniĂšre, ils sont hommes et anges tout Ă la fois. Et quand le nombre de ces seigneurs sera atteint, le Seigneur s'Ă©criera "Stop, ici c'arrĂȘte l'orgueil de tes flots tu n'iras pas plus loin".Et il n'y aura alors plus aucun avortement sur est il venu me voir ?Et bien je pense que c'est d'abord pour se rĂ©concilier avec sa maman, mais aussi pour nous montrer que ces enfants avortĂ©s, ce n'est pas un problĂšme morale abstrait n'existant que dans la tĂȘte des gens, mais que c'est bien concret. Ces enfants, c'est concret ; ils existent, et ont une histoire, qui continue et continuera jusqu'Ă l'Ă©ternitĂ©, qu'on le veuille ou En cas d'avortement, le repentir. Sinon, Boum ! Le gloire, gloire Ă toi. Toute ma tendresse pour toi Ă©dition par Philippe le Lun 11 DĂ©c - 1814, Ă©ditĂ© 3 fois PhilippeconsacrĂ©Messages 1865Date d'inscription 03/08/2010Age 74Localisation Maisons LaffitteSujet Re TĂ©moignage. Aboutit au trois jours de tĂ©nĂšbres. Lun 11 DĂ©c - 919 L'Heure Sainte. Ăa m'a Ă©tĂ© donnĂ© Ă Chateauneuf de Galaure Ă une retraite du foyer de charitĂ© du vivant de Marthe Robin je l'ai vu trois fois pendant des retraites quand elle vivait encore sur Terre. Une nuit vers deux ou trois heure du matin, j'ai entendu intĂ©rieurement la voix de Marthe qui me rĂ©veillait brusquement et me disait Vite ! lĂšves-toi et engourdi par le sommeil j'ai dĂ» prier quelques minutes tout au plus d'une mauvaise priĂšre. Mais la toute petite graine de l'Heure Sainte Ă©tait plantĂ©e, qui lentement, doucement et trĂšs doucement allait pousser. Dans le "livre de l'amour misĂ©ricordieux" JĂ©sus demande l'Heure Sainte pour lui tenir compagnie dans ses longues nuits de pleurs et de douleurs, avec la promesse que tout ce qu'on demandera alors, sera exaucĂ©. Mais rien ne nous donne plus la joie la paix et le bonheur que l'Heure la barbe je ne fais pas l'office de lecture de l'office des heures ; trop long. Et mĂȘme techniquement je ne fais pas une heure pleine car ensuite je ne retrouve plus le sommeil, et ma journĂ©e du lendemain est plombĂ©e. Non pour moi la bonne durĂ©e est 1/2 heure oĂč je me remet en Marie ImmaculĂ©e pour qu'en moi elle accomplisse la Divine VolontĂ© du PĂšre ; et ceci Ă 3h30 du matin. Mais en contrepartie et dans le silence de la nuit, JĂ©sus vient nous parler comme Ă un ami, selon l'inspiration. Premier effet, cela implique une certaine discipline de se coucher vers 9 heure et ne pas traĂźnailler devant la tĂ©loche Ă regarder des bĂȘtises. Essayez vous allez voir ; ce n'est pas si dure que ça. Merci gloire, gloire Ă toi. Toute ma tendresse pour toi Ă©dition par Philippe le Mar 18 Sep - 1856, Ă©ditĂ© 2 fois PhilippeconsacrĂ©Messages 1865Date d'inscription 03/08/2010Age 74Localisation Maisons LaffitteSujet Re TĂ©moignage. Aboutit au trois jours de tĂ©nĂšbres. Ven 15 DĂ©c - 752 Les trois jours de peux me tromper, bien sĂ»r, mais il me semble bien que j'ai anticipĂ© les trois jours de tĂ©nĂšbres. Auparavant j'avais entendu parler de ça par ma grand-mĂšre et je n'y avais guĂšre prĂȘter attention, sans plus. En fait nul dans cette vision ne m'a dit que c'Ă©tait ces fameux trois jours, mais aprĂšs dĂ©duction et surtout ce que m'a dit Marthe Robin la deuxiĂšme nuit, j'en conclus que que c'est sans doute ça. Sauf que ce que j'ai vĂ©cu dans la vision doit encore ĂȘtre vĂ©cu dans la foi. Que s'est-il passĂ© ? et je vais ĂȘtre le plus sobre possible Imagination, rĂ©alitĂ© ? Tout a commencĂ© comme si Lucifer en personne me demandait de renoncer Ă l'amour avec une voix trĂšs calme, avec Ă chaque fois l'impression d'ĂȘtre sous l'eau oĂč tous les bruits s'estompent. Par trois fois il m'a fait cette demande, et trois fois je lui ai rĂ©pondu " Je ne veux que la volontĂ© d'amour du PĂšre Ăternel".A ma troisiĂšme rĂ©ponse j'ai entendu une nuĂ©e de mouche qui se sont posĂ©es sur tous mon corps, et qui me brĂ»laient. A partir de lĂ je suis littĂ©ralement entrĂ© au tombeau. la nuit dans la nuit, la mort. je veux rester trĂšs sobre, mais c'Ă©tait comme un grand combat entre l'icĂŽne de l'amour infini du Verbe qui a fait comme exploser mon Ăąme par sa vĂ©hĂ©mence, et un dragon qui s'est mis Ă me poursuivre ; un dragon formĂ© de toutes les scories de mon Ăąme, de tout ce qui en moi n'est pas purifiĂ©. Mais dĂ©s le dĂ©but, aussi, j'ai senti deux mains qui encerclaient ma tĂȘte avec bienveillance et amour, et sans ces deux mains, je ne sais pas si j'aurai tenu le coup. Puis trois jours plus tard Ă quinze heure, Vlan ! tout s'est arrĂȘtĂ© d'un coup. Il faisait beau la vie Ă©tait belle ; et doucement les deux mains protectrices se sont elle aussi retirĂ©es. On peut douter de cette expĂ©rience. Et moi en premier, car quelle que temps plus tard je suis allĂ© voir un psychiatre histoire de voir si je n'ai pas fait tout bonnement une crise de dĂ©mence. Mais le psychiatre m'a rassurĂ© en me disant que la psychiatrie ne s'occupe pas des expĂ©riences puis Outre cette expĂ©rience intĂ©rieur il y a eu des phĂ©nomĂšnes perçus par les autres Ma femme sentait autour de moi une odeur de pneu brĂ»lĂ©, odeur que j'ai senti pendant trois jours, au travail mon directeur a entendu des "voix" dans le bureau oĂč je travaillais alors que j'Ă©tais seul ; ce qui m'a sans doute valu de ne pas ĂȘtre virĂ©, car pendant ces trois jours mon travail n'Ă©tait pas au top, et mon directeur a compris qu'il se passait quelque chose indĂ©pendant de ma volontĂ©.....Mais surtout, ma mĂšre. Le lendemain matin oĂč les choses ont commencĂ© elle est venu me voir affolĂ©e en me disant " Philippe, qu'est-ce qui se passe ? Hier soir vers dix heures j'ai entendu comme une gigantesque porte d'acier mais qui ployait, ployait sous une force irrĂ©sistible, et brusquement la porte a explosĂ© dans un vacarme Ă©pouvantable, libĂ©rant des choses, des crĂ©atures mauvaises, et pour elles c'Ă©tait une tragĂ©die inexorables, dĂ©finitive. J'ai cru que c'Ă©tait un avion qui revenait du Koweit et qui avait crashĂ©, et je me suis levĂ© en hurlant pensant que toutes les vitres de la maison Ă©taient brisĂ©es, mais il n'y a que moi Ă avoir entendu cela. je savais que c'Ă©tait liĂ© Ă toi, je ne sais pas pourquoi mais j'en Ă©tais sĂ»r. Vu le tĂ©moignage de ma mĂšre, comment ne pas penser Ă une porte, une porte d'enfer qui venait d'exploser ?.....Mais surtout il y a les paroles que m'a confiĂ©s Marthe Robin, et ce sont elles qui peu Ă peu, m'ont fait penser que j'avais peut-ĂȘtre anticipĂ© les trois jours de gloire, gloire Ă toi. Toute ma tendresse pour toi Ă©dition par Philippe le Mar 18 Sep - 1916, Ă©ditĂ© 6 fois PhilippeconsacrĂ©Messages 1865Date d'inscription 03/08/2010Age 74Localisation Maisons LaffitteSujet Re TĂ©moignage. Aboutit au trois jours de tĂ©nĂšbres. Sam 16 DĂ©c - 724 Les trois jours de tĂ©nĂšbres vais aujourd'hui vous donner ce que j'ai reçu de Marthe Robin sur les trois jours de tĂ©nĂšbres. Mais auparavant je voudrais vous dire. La foi tĂątonne, cherche, parfois se trompe, et finit par trouver la vĂ©ritĂ© puisque c'est la promesse du Seigneur. Je fais la distinction entre ce que je reçois du ciel et que trĂšs souvent j'interprĂšte mal, et ce qui est de l'ordre de mon opinion personnelle. Je rĂ©clame un certain droit Ă l'erreur. Et je vous implore ; ne faite pas de moi un faux prophĂšte et un imposteur, en faisant de moi un messager de Dieu de toutes mes opinions personnelles. La VĂ©ritĂ© ? on va la faire tous ensemble, mais en communion avec l'Eglise et nos que la distinction est faite, je peux vous donner ce que j'ai reçu de Marthe durant cette Ă©preuve de trois jours de tĂ©nĂšbres, et je ne changerais pas la moindre virgule ; Ă vous de arrivĂ© la deuxiĂšme nuit de mes jours de tĂ©nĂšbres. Tout ce qui est en bleu est de Marthe Robin Ă la virgule et au point prĂȘt, et je n'ai rien changĂ©. Elle m'a dictĂ© ça mot aprĂšs mot sans que je puisse deviner le mot suivant, et Ă chaque phrase je croyais que c'Ă©tait la derniĂšre, mais ça continuait. Ensuite quand j'ai relu je n'ai rien compris, et c'est peu Ă peu que la lumiĂšre m'est venue. En fait, je ne savais mĂȘme pas que j'anticipais les trois jours de tĂ©nĂšbres, et c'est ce qu'elle m'a dictĂ© qui m'a mis la puce Ă l' grandes ailes de priĂšre de l'ange de douleur vous seront donnĂ©s afin de surmonter cette vers le point de lumiĂšre, de Marie ImmaculĂ©e. Prends un stylo et nuit"Seigneur, sauve-moi".Ăa, tout le monde peut le nuitCertains vont reprendre courage, et faire demi-tour, pour aller chercher leur frĂšre, qui serait perdu sans cela."Seigneur, si mon frĂšre est perdu, que je sois perdu avec lui".Quelques uns le feront, puis d'autres, et d'autres encore, et Ă la fin tout le monde le nuit"Seigneur, que tous mes frĂšres, que toutes mes sĆurs, soient plus Ă©levĂ© que moi, dans l'ordre de la grĂące, de l'amour et de la saintetĂ©".Quelques uns vont le faire, puis d'autres, et d'autres encore, et Ă la fin on va finir par tous se pousser Ă qui mieux mieux vers le commence la dĂ©mesure Ă vous de juger. A noter que Marthe Robin ne parle pas des phĂ©nomĂšnes fantastiques extĂ©rieurs qui se dĂ©rouleront alors tels que, ObscuritĂ©, apparition de dĂ©mons, tonnerre fracassant et que sais-je encore ? Non, elle ne parle uniquement que de ce que l'on va vivre intĂ©rieurement et le chemin spirituel que l'on devra prendre alors pour bien vivre cette Ă©preuve. Reste que ce n'Ă©tait qu'une vision mĂȘme si trĂšs douloureuse, mais maintenant je dois vivre ça dans la foi. Et croyez moi, il y a du gloire, gloire Ă toi. Toute ma tendresse pour toi au dĂ©but====================================================================================DerniĂšre Ă©dition par Philippe le Mar 18 Sep - 1910, Ă©ditĂ© 2 fois PhilippeconsacrĂ©Messages 1865Date d'inscription 03/08/2010Age 74Localisation Maisons LaffitteSujet Re TĂ©moignage. Aboutit au trois jours de tĂ©nĂšbres. Dim 17 DĂ©c - 804 Ultime recommandation. Pour moi il y a les visions de la lumiĂšre et les visions de la nuit. Et lĂ je franchis quasiment la ligne jaune en vous donnant une vision de la nuit, mais je pense que c'est a commencĂ© par un songe et a fini par une mon songe, j'Ă©tais dans une Ă©glise. Je donnais des coup-de-pieds dans les murs, et il y avait des dĂ©mons qui en sortaient qui s'enfuyaient en rampant. Puis je m'Ă©levais au sommet de cette Ă©glise Ă©glise ou Eglise ?, et lĂ il y avait un dĂ©mon terrible ; mort de trouille mais trop orgueilleux pour s'enfuir. Comme ce songe Ă©tait dĂ©sagrĂ©able je me suis rĂ©veillĂ© ; je suis descendu dans la cuisine me faire un cafĂ© et fumer une cigarette pour penser Ă autre chose. Mais en vision intĂ©rieur je continuais Ă voir ce dĂ©mon qui me regardait, dans une parfaite acuitĂ©, et ça me brĂ»lait la tĂȘte. je ne parle jamais au dĂ©mon mais lĂ je n'ai pu m'empĂȘcher de lui dire "Et toi tu ne parts pas ?". Et lui, je l'ai entendu me rĂ©pondre avec une voix double, que j'ai entendu avec mes oreilles mais quatre cent dĂ©cibels "J'attend la puissance suprĂȘme de monseigneur Lucifer".Sur le coup j'ai Ă©tĂ© terrifiĂ©. Non par la vision elle-mĂȘme car dans ces cas-lĂ on a toujours la grĂące, mais j'avais trĂšs peur que mes enfants en bas-Ăąge aient entendu aussi. Mais non, je me suis demandĂ© quelle pouvait ĂȘtre cette "puissance suprĂȘme de Lucifer", et finalement j'ai trouvĂ© la rĂ©ponse dans le CEC qui nous dit que la puissance suprĂȘme de Lucifer, c'est l'esprit de l' dĂ©tail qui a son importance en me disant cela, narquois il prenait mon visage. j'ose prĂ©tendre m'efforcer d'ĂȘtre fidĂšle, et donc le diable va crĂ©er la confusion en faisant croire que ceux qui sont fidĂšle sont du cotĂ© du diable, dans un mauvais chemin. Je prĂ©fĂšre ne pas faire de commentaire, sinon que le Padre Pio disait souvent que le poisson pourrit par la tĂȘte. Mais prions, prions beaucoup pour l'Eglise et ces chefs, car l'heure de l'Ă©preuve redoutable entre toutes est gloire, gloire Ă toi. Toute ma tendresse pour toi au dĂ©but==================================================================================== FrançoiseconsacrĂ©Messages 7626Date d'inscription 12/06/2016Sujet Re TĂ©moignage. Aboutit au trois jours de tĂ©nĂšbres. Dim 17 DĂ©c - 817 Philippe,Je suis sidĂ©rĂ©e, Philippe qu'est-ce que tu en as vĂ©cu des expĂ©riences "mystiques" ! ... Mais, en fait, quand on te connait un peu, cela ne m'Ă©tonne pas outre mesure ! ... Et je suis contente de travailler avec toi. Que tes chevilles n'enflent surtout pas, reste un petit bonhomme tout simple sans aucune prise de tĂȘte, comme tu es dans la toujours dans la Divine VolontĂ© !Bien amicalement, Françoise.====================================================================================Seigneur, aide-nous maintenant Ă ĂȘtre vraiment catholique et Ă rester dans la grande vĂ©ritĂ©, en ton Dieu, et ainsi vivre et mourir. PhilippeconsacrĂ©Messages 1865Date d'inscription 03/08/2010Age 74Localisation Maisons LaffitteSujet Re TĂ©moignage. Aboutit au trois jours de tĂ©nĂšbres. Dim 17 DĂ©c - 950 Merci. Non je ne risque pas de faire Ă©clater mes chaussettes. je pense que j'au reçu tout ça justement parce que je suis un spĂ©cimen de petit bonhomme. JĂ©sus s'est d'abord fait une Ă©lite, et maintenant il veut se mettre au milieu de son peuple . Et dire que je suis le plus misĂ©rable de tous serait encore bien prĂ©tentieux.==================================================================================== Contenu sponsorisĂ©Sujet Re TĂ©moignage. Aboutit au trois jours de tĂ©nĂšbres. TĂ©moignage. Aboutit au trois jours de tĂ©nĂšbres. Page 1 sur 1 Sujets similaires» Les trois jours de tĂ©nĂšbres.» Les 3 jours de tĂ©nĂšbres du Padre PIO - un enseignement de Fabienne Guerrero.» La LumiĂšre brille dans les tĂ©nĂšbres et les tĂ©nĂšbres ne l'ont pas arrĂȘtĂ©e.» JĂ©sus est la LumiĂšre du monde, en Lui point de tĂ©nĂšbres.» Sainte Faustine Tentations et tĂ©nĂšbres, Satan Permission de ce forumVous ne pouvez pas rĂ©pondre aux sujets dans ce forum Forum Catholique LE MONASTĂRE INTĂRIEUR. Vivre avec notre Seigneur et sa mĂšre ĂVANGĂLISATIONSauter vers
Onpasse du rire aux larmes, aux drames, j'ai besoin d'sommeil [Aya Nakamura] Si tu m'aimes, arrĂȘtes tes bĂȘtises Il faut grandir Tu m'fais pleurer la nuit [Fababy & Aya Nakamura] T'es tombĂ©e love d'un voyou T'es tombĂ©e love d'un voyou T'es tombĂ©e love d'un voyou Ăa doit finir entre nous J'suis tombĂ©e love d'un voyou J'suis tombĂ©e love d'un voyouHarry Potter 2005 ~€~ PrĂ©-au-Lard ~€~ Rues de PrĂ©-au-LardMaĂźtre de jeu Jour de pluieMaĂźtre de jeu, le Lun 10 Avr - 2224 SituĂ© dans un climat particuliĂšrement changeant, PrĂ©-au-Lard n'est pas Ă l'abri de la pluie. Sous le soleil, le village semble animĂ©, quelque peu joyeux, Ă©clairĂ©. Lorsque le ciel s'assombrit et fait tomber des trombes d'eau, ou simplement un crachin d'automne, tout devient terne. Les rues sont beaucoup moins remplies, les pavĂ©s sont glissants et les diffĂ©rentes artĂšres ne protĂšgent en rien les passants qui se montrent moins aimables, oĂč le vent s'engouffre sans crier gare. Cependant, la pluie donne une beautĂ© sauvage Ă PrĂ©-au-Lard, dont les centaines de lanternes brillent aux fenĂȘtres les jours de pluie, comme de nuit. L'odeur de celle-ci emplit les narines et procure, pour certains, un sentiment de fraĂźcheur. Andrew EalesGryffondor Post Ă dĂ©placerAndrew Eales, le Lun 17 Avr - 355 -Le jour oĂč l'enfer sâabattit sur Terre ! RP Flashback - [PV avec Daegan HarltĂžfsen.]A R T H U R -S M I T HJe vais te tuer Eales !Ăa, c'est Arthur Smith, une saletĂ© de deuxiĂšme annĂ©e Ă Gryffondor. Toujours Ă s'en prendre Ă moi sous prĂ©texte que je sois nouveau et surtout tout chĂ©tif. Et ça se dit membre de la maison du courage... mes fesses ouais ! Mais pour savoir pourquoi cette tĂąche me court aprĂšs, il faut remonter quelques minutes en arriĂšre. Alors qu'il m'avait une fois de plus humiliĂ© en sortant des dortoirs, j'avais dĂ©cider de me venger un peu plus tard, durant le petit-dĂ©jeuner. RĂ©sultat ? J'avais "un tout petit peu" sabotĂ© son repas en ajoutant quelques "ingrĂ©dients mystĂšres" assez... spĂ©ciaux ! RĂ©sultat ? Il s'Ă©tait rapidement compte que ça venait de moi et s'Ă©tait mis Ă me courser un peu partout dans le chĂąteau. Voici donc pourquoi j'en suis lĂ , maintenant, Ă utiliser mes petites jambes pour tenter de me cacher le plus loin possible avant qu'il ne mette la main sur moi ! Car je suis un garçon trĂšs rĂ©aliste, je sais parfaitement que s'il m'attrape, je vais passer un sale quart d'heure. Et je prĂ©fĂšre rester en un seul morceau ! Je me fraies donc un chemin comme je le peux en passant entre les Ă©lĂšves que je vois, commençant Ă sortir Ă l'extĂ©rieur alors que je l'entends se rapprocher de plus en plus, me hurlant dessus au passage. A R T H U R -S M I T HTu vas voir quand je t'aurais attraper !D A M I E N -E A L E SFaudrait dĂ©jĂ y arriver !Lui tirant la langue au passage, je regarde Ă nouveau devant moi pour me rendre compte que je suis foutu. Je viens de me stopper pile poil devant le lac, un peu plus et je finissais dedans tĂȘte la premiĂšre ! Et le gros problĂšme est que je n'ai plus aucun moyen de m'Ă©chapper, Arthur n'est pas trĂšs loin et si je tente d'aller Ă gauche ou mĂȘme Ă droite, je perdrais bien trop de temps et il finirait par m'avoir, j'en Ă©tait sĂ»r. Ce grand imbĂ©cile commence dĂ©jĂ Ă venir devant moi, un sourire de victoire sur les lĂšvres. Mais rira bien qui rira le dernier ! Car tu sais pas ce que je peux mettre dans ton prochain repas !Il fini par ĂȘtre lĂ , devant moi, m'attrape par le col et me pousse un petit peu, mes talons se retrouvant Ă un rien du lac dans lequel je vais certainement ĂȘtre d'ici quelques instants, connaissant le genre du garçon. Mais peut-ĂȘtre pas directement puisqu'il lĂšve son poing droit, prĂȘt Ă me frapper Ă tout instant pour me punir de ce que j'ai osĂ© lui faire. Si seulement j'Ă©tais plus grand et plus fort... il se serait prit une grosse raclĂ©e et aurait arrĂȘter de m'embĂȘter ! Mais lĂ , je ne peux pas lui faire grand chose avec le peu de force que j'ai. J'aurais du ĂȘtre comme mon grand-frĂšre... il me regarde alors et me pose la question que j'attendais depuis tout ce R T H U R -S M I T HUn dernier mot Ă dire ?D A M I E N -E A L E S... Plouf ? J'espĂšre au fond de moi que quelqu'un va venir me sauver de cette brute, car lĂ , je ne risque pas d'aimer ce qu'il va m'arriver. Mais bon... je rĂȘve sans doute...DAMIEN J. Alice Bonjour Damien. Votre post n'Ă©tant pas conforme Ă la cohĂ©rence exigĂ©e par le RĂšglement RPG, je l'ai dĂ©placĂ© dans un sujet qui vous est disponible. Merci de faire plus attention Ă l'avenir. Cordialement. InvitĂ© Re Jour de pluieInvitĂ©, le Jeu 20 Avr - 1409 Assis tranquillement en face du lac, Daegan observait de ses yeux malicieux le chĂąteau de Poudlard de l'autre cĂŽtĂ© de l'eau. C'Ă©tait le weekend et les enfants aillant obtenue une autorisation de sortie pouvaient aller se promener dans le village de PrĂ©-au-lard. La plupart achetaient des bonbon, les plus vieux allaient boire un verre au bar. Mais Dae' n'Ă©tait ni fan de bonbon, ni assez vieux pour boire ce qu'il voulait. Du coup il Ă©tait dans un espĂšce d'entre deux, lĂ , face au lac. Au moins il Ă©tait tranquille. Le jeune garçon Ă©tait assez dynamique mais il adorait ces moments de calme. C'Ă©tait dans ce genre de moment qu'il prenait le temps de s'adresser aux Dieux nordiques. Il les remerciait souvent pour les pouvoirs qu'ils lui avaient offert Ă la naissance. Tu vas voir quand je t'aurais attraper ! » Fronçant lĂ©gĂšrement les sourcils, le deuxiĂšme annĂ©e dĂ©tourna son attention du lac pour tenter de reconnaĂźtre la voix. Cette derniĂšre semblait lointaine mais en colĂšre. PitiĂ©, Odin, que personne ne vienne le dĂ©ranger maintenant... Sauf si c'est important... Et que son rĂŽle est essentiel dans cette histoire ... Poussant un soupir, le jeune homme qui Ă©tait dĂ©jĂ grand et carrĂ© pour son Ăąge tenta de se concentrer Ă nouveau sur la mĂ©ditation dans laquelle il se trouvait juste avant. Faudrait dĂ©jĂ y arriver ! - P*tain.. » LĂącha t-il en se tournant cette fois ci vers les voix qui se rapprochaient alors qu'il vit, un peu plus loin, un tout petit bonhomme s'arrĂȘter juste en face du lac. Au vue de la course folle, Daegan Ă©tait persuadĂ© qu'il allait finir Ă l'eau. Mais non. Il s'arrĂȘta Ă temps et sembla peu serein Ă la vue d'un autre garçon qui arrivait Ă sa suite. Ah lui il le connaissait ! Smith, ils avaient cours de soin aux crĂ©atures ensemble. Idiot ce type. Bon Daegan aimait aussi faire l'imbĂ©cile de temps en temps mais jamais si ça doit atteindre quelqu'un d'autre. Smith, lui, c'Ă©tait principalement ça qui le faisait marrer Faire ch*er les autres. Surtout les plus faibles. Genre le petit bonhomme en question juste lĂ . Un dernier mot Ă dire ? » Et lĂ , un poing se lĂšve. C'est une blague ? Il allait vraiment user de violence ? Daegan, du haut de ses 1m68 malgrĂ© son jeune Ăąge, se redressa alors pour s'approcher. Eh ! » Surpris par cette voix sortie de nul part, le bourreau baissa sa main pour s'intĂ©resser au nouvel arrivant. Qu'est ce que tu fiches ici Daegan ? - Ma prĂ©sence est lĂ©gitime contrairement Ă ta façon d'agir. Laisses le tranquille. » Le gryffondor, sentant sa fiertĂ© menacĂ©, s'approcha alors de son alter ego les poings serrĂ©s. Ils faisait Ă peu prĂšs la mĂȘme taille, le jaune Ă©tant lĂ©gĂšrement plus grand. Tu m'donnes des ordres toi ? - PlutĂŽt des conseils. » La rĂ©partie et l'air un peu trop sĂ©rieux du NorvĂ©gien sembla dissuader quelques peu l'autre garçon. MĂȘles toi de tes affaires. - La prochaine fois fais en sorte de ne pas te donner en spectacle alors. » Un combat de regard sembla durer une Ă©ternitĂ© alors que le petit bonhomme, Ă cĂŽtĂ©, n'avait toujours pas prenant un sourire moqueur pour cacher sa frustration, Smith lança un regard menaçant vers l'enfant et un clin d'oeil Ă Daegan. On se voit en cours Dae'. - Ouais c'est ça. » Gardant la mĂąchoire contractĂ© jusqu'au rĂ©el dĂ©part du rouge et or, le norvĂ©gien finit par se dĂ©tendre en poussant un soupir. C'Ă©tait un rĂ©flexe qu'il avait, Ă chaque fois qu'il sentait une bagarre arriver il contracter sa mĂąchoire en cas de coup, pour que l'impact soit moins puissant. Technique qu'il avait apprit en se battant avec ses frĂšres. Enfin, il s'intĂ©ressa au petit bonhomme. Il lui adressa un sourire bienveillant et lui mit un petit coup dans l'Ă©paule. Si tu veux mon avis, soit tu apprends Ă te dĂ©fendre, soit tu arrĂȘtes tes bĂȘtises. » Parce qu'il Ă©tait plus qu'Ă©vident que l'enfant Ă©tait un semeur de trouble. Andrew EalesGryffondor Re Jour de pluieAndrew Eales, le Jeu 27 Avr - 1541 -Le jour oĂč l'enfer sâabattit sur Terre ! RP Flashback - [PV avec Daegan HarltĂžfsen.]Alors que je me demande quelle religion je vais choisir pour demander Ă un dieu de me sauver de cette tĂąche d'Arthur, j'entends une voix un peu plus loin qui vient de me sauver sans avoir fait quoi que ce soit, puisque l'autre brute me relĂąche tout de suite. Ouais ! Victoire pour Eales ! La personne ayant volĂ©e Ă ma rescousse s'appelle visiblement Daegan, un Ă©lĂšve bien plus grand que moi - mais ça, c'est pas dur, je suis un vĂ©ritable nain ! - et plus costaud surtout - mais encore une fois, pas dur, je suis une vĂ©ritable brindille ! - n'ayant du coup aucun mal Ă se faire respecter par la fouine de que... l'autre idiot s'approche de lui en serrant les poings... ils ne vont quand mĂȘme pas se battre ? Car si ça arrive, j'ai juste Ă venir discrĂštement et paf ! Une petite reprĂ©sentation personnelle de Casses-Noisettes pour Smith ! Mais je n'aurais pas Ă user du coup de pied bien placĂ© vu que finalement, le crĂ©tin fini par s'en aller, me lançant un regard menaçant juste avant. Alors que je le vois s'Ă©loigner, je lui fait de grands signes de la main, un large sourire aux lĂšvres, content de le voir partir, surtout que je pensais finir dans la flotte !L'autre garçon se retourne finalement vers moi et vu son Ă©cusson, il semble ĂȘtre un Poufsouffle. AprĂšs m'avoir lancĂ© un sourire bienveillant, il me frappe doucement dans l'Ă©paule - heureusement d'ailleurs, sinon, hop, plus d'Ă©paule ! - pour finalement me dire que j'allais soit devoir apprendre Ă me battre soit arrĂȘter les bĂȘtises. Oh bah le choix est simple, trĂšs trĂšs simple mĂȘme !D A M I E N -E A L E SJ'apprends Ă me dĂ©fendre alors ! Comme ça la prochaine fois qu'il veut s'en prendre Ă moi, je lui pĂšte la tĂȘte !Et vu que je suis un garçon plein d'Ă©nergie, je ne peux pas m'empĂȘcher de mettre quelques coups dans le vide, mimant ce que je compte faire Ă Arthur la prochaine fois, pour ensuite sourire Ă mon sauveur et placer mes mains derriĂšre ma tĂȘte. Sur le coup, il Ă©tait tombĂ© Ă pic, sinon ça aurait Ă©tĂ© moi ! Tiens d'ailleurs... je me mets Ă observer celui qui semble sâappeler Daegan, me rappelant ensuite de tout ce qui venait de se passer avec l'autre tĂȘte de lutin. Et rapidement, je lui pose une A M I E N -E A L E STu veux pas m'apprendre toi d'ailleurs ? T'as l'air fort, puis si j'dois attendre la fin d'annĂ©e pour ça... L'autre avec son hygiĂšne de troll avait l'occasion de me frapper plusieurs fois durant l'annĂ©e et Daegan ne serait pas lĂ Ă chaque fois. Et puis mĂȘme en dehors de Poudlard, ça allait ĂȘtre dur de pratiquer des sports de combats en Ă©tant Ă l'orphelinat... du coup, mon unique espoir se trouve devant moi ! Et alors que j'attends sa rĂ©ponse, quelque chose me revient soudainement et je me dĂ©pĂȘche alors de reprendre la A M I E N -E A L E SOh ! Je m'appelle Damien Eales sinon ! Et merci de m'avoir sauver de l'autre tĂȘte d'ampoule J. Kohane W. UnderlindenMDJ-GestionnaireHarryPotter2005 Re Jour de pluieKohane W. Underlinden, le Dim 4 Juin - 1734 Pas de rĂ©ponse depuis plus d'un problĂšme, me avec Seth McSoulPlicPlocContre le carreauNuit d'orage et de pluieTrombes d'eau qui s'abattent sur les pans d'une auberge anonyme, contre les vitres d'une chambre anonymePlongĂ©e dans le d'alcool ; bouteilles roulant au solDraps froissĂ©s, agitĂ©s, retournĂ©sSur le grand lit dĂ©pliĂ©Mouvements des corps anonymes, eux aussi, seulement chair fraĂźche dans cette chambre noireLes respirations au rythme presque des plic ploc du dehorsLes yeux ne se regardent pas, ne se voient pas, ils voient ailleurs, ils voient peut-ĂȘtre un autre, une autre, ils ne voient plus et le corps se contente de prendre, d'accepter l'inconnuDans un tourbillonnement d'alcoolEt perdition de l' l'auberge sans nom, ce sont deux silhouettes sans nomQui s'entremĂȘlent sans motEt dans les anonymes,Il y aJeMoiJe sais qui je suisMais je ne sais pas qui est l'autre,LuiIlQui est-il ?Aucune idĂ©e et qu'importeBon sens et rĂ©flexion anesthĂ©siĂ©s par la bouteilleLes pensĂ©es ne virevoltent plusLe corps a pris le desusSur l'espritEt agit seul,MĂ©canique presquePour sa seule satisfactionAlors que tout le reste se noie dans cette si prĂ©cieuse boisson, tellement utile pour oublier !Pour oublierS'oublierMais ne pas oublier d' survivre, il faut parfois se perdreLoin de tout, loin des autres et de soiPour enfin rĂ©ussir Ă revenir pleinementReprendre pied avec le poids d'enclumeEt les responsabilitĂ©s non souhaitĂ©esReprendre pied et repartir de plus belleOublier pour survivreVoilĂ Ă quoi j'en suis je me perdsDans la pluie d'alcoolAlors que la pluie du ciel vient frapper toujours plus durement le carreauJe danse sur le fil de la vie, titubante et chancelante, bouteille Ă la mainEt, bon sens anihilĂ©, je crois pouvoir courir sur ce fil sans jamais me rompre le couAlors je rĂȘve que je suis plus forte mĂȘme que la vieEt que survivre n'est qu'une mission des plus me sentir ainsi partir,Loin de tout, loin des autres et de soi,Voguer, flotter, coulerSans jamais rĂ©sister Ă l'appel tendre des effluves d'alcoolEt aux bras inconnus tout aussi perdus que les miens,Les bras sans nom, sans visage, sans voixJuste amas de chair contre chairPour oublier le resteDans une nuit d'orageSur un lit non-familierD'une auberge sans nom. La tĂȘte me tourneEt je ne sais plus si la chaleur qui inonde mon corpsEst rĂ©elle ou simplement imaginĂ©e Entre deux images fantasmagoriques aperçues au milieu de battements de paupiĂšresNuit d'oubli, d'alcool et de dĂ©baucheJ'ai chaud et froidEntre Ă©veil et sommeilUne goutte de trop dans le sangEt des idĂ©es en pelo de laine qui s'emmĂȘlent Ă l' me semble que mon corps nu sous la drap va se faire bouffer par le matelas trop tourbillonantQue mon cerveau fatiguĂ© va exploser sans mĂȘme que je m'en aperçoiveEt que ma personne toute entiĂšre va finir par disparaĂźtre dans un nĂ©ant des plus non, je reste,Je demeure,Immobile dans le noirAlors que l'autre silhouette sans nom repose Ă quelques centimĂštres de moiEt un silenceDe mortSeulement la pluie qui tape sans rĂ©pitEt l'orage qui accompagne mon orage intĂ©rieurDu parcours dĂ©vastateur de l' me paraĂźt plus lent,Trop lent, mĂȘme,Tic et tac n'ont plus le mĂȘme rythme,MĂȘme plic et ploc perdent de leur Ă©nergie au creux de mes vie au bord des lĂšvres, je pousse tout de mĂȘme un soupirMais n'ose pas desserrer les mĂąchoiresDe peur que les entrailles ne remontent douloureusementJusqu'Ă ĂȘtre expulsĂ©es par ma propre tempsAu milieu de bouteilles et sueurEt machinalementMon pouce gauche joue avec ma bagueCelle qui dit que je ne devrais pas ĂȘtre lĂ Dans des bras inconnusCelle qui signifie tant de choses pour certainesEt si peu pour moiCelle qui annonce mariage, soi-disant plus beau jour de sa vie,Et qui ne me donne qu'une envie un peu, je ferme les paupiĂšres quelques secondesEcoute seulement le plic et plocAlors que je continue de faire jouer l'anneau sur mon qui, toi ?La question que j'aurais dĂ» poser avantMais que je ne pose qu'aprĂšsEt je sais mĂȘme pas vraiment si j'attends une veux justepartirloinde tout ça. InvitĂ© Re Jour de pluieInvitĂ©, le Dim 4 Juin - 2216 L' ne fais que chercher l' nuit, un bar, une femme, six souris, j'esquisse dans mon esprit, quelques lui montre mon carnet, lui propose de la dessiner, elle accepte, quelques traits, je mon sac, un portrait. Dans mon ventre, de l'alcool. Dans ma tĂȘte, du recouvre mes esprits, je suis lĂ , dans un plein Ă©lan, le regard vide, pas de m'observe, elle se questionne, croquis, je m'en souviens. La femme, je ne m'en souviens est-elle ? D'oĂč vient-elle ?Quel Ăąge a-t-elle ?Une sorciĂšre, pas de doute, l'auberge Ă©tait magique, les couverts moi, qu'est-ce que je fous lĂ ?Je ne manque de si, de tout ma vie est nulle, lamentable, je suis un incapable sans le sou, logĂ© chez ne m'aime pas, je ne vis pas, je suis un ne dessine pas par plaisir, je dessine pour sexuellement, je ne me suis jamais voilĂ , dans un lit, avec elle, qui est-elle ? Je n'en sais rien, mais elle remue Ă la mĂȘme allure que moi, en silence, et je ne m'arrĂȘte pas, comme si j'avais envie d'aller au bout des qu'est-ce que je fous lĂ , moi ?J'ai trop me souviens d'une fois, chez Meredith, il y a trois ans. Son copain l'avait quittĂ©e, elle m'avait appelĂ©e en pleurant Ă chaudes larmes. Nous venions tout juste de reprendre contact, elle m'avait demandĂ© de venir chez elle. Nous aurions pu discuter, j'aurais pu la consoler, faire le psy comme j'ai appris Ă le faire, mais elle m'a embrassĂ© et m'a entraĂźnĂ© avec elle. Je n'avais pas bu, j'Ă©tais entiĂšrement sobre, elle n'Ă©tait pas elle-mĂȘme et ce n'Ă©tait pas raisonnable. Pourtant, c'Ă©tait ma premiĂšre fois et je me suis laissĂ© faire, comme un garçon curieux qui veut dĂ©couvrir les choses en sachant pertinemment qu'il se tiendrait mieux en gardant ses distances. Mais j'ai tout appris, et je n'ai rien oubliĂ© de cette fois lĂ . Meredith et moi en avons peu reparlĂ©, mais le temps a passĂ© et j'ai connu d'autres filles, et toutes m'ont appris, elles aussi, et je me souviens de chacune d' elle... Elle, je ne me souviens pas. Et pourtant, je le vis, lĂ , dans l'instant prĂ©sent, la voici en face de moi et je ne saurais me souvenir de son vois Ă peine son visage, nous sommes tapis dans l'ombre, je m'agite avec une simple voilĂ qu'on s'Ă©tale, l'un Ă cĂŽtĂ© de l'autre, essoufflĂ©s tous les deux. C'est tĂȘte tourne, je n'ose pas la T'es qui, toi ? me ton de sa voix me rappelle certains souvenirs, assez le bar, il y a quelques heures, elle me parlait dĂ©jĂ sur le mĂȘme ton, ni poli ni je me souviens d'un dĂ©tail, alors, un dĂ©tail que j'aurais prĂ©fĂ©rĂ© n'est qu'une gamine, une ado de 17 semble avoir apprĂ©ciĂ©, j'ai apprĂ©ciĂ© aussi, mais qu'est-ce que je fous lĂ ?Je voulais simplement la dessiner, je n'ai jamais voulu aller aussi ans seulement, m* seulement c'Ă©tait la premiĂšre fois, j'aurais pu passer Ă cĂŽtĂ©, mais deux fois en une semaine, ça va trop la gamine du cimetiĂšre, maintenant la gamine du qui ne tourne pas rond chez moi ?- n'ai pas envie d'en dire plus, je n'ai pas envie de parler, je m'en veux seulement ma mĂšre voyait seulement mon frĂšre voyait seulement Ariana voyait seulement Meredith voyait M*rde. Si ça pouvait ĂȘtre elle...Cette fille n'a que 17 ans, p* C'Ă©tait pas une bonne idĂ©e. Kohane W. UnderlindenMDJ-GestionnaireHarryPotter2005 Re Jour de pluieKohane W. Underlinden, le Lun 5 Juin - 1925 Le bateau tangueEt je ne fais attention Ă rienSeulement portĂ©e sur son dos chancelantLes paupiĂšres closesA Ă©couter les bruitsQui m' y a la pluie lointaineParfois le grondement sourd de la terre et du ciel Mais surtout la respiration de l'autre,Corps sans nom,Silhouette sans visage dans le noirSa respiration qui prouve qu'il est tout de mĂȘme vivant ;Il n'est pas fantĂŽme,Il est humainIl respireEt pour peu, je pourrais entendreBattre son coeurDans sa sais plus trĂšs bien comment on en est arrivĂ©s lĂ A partager un Ă©treinte silencieuse dans l'ombreSi peu de mots Ă©changĂ©sMais de bonnes gorgĂ©e de je-ne-sais quel savoureux mĂ©lange un jeu de regard dans un barJe ne sais plus trĂšs bienLes feuilles de croquis qui dĂ©filent sous les yeuxEt son crayon qui gratteAlors que nous buvonsIl est Ă la fois concentrĂ© sur les traits qu'il traceEt sur le verre qu'il saisit par plus grand choseUne mĂ©moire floueDes images dont je n'ai cureL'important, c'est seulementDe savoir qu'on est lĂ Qu'on a atterri lĂ Et que je sais mĂȘme pas qui il estPas plus qu'il ne sait qui je la nuit et l'ambiance calme de l'aubergeSa voix remonte et me parvientLe seul nom qui ne me dit absolument rienEt l'Ă©vidence qui s'impose Je ne le connais vraiment ne saurais mĂȘme pas dire Ă quoi il ressemble,Les images sont flouesEt dans le noir, on ne voit plus grand yeux clos, je ne le regarde pasEt mĂȘme si je le faisais,SitĂŽt demain, je l'aurai oubliĂ©Peut-ĂȘtre me rappellerai-je de son Ă©treinteMais pas de ses traits, ça c'est certainCar ce n'est pas ça que j'ai envie de retenir de lui,Ce n'est pas ça le plus important chez lui ce soir ;Seulement savoir qu'il y avait lui et moiDans un grand litSans nous connaĂźtre,Cela me a l'air de penser, se perdre en rĂ©flexions anesthĂ©siĂ©esEt sa voix se fait entendre de nouveau,Pointe de regret peut-ĂȘtre vibrant au fond de la gorgeMais de toutes les façons, ce qui est fait est faitQue veux-tu ?Lentement, mes paupiĂšres se rouvrentEt mes pupillent fixent le plafond plongĂ© dans l'ombrePlafond lisse auquel est suspendu une simple chambres ici sont aussi nues que mon corps sous le drap,Aucune touche personnelle, aucune dĂ©co originale,Murs blancs pour plafond blanc Des dĂ©tails que je revois dans un flashJe sais pas pourquoiJe me rappelle de ça, me rappelle de l'aspect de la chambre Ă©clairĂ©e par l'ampoule tremblotanteAlors que je suis incapable de tracer dans mon esprit les traits de l'autre Ă cĂŽtĂ© de lui, qui a commencĂ© Ă me dessiner,Pas moi,Je ne suis pas capable de faire telle choseJe ne sais pas peindre les gensJe ne sais pas regarder leur visageJe me contente d'entourer leur personnalitĂ© Pour les de triturer mon annulaire, Je passe ma main gauche sur mon visage,Remonte jusqu'Ă la racine de mes cheveuxEt les doigts viennent s'y perdreAlors qu'un nouveau soupir m' de vomir est passĂ©eEt je ne me sens plus que flotterDans un bien-ĂȘtre vivre sans jamais chercher Ă oublier qui est une mauvaise atoneAlors que mes yeux restent fixĂ©s au plafondEt que mes doigts glisse le long de ma chevelure Avant que le bras ne retombe mollementSur le mal y a-t-il Ă vouloir oublier,Danser sur les moeurs et la viePour, une fois seulement, dire qu'on s'en fout ?Pourquoi regretterCe qui est faitEt a Ă©tĂ© apprĂ©ciĂ© ?Moi, je ne ressens pas cela,VoilĂ un moment que je n'ai plus ressenti celaParce que les regrets ça ne fait jamais avancerEt de toutes les façons, ça ne permet pas de revenirSur le commeLes si, c'est vrai, pleurer,Ca permet d'Ă©vacuerEt se tranquilliserEn s'Ă©croulant Ă©puisĂ©D'avoir trop de larmes je fais basculer mon corps sur le cĂŽtĂ©,Bras repliĂ©, coude posĂ© sur le matelas, tĂȘte posĂ©e dans la paume ouverteEt je regarde la silhouette d'Ă -cĂŽtĂ©,Silhouette plus si anonymeParce que maintenant, j'ai un nom, yeux se contentent de regarderNon pas dĂ©vorerSeulement observerL'Ăąme torturĂ©e d' regrets sont en train de te torturer ou quoi ?Un silenceAbandonnĂ© aux angesDe la nuit Et mon regard le lĂąche,Se perd sur le matelasDans le videMonde parallĂšle de l' pas regretter. Sinon une vie dĂ©jĂ pourrie devient insupportable. InvitĂ© Re Jour de pluieInvitĂ©, le Lun 5 Juin - 2037 Je suis c*n. Je suis c*n. Je suis c* suis vulgaire. Trop vulgaire. ArrĂȘte d'ĂȘtre m*rde, quoi, elle a dix-sept ans !- C'est vivre sans jamais chercher Ă oublier qui est une mauvaise idĂ©e, me qu'elle raconte ? J'y comprends qu'une gamine qui inventes des mots, tu es trop jeune, tu sais pas penser, moi aussi je disais des c*nneries Ă ton ans, m*rde...Je ferme les yeux, je n'ose rien regarder. Je la vois qui bouge Ă cĂŽtĂ© de moi, qui se tourne, est-ce qu'elle me regarde ? J'en sais rien, je ne la regarderai ne veux pas voir son visage innocent, si jeune, si pur, si...Non, Seth, ans, ce n'est rien, la moitiĂ© des filles l'a dĂ©jĂ fait Ă 17 ans, elle n'est pas si jeune, elle s'apprĂȘte Ă quitter Poudlard - si elle est est Ă Poudlard ? J'en sais me fait si mal d'y vie Ă©tait dĂ©jĂ si m*rdique, et voilĂ que je couche avec une Tes regrets sont en train de te torturer ou quoi ? ne sais plus quoi donner de la suis suis suis un vieux qui couche avec des mĂȘme genre de mecs que je trouvais ridicule lors de mes premiĂšres annĂ©es Ă Poudlard, quand les Ă©lĂšves de SeptiĂšme annĂ©e volaient toutes les jolies filles de mon n'a trouvĂ© personne de son Ăąge ?Elle... C'est quoi son nom, dĂ©jĂ ?- C'est quoi ton nom, dĂ©j...- Faut pas regretter. Sinon une vie dĂ©jĂ pourrie devient insupportable....Je regrette tellement.......Est-ce que ma vie est insupportable ?......- C'est quoi ton nom, dĂ©jĂ ?J'arrĂȘte d'y penser, ou dans quelques heures, je me jette du haut d'un les la n'est pas n'est pas moche non ?Non, c'est pas est plutĂŽt pas mal, en l'impression de la fixer. Je dĂ©tourne vite le regard, je ne veux pas la m'apprĂȘte Ă m'excuser, mais elle va encore dire que je repense Ă ce qu'on vient de agrĂ©able. Doux. Sensuel. bon, on l'a fait en Ă©tant bourrĂ©s, aussi, ça change la Le regret est humain, je suis pas insensible. Mais pour le coup, j'arrive pas vraiment Ă savoir si je dois regretter ou lĂšve les yeux, je fixe le vide. C'est toujours mieux que de la fixer Tu sais, il y a des moments oĂč ta vie est tellement dĂ©sespĂ©rante que t'arrives plus Ă savoir si elle est lĂ©gĂšrement douloureuse, ou tout simplement pourrie, ou carrĂ©ment fait super Il y a des moments oĂč tu souffres, c'est tout. T'en as pas grand chose Ă foutre de calculer ton degrĂ© de me redresse, m'assieds sur le lit, j'attrape un morceau de la couverture et je m'Ă©ponge vulgairement le front en espĂ©rant qu'elle ne regarde pas Mais bon, moi, j'ai confiance. Quel que soit mon niveau de dĂ©tresse, quand j'aurai envie de remonter Ă la surface, je sais que je le ferai sans problĂšme. J'ai beau ĂȘtre un c*n ou un lĂąche, je pense quand mĂȘme avoir un minimum de courage pour pouvoir me sauver coup, ma tĂȘte fait me retourne, je la a des yeux sombres, sans trop profonds, peut-ĂȘtre, sais Kayane, non ?C'est son nom, je crois. Kohane W. UnderlindenMDJ-GestionnaireHarryPotter2005 Re Jour de pluieKohane W. Underlinden, le Mar 6 Juin - 015 Je ne comprends pas,Ceux qui aimeraient revenirSur une expĂ©rience pourtant pas dĂ©sagrĂ©ableA cause de je ne sais quel point de gens-lĂ , j'aimerais leur direDe garder leurs regrets pour des situationsBien plus graves, qui les mĂ©ritent vraiment,Des situations oĂč vouloir faire machine arriĂšrePuisse ĂȘtre justifiĂ© sans si, dans ces cas-lĂ ,Les regrets font davantage malQue le sais car autrefois,Il m'est arrivĂ© de regretter,Mais pas pour une Ă©treinte anonyme abandonnĂ©e Ă un inconnu,PlutĂŽt pour les actes que je n'ai pas eu le courage de faire,Les cris que je n'ai pas eu le cran de pousser,La voix que je n'ai pas eu le courage de faire entendreEt un manque de rĂ©action qui a pu coĂ»ter la vie de personnes tombĂ©es sous mes ça,C'est sans doute mon pireEt plus rĂ©el regret De n'avoir rien pu faire pour les sauverDe n'avoir rien tentĂ© pour eux,ParalysĂ©e et anesthĂ©siĂ©e par la peurEt de les avoir laissĂ© partir,De leur avoir offert mon regard impuissant pour unique dernier ce soir,Je ne vois pas ce qu'il y aurait Ă regretter ;Au contraire,Je me sens bien dans ce tourbillon sans finVoilĂ un moment que je n'avais plus Ă©tĂ© dans cet Ă©tatDĂ©licieux d'Ă©loignement du monde. L'ombre me demande mon nom avant de me regarder,Je sens son oeil peser dans l'obscuritĂ©-Ă mon tour, je pose de nouveau mon attention sur lui-Et sa pupille me dĂ©tailler comme je le dĂ©tailleAvant de brusquement changer de direction,Comme prise d'un sursaut de biensĂ©anceQui dit qu'on ne fixe pas ainsi les gens, c'est Ă faire de ces parolesDe gens bien pensantsQui veulent se faire passer pour droits dans leurs bottesAlors qu'ils sont encore pire que nous ?Regarde-moi, si tu en as envie,Moi, je ne me prive pas,J'aime regarder les gens,En silence,Observation de ce qui se dĂ©gage chez euxSans faire attention rĂ©ellement Ă leur physique,Je regarde seulement les traits de caractĂšre que je pourrai retenir d' te regarder dans le noir ce soir,Toi, l'inconnu au nom si lointain,SethTe regarder pour essayer de savoirQui tu il reprend,Sa voix file sur les airs,Tisse une toile de motsQue j'absorbe sans le lĂącher des yeuxQue j'entends Ă©coute et est torturĂ©Et secouĂ©, l'inconnu,Perdu dans les moments douloureux de l'existenceEt ses mots me parlent,Vibrent en mot dans toute leur splendeur Et leur Ă©clat de vĂ©ritĂ© ;Je ne savais pas qu'une ombre inconnue comme luiPouvait parler aussi bienEt poser ces mots-lĂ sur les maux d'une vieQue je ne comprends qu'il avance dans sa rĂ©flexionJe me mords la lĂšvre infĂ©rieureParce que ses parolesFont remonter Ă la surfaceTout ce Ă quoi moi-mĂȘme je fais faceLes flashs douloureux de souvenirs qui devaient s'oublier dans l'alcoolEt la pelote de pensĂ©es se remet en routeAlors qu'au contraire, je ne voulais plus,Ne voulais plus rappel cruel de l'existenceCrispe la mĂąchoire Tandis que lui se redresse,Sa silhouette vient se mettre en position assise sur le litEt la couverture se froisse entre ses doigtsAlors qu'il se saisit d'un pan dans l' quelques phrasesDĂ©bitĂ©es Ă l'universEt soudain, il tourne son visage vers moi,PremiĂšre fois que nos regards se croisent ainsi,PremiĂšre fois en tout cas dans ce dont je suis capable de me souvenirCar tout avant est plutĂŽt indistinct,Pour sĂ»r que nous nous sommes regardĂ©s,Avant, dans le bar, Pendant, dans le grand litMais ce n'Ă©tait pas un regard du mĂȘme ordre ;LĂ , c'est celui qui observe pour de vraiCelui qui fais attention et nom-qui n'est pas le mien-Sorti de ses lĂšvresComme une ultime tentative de se rappelerDe ce qu'il a oubliĂ©De ce qu'il n'a pas Ă©coutĂ©Ou de ce qui n'a pas Ă©tĂ© corrigeDans un souffleLes yeux levĂ©s vers sa silhouetteAvant de m'asseoir Ă mon tourRamenant le drap contre ma poitrineNon pour une quelconque pudeurMais parce que j'ai besoin de sentir quelque choseContre as de la chance, de pouvoir remonter Ă la surface si tu le veux. Moi, je stagne et je coule. Ce n'est pas par manque de courage. J'essaie. TrĂšs sincĂšrement. Mais ce doit ĂȘtre un manque de force. Un Ă©puisement trop intense d'une trop longue lutte pour du me mords de nouveau la lĂšvreInstant de rĂ©flexionComment arrive-t-il Ă avoir cette dĂ©termination de pouvoir remonter quand bon lui semble ?-J'arrive pas Ă me sauver moi-mĂȘme. J'ai besoin des autres. Et mĂȘme comme ça, c'est difficile. Mais ça l'est encore plus si je suis besoin d'une mainPour tenir la mienneEt me donner le courageDe faire un nouveau pasDans ce mondeDe bĂȘte, hein, mais j'ai besoin du monde, je l'aime tout autant que je le je me dis que je danse sur lui,Que je le piĂ©tine Tout autant que je le cajole ;Je veux ĂȘtre avec luiAutant que je veux le fuir ;Je veux Ă©chapper Ă son Ă©treinteAutant qu'il m'est devenu indispensable pour survivreEt me releverAlors mĂȘme qu'il Ă©tait la cause de ma relation au mondeDans son entierEst si compliquĂ©e que je ne sais moi-mĂȘme plus trĂšs bienComment l'expliquer,OĂč me ai-je autant d'amour Ă offrir aux gensEt autant de dĂ©goĂ»t pour le monde ?Autant d'affectionEt de mĂ©pris ?Pourquoi le monde a-t-il cessĂ© de tourner pour moi,Pourquoi m'a-t-il reniĂ©e m'empĂȘcher de tourbillonner encore en son sein,Me laissant misĂ©rablement au bord de la route,EsseulĂ©e et abandonnĂ©e ?Trop de pourquoiRageuxPour pouvoir tous les dans le fond, je sais bienQue je ne trouverai jamais de rĂ©ponseAlors autant poser des questionsQui peuvent en parce que tu n'as d'autres choix que d'ĂȘtre seul que tu as la capacitĂ© de te sauver toi-mĂȘme ?Quel solitaire es-tu donc,SethPourquoi Ă©tais-tu lĂ ce soir,Pourquoi Ă©tais-je lĂ moi aussiEt pourquoi ici ensembleAssis dans un grand litAprĂšs un moment d'abandonA deux ?Les bras repliĂ©s contre ma poitrineMaintenant le drap contre le corpsMon pouce se remet Ă jouer machinalementAvec la bagueTandis que j'attends en silenceLa voix de l'Ăąme voisine torturĂ©e./Seth est en retard mais arrive bel et bien. Donc ne pas poster svp !\ InvitĂ© Re Jour de pluieInvitĂ©, le Dim 9 Juil - 032 Et elle me corrige,Car elle a beau avoir 17 ans, elle n'est pas bĂȘte, la conteste mes mots, Ă©labore les siens,et ses pensĂ©es s'entre-mĂȘlent dans une vision sans doute trop globale d'un monde qu'elle heurte sans connaĂźtre as dĂ» en baver, toi, Kohane, pour goĂ»ter Ă tant d'amertume alors que le monde ne t'a montrĂ© qu'une infime parcelle de ce qu'il est capable de t' es-tu ?Une fille ? Une femme ? Une entitĂ© venue pour moi, pour me soutenir ?Dans quoi vis-tu ?L'Ă©motion ? La sensation ? La rĂ©flexion ?Tu es lĂ , tu apprĂ©cies ma prĂ©sence mais cela ne te suffit pas, tu cherches Ă la dĂ©fier, Ă savoir Ă qui tu as affaire,Ou alors peut-ĂȘtre essaies-tu simplement de trouver une Ăąme charitable capable de comprendre et d'avaler toute ta peine, de l'engorger pour t'abandonner dans un doux Ă©tat de Kohane, j'aurais beau tenter de te guĂ©rir, cette cure ne serait qu'Ă©phĂ©mĂšre, tu ne t'Ă©chapperas pas avec tiens Ă te laisser ici, sur Terre, avec toutes tes peines et tes joies,Car tu dois voir, Kohane, tout ce que tu ne connais pas encore et qui saurait te redonner le ne te guĂ©riras pas auprĂšs des autres, car les autres ne sont pas lĂ pour autres ne sont que des passages, des transitions,et si tu te confies Ă eux, ils finiront par te rendre ce que tu leur as seule Ă qui tu peux te confier, Kohane, c'est toi,Car mĂȘme si tu ne peux te comprendre entiĂšrement,Tu es la seule Ă percevoir le monde Ă ta maniĂšre,Et le monde s'adapte aux yeux de Ce n'est pas une question de chance, ni de volontĂ©, ni de courage, ni de force. La chance n'existe pas, et le reste s'apprend. Je serais tentĂ© de te dire que c'est une question d'apprentissage, mais qui sera lĂ pour t'apprendre, si tu te sens incapable d'apprendre par toi-mĂȘme ? LĂ non plus, ça ne marche la vois qui se recroqueville, ramĂšne vers elle un drap, couvre ses seins, je la contemple et je la trouve son le monde peut ĂȘtre Alors je pourrais te dire que c'est une question de croyance, peut-ĂȘtre. Si tu vois le monde comme le Diable, alors il t'enverra en enfer. Si tu le vois comme ta Nourrice, alors elle te bercera tendrement, dans un couffin moelleux, si confortable, si paisible... Mais dans quelle dĂ©sillusion vivrais-tu alors, si loin de tout, sans rien connaĂźtre des malheurs d'une la croyance, ça aussi, ça s' que je dis n'a aucun parle sans rĂ©flĂ©chir, je rĂ©ponds comme ça, d'un coup, et je me dis que, sĂ»rement, tout ira La vĂ©ritĂ©, Kohane, c'est que je suis lĂ Ă t'Ă©couter mais je n'ai aucune solution Ă te proposer. Et tu fais pareil pour moi, tu m'Ă©coutes plaindre mes dĂ©fauts et vanter mes mĂ©rites. Et quand tu me dis que tu coules, que tu es incapable de te sauver... Et quand je te dis que je souffre, en attendant toujours un espoir de remonter Ă la surface...Et quand j'observais ma mĂšre plonger en pleine dĂ©pression...Et quand je consolais Meredith, troublĂ©e par l'amour...Et quand j'apprenais la mort de Kira, sans savoir comment soutenir une famille que je n'avais jamais connue...Et quand ils m'attendaient, moi, enfermĂ© dans ma chambre pendant toutes ces annĂ©es...- De quoi on a l'air, hein ? Deux pauvres Ăąmes, qui se jugent, se disent "Mince alors, mais qu'est-ce qu'on est torturĂ©s, si tristes, si sombres !" Et on cherche des solutions dans une superficialitĂ© totalement assumĂ©e, des alternatives pour une vie qui fait peine Ă voir. Et on utilise des beaux mots, pour faire mine que tout est si complexe et que tout cela nous dĂ©passe, que ce n'est pas de notre faute, aprĂšs me dĂ©voile tellement, ici, face Ă une inconnue qui ne sait rien de moi,Mais qui, Ă la fois, a su me dĂ©celer au premier coup d'oeil,Tout comme je l'ai dĂ©celĂ©e en Je m'en veux de parler pour toi, Kohane, mais j'ai comme l'impression qu'on est tous pareil, mais qu'on a tous diffĂ©rentes façons de l'assumer. La vĂ©ritĂ©, c'est que nous allons mal. Nous allons mal, et ce qui nous fait souffrir avant tout, c'est de savoir qu'on ne trouvera absolument jamais de solution. Et nous continuerons Ă souffrir, comme ça, sans ne sera mĂȘme pas une boucle, ce sera la vie, c'est tout, dans sa linĂ©aritĂ© la plus imprĂ©visibilitĂ© prĂ©visible on ne sait pas ce qui nous fera souffrir, mais on sait qu'on on aura beau aimer le monde, le haĂŻr Ă la fois,Rencontrer des gens, les aimer eux aussi, les haĂŻr eux aussi,Nous souffrirons, voilĂ Alors Ă ta question, Kohane, voilĂ ce que je rĂ©pondrais non, je ne me sens pas seul. C'est justement en pensant que nous les hommes, nous sommes tous les mĂȘmes, et que nous finirons tous de la mĂȘme maniĂšre, unis dans la vie comme dans la mort, que je trouve un peu d'espoir. Je ne pense pas que nous nous unifierons, que nous trouverons une paix commune, mais je pense au contraire que nous plongeons tous ensemble vers la mĂȘme fin, aussi obscure soit-elle. Nous roulons vers la mĂȘme destination, et nous sommes tous si dĂ©sespĂ©rĂ©s Ă l'idĂ©e d'en finir un jour que nous sommes tous en train d'espĂ©rer, quelque part, que cette fin soit la meilleure possible, car elle est la mĂȘme pour me me sens mieux, se trouve dos Ă moi, toujours assise, et j'avance doucement ma main vers elle, dans l'espoir d'en savoir plus, de comprendre pourquoi cette fille m'a tant Mais tout cela, ce n'est qu'une supposition. En fait, moi j'essaie simplement de comprendre, comme toi et comme tous les mes doigts glissent sur son dos et je l'effleure, sans la Sensation... RĂ©flexion...J'ai si souvent prĂ©tendu ĂȘtre un intellectuel. La grosse tĂȘte de la classe, celui qui la caresse, doucement, et la peau que je sens sous mes doigts me transmet toute la chaleur de son sensation... Peut-ĂȘtre que c'est ça qui me plaĂźt, finalement. L'expĂ©rience de l'instant fait de vivre, de faire des suppositions,d'essayer, d'effleurer des choses,de sentir des corps bouger en mĂȘme temps que sensation, seulement la sensation...- Et puis on sourit, aussi, des me sens si bĂȘte, Ă vouloir me donner cet air pessimiste, Ă vouloir dĂ©noncer ma misĂšre et celle du monde, Ă vouloir me plaindre de la vie, alors que je me sens parfois si bien dans ma peau, si heureux d'ĂȘtre lĂ ...- En fait, je parle beaucoup, mais demain, je dirai totalement l'inverse de tout ce que je viens de dire jusqu'Ă Ă peu, ma main se pose entiĂšrement sur son dos, et je la caresse, et j'aurais envie de l' dos, elle est vraiment sera lĂ pour me juger, dans quelques heures, quand nous serons sĂ©parĂ©s et qu'il n'y aura plus personne pour Ă©voquer cette expĂ©rience ?Et puis si quelqu'un venait Ă me juger, pourquoi ne devrais-je pas assumer ?Je ne suis qu'un jeune homme qui, en cet instant prĂ©cis, est pris d'une terrible envie d'enlacer une jeune fille en peine,De ressentir sa souffrance, sans savoir rĂ©ellement s'il la partage ou s'il ne fait que feindre ses peines pour partager un moment intime avec une La vĂ©ritĂ©, je crois, la vraie vĂ©ritĂ©, c'est que j'aime bien te parler, lĂ , maintenant. C'est agrĂ©able. Kohane W. UnderlindenMDJ-GestionnaireHarryPotter2005 Re Jour de pluieKohane W. Underlinden, le Sam 15 Juil - 1754 MusiqueLes mots, doucement,Se mĂȘlent Ă la pluie du dehorsIls ne font qu'un,Il y a alternanceEntre le son de sa voix rĂ©sonnant au milieu du noirEt les incessants ploc-plic-ploc contre la un ballet infini et tendreDe ces deux vois diffĂ©rentes qui se mĂȘlent-celle de l'Homme torturĂ© face aux Ă©lĂ©ments, face Ă la Vie, face au Toutet celle de la Nature qui ne fait que continuer de bouger et de tourner sans se torturerC'est un beau ballet de les entendre,Eux deux,Ensemble,Ainsi mĂȘlĂ©, presque l'un dans l' douce mĂ©lodie confondueMe parvient, me berce presqueAlors que, sans mot et sans mouvement,Je l'Ă©coute, l'inconnu,SethQui parle, parle, parle,Ses mots filent comme des notes de piano-quel joli morceau ils jouent ensemble,La pluie et lui !Il cherche, phrase aprĂšs phrase,Il titube un peu face au sens de la vie,Face Ă la rĂ©alitĂ© du monde ;Il cherche des explications,Il va lĂ , puis lĂ , avant de bifurquer encore une foisEt toujours, ils cherche est tĂątonne,Alors que moi, je l'Ă©coute dans le noirChercher et parles de croyance,Seth,Croire, oui,Mais lorsqu'on a l'impression, justement,De ne plus rĂ©ussir Ă croire,Lorsque tout est si vide que mĂȘme ça,Ca nous Ă©chappe,Comment peut-on encore parler de croyance ?Lorsque tout est dĂ©jĂ si parti,Que tout fout l'camp sans donner d'raisons,Que tout file et s'enfuit,Loin, loin, si loin de soi,Comment fait-on, Seth,Pour croire encore ?Je reste silencieuse alors que le reste arriveEt,Oui,Il a raison,Dans le fond, il n'y a aucune solution Ă donner,Ni pour lui, ni pour moi,Ni de lui, ni de moi,Il n'y a que nous, face Ă nos problĂšmes et prĂ©occupationsQue nous qui puissions rĂ©ellement les prendre Ă bras le corps,Tant que nous tenterons de les Ă©viter, de les fuir,Tant que nous courberons la tĂȘte face Ă eux,Nous continuerons de couler,A coup sĂ»r,Nous sommes les seulsA pouvoir dĂ©cider de faire facePour juste tellement compliquĂ©,De vouloir faire face,Etre prĂȘt Ă en prendre plein l'ĂąmeA encaisser les coups de lameTout ça en se disant queDemain,Ce sera continueEt ce qu'il ditAurait pu, autrefois,Me faire frissonner comme jamais ;Mais Ă prĂ©sent,Je me dis qu'il doit avoir je refusais l'idĂ©e qu'on puisse tousAvoir le mĂȘme Destin, suivre le mĂȘme cheminMĂȘme si les façons de marcher et d'aborder ce cheminDiffĂšrent radicalement,D'une personne Ă une autre,Oui, autrefois, cette idĂ©e me faisait si peurJe ne voulais pas suivre la mĂȘme pente que les autresJe ne voulais pas finirFinir comme luiJ'en avais trop peurC'est d'ailleurs pour ça que je l'ai quittĂ©Trop peur qu'il m'entraĂźne Ă sa suite,Trop peur de dĂ©valer la mĂȘme pente que finalement,Je me dis qu'il doit avoir raison,Seth,J'aime comme il parle,MĂȘme si je me perds un peu dans tous ces mots en vrac,J'aime quand mĂȘme entendre sa voix qui file une toile de rĂ©flexionEt je me dis queC'est vrai, ce qu'il dit,On finira tous pareil,Qui que nous soyons,Riche ou pauvre,Moldu ou sorcier,PhĂ©nix ou Mangemort,Nous dĂ©valons tous la mĂȘme collineMais pas forcĂ©ment sur le mĂȘme flancAlors, peut-ĂȘtre qu'on a l'impression que rien ne nous relie,Que jamais nos chemins ne se croiseront,Il n'en est rien On suit la mĂȘme force invibleEt cela suffit, A nous finira tous pareilsParce qu'on commence pareils, n'est-ce pas ?On commence tousPar la Vie,Le premier souffle, le premier cri, le premier pleur,Le cordon ombilical sectionnĂ©,Avant d'ĂȘtre offert au Monde ;Et on termine tous pareilsPar la Mort,Quelle que soit sa forme, quel que soit l'Ăąge ou le lieu ou la raison pour laquelle elle nous faucheOn danse tous avec elleEt ça, nous n'y pouvons rien,Ni l'argent, ni le pouvoir, ni l'ambition dĂ©mesurĂ©eNe pourront remĂ©dier Ă coin de l'oeil,Je vois sa silhouette se rallongĂ©eJe suis dĂ©sormais seuleOmbre dressĂ©e dans la nuitEt je demeure immobileA l'Ă©coute des accords-pluieEt de la dans un instant-temps infini,Je sens ses doigtsVenir effleurer ma peauImmobile dans le noir,Je frissonne lĂ©gĂšrementMais n'ose pas bougerAlors que mes doigts se crispent un peu plusSur le drap ramenĂ© contre puis on sourit, aussi, des moi, en cet instant,Je souris,Doucement,Un sourire adressĂ© Ă l'absence, peut-ĂȘtre,Puisque lancĂ© dans le vide, lancĂ© devant moi,Non pas tournĂ© vers Seth,Ou alors, au contraire, Ă la prĂ©sence,Parce que Seth, c'est un peu toute cette chambre anonymeAlors, pas besoin de braquer mes yeux sur luiPour lui je finis par cesser de lui tourner le dos,Je pivote dans sa direction,Mes yeux tombent sur sa silhouette allongĂ©eEt ma main attrape la sienneMes doigts la serrent d'une douce pression,Je reste silencieuse quelques secondesSeulement Ă le regarder,Nous sommes deux, perdus sur un bateau au milieu de la brumeVoguant vers une destination inconnue mais,AprĂšs tout,La destination est-elle vraiment importante ?J'aime le regarder ainsiIl dĂ©gage une douce lueur touchanteDe cette lueur faiblarde que trimballent les torturĂ©s de la vieEt qui fait qu'on a envie,Un peu,De les consoler,Des les serrer contre soiDe les bercer comme des petits enfants en mal d'amour,De leur donner un peu d'une affection sais, Seth,Je sais toujours pas pourquoi tu Ă©tais lĂ ,Pourquoi j'Ă©tais lĂ ,Pourquoi toi,Pourquoi moi,Pourquoi nous,Nous, ensemble,Pourquoi nos pas ou nos viesOnt dĂ©cidĂ© qu'on devait se croiser cette nuit,Pourquoi tu t'es trouvĂ© sur mon chemin ou moi sur le tienMais, finalement,Je m'aperçois que la rĂ©ponse Ă ces questions m'importe peu La rĂ©elle importance,C'est que nous soyons je caresse du pouce la peau de sa mainComme pour la lisserOu la forgerLa forger comme je l'entendsMĂȘme si, je le sais bien,Il restera Ă jamais lui, Seth,Ne sera jamais le Seth que j'aurais aimĂ© crĂ©erEt c'est tant mieux,C'est comme ça que je l'apprĂ©cie,Comme cet inconnu indĂ©pendant de moiQue je ne fais que regarder dans le noir,Cet inconnu qui n'est pas moi,Qui n'est pas une part de moiEt qui, malgrĂ© tout, a su m'attirerOu attirer mes sens anesthĂ©siĂ©s par l'alcoolEt je suis partie, sans raison,Avec lui, l'inconnu,Et les raisons,On s'en fout, en aussi, j'aime bien te parler. J'aime bien t'entendre parler. C'est agrĂ©able. Tu chantes bien les mots accompagnĂ© de la finis par me rallonger, moi aussi,Se rallonger sur le bateau tanguant,Le bateau Ă la dĂ©rive,Le bateau loin de tout,Se rallonger et laisser passerLe mal de mer,Je retrouve cette position de mortAlors que je suis vivanteEt je pose doucement ma tĂȘte au creux de son Ă©paule,Un contact physique rassurant,D'une Ă©treinte perdue dans la pas de solution. Mais peut-ĂȘtre que c'est aussi parce qu'il n'y a pas de problĂšme. Dans le fond, tout ça, est-ce vraiment un problĂšme ? C'est peut-ĂȘtre juste la vie. Et faut apprendre Ă faire avec. Sauf si on dĂ©cide, plutĂŽt, d'aller danser avec la mort. Mais lĂ , c'est un voyage sans me tais Et mes yeux,Perdus,Vaguent et voguentSur un ocĂ©an de mots et de pensĂ©esJe me sens tellement bien, ici,C'est agrĂ©able,D'abandonner les mots Ă la pĂ©nombreEt, dĂšs que nous ouvrirons la fenĂȘtre,Ils s'envoleront,Tourbillonneront dans la pluieJusqu'Ă disparaĂźtreIls survivront uniquement dans nos mĂ©moiresEt mĂȘme si on finit tous pareils, on aimerait croire que non. Moi, longtemps, j'ai voulu croire que ce n'Ă©tait pas le cas. Je ne voulais pas... Ne voulais pas finir comme les autres. MalgrĂ© tout, j'crois que t'as raison. Et, dans le fond, qu'importe, comment on finit. Le futur importe peu. C'est le prĂ©sent qui compte. C'est pour lui, qu'on doit se battre. Alors, mĂȘme ceux qui proclament lutter pour l'avenir, lutter pour les gĂ©nĂ©rations futures...En vĂ©ritĂ©, ce n'est pas cela qui les guide. C'est l'envie folle de changer leur prĂ©sent qui leur donne la force de continuer le aussi, j'ai longtemps cruQu'on se battait pour l'avenirMais finalement,J'crois bien qu'on se fiche un peu beaucoup de l'avenirNous ne sommes que des ĂȘtres nombrilistes ObnubilĂ©s par notre propre personneAlors, pourquoi se battre pour un avenir dans lequel nous ne serons peut-ĂȘtre pas ?C'est illogiqueDonc ceci est ma conclusion La raison vraie des combatsQuels qu'ils soientC'est pour le prĂ©sentEt ce, mĂȘme si leurs consĂ©quences seront forcĂ©ment sur le puis, ne pas penser Ă la finitude, ça permet de ne pas voir en l'autre comment nous-mĂȘme allons terminer. Ca permet de ne voir l'autre qu'Ă l'instant prĂ©sent. L'aimer pour ce qu'il reprĂ©sente. A cette minute, cette seconde prĂ©cise. Et on se fout du reste. Sinon, on fuirait les autres. Ils seraient trop semblables Ă nous, puisqu'on doit finir pareils. Ils seraient trop semblables Ă nous et ça, ça fait flipper n'importe lĂšve les yeuxPour apercevoir seulement le bas du visageEn ombre chinoiseDe l'autre, inconnu au nom Ă©tranger,Seth,Je le vois vaguementQuelques secondesAvant que mon regard ne se baisse de nouveau,Se perd sur l'image de l'Ă©pauleContre laquelle je suis appuyĂ©eEt je sans cesse les autres ne serait pas tenable. MĂȘme si nous sommes les seuls Ă pouvoir faire face Ă nos problĂšmes, Ă nos angoisses, mĂȘme si personne ne peut le faire Ă notre place, on a tout de mĂȘme besoin des autres. Un peu de leurs sourires, un peu de leur amour, un peu de leur rĂ©confort, un peu de leur soutien. Un peu d'eux, tout je me dis que c'est peut-ĂȘtre parce que j'avais besoin de toi, toi de moi, que nous nous sommes croisĂ©s. InvitĂ© Re Jour de pluieInvitĂ©, le Mer 26 Juil - 429 - Moi aussi, j'aime bien te parler. J'aime bien t'entendre parler. C'est agrĂ©able. Tu chantes bien les mots accompagnĂ© de la je la caresse, plus je me sens proche d'elle et pourtant, chaque mot qu'elle prononce semble l'Ă©loigner de moi. Sa personnalitĂ© m'Ă©chappe, entre rĂȘveuse romantique, adolescente troublĂ©e ou Sphinx Ă la parole douteuse, percevant chaque instant de sa vie comme une Ă©nigme peut-ĂȘtre es-tu plus que ça. Plus qu'une simple figure mythique, tu serais un ĂȘtre surnaturel, serais tentĂ© de dire supĂ©rieur, mais tu m'as l'air extĂ©rieure Ă ce genre de pensĂ©e lĂ , Ă cette tendance naturelle Ă comparer, Ă hiĂ©rarchiser. Toi que j'effleure, bel esprit, Ă qui pourrais-tu te sentir supĂ©rieur ou infĂ©rieur ? Si tu te laisses toucher ainsi par un simple humain sans vertu, c'est que tu ne dois pas vraiment y goĂ»ter, Ă cette nymphe, n'est-ce pas ?C'est ce que tu sembles ĂȘtre, une nymphe se berçant au son de la pluie, te nourrissant de l'eau comme des mots, et tu danses ainsi en m'Ă©coutant, en Ă©coutant les autres, en Ă©coutant le monde, en t'Ă©coutant toi-mĂȘme, et en me laissant t' Y'a pas de solution. Mais peut-ĂȘtre que c'est aussi parce qu'il n'y a pas de problĂšme. Dans le fond, tout ça, est-ce vraiment un problĂšme ? C'est peut-ĂȘtre juste la vie. Et faut apprendre Ă faire avec. Sauf si on dĂ©cide, plutĂŽt, d'aller danser avec la mort. Mais lĂ , c'est un voyage sans retour. Et, mĂȘme si on finit tous pareils, on aimerait croire que non. Moi, longtemps, j'ai voulu croire que ce n'Ă©tait pas le cas. Je ne voulais pas... Ne voulais pas finir comme les autres. MalgrĂ© tout, j'crois que t'as raison. Et, dans le fond, qu'importe, comment on finit. Le futur importe peu. C'est le prĂ©sent qui compte. C'est pour lui, qu'on doit se battre. Alors, mĂȘme ceux qui proclament lutter pour l'avenir, lutter pour les gĂ©nĂ©rations futures...En vĂ©ritĂ©, ce n'est pas cela qui les guide. C'est l'envie folle de changer leur prĂ©sent qui leur donne la force de continuer le combat. Et puis, ne pas penser Ă la finitude, ça permet de ne pas voir en l'autre comment nous-mĂȘme allons...Et elle ne s'arrĂȘte pas, et c'est beau, et je l'Ă©coute fait dĂ©jĂ un moment que nous parlons, et je n'arrive pas Ă savoir si nous nous Ă©coutons pour les faits ou simplement parce que ça fait plaisir, d'Ă©couter, parfois, et c'est gratifiant de se sentir Ă©coutĂ©, aussi, surtout quand la personne d'en face ne te prend pas pour un es intelligente, Ka... Kohane, la nymphe, tu es intelligente et tu le sais, tu es belle et tu le sais, mais tu as aussi une belle façon de le montrer, tout en sent que tu pĂšses tes mots, mais en mĂȘme temps que tu n'as aucun mal Ă les sortir, tu rĂ©flĂ©chis tout en ouvrant ton coeur Ă quelques es belle par tes Ă©garements et par la façon dont tu te retrouves, Ă chaque fois, parce que j'ai l'impression de me retrouver avec toi, de comprendre Ă chaque fois oĂč tu veux en venir, mais surtout de me retrouver en se sommes deux ĂȘtres perdus dans la pĂ©nombre qui avons besoin d'attention, et nous sommes lĂ Ă nous Ă©couter, et nous nous comprenons, et ça fait du biennnnn d'ĂȘtre que, quelque part au fond de moi, je suis encore un ado frustrĂ©, qui cherche Ă ĂȘtre Ă©coutĂ©, et Ă gueuler contre le monde ?Je n'en ai aucune corps contre le mien, ta tĂȘte sur mon Ă©paule, pourtant, je me sens adulte, et je me rends compte Ă quel point tout a changĂ© dans ma te confies Ă moi, tu me confies tes responsabilitĂ©s, et je ne te laisserai pas tomber maintenant. Et je ne me laisserai pas tomber non plus, car je ne prendrai pas le risque que tu tombes avec corps sont serrĂ©s, et sa chaleur m'est Et je me dis que c'est peut-ĂȘtre parce que j'avais besoin de toi, toi de moi, que nous nous sommes vrai, si C'est dans ces moments lĂ que j'ai certains regrets, que je plains la pudeur des hommes, celle qui les empĂȘche de savoir s'avouer l'amour qu'ils Ă©prouvent entre eux. C'est comme si chacun devait mĂ©riter l'amour de l'autre, cette fĂącheuse tendance Ă ne dire "Je t'aime" Ă son conjoint qu'aprĂšs plusieurs mois de couple. L'amour nous est offert, et nous le retardons toujours un peu plus. Pourtant, moi je n'ai pas honte de le dire je ne te connais pas, mais tu ne peux pas imaginer Ă quel point je t'aime en cet instant prĂ©cis. Et je ne ferai que savourer cet amour jusqu'Ă l'heure oĂč nous nous une telle rencontre, j'aurais presque envie de ne jamais la Tu permets ?Je me dĂ©tache d'elle, j'ai besoin de me lĂšve, me dirige vers la vitre, je tire le rideau qui la couvre Ă quelques gouttes de pluie se sont transformĂ©es en une vĂ©ritable tempĂȘte Il est quelle heure, lĂ ? Bah, peu tourne la poignĂ©e, ouvre la fenĂȘtre, passe une jambe au travers et pose pied sur le balcon, de l'autre sous la pluie, j'observe la nymphe allongĂ©e sur le lit et l'invite Ă me Regarde, regarde comme il pleut ! Et regarde ce que la pluie nous apporte ! Sa danse la plus sauvage, primitive et humaine !Je me dĂ©livre sous le regard de l'inconnue tandis que mes bras se libĂšrent, s'ouvrant Ă l'eau fĂ©condatrice, et je commence Ă battre des jambes, me mouvant au rythme de mes envies. J'apprĂ©cie le son du claquement de mes pieds contre les flaques d'eau, j'apprĂ©cie la douche offerte par la nature pour me faire oublier la sensation moite de la sueur, j'apprĂ©cie le risque que je prends Ă dĂ©voiler ainsi mon corps Ă d'Ă©ventuels passants dans la rue juste en dessous, j'apprĂ©cie mon courage de danser sous la pluie et les yeux de tous. Ă quoi cela va-t-il me mener ? Je n'en sais vĂ©ritablement rien. Je ne saurais dire si je danse bien, mais mon corps ne s'arrĂȘte plus, mon rythme est haletant, mes membres se dĂ©ploient ; mes ailes, Au cas oĂč tu en douterais, je te demande de ne pas me prendre pour un fou, Kohane, c'est bien la seule et unique fois que je me comporterais ainsi devant une si belle inconnue !Je commence Ă sautiller, sans crainte de tomber Ă la renverse, et l'averse se fait de plus en plus ma droite, des Viens, rejoins-moi ! Grimpons jusqu'au toit et affrontons ensemble la tempĂȘte, pour notre plus grand bonheur ! Que nous la redoutions ou la convoitions, la voici qui s'offre Ă nous, alors profitons-en avant qu'elle nous passe sous le nez ! Kohane W. UnderlindenMDJ-GestionnaireHarryPotter2005 Re Jour de pluieKohane W. Underlinden, le Mer 2 AoĂ» - 1801 J'aime la sensationQu'on ne se connaĂźt pas-je ne connaissais mĂȘme pas ton nom, avant-Et pourtant, on se parle,On se confie,Comme les meilleurs amis du monde Ou peut-ĂȘtre, justement,Le presque anonymat nous permetDe se livrer Ă l'autreEn sachant qu'aprĂšs ça,Une fois sĂ©parĂ©s,Plus rien ne nous relieraPour permettre le jugement de l'unOu de l' ne se connaĂźt pasMais tu m'aimesEt moi,Moi,Je t'aimeAussi ?J'ai tellement de mal, tu sais,A dire je t'aimeA ceux que je connaisC'est pas de la pudeur, je crois,C'est autre choseIndĂ©finissableQui fait que ces mots,J'ai tellement de mal Ă les cracherAlors qu'il y aurait tellement de mondeA qui je pourrais les t'aimeCa sonne beau, A l'oreille,Ca sonne juste alorsQu'il y a quelques heures Ă peine, on ne se voyait pasOn aurait pu se croiser dans la rueSans un regardMais lĂ , maintenant, Quelques heures plus tard,Tu me dis que tu m'aimesEt je trouve ça son ne sort de ma boucheParce que j'ai toujours du mal,Je l'ai dit,MĂȘme avec les gens que je connais,J'arrive pas Ă dire,Je me contente de montrerSans mot,Et lĂ , Je me contente de d'Ă©treindre doucementDans le me sensBienDans ce calmeSous la me sensBienDans ce silenceEntrecoupĂ© de tes motsEt ta chaleurSur ma peauOn est bien, non,Ensemble,A voguerSur les flots,Bateau en dĂ©riveJ'aime me laisser porter dans la brumeEt la destination, je la regarde pasY'a pas de ce sentiment de me perdreA tes cĂŽtĂ©s,Tu n'es ni phare ni ombreTu es seulement ce flotQui pousse et accompagneDoucement, calmementTu es seulement ce flotQue je suis sans rien direAvec le noir, il finit par se redresser,Par se lever,Quitter les drapsJe sens sa chaleur partirEn mĂȘme temps que luiPuisLe bruit des rideaux qu'on tireIl regarde le dehorsLes gouttes qui tapent et agressent les carreaux Il regardeLa pluie tomberL'orage se ouverteLe vent pĂ©nĂštre la chambre trop moiteEt les mots prononcĂ©s prĂ©cĂ©demment s'envolentAvalĂ©s par la pluie du dehorsTout s'en va dans cette fraĂźcheur soudaineEt se tourne vers moiInvitationA la suivreSous cette eau du cielQui tombe, ruisselle sur son corps nuDĂ©trempe les cheveuxEt envahit le me redresse Ă mon tourLe drap glissant sur mon corpsMe redresse dans le noirLe regarde quelques instantsLui, sous la pluie, en osmose complĂšteBras ouvertsComme accueillant une vieille amie revenue du cielLuiSous la pluieComme amoureux de cette eau qui se dĂ©verseEt son corps se met Ă bouger en rythmeTandis que mes pas glissent silencieusement dans la chambreJusqu'Ă la dans l'encadrement,Un peu en recul,Un peu en arriĂšre,Je le regardeSans oser franchir le pasLe rejoindreJe suis plus mĂ©fiante que lui envers l'eauJe ne l'aime pas tout le tempsParce qu'elle s'oppose au feuEt que le feu, j'en ai besoinPour survivreBesoin de cette flamme combativeAu creux des tripesPour faire face Ă l' reprend la paroleEt ses mots me font sourireUn sourire attendriJ'ai bien envie de sortir sous la pluie,Moi aussi,Pour lui prendre la main,Juste çaLa serrer dans la mienneEt lui dire-Un grain de folie dans l'esprit, c'est essentiel pour survivre dans ce monde trop terne. Que tu sois fou ou pas selon tes propres dires, moi, j'aime cet Ă©clat dans l'oeil. Quel que soit le nom qu'on lui donne. Folie. Sagesse. Inconscience. Qu'importe. Je l' pluie redoubleDe ma place un peu en retraitJ'en reçois tout de mĂȘme des gouttesEt Ă©claboussuresAlors que lui,Sautille sur place,Plein d'envie de s'envolerIl pourrait presque tenter de sauter du balconEt voir s'il dĂ©colleAprĂšs tout, c'est possible de dĂ©collerSuffit d'ĂȘtre avec la bonne personne ;Mon frĂšre astral et moi l'avons dĂ©jĂ prouvĂ©Deux foisUne fois vers les Ă©toilesUne autre vers les au lieu de sauter, C'est prendre de la hauteur qu'il me proposeMonterPour regarder les Ă©lĂ©ments se dĂ©chaĂźnerAdmirer leur beautĂ© autant que les craindreLes voir venirLeur faire faceEt les me plaĂźtEt je finis par m'avancerLes pieds nus dans les flaquesFroid au bout des orteilsLa pluie qui bat la chairQuelques secondes Ă peineJ'ai l'impression de ressortir d'une noyade dans le lacJe suis totalement trempĂ©eMais qu' vers les cieuxEt regarder l'orageMe qu'il a repĂ©rĂ©eQui attendTout comme nous, on attendQue se passent les chosesQue souffle la tempĂȘteAlors je prends sa main dans la mienneEt je me range derriĂšre son avisVoir les choses de lĂ -bas,PerchĂ©s sur le toit du mondeEt regarder la Terre s'agiter sous montonsNous grimponsEt de lĂ -haut,Tout semble si petitSi minusculeLĂ , en bas,C'est incroyablement videAlors que la tempĂȘte approcheLes gens se sont rĂ©fugiĂ©s chez euxIl est tard, sans doute,Ils doivent dormir au fond de leur litSous une couette protectriceAlors que la tempĂȘte frappe Ă leurs fenĂȘtresSur leurs toits d'ardoises ou de tuilesPeut-ĂȘtre mĂȘme qu'elle parviendra Ă rentrer chez certainsQui seront dĂ©pitĂ©s au matinDe voir les nous ne nous soucions pasPas de celaNous n'en avons rien Ă faireDu matĂ©rielOn a rien Ă perdreNous sommes juste nousSur notre toit,Nus -pas mĂȘme ça Ă perdre dans le ventEt nous regardons venirNous sentons arriverSous une pluie soudainement vent violent fouette le visageEntremĂȘle les cheveuxBourrasque qui prend aux tripesAlors que les gouttes se mettent Ă frapper horizontalLa tempĂȘte, enfin lĂ Et sa violencePresque est bien capable de dĂ©truire,Souffler jusqu'Ă ce que tout s'envole,RĂ©duire en charpie toutes constructions humainesLaisser derriĂšre elle que champ de ruineMaisJe l'aime,Cette violence,Je me retrouve en elle,Dans ce sublime de destructionDes pierres qui tombent les unes aprĂšs les autres-fabuleux qu'on perdraParce qu'on y gagnera bien plusOn gagneraCe sentiment doux et indescriptibleDe LibertĂ©Dans les airsLorsque tout aura Ă©tĂ© dĂ©truitAprĂšs la tempĂȘte, c'est refaireEn main n'a pas lĂąchĂ©e celle de SethJe serre ses doigtsDans les miensLe contact physiqueFace au ventEt je sais qu'aprĂšs la tempĂȘte, Il sera encore lĂ ,Il y aura lui,Moi,Sur notre toitFace aux Ă©lĂ©mentsEt, une fois le calme revenu,Nous nous sĂ©parerons,La pluie pour unique lien entre nous,Nous nous sĂ©parerons,Chacun voguant sur son propre bateauAu milieu du champ de rienQue nous auront laissĂ©Vent, violence et de ce notre du rp pour moiMerci pour tout Au plaisir de te recroiser InvitĂ© Re Jour de pluieInvitĂ©, le Mer 2 AoĂ» - 1920 MusiqueLa tempĂȘte pourrais la contempler de loin, attendre qu'elle nous prenne, nous emporte dans son tourbillon incessant, nous force Ă la je la regarde Ă mon attention se porte sur toi, aprĂšs tout, si je suis ici, c'est avec toi, grĂące Ă toi, pour pour la toi, je ne serais pas montĂ© sur ce toi, je ne me serais pas ouvert toi, jamais personne ne m'aurait pourtant, qui es-tu ?Une une connexion si forte avec une inconnue, c'est comme affirmer que, quelque part, nous sommes tous bel et bien liĂ©s, que l'union est possible entre les ĂȘtres, que nous avons tous un avenir ce n'est pas ce que j'ai envie de me dire que de parler Ă l'unisson, j'ai envie d'utiliser ma propre voix pour exprimer ma gratitude envers cette jeune fille parles peu, Kohane, mais ton silence est plus puissant que n'importe quelle parole prononcĂ©e dans le vide, ton corps est plus chaleureux que celui de la femme que j'aime, ta prĂ©sence est plus sĂ©curisante qu'un soir de NoĂ«l passĂ© en fais-tu pour provoquer en moi cet effet ?Je dirais que c'est le goĂ»t de l'Ă©phĂ©mĂšre, le fait de savoir que nous n'avons rien Ă perdre car bientĂŽt, nous nous quitterons pour ne plus jamais nous nous nous libĂ©rons, et nous n'avons pas honte de le faire, de donner une mauvaise image de nous. Nous nous comportons comme si nous ne partagions pas le mĂȘme monde, comme si nous nous oublierions Ă toute vitesse une fois ce moment vĂ©cu ensemble, comment pouvons-nous encore accepter le fait de s'oublier aussi facilement ?Peut-ĂȘtre Ă©tait-ce une condition, aprĂšs condition pour partager nos corps, Ă©changer des mots, s'offrir nos ne te le cache pas, Kohane peut-ĂȘtre n'en as-tu rien Ă faire, mais j'aurai pour ma part beaucoup de mal Ă j'ai dĂ©sormais l'impression que ta prĂ©sence a une place importante dans mon je m'attache trop pas que je t'aime, car j'ai bien conscience que cet amour ne durera que le temps de cette scĂšne, de ce dialogue ; qu'une fois sĂ©parĂ©s, mes sentiments pour toi ne seront plus les j'ai l'impression que le lien que nous venons de tisser n'est pas aussi lĂ©ger qu'il n'y paraĂźt. Ample, souple, c'est comme s'il pouvait s'Ă©tendre, nous proposer davantage qu'une relation d'une qui nous relie ?Notre vision du monde ?Le monde en lui-mĂȘme ?Le destin ?La magie ?Les autres ?Notre volontĂ© ?La tempĂȘte approche, sommes nus sous la pluie, Ă attendre ensemble qu'elle nous emporte et nous prĂ©fĂšre me taire Ă de de te remercier une derniĂšre fois pour avoir partagĂ© ce moment avec du RPMerci pour cette rencontre, en espĂ©rant recroiser la route de Kohane LĂŻnwe FelagĂŒndRĂ©fĂ©rent MaĂźtre de JeuGryffondor Re Jour de pluieLĂŻnwe FelagĂŒnd, le Dim 13 AoĂ» - 1911 L 'espĂ©rance se cache derriĂšre les nuages grisavec LinaaaJour de pluieBruine ou averse abondantesĂ©crĂ©tĂ©e par ces nuages noirs de suie L'eau est immonde et tiĂšde et prenantecomme aprĂšs un orage d'Ă©tĂ© qui vous suitJour de pluie Jour de pluieLĂ -bas, un homme sur un banc livideĂ©caillĂ© par le temps et les caprices du ciels' garçon est aussi livide que son banc. PosĂ© lĂ sous un climat torride et humide. Mais encore tiĂšde par le soleil du matin. La pluie se cache dans les cols osseux - dĂ©sagrĂ©able. Les gouttes coupent comme des morceaux de verre jusqu'aux montagnes rocheuses les Ă©paules. Les riviĂšres opales sur ce crĂąne despotique perdent espoir, noyĂ©es sous l'eau trompeuse d'aujourd'hui. Les affaires sont trempĂ©es. La morale au plus bas, dans ces chaussures le plus incroyable, c'est que ça lui plaĂźt. L'aspect du village a changĂ© â nouvelle vision. En fait, il croit en la stĂ©rilisation par l'eau bĂ©nĂ©dictine. Nectar inconscient de la pensĂ©e. Son Ăąme est-elle plus propre, dĂ©sormais ? Sa raison plus saine et son cĆur moins sale ?Jour de pluieJour de pluie â vive la pluie donne envie de sourire au soleil absent, nĂ©ant, et autres Ă©dition par LĂŻnwe FelagĂŒnd le Ven 25 AoĂ» - 1812, Ă©ditĂ© 1 fois Re Jour de pluieContenu sponsorisĂ©, le Permission de ce forumVous pouvez Vous ne pouvez pas rĂ©pondre aux sujets dans ce forum Seemore of Si tu m'aime , arrete de m'aimer Vu quâon est en train de se prendre la vague 90âs en pleine face, avec le grunge, le revival du revival punk, il fallait bien sâattendre Ă retrouver un truc quâon avait quasi-oubliĂ©, le minimalisme. Ces annĂ©es 90, quelle histoire ! Ce sont les annĂ©es oĂč jâai vĂ©cu mon premier grand amour, eu mon bac, fait mes derniĂšres raves et achetĂ© mon premier tee-shirt Margiela. Le fond de lâair nâĂ©tait pas trĂšs gai, Ă ce que je me souviens. Nos parents, pĂ©trifiĂ©s par la rĂ©cession, nous courraient aprĂšs avec des projets dâavenir aussi Ă©bouriffants que trouver un boulot avec des dĂ©bouchĂ©s. Super, pour mes premiers pas dans la vie. Merci. Vous nâavez pas dâautres options ? Naaan, va faire tes devoirs. Pffff. Ă la place, je faisais le mur. Câest en mĂȘme temps no future et totalement fertile. Jâavais aussi peu de recul sur lâĂ©poque que je vivais que jâen ai aujourdâhui, mais jâen ai tirĂ© une leçon. Nâen faire quâĂ ma tĂȘte. Ăa ne sert Ă rien de flipper. NâempĂȘche, je me souviens quâon ne sâhabillait pas trĂšs colorĂ© et quâon aimait bien ça. CâĂ©tait notre glam Ă nous, notre esthĂ©tique fin de siĂšcle, notre rĂ©ponse Ă lâextrĂȘme flamboyance des 80âs. On en a tirĂ© des esthĂ©tiques nouvelles, des lignes fortes, des crĂ©ateurs cultes. Helmut Lang, Martin Margiela, Jil Sander⊠Une icĂŽne absolue, trop petite et maigrichonne Ă©tait en train de naĂźtre et rendait, en un regard perdu dans le vague, toutes les tops complĂštement ringuardes. Kate Moss. De lâunderground de la musique froide et rĂ©pĂ©titive que lâon appelait la techno affleuraient des violons et une voix sublime et si diffĂ©rente quâelle nous a tous Ă un moment transpercĂ©s, celle de Björk. On se bleachait beaucoup les cheveux, on dĂ©chirait beaucoup nos jeans, on se mettait des diamants sur les yeux big up Topolino ! on voulait aller Ă Londres et on aimait le minimalisme. Câest pas Ă©vident de rĂ©sister en ce moment Ă la vague de flip qui est en train de sâemparer de nos sociĂ©tĂ©s. On lâa senti trĂšs fort dans la mode, en cette rentrĂ©e. On sâest demandĂ©es pourquoi on Ă©tait moins surexcitĂ©es par les looks des fashionistas, et Elisabeth mâa suggĂ©rĂ© que câest peut-ĂȘtre tout simplement quâelles avaient moins fait dâachats cette saison. On a essayĂ© de parler dâautre chose et toujours le sujet revenait. On sâest demandĂ© ce que ça voulait dire, cette dĂ©ferlante de non-couleurs, ce perceptible ennui, et la seule rĂ©ponse est venue sous la forme dâune question En temps de crise, vaut-il mieux crĂ©er des classiques dans lesquels on aura lâimpression dâinvestir, ou des piĂšces si fortes, quâelles sont des must-have que lâon cassera sa tirelire pour avoir coĂ»te que coĂ»te ? Chacun y a rĂ©pondu Ă sa façon, et jâai autant aimĂ© les deux versions. Margiela. Vuitton. En tout cas, moi, mes 90âs, je les ai aimĂ©es parce quâelle ont Ă©tĂ© ma jeunesse. Si on mâavait demandĂ©, jâen aurais certainement choisi dâautres, plus folles, plus drĂŽles, mais en fait, je me serais peut-ĂȘtre moins amusĂ©e. Et puis jâen ai gardĂ© un optimisme Ă toute Ă©preuve, une conviction que quel que soit le contexte on arrĂȘte jamais de crĂ©er, dâinventer, une rĂ©sistance Ă la peur, au cynisme, un truc oĂč je me dis que quelle que soit lâĂ©poque dans laquelle on vit, si lâon fait ce en quoi lâon croit, si lâon est libre, et si lâon aime, il ne peut rien nous arriver. Oui, vous avez raison. Et jâen ai aussi gardĂ© un certain amour des violons. Bonne journĂ©e ! ââââââ-
ï»żLost Ark, toutes les nouveautĂ©s de la mise Ă jour "Sous le soleil d'ArchĂ©sia" Alors qu'il vous reste un peu moins de 3 jours pour rĂ©cupĂ©rĂ©r les rĂ©compenses Prime Gaming du mois d'aoĂ»t, Lost Ark continue de se mettre Ă jour et d'ajouter du contenu. Voyons ici toutes les nouveautĂ©s du dernier patch sorti le 24 aoĂ»t, via les infos du site officiel du jeu..