Achetezle design « Belle nouveautĂ© - si tu m'aimes arrĂȘte tes bĂȘtises » par Gp-Pembele sur le produit suivant : T-shirt essentiel Vendez vos Ɠuvres Connectez-vous Inscrivez-vous Artistes populaires

Kaze s'approcha de Narcissa et colla son front contre le sien. Tout en lui caressant la joue, il lui dit des mots tendres. "Tu sais mon ange Ă  chaque fois que je te vois je craque sur toi. Des que je te vois j'ai l'impression de tombĂ© encore amoureux de toi comme si c'Ă©tait la premiĂšre fois que je te voyais " Narcissa resta sans voix, elle Ă©tait trĂšs Ă©mue. Tout ce que lui disait Kaze Ă©tait si beau, il avait une maniĂšre magnifique de dĂ©crire ses sentiments. Il lui donna un petit baiser, ensuite prit sa main et la posa sur son coeur. Narcissa pouvait sentir chacun de ses battements."Regarde ! . Je t'aime Narcissa. Plus que tout mĂȘme plus que les Onigiris.""Des que mon regards s'est passĂ© sur toi, J'ai su que mon coeur ne dĂ©sirait que toi. et Je ne te ments pas tu sent comment mon coeur bat. J'ai tant dĂ©sirait ton amour. Je dĂ©sire et je dĂ©sirait toujours ĂȘtre Ă  toi. T'Ă©pouser" Narcissa sourit et lui murmua "Oui je le sens battre si fort." Le coeur de Narcissa aussi battait de plus en plus fort, quand il Ă©voqua Ă  nouveau un Ă©ventuel mariage, elle le regarda dans les yeux. Ensuite, Kaze l'embrassa et enchaina "M'aimeras Tu assez longtemps pour qu'on se marie et encore plus aprĂšs notre mariage ?"La jeune fille lui sourit, elle lui caressa le visage et le regarda, les yeux pĂ©tillants."Tu sais que je t'aime plus que tout mon ange. Bien sĂ»r que je t'aimerai assez longtemps pour qu'on se marie. Je dois t'avouer que j'avais un peu peur que tu ne m'attendes pas" Elle baissa un peu les yeux, honteuse de ce qu'elle venait de lui avouer. Mais elle repensa Ă  ce que Kaze venait de lui demander. Se marier et mĂȘme encore plus. Elle l'embrassa puis, lui demanda "Que veux tu dire par s'aimer assez pour se marier et encore plus aprĂšs? Avoir des enfants? Je dois dire que j'aimerais beaucoup avoir des enfants de toi" Narcissa passa ses bras autour de son cou et l'embrassa langoureusement. Elle n'avait encore jamais embrassĂ© Kaze comme ça. Une agrĂ©able sensation de chaleur montait en elle. La jeune fille dĂ©tacha ses lĂšvres de celles de son petit ami et murmura "Je t'aime" Elle l'embrassa Ă  nouveau, mais un baiser bien plus sĂąge. Elle regarda Kaze, il Ă©veillait en elle une sensation jusqu'alors inconnue. Elle lui sourit et lui dit en plaisantant "Je crois que je ferais mieux de me calmer"
Cematin en ouvrant mon courrier. Ce matin je me suis lever vers 8h. Je me suis habillé, puis je suis aller dans la grande salle pour déjeuner un verre de jus d'orange, un bol de céréales, un pain au chocolat, une pomme et des cerises.
Harry Potter 2005 ~€~ PrĂ©-au-Lard ~€~ Rues de PrĂ©-au-LardMalicia EvansPersonnel de Poudlard Re [Gare de PrĂ©-au-Lard] Sur les quais Malicia Evans, le Mar 9 Mai - 027 Y a une musique qui rĂ©sonne. Le boom, boom de ton coeurTu souris,Tes yeux se rĂ©vulsent un peuLe rythme t’emporteC’est drĂŽleComme c’est facile de laisserLe moment t’ doigts tapent contre le solAu rythme qui tape dans ta tĂȘteUnDeuxTroisT’as l’impression que le corpsQuitte le solEt tu volesAvec les notesQui s’échappent de toiIl y a des rires aussi Qui rĂ©sonnentMais tu ne sais pasS’ils viennent de toiOu s’il viennent du nĂ©antT’as plus conscience de rienJe ne sais pas ce que tu vois, toi. Mais t’as l’air de t’éclater. J’aimerais bien voir ce que tu vois parce qu’au niveau visuel, je ne suis pas capable de remarquer quoique ce soit. Je vois trouble, je ne peux me concentrer sur mon audition. J’entends le moindre bruit comme si tout Ă©tait dĂ©cuplĂ©. Ta respiration, tes battements de coeur, les pas des personnes aux alentours. J’entends tout. Comme si j’étais ne sais pas commentMais ton corps est au solEn contact avec le bitumeFroid. contraste avec ta tes forces dans les te gauche Ă  te diriges vers un mur,Ou une colonneTes mains se figentContre les suis le cheminDu bout des doigtsFascinĂ©es par le brillantQui essaie de s’ peu comme le chatQui essaie d’attraper le laserMais t’entends du mouvementComme si on bougeait derriĂšre toiMais c’est toi Alhena. Qui t’agites sans dire un mot. J’hĂ©site entre rigoler et te faire un cĂąlin. C’est vrai, je n’avais jamais remarquĂ© Ă  quel point ces soirĂ©es, lĂ , elles me manquaient. J’avais oubliĂ© que tu Ă©tais une des seules qui pouvait me suivre dans ces trips sans me juger vraiment. Alors je te regarde et je m’approche de toi. Je me pose Ă  ton niveau en me laissant tomber lĂ©gĂšrement. C’est comme si toutes mes forces m’avaient quittĂ©es. Et j’admire. Tu admires la chose devant ne sais que ça peut difficile Ă  Puis tu le reflet de tes yeuxQue tu voisTu plonges dedans Comme tu sauterais dans l’ et tu fou ce que les pupilles dilatĂ©es te vont Bien. Alhena PeverellResponsable MDJ-GHarryPotter2005 Re [Gare de PrĂ©-au-Lard] Sur les quais Alhena Peverell, le Jeu 11 Mai - 000 Mais euuuuuuhMaliciaaaBADABOUMPourquoi le ciel il tourne ? Pourquoi les nuages ils bougent ? Pourquoi y a des humains sur terre ?Et c'est quoi ça encore ? C'est froid Malicia, c'est trop froidAh non PardonC'est juste le solMais ça reste froid... OH MALICIA !!!!Il pleut ! Est-ce que tu crois qu'on peut boire l'eau de la pluie ?Parce que genre, c'est un peu sale non ? Mais ça reste des gouttes d'eau, alors on pourrait s'hydrater avec non ? HumHuuuuuuuuuumPfeuhMalicia, les gouttes elles agressent mon visage !!Mon si joli petit visageavec mon petit nezet mes pommettes Dis leur d'arrĂȘter, steplait, steplaitElles me font pleurerMĂȘme si sous la pluieça se voit pasDis Malicia, Toi aussi tu as remarquĂ© Ă  quel point tu es jolie ? T'es blonde, t'es trop belleTon sourire il dĂ©chire, on dirait celui de la reine d'Angleterre Tu lui ressembles tellement, Et puis, je me suis toujours demandĂ©eT'es pas un peu bĂ©arnaise ? On dirait que tu viens de lĂ -bas !!!Oh mais !T'as un grain de beautĂ© lĂ  ! L'est beau, l'est carrĂ©ment mignonc'est chout'es chout'es pouffy avec ta blondeur et tes yeux gris -ou d'une autre couleur je sais pluset ton sourireet tes pupilles dilatĂ©es Viens on court ? Genre on court partout, on crie et on rĂ©veille tout le monde !Parce que c'est drĂŽle, les gens vont ĂȘtre pas contentMais on s'en fiche d'eux quoi que...nonJ'arrive pas Ă  bougerc'est trop dur d'affronter la pluieJe vais attraper froid je croisMALICIAMAAAALLIIIICCCIIAAANan Rien rien Je sais plus en faitJe crois c'est juste ton prĂ©nom Je voudrais le crierMais l'est mocheAlors je vais me taper la honte tu voisFaut que tu me comprennesC'est pas cool quand ta meilleure amie elle s'appelle MaliciaMaliceMaliciat'saisGenre, tes parents ils t'aimaient pas assez pour te donner un prĂ©nom correct tu crois ? C'est pas trĂšs gentilMais c'est pas grave, Parce que t'es belleque t'es encore mon amiealors on s'en ficheon est toutes les deux et c'est le seul truc importantgenre nous et le solc'est tout ce qui compteParce que le reste, on a pas besoin d'eux pour vivre correctementOu alors un peu d'eau et de nourritureAu pire, on mange nos cheveux et on boit la pluie, c'est suffisant Nan ?Mais siiiiiRooohAllez, Bisous ! Malicia EvansPersonnel de Poudlard Re [Gare de PrĂ©-au-Lard] Sur les quais Malicia Evans, le Jeu 11 Mai - 052 Juste pour t'embĂȘter, je te rĂ©ponds vite Et
Et mais
Et mais tu vois pas ?Mais si !Regarde !Non, regarde lĂ  !Ce point clignote, je ton avis, c’est quoi ?Je sais pas, couleursElles apparaissentElles disparaissentTu crois qu’elles jouent ?Tu sais, Ă  on jouait d’ se on avait 5 pourrait ĂȘtre vas te tu te lĂšves pas ?Tu veux pas jouer avec moi ?Tu m’aimes pas, c’est sĂ»re que c’est suis trop dĂ©shydratĂ©e pour dans ma a les gros grosses larmes qui coulentComme si j’avais tout que je voulais juste jouer mon amie. Parce que t’es mon amie, non ?Bah oui, tu l’ pourrais raconter que j’ai uneCopine qui a le nom d’une Ă©toileUne Ă©toile jaune, en plus. Oui. C’est plus que tu sois ? Je sais pas, comme j’ai une petite Ă©toile jauneComme crois qu’on me croira Si je le dis ?J’espĂšre que que c’est rare les amies que toi,T’es un peu bizarre quand t’es t’es avec ça pardonne je lumiĂšres,Elles s’approchent crois
Tu crois que ça va nous kidnapper ?J'espĂšre pas quand mĂȘme. Tu sais,Les trucs tout lĂ  haut,Avec les qu’ils viennent rĂ©cupĂ©rer des qu’ils viennent rĂ©cupĂ©rer l’un des te tu pars, Dis moi au-revoir. Alhena PeverellResponsable MDJ-GHarryPotter2005 Re [Gare de PrĂ©-au-Lard] Sur les quais Alhena Peverell, le Ven 12 Mai - 1519 MaliciaRegarde comment l'univers il est beauTout le monde il est contentY a des lumiĂšresDes Ă©tincelles de couleurs qui partent dans tous les sensViens on se lĂšveet on saute dans les flaquesJ'ai pas envie de me cacherJ'ai pas envie d'ĂȘtre dans l'ombre encoreAllez viens on joueOn s'en fiche du resteParce que t'saisJ'ai mal au ventre moiAlors peut-ĂȘtre que c'est parce que j'ai mangĂ© un truc pĂ©rimĂ©Mais les papillons dans le ventreLe vide intersidĂ©ral Je sais bien que c'est pas le mĂȘme problĂšmeMALICIA Viens on joue Viens on abandonne le resteViens on les *mmerdeParce que c'est des humains, des ĂȘtres pas de lumiĂšreIls sont lĂ , ils errent dans une rĂ©alitĂ© qui me fait vomirREGARDE MALICIA Y a un insecte qui vient de passerL'est Ă  cĂŽtĂ© de la plaqueah maintenant il est devantMais... euhJ'aime pas les bĂȘtesJ'aime pas ce qui est vivant en faitSauf toiParce que t'es pas un problĂšme T'es pas une angoisseT'es comme le lampadaire lĂ Tu m'Ă©claires le cheminTu peux poser des pierres sur le bordUne noireUne blancheUne noire Une blancheComme avec les Ă©checsSauf que l'Ă©chec c'est quand on a pas buParce qu'on peut pas danserOn peut pas s'embrasserMal...IciaT'es un peu une esclave de la bĂȘtise quand tu t'y metsT'es un merlinUne sorciĂšre qui tire les cartesavec ta boule de cristal, tu me montres c'est quoi l'avenirT'es le chemin de fer du trainMais tu glandes rienParce que la flemme c'est parfaitAlors tu restes lĂ  sur la solAvec moiParce que c'est rigoloC'est trempĂ© et on se fait agressĂ© par des nuagesPrends moi la main comme une enfantDevient le papa et je jouerai la maman Tu crois que si avait un fils, On l'appelait comment ? Dis comment on l'appellerai ? On lui trouverait un nom tout pourri Parce que c'est amusantOn verra comment il se dĂ©brouillera avec son petit nom commençant par un ALhena ou MAliciaCe sera notre filsNotre truc qui sert de gosseC'est beau... Adonys MontgomeryG. TechniqueHarryPotter2005 Re [Gare de PrĂ©-au-Lard] Sur les quais Adonys Montgomery, le Mar 13 Juin - 1526 Sans rĂ©ponse depuis un mois, je me permet de reprendre, ma voliĂšre est ouverte si soucis ...DĂ©part silencieuxavec Josephine CampbellAujourd'hui Ă©tait un jour particulier pour les Ă©lĂšves de Poudlard, c'Ă©tait le dernier jour de l'annĂ©e scolaire. D'ici quelques heures seulement, tous retrouveraient leurs familles respectives et le grand chĂąteau redeviendrait aussi calme et paisible que possible pour les deux mois Ă  venir. DĂ©jĂ , quelques groupes d'Ă©lĂšves avançaient vers les quais, discutant de leurs derniers cours et de leurs projets pour les vacances. Se promettant milles hiboux et milles autres merveilles nonchalamment contre le mur de la gare, Artemis regardait passer avec envie et tristesse les petits groupes qui se quittaient. Que n'aurait-il pas donner lui aussi pour ĂȘtre encore entre les murs du chĂąteau ... Sa vie d'aujourd'hui n'avait plus rien Ă  voir avec celle, pleine de promesse, qu'il avait vĂ©cu l’école. Aujourd'hui tout n'Ă©tait plus que souffrances et dĂ©sillusions. Il vit passer Elina non loin de lui, suivit de prĂšs par Nyx. Ces derniĂšres, il ne les avait plus revu depuis leur combat dans la forĂȘt. Il faut croire qu'avoir un ennemi commun rapproche les l'une ni l'autre ne lui adressa le moindre regard et c'est avec un pincement au cƓur qu'il les vit monter dans la grande locomotive rouge, sans dire un mot. Il observait, silencieusement, la foule qui se faisait de plus en plus dense Ă  mesure que l'heure du dĂ©part approchait. Sa nuque se mit Ă  picoter doucement. Il balaya la foule du regard, cherchant la cause de cette sensation Ă©trange lorsqu'il la vit. Elle ...Son cƓur loupa quelques battements et sa respiration fut saccadĂ©es quelques secondes. Il ne l'avait pas revu depuis l'Ă©pisode du bisous Ă  la poire et au citron coco. Elle avait pourtant tenter de le contacter, mais il n'avait pas donner de suite. Trop peur sans doute que ses sentiments ne le perdent comme ça avait dĂ©jĂ  pu ĂȘtre le cas avec Elly. Pourtant, il ne pouvait s'empĂȘcher d'y penser souvent, Ă  elle ... son regard. C'est d'ailleurs Ă  ce mĂȘme qu'il sancra tandis qu'elle approchait doucement ... Josephine CampbellGryffondor Re [Gare de PrĂ©-au-Lard] Sur les quais Josephine Campbell, le Mar 13 Juin - 2146 Le temps Ă©tait radieux. Ça donnait le ton des vacances qui se profilaient. Josephine Ă©tait sensĂ©e rester trĂšs peu de temps Ă  Londres, juste quelque jours, histoire d’aider sa mĂšre Ă  prĂ©parer ses valises, puis elles devaient passer l’étĂ© complet dans la maison au bord du lac quelque part en France, que sa mĂšre avait hĂ©ritĂ© Ă  la mort de son grand pĂšre. Cela tombait bien, Jo n’aimait pas particuliĂšrement vivre en ville et la maison du lac Ă©tait perdue en pleine campagne, le village le plus proche se trouvait Ă  plusieurs kilomĂštres. Depuis qu’elle Ă©tait toute petite, elle avait pour habitude d’y passer ses Ă©tĂ©s. Ses parents avaient investit les lieux et en avaient fait une rĂ©sidence secondaire, pourtant la jeune fille considĂ©rait ces lieux comme son vĂ©ritable chez avait toujours hĂąte de s’y rendre, et cette annĂ©e, encore plus. Elle Ă©tait installĂ©e dans une des diligences que l’école mettait Ă  la disposition des Ă©lĂšves pour se rendre Ă  la gare. Elle Ă©tait ballotĂ©e dans tous les sens, la tĂȘte appuyĂ©e contre la vitre. Ses camarades qui se trouvaient avec elle, Ă©taient trĂšs agitĂ©s. Ils n’arrĂȘtaient pas de rire et crier fort. Elle n’allait pas se plaindre, elle Ă©tait surement dans le mĂȘme Ă©tat les autres annĂ©es. Ils passaient Ă  prĂ©sent Ă  proximitĂ© du village. Jo ferma les yeux. Elle ne voulait pas voir le parc, ni la TĂȘte de Sanglier. Ni lui. Surtout lui
 Pourtant lĂ , elle n’était pas en train de se remĂ©morer son rire ? Elle rouvrit soudainement les yeux. Il Ă©tait hors de question que cela continue. Elle devait se reprendre. BientĂŽt elle serait Ă  des centaines de kilomĂštres de tout ça. A des centaines de kilomĂštres de ce qui aurait pu ressembler Ă  un dĂ©but de quelque yeux sombresSa boucheSes cheveux en batailleElle soupira en se prenant la tĂȘte dans les mains. *T’es complĂštement folle
 *Elle devait penser Ă  autre chose. Oui elle devait penser Ă  cette vieille serre qu’elle avait dĂ©cidĂ© de rĂ©amĂ©nager en atelier de peinture, Ă  ce cours de dessin dans lequel elle avait Ă©tĂ© acceptĂ©e en partie grĂące Ă  Peter
et qui avait lieu cet Ă©tĂ©. Ah oui Peter
 C’était son dernier jour Ă  Poudlard. Il fallait qu’elle le voit avant d’arriver Ă  Londres. Il fallait qu’elle voit Ellana rireSes lĂšvres- Ah non mais c’est pas vrai !Ça lui Ă©tait sortit comme ça. Maintenant ses camarades la regardaient comme si elle venait de s’échapper de Ste Mangouste. Elle leur fit signe que ce n’était rien et de toute façon, la diligence venait de s’arrĂȘter. Ils Ă©taient enfin arrivĂ©s. Elle descendit la derniĂšre et entreprit de descendre sa valise toute seule. Elle aurait pu utiliser un sort pour la faire lĂ©viter et la poser dĂ©licatement par terre. Elle aurait pu
 Mais elle Ă©tait complĂštement perdue dans ses pensĂ©es. Sa conscience s’occupait de lui faire la moral.*Je t’avais prĂ©venue ! Je t’avais dit de partir de ce fichu comptoir ! Maintenant, tu ne vaux pas mieux que toutes ces pauvres filles qui se refont le film en boucle toute la journĂ©e
 Il ne t’a jamais recontactĂ© aprĂšs son hibou. Rend toi Ă  l’évidence, tu ne l’intĂ©resses pas ! Tu n'es qu'une gamine.*La valise tomba par terre, s’ouvrant par la mĂȘme occasion. Toutes ses affaires s’éparpillĂšrent sur le sol. Josephine laissa Ă©chapper un juron et d’un coup de baguette remit le tout Ă  l’intĂ©rieur. Elle remit sa valise debout et la tira jusqu’au quai de la gare. Il y avait un monde fou. Toute l’école Ă©tait rassemblĂ©e dans ce si petit lieu qui vivait surement son moment le plus vivant de l’ amis ne l’avaient pas attendue. Maintenant dans toute cette agitation, elle allait avoir du mal Ă  les retrouver et puis, elle n’était pas bien grande
 Elle scruta la foule lentement pour ne pas les louper. Et ils Ă©taient loin en queue de train. Jo soupira et traina sa valise derriĂšre elle. Son regard fut attirĂ©e par une personne qui de part sa grande taille se distinguait des se figea et cessa de respirer. La personne qu’elle voulait fuir Ă©tait lĂ  Ă  une dizaine de mĂštres d’elle, appuyĂ©e contre le mur de la gare inspectant les lieux du regard. Il ne l’avait pas encore vu. Il fallait qu’elle fasse demi tour et s’en aille tout de suite.*Ne te fais pas d’illusion, il n’est pas lĂ  pour toi.*Sa main dans son coupSon baiserTrop tard. Il venait d tourner la tĂȘte vers elle.*En mĂȘme temps tu n’étais pas censĂ©e dĂ©camper au lieu de rester plantĂ©e lĂ ?*Elle devait continuer Ă  marcher
 Il avait employĂ© dans sa lettre des mots comme ça aurait Ă©tĂ© avec plaisir, malheureusement
 », chambre d’ami », amicalement »  Cela ne pouvait pas ĂȘtre plus clair. Il ne voulait pas le mĂȘme genre de relation qu’elle envisageait. Mais alors, pourquoi avoir fait tout ça ? Pourquoi avoir acceptĂ© de la revoir ? Quoi ? Il s’était rendue compte aprĂšs l’avoir embrassĂ©e qu’elle ne lui plaisait pas ? Ou alors il s’était tout simplement jouer d’elle ? Est-ce qu’il pouvait ĂȘtre si mesquin ? Elle avait du mal Ă  le croire
 Elle ne voulait pas le croire. Et mĂȘme s’il n’avait pas eu de mauvaises intentions et que sa dĂ©marche Ă©tait sincĂšre, pouvait elle seulement se contenter d’ĂȘtre une simple amie pour lui ? Non, pas Ă  en croire la douleur qu’elle ressentait lĂ  Ă  cet instant lorsqu’ils ne se lĂąchaient pas du regard. Ça faisait trop mal. Elle ne pourrait jamais se contenter d’avoir une relation purement amicale avec lui. Qu’il se la garde sa chambre d’ souffrance commençait doucement Ă  faire place Ă  la colĂšre. Pourquoi est ce qu’il lui avait fait ça ? Pourquoi l’avoir embrassĂ© si c’était pour en arriver Ă  ça ?Ses yeux n’avaient pas pu se sĂ©parer des siens. Elle n’était plus qu’à quelque mĂštre de lui. Elle s’était approchĂ©e sans s’en rendre compte. Elle voulait le fuir pourtant elle ne cessait de d’avancer vers revint Ă  elle lorsqu’un coup de sifflet fut donnĂ©. Signal qu’il Ă©tait temps pur tout le monde de monter dans le train. Presque aussitĂŽt, un de ses amis se planta devant elle, rompant ainsi le contact avec Lui. Il Ă©tait venu l’aider Ă  porter sa valise. Elle le remercia et le laissa partir devant. Elle retrouva presque aussitĂŽt Son ne bougeait pas, c’est qu’il ne ressentait rien pour elle
 Adonys MontgomeryG. TechniqueHarryPotter2005 Re [Gare de PrĂ©-au-Lard] Sur les quais Adonys Montgomery, le Lun 19 Juin - 2136 DĂ©solĂ© pour l'attente, l'IRL Ă  reprit le dessus ces deux derniĂšres semaines ...PĂ©trifiĂ© sur place, il la regardait s'approcher sans dire un mot. Son rythme cardiaque s’accĂ©lĂ©rant Ă  chaque nouveau pas qu'elle faisait vers lui. Leurs regards s'Ă©tant fixĂ©s l'un sur l'autre et ne dĂ©crochant plus. Il aurait voulu la prendre dans ses bras, l'embrasser et unir leurs lĂšvres Ă  nouveau. Mais il restait lĂ ,sur place, sans esquisser le moindre mĂȘme qu'il se demandais ce qu'il devait faire, une jeune fille vint se placer entre leurs deux regards. Elle s'adresse briĂšvement Ă  Jo, emportant sa valise vers le train qui sifflait le dĂ©part ... son regard Ă  nouveau se fixa sur celui du jeune homme et celui-ci sentait chaque muscle de son corps se contracter. Le cƓur en l'aimait, il en Ă©tait convaincu, mais il avait peur de cet amour et il devait clarifier quelques petites choses avec Elly et ce fameux Evan avant de s'engager Ă  nouveau pour quoi que ce soit. Il adressa un sourire tendre et un regard plein d'excuses Ă  demoiselle, avant de tourner les talons et de quitter la gare, le coeur au bord de l'explosion. Quel idiot ... » Josephine CampbellGryffondor Re [Gare de PrĂ©-au-Lard] Sur les quais Josephine Campbell, le Mar 20 Juin - 1142 Il venait de lui donner le coup de grĂące. Oui, il avait bougĂ©. Mais pas du tout comme elle s’y attendait. Il lui avait sourit comme s’il voulait adoucir ou excuser ce qu’il allait faire juste aprĂšs. Lui tourner le dos et partir. Elle s’était attendue Ă  tout sauf Ă  ça. Sa bouche s’ouvrit lĂ©gĂšrement tout aussi surprise que sa dernier coup de sifflet retentit. Jo se laissa entrainer par un prĂ©fet qui passait par lĂ  et qui forçait tout le monde Ă  monter dans le train. Elle Ă©tait totalement hĂ©bĂ©tĂ©e par ce qu’il venait de se passer et se laissa faire sans broncher. Elle ne chercha mĂȘme pas Ă  entrer dans un compartiment, elle, resta debout un moment Ă  cotĂ© de la porte du wagon le regard dans le vide. Ce n’est lorsqu’elle perdit l’équilibre et se rattrapa de justesse au mur suite Ă  un virage amorcĂ© par le train qu’elle se dĂ©cida Ă  rejoindre son groupe d’ entra dans le compartiment sans un mot et s’installa sur une banquette tout prĂšs de la porte de sortie. Elle prĂ©texta la fatigue pour qu’on la laisse tranquille, ne souhaitant pas participer aux jeux qu’avaient prĂ©vu ses camarades et ferma les ce qu’elle s’en souvienne, elle ne s’était jamais sentie aussi mal. Elle avait du mal Ă  respirer calmement et n’arrivait pas Ă  s’îter de la tĂȘte le visage d’Artemis. Il n’avait pas fait grand-chose et pourtant il venait de lui briser le cƓur. Il ne lui avait fait aucune promesse, mais ses gestes et ses paroles signifiaient tout autant pour la jeune fille naĂŻve qu’elle Ă©tait. Peut ĂȘtre qu’il avait pensĂ© qu’elle avait eu de l’expĂ©rience dans le domaine sentimental auparavant et que de ce fait, ne souffrirait pas pour aussi peu de non, ce n’était pas peu de chose Ă  ses yeux. Elle s’était lancĂ© Ă  cƓur ouvert dans tout ce tumulte d’émotions et de sentiments et maintenant qu’elle s’y retrouvait toute seule, elle se sentait complĂštement perdue et du RP Alice GrantSerdaigle Re [Gare de PrĂ©-au-Lard] Sur les quais Alice Grant, le Mer 28 Juin - 2317 - HRP Post unique, bien avant l'aubeSuite...Suite Ă  un sort conditionnel lancĂ© par les phĂ©nixs sur les tracts, ils ressemblent Ă  des journaux banals jusqu'Ă  ce qu’un sorcier ou un moldu en rapport avec la magie ou autre ne les vous invitons Ă  rĂ©pondre Ă  la suite des posts pour Ă©crire la rĂ©action de votre personnage s'il tombe sur l'un des de la cape -Tic, tac, tic, tac...T'es habituĂ©e Ă  pas dormir et pour une fois t'avais une raison de rester Ă©veillĂ©e. Tu as pas mal de rendez-vous importants aujourd'hui. T'espĂšres ne pas arriver en retard pour le thĂ©... c'est mauvais, froid. Ton sac Ă  dos noir ne porte plus d'inscriptions, ni sa couleur d'origine d'ailleurs, t'as dĂ» user de sortilĂšges pour le rendre mĂ©connaissable. Son contenu n'a jamais Ă©tĂ© aussi important... tu as une toute autre idĂ©e en tĂȘte que de sauter dans un wagon. Enfin, tout ça est cachĂ© par l'illusion de la jeune femme pressĂ©e et un peu simplette que tu donnes ton visage est dissimulĂ© par les lunettes rectangulaires de la potiche qui te sert de personnage, et tes yeux fixent frĂ©nĂ©tiquement l'Ă©volution des aiguilles Ă  ton poignet. Une perruque blonde aux cheveux mi-longs recouvrent les tiens. Tu portes des vĂȘtements qui ne te serviront qu'aujourd'hui, ils ne sont pas fonciĂšrement discrets mais ils t'assurent une certaine libertĂ© de mouvement. Oui, ben t'as fait avec les moyens du comportement est semblable Ă  ceux que tu croises, t'as l'air stressĂ©e et bien que ça ne soit probablement pas pour les mĂȘmes raisons que les voyageurs, tu l'es. C'est ta premiĂšre mission, elle est simple et tu n'as que deux impĂ©ratifs alors t'as pas intĂ©rĂȘt Ă  foirer. Ne pas ĂȘtre reconnue et poser les affiches. Personne ne doit te remarquer. C'est le seul danger et l'unique dĂ©fi comme Ă  chaque fois. Mais lĂ  les ennuis sont un poil plus intimidants si on te choppe. Tu dois ĂȘtre invisible. D'ailleurs, tu le seras bientĂŽt. Tu savais que cette cape, bien qu'achetĂ©e dans une boutique de magie noire, se retournerait justement contre les partisans de cette magie. C'est ce que tu t'Ă©tais dit pour justifier ton achat. Et il faut croire que t'avais raison. Pour une fois c'est pas toi qui payera les frais de l'ironie du sort. Destination les quais. La terre tourne, les gens marchent, les trains partent. T'es face au mur. Inspiration. Tu sors ta baguette ainsi que quelques unes des prĂ©cieuses affiches, et en fixe le long, tout les cinq mĂštres environ. Sur la fin, tu cours presque, de peur que quelqu'un derriĂšre ne touche une affiche et dĂ©couvre trop tĂŽt sa vĂ©ritable nature. Tu en fais voltiger deux ou trois en l'air... leur apparence est celle de vieux tracts. Puis tu t'Ă©clipses dans un coin pour saisir ta cape d'invisibilitĂ©, fermer ton sac et te recouvrir avec la cape, avant de filer Ă  pas de loups vers l'Ă©tape suivante. Les mots tournent, les passants s'arrĂȘtent, le phĂ©nix s' Mesdames, issus de la communautĂ© magique ou ayant des liens de parentĂ©s ou familiales Ă  cette communautĂ©. Nous affrontons encore aujourd'hui une pĂ©riode de terreur. La mĂȘme qui s'est dĂ©roulĂ©e quelques annĂ©es auparavant, et quelques siĂšcles plus tĂŽt. L'Ă©cole de Poudlard a Ă©tĂ© attaquĂ©. Certains enfants, Ă©tudiants, ont Ă©tĂ© pris en otage. Vos enfants. Votre famille. La menace est toujours plus grande en cette pĂ©riode de trouble. Un directeur disparu, des professeurs incapables de protĂ©ger leurs Ă©lĂšves attention, ne remettons pas en cause la formation de ceux-ci mais plutĂŽt l’incompĂ©tence des autoritĂ©s du ministĂšre Ă  protĂ©ger et dĂ©fendre ses citoyens contre la crainte et la peur. Le ministĂšre se trompe d'ennemis. Les attaques, les arrestations sont en prioritĂ©s contre ceux qui, comme vous, ne veulent plus vivre dans la peur, la terreur. L'Ordre du PhĂ©nix est lĂ  pour vous aider Ă  vaincre, Ă  vivre et non pas Ă  survivre. Malheureusement, les autoritĂ©s prennent nos actions de rĂ©volte contre l'obscurantisme et la peur comme un crime. Nous sommes des Hors la Loi aux yeux du ministĂšre. Et pourtant, que serait un monde oĂč l'union entre le ministĂšre et les PhĂ©nix serait possible ? Main dans la main, nous pouvons vous aider Ă  vaincre votre peur, Ă  vaincre cette doctrine. Les Mangemorts veulent certes, briser le secret magique. Mais leur unique but est de mieux asservir, pour former une "race supĂ©rieure" envers d'autres humains, sorciers, non-sorciers, issus de la communautĂ© magique ou non. Nous sommes lĂ  pour dĂ©fendre vos droits, nous battre en votre nom, s'assurer d'un monde meilleur pour tous les ĂȘtres vivants. Chacun Ă  sa place dans le monde. Nos actions se trouvent limitĂ©es par un gouvernement qui nous cible, nous, citoyens de lumiĂšre, de paix et d'harmonie et qui ne cherche pas Ă  prendre pour ennemis les vrais criminels et terroristes de notre temps. Les vrais coupables. Nous sommes tous PhĂ©nix au fond de nous. En tant que sorciers, en tant que dĂ©fenseur de libertĂ© et de fraternitĂ©. Aujourd'hui, nous dĂ©clarons le MinistĂšre coupable de ses actes. Coupable de l'insĂ©curitĂ© qui rĂšgne dans la CommunautĂ© magique. Coupable de ne pas diriger ses recherches et ses Ă©lites vers les vĂ©ritables criminels. Nous dĂ©clarons coupables les mages noirs, auteurs sanglants de tortures, de meurtres, de manipulations mentales et physiques, d'obscurantisme. Tout ce que nous voulons, c'est aider la Justice, aider la CommunautĂ© Ă  vivre paisiblement. VOUS AIDER Ă  obtenir ce que vous avez le droit d'avoir. En travaillant mains dans la main avec vous, nous pourrons faire de ce monde, un monde meilleur. Un monde emprunt d’honnĂȘtetĂ©, de gloire, de justice. Un monde sain. Aidez-nous Ă  protĂ©gez vos enfants, vos familles. Nous ne sommes pas des criminels, nous ne sommes pas des hĂ©ros. Nous sommes seulement des boucliers levĂ©s contre la tyrannie et la suprĂ©matie. Brandissez-nous, boucliers, dĂ©fendez vos valeurs face au MinistĂšre. Demandez notre aide. Aidez nous Ă  agir, plus rapidement, plus efficacement. Nos flammes punissent, nos larmes guĂ©rissent. L'Ordre du PhĂ©nix Codage de Louna © Elrin EredinGryffondor Re [Gare de PrĂ©-au-Lard] Sur les quais Elrin Eredin, le Dim 9 Juil - 1905 [RP avec Kohane Werner, donc le LA est accordĂ©]Quand tout dĂ©railleElrin avançait au grĂ© d’une envie inexplicable sur un chemin bordĂ© d’herbes Ă  l’éclat falot. La symphonie cristalline de la brise ponctuait sa marche, subjuguant le ciel et son Ăąme. DerriĂšre elle s’étendait des maisons aux toits pointus, pales Ă©bauches de gĂ©ants sous la cartĂ© lunaire. Ce petit sentier champĂȘtre, Ă  mi-chemin entre nature vierge et civilisation, Ă©levait en elle un sentiment de bien-ĂȘtre total alors qu’elle s’imprĂ©gnait des bruits et de l’odeur environnants. A sa gauche, un insecte se faufilait dans la vĂ©gĂ©tation avec un lĂ©ger bruissement, sĂ»rement attirĂ© par la senteur capiteuse de l’humus. En aval, Elrin perçut un net arĂŽme qui trahissait la prĂ©sence de champignons
 de quoi faire une bonne soupe au le bonheur des promenades nocturnes aprĂšs une longue journĂ©e de cours ! EnivrĂ©e par l’atmosphĂšre, Elrin dĂ©marra un sprint grĂące Ă  une dĂ©tente irrĂ©elle dont elle avait le secret. BientĂŽt, l’environnement se mua en tableau incertain, dĂ©roulant ses motifs qui imprimaient la rĂ©tine de la jeune femme tels des spectres Ă©phĂ©mĂšres. Mais Elrin les ignora, fuyant ce monde et savourant la libertĂ© unique qu’elle vivait, loin de ses limites, loin de tout
Soudain, une feuille vola dans son sillage et se perdit quelque part entre ses cheveux et son bonnet aux anneaux mĂ©talliques. StupĂ©fiĂ©e, elle s’arrĂȘta, attrapa l’objet puis le dĂ©tailla avant de grommeler il Ă©tait complĂštement vierge. Enfin, pas tout Ă  fait. Alors qu’elle remettait en place sa criniĂšre blonde avec dĂ©ception, un ensemble de lettres fourmilla sous les yeux d’Elrin pour composer un message. Elle rĂ©alisa aussitĂŽt de quoi il s’agissait. C’était un tract de l’Ordre du PhĂ©nix qui appelait ouvertement Ă  la prudence et au rassemblement contre la menace des Mangemorts et du dĂ©sordre politique. MĂȘme si c’était un gĂąchis de papier Ă  ses yeux, Elrin trouvait les intentions du message louables. Ou du moins les intentions apparentes. Il Ă©tait difficile d’émettre un avis concret sur cette faction nĂ©buleuse, prise dans une guerre avec le MinistĂšre et les Mangemorts tandis que la population souffrait des feux croisĂ©s. Une stupide guĂ©guerre par moments, soyons honnĂȘtes, pensa Elrin, le nez retroussĂ© en signe de dĂ©goĂ»t. Interrompre ma soirĂ©e pour des bĂȘtises pareilles, tsss. »Elle brĂ»la le tract en utilisant sa baguette, HyvĂ€, comme un briquet. Regardant les braises s’élever sous formes de volutes noircies, Elrin finit par reprendre son jogging improvisĂ© aprĂšs avoir rangĂ© HyvĂ€ dans un Ă©tui qu’elle portait Ă  la cuisse gauche. Mais la gare de PrĂ©-au-Lard l’interrompit une seconde fois au bout de cinquante mĂštres. Elle toisa les hauts murs de pierre sombre dont la froide robustesse avait dĂ» briser de nombreux rĂȘves. Pourquoi Ă©tait-elle venue ici, dĂ©jĂ  ? Elle avait en horreur les gares. D’une certaine façon, elles lui Ă©voquaient un voyage Ă  l’issue prĂ©visible que chaque arrĂȘt condamnait un peu plus. LĂ©gĂšrement déçue de voir son plaisir gĂąchĂ©, elle saisit un caillou et le jeta Ă  l’aveuglette. Une note stridente se rĂ©pandit dans l’air tandis que le projectile rebondissait contre un rail. Ah, les rails ! Ces symboles de captivitĂ© qui dessinaient une ligne mortelle, rigide et immuable sur laquelle se pressaient des trains fourbus. Elrin n’aimait guĂšre leur aspect. Ils lui rappelaient par trop les chaĂźnes qu’elle avait observĂ©es Ă  maintes reprises dans les plus sombres recoins des cachots, Ă  Poudlard. Elle tourna son regard vers eux et grimaça moches, glacĂ©s, sans vie. Beurk. Elle n’y attacherait personne, pas mĂȘme ses ennemis mortels
A la faveur de la Lune, Elrin distingua alors une silhouette immobile qui marmonnait toute seule dans l’obscuritĂ©. Son cƓur exĂ©cuta un triple saut pĂ©rilleux. Elle se prĂ©cipita en avant, la main levĂ©e, criant d’une voix forte -HĂ©, qu’est-ce que tu fais ici ? LĂšve-toi et bouge !MalgrĂ© l’heure avancĂ©e, la sorciĂšre ne s’étonnait pas de voir quelqu’un ici. Dans les faits, la compagnie des autres ne la dĂ©rangeait mĂȘme pas. Si Elrin avait toutefois un gros problĂšme, c’était parce que la silhouette ne se trouvait pas sur le Ă©tait allongĂ©e en travers des rails. Kohane W. UnderlindenMDJ-GestionnaireHarryPotter2005 Re [Gare de PrĂ©-au-Lard] Sur les quais Kohane W. Underlinden, le Jeu 20 Juil - 026 Kohane a encore 17 ans au moment du RpC'est presque comme une gare dĂ©saffectĂ©e. Tellement elle est vide ce pas de gens qui attendent sur le de train Ă  l' rien. Que du vide. Que de la nuit pour envahir l' il y a moi, quand mĂȘme, aussi. Moi qui ai marchĂ©, moi qui suis arrivĂ©e ici. Je suis plantĂ©e sur le quai. Sans rien faire. Comme si j'attendais un train qui ne passera statique dans le fait un peu frais ce soir. Mais cela ne me dĂ©range ne frissonne pas. Ne tremble pas. Je suis juste bien au grand air. Un instant, je contemple la buĂ©e qui sort de mes lĂšvres entrouvertes. Ca fait des formes. C'est joli. On peut y voir tout un tas de trucs. C'est comme dans les nuages. Parfois, y'a des chameaux. Ou des dragons. Des chĂąteaux un peu difformes. Des lapins Ă  corne. Un chapeau trouĂ©. Un hippopotame aux dents trop longues. Bref, les nuages, c'est magique, on y voit vraiment plein de buĂ©e qui sort de la bouche par les temps frais de nuit, c'est un peu une Ă©chelle formes sont plus tout aussi suis c'est heureuse que je repars sur mes petites qu'il est temps de se bouger. Je ne vais pas rester indĂ©finiment Ă  contempler des rails. C'est pas trĂšs beau, je trouve. Il y a mille et une choses bien plus merveilleuses que ça !Je me mets donc Ă  trottiner. Silencieuse. qu'il s'agirait pas d'attirer l'attention sur moi. On pourrait me prendre pour une squatteuse de voies de chemin de fer, un truc dans le genre. Et vouloir me je ne squatte pas !Je ne fais que contempler une gare vide en pleine trĂšs instructif, je vous apprend qu'il n'y a pas de trains nocturnes Ă  que les gens ne dorment pas non plus dans la gare en attendant le lever du je suis seule. RĂ©solument seule. Mais ça ne me dĂ©range pas. Pas ce soir. Pas en ce moment. J'aime la douce solitude dans les moments de rĂ©flexion. Il faut dire aussi qu'aprĂšs le bruit continuel aux Trois Balais, on est heureux, une fois le service fini, de retrouver le calme de la commence Ă  raser les me fondre dans la fondre dans l' soudain, c'est comme si le mur venait de s'illuminer d'une lueur magique aprĂšs tout, on se trouve Ă  PrĂ©-au-lard, village peuplĂ© uniquement de sorciers. Je m'arrĂȘte, interloquĂ©e. Pour voir une affiche terne et sans intĂ©rĂȘt se woh, c'est quoi cette histoire ?Depuis quand on fait des affiches qui changent d'aspect comme ça, tout Ă  coup, sans prĂ©venir ?Moi j'aimais bien son cĂŽtĂ© terne, sans nuance, sans couleur. Parce que ça se fondait avec le reste. Avec la nuit. Avec mon moi qui essaie d'ĂȘtre lĂ . Il n'y a plus de gris, de noir, de cela est remplacĂ© par du vif, du jaune, du orange, du tiens, mais c'est pas le symbole de l'Ordre du PhĂ©nix, ça ?Le zozio de feu qui appelle au rassemblent ou un truc dans l' zozio de feu censĂ© rĂ©chauffer les Ăąmes et porter pas vraiment pour moi, me rĂ©chauffe trĂšs bien toute seule. Avec mon propre feu. Qui brĂ»lera tout sur son passage. Attendez encore un peu que la flamme se dĂ©veloppe. Et vous seconde-suspend, je reste bloquĂ©e devant le symbole mes yeux voient le trop long Beaucoup. Trop. de lire, plus, ça me concerne y a des choses bien plus intĂ©ressantes au bout de ce choses que je viens tout juste de s' l'affiche non lue, je cours vers mes amies, mes cousines, mes sƓurs de leur tends les bras l'air de dire attendez moi, mes belles dames .Hum...Elles me font rĂ©sonner leur douce mĂ©lodie Ă  mon oreille comme comme je les aime !Je regrette qu'une seule chose que mon frĂšre Ă©toilĂ© ne soit pas lĂ . Avec moi. On aurait couru sur les rails. Pour rejoindre les astres. Ca aurait Ă©tĂ© tellement voilĂ  les faits il n'est pas suis je dĂ©cide d'admirer le spectacle dans ma rĂ©flĂ©chir, je fais quelques pas, nez levĂ© vers le je m'allonge pour encore mieux les voir, mes sƓurs commencent Ă  pailler doucement, Ă  raconter des histoires qui font voyager tout autour de la terre -c'est qu'elles en ont vu, du paysage !Je leur voix reste travers des les Ă©couter soudain, une voix qui ne leur appartient pas se met Ă  rĂ©sonner, brisant ce voile de calme qui m' sursaute apercevoir une ombre sur le ombre qui paraĂźt tournĂ©e vers ombre qui a a quand mĂȘme osĂ© interrompre ma sĂ©ance plus, les Ă©toiles Ă©taient en train de conter un voyage initiatique des plus c'est pas finis par m'asseoir mais ne bouge pas. Ne rĂ©alisant pas vraiment oĂč je me trouve. Tout ce qui m'importe, c'est qu'il y a les Ă©toiles. LĂ -haut. Et que j'Ă©tais en train de les regarder. Les ? Qu'est-ce qu'il y a ? je demande, d'un ton lĂ©gĂšrement agacĂ©. Elrin EredinGryffondor Re [Gare de PrĂ©-au-Lard] Sur les quais Elrin Eredin, le Dim 13 AoĂ» - 2115 [RP avec Kohane Werner]Quand tout dĂ©raille [troisiĂšme partie]La silhouette, qui dans les faits appartenait Ă  une femme, n’opposa aucune rĂ©action. Quelque chose de sibyllin semblait la perdre dans une contemplation passive du ciel. Discutait-elle avec les Ă©toiles, avec les Ă©lĂ©ments, comme il arrivait si souvent Ă  elle-mĂȘme de le faire
 si on excluait les rails ? Forte de cette interrogation, Elrin finit par laisser ses craintes en retrait et avança Ă  pas lents vers la jeune. Car oui, elle ne devait pas avoir plus de son Ăąge. Peut-ĂȘtre mĂȘme appartenait-elle Ă  Poudlard. Pour autant, les quelques rayons lunaires qui brillaient ci et lĂ  ne purent lui confirmer cette hypothĂšse. Quand l’insolite se redressa, Elrin sut qu’elle avait notĂ© son avança donc un peu plus, guettant d’une oreille le bruit qui trahirait l’approche d’un Quoi ? Qu'est-ce qu'il y a ?Elrin, qui remarquait chaque dĂ©tail bien malgrĂ© elle, ne s’y trompa pas. Difficile d’émettre une rĂ©ponse plus agacĂ©e, comme si on lui gĂąchait son petit plaisir
 Elle soupira de soulagement malgrĂ© tout. En effet, il devenait clair que les intentions premiĂšres de l’inconnue n’allaient pas au suicide ; sinon elle lui aurait demandĂ© de partir. Probablement. La sorciĂšre devait s’en assurer une bonne fois pour demander la permission, Elrin bondit depuis le quai jusque sur les rails avec une souplesse fĂ©line. Pour toute rĂ©ponse, les anneaux mĂ©talliques de son bonnet produisirent un tintement cristallin qui courut la gare. Elrin se demandait comment le mĂ©tal, si froid au premier abord, pouvait rĂ©chauffer le cƓur d’une simple note. Un vrai mystĂšre... Mais pas dĂ©sagrĂ©able Ă  briĂšvement l’inconnue dont les cheveux formaient une masse noire, Elrin plaqua ses mains derriĂšre elle et se fendit d’une expression hĂ©sitante. Que devrait-elle faire ? L’arracher Ă  son inconscience malgrĂ© son refus Ă©vident ? Lui tenir compagnie pour veiller au cas oĂč ? Rien de tout ça ?Et puis merd*. On s’en foutait. Ras-le-bol de passer sa vie Ă  douter, Ă  chercher la rĂ©ponse. Pas ce soir, sĂ©rieux. Elle Ă©tait fatiguĂ©e. Elle avait choisi. Choisi de ne rien Je ne sais pas vraiment ce qui t’a poussĂ©e sur des rails, souffla-t-elle Ă  sa voisine d’une voix qui se fondit dans le vent. J’imagine que la vue y est meilleure et que tu as quelque chose comme une histoire Ă  lire dans le ciel. Si l’histoire dit qu’on doit finir toutes les deux notre soirĂ©e sur ces rails, alors je veux lire, elle s’allongea Ă  son tour, vide de crainte mais emplie d’intĂ©rĂȘt, plongeant ses iris bleus dans l’immensitĂ© cĂ©leste au voile brillant. Ses sƓurs lui adressĂšrent alors un petit clin d’Ɠil. Elrin sourit. Kohane W. UnderlindenMDJ-GestionnaireHarryPotter2005 Re [Gare de PrĂ©-au-Lard] Sur les quais Kohane W. Underlinden, le Jeu 7 Sep - 1948 LĂšvres lĂ©gĂšrement pincĂ©es, je scrute la silhouette dans le noir. Cette silhouette fĂ©minine sans nom, juste une voix qui m'a interpellĂ©e. Instant ; on se jauge on se hop, soudain. La voilĂ , la crĂ©ature de la nuit, qui saute Ă©lĂ©gamment sur les ne semble finalement plus si dĂ©cidĂ©e Ă  me faire bouger de alors...Ou alors elle vient pour se saisir carrĂ©ment de moi et me pousser loin des Ă©toiles ?! Oui... si ça se trouve, elle vient lĂ  pour me contraindre physiquement Ă  plissĂ©s, air mĂ©fiant, je la regarde s' je me promets que je ne m'en irai pas d'ici. Je ne dĂ©collerai pas mes fesses de lĂ  sans avoir luttĂ© bec et ongles auparavant. C'est que les Ă©toiles sont au-dessus de ma tĂȘte. Et qu'elles rient, ici. Je les entends distinctement. C'est ma famille adorĂ©e, prĂ©fĂ©rĂ©e ; j'peux pas m'en aller et les laisser alors que je peux encore profiter d' tout, je ne laisse rien filtrer d'un quelconque geste d' ça se trouve, elle est pas lĂ  en ennemie. Mais en contemplatrice de cette large famille astrale. Elle aime peut-ĂȘtre les Ă©toiles, elle aussi. Et s'est rendue compte qu'ici est un superbe point de vu !Elle imperceptiblement, mes poings se crispent un un rĂ©flexe face Ă  l'inconnu peut-ĂȘtre adversitĂ©. Quand on sait pas, on reste mĂ©fiant, on observe, on analyse, on Ă©value. Et on voit aprĂšs s'il faut sourire ou retiens presque ma respiration. Priant intĂ©rieurement pour qu'elle passe sa route si les Ă©toiles ne l'intĂ©ressent pas. Je peux accepter quelqu'un qui aimerait partager cette belle et magnifique famille avec moi. J'suis tolĂ©rante, hein ! J'accepte tout le monde ! Mais quelqu'un qui n'en aurait rien Ă  faire et ne chercherait qu'Ă  me faire dĂ©gager d'ici pour une obscure raison, ça, donc qu'elle parle la premiĂšre pour savoir quelle attitude enfin, j'entends sa voix qui s'Ă©lĂšve pour la deuxiĂšme fois dans le rails ?Oh, j'suis sur les rails ? vrai.
 si grave que ça ? Genre y'a Ă©crit interdit d'Ă©couter les Ă©toiles depuis les rails ? Nah, j'crois pas, hein ! Puisque les Ă©toiles racontent alors que je suis installĂ©e lĂ . Si c'Ă©tait pas autorisĂ©, elles raconteraient pas et me diraient d'aller ailleurs pour les Ă©couter. Mais comme ce n'est pas le cas...Alors que la voix de l'inconnue retombe, je me dis qu'elle est lĂ  elle aussi pour Ă©couter les Ă©toiles. Elle n'essaie plus de me chasser. D'ailleurs, elle s'allonge Ă  cĂŽtĂ© de !C'est bien, aussi, d'Ă©couter des histoires Ă  deux. Ca fait un beau poil rassurĂ©e, je m'allonge Ă  mon tour, retrouvant ma position initiale. Les yeux perdus dans la couverture nocturne parsemĂ©e de piqĂ»res pas lire. Faut sont belles, ce soir. Elles sont toujours belles, d'ailleurs. Mais certains soirs plus que d'autres. Par exemple aujourd'hui. Ou la nuit oĂč j'ai fait la connaissance de mon frĂšre souvenir m'arrache un nouveau nuit magique portĂ© par l'amour intergalactique et astral qui nous a unis, lui et DĂ©cidĂ©ment. Il y a certaines nuits plus belles que d' ce soir, c'est assez joli, racontaient une histoire de voyage. Un voyage d'apprentissage pour un jeune sorcier si naĂŻf. SchĂ©ma classique. Mais agrĂ©able. J'aime bien leurs voix et leurs ferme les mieux de la nuit, le vent frais sur les Expiration. Tout est si les entends ?Murmure dans la nuit. Voix si on chuchote lors d'un spectacle ou dans une salle de cinĂ©ma. Ne surtout pas dĂ©ranger l'histoire qui se raconte mais la commenter quand le grand théùtre du joue souvent des piĂšces plus que j'en suis une des premiĂšres admiratrices. Alhena PeverellResponsable MDJ-GHarryPotter2005 Re [Gare de PrĂ©-au-Lard] Sur les quais Alhena Peverell, le Sam 28 Oct - 1853 Flash-back avec Leo, 17/16 ans. LA mutuels. Reprise du sujet, MP si heureux ? C'est quoi ? Elle ferme les yeux. Il y a cette odeur de pin qui envahit l'air, il y a le bruit du vent qui frĂŽle les arbres. Les Ă©toiles Ă©clairent le monde, le temps est suspendu, la gravitĂ© est dĂ©traquĂ©e. Les sens et les humains sont dispersĂ©s. _Elle ferme les yeux, mais elle sourit au monde depuis bien longtemps. Elle n'a jamais rĂ©ellement connu ça, toutes ses sensations inexplicables. Ce coeur au bord de la falaise qui ne demande qu'Ă  tomber. Elle marche sur un fil tendu, et Ă©trangement elle n'a pas peur de tomber. Elle veut pouvoir vivre jusqu'Ă  en crever, jusqu'Ă  ce que le soleil n'ait plus d'intĂ©rĂȘt Ă  se lever. Elle se tourne vers le bruit avenant. Elle avance vers le jeune homme assis sur le quai, jambes dans le vide. Ses Ă©meraudes dĂ©taillent chaque grain de peau, chaque cheveu, chaque bordure de lĂšvres. Elle aimerait pouvoir poser ses mains sur son visage, tracĂ© son regard et ses souffles. Mais elle n'a pas le droit. Elle n'est pas certaine d'en avoir le droit. Pourtant, elle passe ses bras autour de ses Ă©paules, sans savoir pourquoi. Elle ne demande pas la permission, elle fait ce dont elle a envie. Tant pis pour la suite, elle avait envie d'obĂ©ir Ă  ses pulsions. Qu'importe ce qu'elles reprĂ©sentent du moment qu'elles ne sont pas un danger pour autrui. Salut toi, alors dis-moi, qu'est-ce que tu as prĂ©vu Ă  faire comme bĂȘtises ce soir ? Je suis partante pour faire n'importe quoi moment que je suis avec toi, mais ça ne tu le sauras jamais. Parce que j'ai trop peur de t'avouer les mots qui comptent. Elle se dĂ©tache de lui, se pose Ă  ses cĂŽtĂ©s et sort le nĂ©cessaire. Quelques gouttes qui dĂ©valent l'estomac, quelques poumons endommagĂ©s. Juste histoire de s'amuser un peu, c'est nouveau pour elle. Mais pas trop, parce qu'elle ne veut pas se dĂ©truire. Elle veut pouvoir ĂȘtre heureuse sans avoir Ă  penser Ă  sa santĂ©. Un sourire effleure ses lĂšvres. Elle a hĂąte de savoir ce qu'ils allaient faire ici. Peut-ĂȘtre dessiner des choses sur des murs ? Ou alors qu'il avait cachĂ© une caisse de sous-vĂȘtement d'un prof pas loin, et que la gare allait adorer ĂȘtre dĂ©corĂ©e de cette maniĂšre. Ou alors, peut-ĂȘtre qu'il voulait simplement lui dire une chose importante ? En vĂ©ritĂ©, elle n'espĂšre pas, elle n'aime pas le sĂ©rieux, elle n'en veut pas. Elle veut juste s'amuser sans penser aux consĂ©quences et au lendemain. Elle voulait peindre le ciel avec des sourires,Elle voulait tourner sous la pluie, Elle voulait respirer comme jamais, Et elle Ă©tait heureuse de le penser. Shae L. KeatsGryffondor Re [Gare de PrĂ©-au-Lard] Sur les quais Shae L. Keats, le Lun 30 Oct - 1917 Flash back de 9ans Leo a 17 ansIl se tient droit. Insouciant comme il ne l'a pas Ă©tĂ© pendant longtemps. Comme il l'est depuis quelques semaines, quelques mois, il ne sait pas vraiment. Il n'a plus besoin de compter. Ça fait quelques temps que les jours passent diffĂ©remment. Qu'il a conscience de tout ce qu'il entoure, de la vie qui s’étire. Parce qu'il mord dedans. Chaque instant. Avec elle. C’était pas prĂ©vu, c’était invraisemblable, et pourtant. C’était le dĂ©but de l’étĂ© et la soirĂ©e tombait. L'air sentait la menthe fraiche et l'herbe coupĂ©e. Elle allait arriver. Dans les secondes, dans les minutes, et il se dĂ©tendrait. Il se laisserait aller, comme toujours. Plus rien n’était rĂ©el problĂšmes lorsqu'elle Ă©tait aux alentours. Leister et ses idĂ©es restaient ranger dans un coin de ses pensĂ©es. Il n'y a rien a penser, rien a ruminer, le monde n'a pas encore frapper. Il y a juste l’insouciance, La fougueuse jeunesse et la genereuse sait qu'ils pourraient passer sa nuit ici, a regarder les Ă©toiles sans rien dire, que ça vaudrait quand mĂȘme le coup. Que mĂȘme en partant de rien ils arrivaient a faire des nuits des instants de folie. Juste par une poignĂ©e de mots. Par un sourire. C'est fou comment le monde arrĂȘtait de tourner quand ils riaient ensemble. Y avait rien d'autre qui comptait. Il avait cette arrogance qu'il croyait dĂ©licieuse des jeunes de son ages, mais qu'elle savait canaliser. Il y avait entre eux un Ă©quilibre que lui n'aurait jamais pensĂ© trouver la. Ils n’étaient pas d'accord sur tout, loin de la, mais ils ne s'ennuyaient jamais. Et voila ses bras qui lui enserre les Ă©paules, et le cƓur qui loupe un battement. Ça fait quelques temps, mais ça ne s’arrĂȘte toujours pas. Ce vide dans la poitrine quand elle est la. Cette sensation de vide que seule sa voix parvient encore a combler. Il ne sait pas ce que c'est, il n'arrive pas a le nommer. Mais il veut le sentir encore et encore. Jusqu’à ce qu'un matin son corps soit trop fatigue pour se relever. Il ne lui avait rien dit encore. Les mots n’étaient pas vraiment leur fort, mais peu importait au final, ils Ă©taient aussi indĂ©pendant l'un que l'autre, et c’était trĂšs bien comme ça. Salut toi, alors dis-moi, qu'est-ce que tu as prĂ©vu Ă  faire comme bĂȘtises ce soir ? Je suis partante pour faire n'importe quoi se redresse, et bascule la tĂȘte en arriĂšre pour la voir. Pour refabriquer des images de son visage et les garder pour plus tard, sans que sa mĂ©moire ne les altĂšrent. Sans que rien ne les rende terne. J'en sais rien j'ai rien prĂ©vu, j'ai envie qu'on se laisse porter. Qu'on improvise. Elle s'assoit et sort tout ce qui n'est pas encore interdit a cet age, tout ce qui n'est pas accoutumance et perte de soi, mais juste un accessoire de soirĂ©e. Un tube de cancer aux lĂšvres et quelques gouttes amer en arriĂšre gorge, dont il n'aime pas encore le gout. Il avait envie de tout repeindre avec des couleurs vives, Des couleurs qui brulent les yeux. Du rouge du jeune, du orange, du bleu ciel. Repeindre les murs a grands coups de rire pour que rien ne s'oublie. Tu as quelque chose en particulier ?Une idĂ©e ?Une envie ? DerniĂšre Ă©dition par Shae L. Keats le Mar 19 DĂ©c - 2015, Ă©ditĂ© 1 fois Alhena PeverellResponsable MDJ-GHarryPotter2005 Re [Gare de PrĂ©-au-Lard] Sur les quais Alhena Peverell, le Ven 17 Nov - 1949 Elle le regarde. Il y a dans ses Ă©meraudes, cette lueur d'espoir qu'on n'aurait jamais cru voir un jour. Il y a cette douceur pour l'ĂȘtre en face, cet amour indĂ©finissable qu'elle n'est pas certaine de comprendre. Il y a ce sourire qui encourage les humains Ă  danser, Ă  fermer les yeux et Ă  se laisser porter par le vent. _Ne pas penser Ă  demain, ne pas vouloir grandir, profiter d'ĂȘtre vivantAvec lui, elle voudrait tout faire. Elle voudrait vivre Ă  en crever, s'Ă©puiser Ă  respirer, s'Ă©corcher les bras Ă  en ĂȘtre heureuse. Elle adorait tout chez lui, ses yeux bleu-gris, ses cheveux Ă©bĂšne, chacun des traits de son visage. Elle pourrait passer des heures Ă  le contempler, le coeur serrĂ© Ă  se demander ce qui va se passer dans la suite. Mais elle ne le fait pas, parfois mĂȘme, elle prĂ©fĂšre l'Ă©viter du regard. Elle prĂ©fĂšre faire comme, si ce n'Ă©tait pas important. _C'est toujours plus facile d'ĂȘtre lĂącheDu moment que je suis avec toi, tout me vaC'est un monde, que seule elle connaĂźt. Et chaque jour, elle se surprend Ă  le prendre par la main pour l'emmener lĂ -bas. Elle se surprend Ă  se demander, si un jour, ils auront un endroit que seuls eux connaissent. Une vie, un univers si intouchable parmi les fantasmes et les rĂȘves. LĂ  oĂč le ciel ne touche plus la terre Ă  l'horizon. LĂ  oĂč les couleurs se mĂ©langent. Aujourd'hui, la toile n'est plus blanche. Il y a l'esquisse des arbres qui les entourent, les branches sĂšches qui les observent, les feuilles sur le sol, les fleurs bleues et les animaux de nuits. La lune s'accouple avec les Ă©toiles, pour offrir une symphonie invisible Ă  une atmosphĂšre fĂ©erique si dĂ©gĂ©nĂ©rĂ©e. _Comme une rose rouge banale, mais avec encore quelques Ă©pinesSi tu veux on peut danser, regarder les Ă©toiles ou alors... J'ai ça !Soudainement, le sourire aux lĂšvres, elle se tourne vers son sac. Lentement, elle y sort une boĂźte mĂ©tallique assez ancienne. L'objet est imprĂ©gnĂ© de la magie du passĂ©, des instants capturĂ©s qu'il garde en mĂ©moire. Des souvenirs, des familles...Je l'ai volĂ© sur un marchĂ© moldu, apparemment c'est assez vieux. Le marchand avait nommĂ© ça, appareil photo argentique je crois. Mais je ne sais pas vraiment l'utiliser, je ne suis pas encore habituĂ©e au monde extĂ©rieur... Je ne sais mĂȘme pas, si on a un Ă©quivalent sorcier. Je, j'ai toujours vĂ©cu la tĂȘte plongĂ©e que dans les livres...Elle baisse les yeux, elle ne sait pas vraiment si elle paraĂźt stupide ou non. Elle n'a aucune idĂ©e de ce qu'il va penser, peut-ĂȘtre qu'elle est juste une idiote au sourire trop naĂŻf. Assise sur le quai, elle se recroqueville lentement sur elle-mĂȘme. Comme si elle avait, froid, mais elle est plus gĂȘnĂ©e qu'autre chose. Elle ne veut juste pas le faire fuir, elle veut juste sentir sa prĂ©sence encore quelques instants. Quitte Ă  ne plus jamais rien dire pour que ce moment soit Ă©ternel. Quitte Ă  arrĂȘter le temps, pour vivre dans l'infini... Re [Gare de PrĂ©-au-Lard] Sur les quais Contenu sponsorisĂ©, le Permission de ce forumVous pouvez Vous ne pouvez pas rĂ©pondre aux sujets dans ce forum Tousles Mahorais comprennent le shimaore mĂȘme si dans le nord de l’üle, le shibuchi (dialecte malgache) est plus parlĂ©. ARRETE TES BETISES! LISHA MALAMBE! ARRETE TES PLAISANTERIES! LISHA UBISHI! ARRETE TES PLAISANTERIES! Comment on dit tu me manque en Mahorais ? 66 langues, et ce n’est pas fini ! FREELANG – TU ME MANQUES dans toutes les

Le Deal du moment Coffret PokĂ©mon Ultra Premium Dracaufeu 2022 en ... Voir le deal Partagez AuteurMessage InvitéInvitéSURVOLE PETIT COQUINSujet Trust me, Say me yes, for the life. K&L Lun 11 Avr - 1918 Take me, Don't give up semaines cñ€ℱest long. Deux semaines cñ€ℱest quatorze jours, cñ€ℱest trois cent trente six heures, cñ€ℱest deux semaines de trop à mon gout. Deux semaine ou jñ€ℱavais terriblement besoin de lui, de mon ami, dñ€ℱÃÂȘtre écouté, conseillé, dñ€ℱÃÂȘtre consoler de pouvoir essayer de résoudre cette affaire qui mĂąâ‚Źâ„ąĂƒÂ©tait tombée dessus sans mÃÂȘme que je ne puisse dire ou faire quoi que se soit. Je nñ€ℱavais quñ€ℱune envie cñ€ℱest faire mon sac, claquer cette putain de porte et partir loin de Southampton, partir oui, ou je ne saurais le dire, lñ€ℱItalie me plaisait tellement, mais Andréa ni était plus et Kristopher lui se trouvait ici. Lñ€ℱambiance à la Villa devenait de plus en plus électrique et je ne supportais plus de voir cette fille, cette inconnue sous mon toit. Avais-je eu le choix ? Non bien sur que non, on ne mñ€ℱavait rien demandé, on mñ€ℱavait balancé cette chose sorti de nulle part, personne ne pouvait me prouver que cĂąâ‚Źâ„ąĂƒÂ©tait belle et bien ma sÅ“ur. Une sÅ“ur ? Une petite sÅ“ur ? Depuis quand je suis censée avoir une sÅ“ur ? Je nñ€ℱen savais foutrement rien, pourquoi elle on la gardé ? Et pourquoi moi on mñ€ℱa refourgué dans un orphelinat ? Est-ce que jĂąâ‚Źâ„ąĂƒÂ©tais jalouse ? Peut ÃÂȘtre bien. Jñ€ℱaimais terriblement mes parents adoptifs, oui, je les aimais du plus profond de mon cÅ“ur et pour moi cĂąâ‚Źâ„ąĂƒÂ©tait eux mes vrais parents, pas cette femme qui mñ€ℱenvoie vingt deux ans aprÚs une sÅ“ur car elle ne peut plus sñ€ℱen occuper. Depuis quand une femme pouvait-elle refourguer son gosse comme ça a une fille quñ€ℱelle ne connaissait pas ? Tout simplement car elle était ma vraie mÚre elle avait le droit de me larguer ma ñ€˜sÅ“urñ€ℱ ? Non mais franchement cĂąâ‚Źâ„ąĂƒÂ©tait quoi ce délire ? Et puis, qui dit quñ€ℱelle est réellement ma sÅ“ur ? Bon okñ€© Jino la trouve trÚs ressemblanteñ€©. Blonde, yeux bleus, elle fait la mÃÂȘme taille que moi, sont regard est identique au mien, mÃÂȘme si la couleur de ses yeux est un poil plus foncé des miensñ€© elle a des mÃÂȘme manies que moi, elle a un caractÚre pire que le mienñ€© Mais est ce que ça fait dñ€ℱelle ma sÅ“ur pour autant ? Tenant cette lettre jñ€ℱappuyais ma tÃÂȘte contre le mur de ma chambre en fermant les yeux revoyant alors le moment ou jñ€ℱai rencontré cette fille. Conduisant ma voiture, que je ne devrais pas conduire ayant le poignet dans le plùtreñ€© La pluie battant sur la pare brise, jñ€ℱarrivais chez moi aprÚs avoir fait des courses et cette fille assise devant le portail, grande, blonde les cheveux collaient sur son front. Lorsque jñ€ℱavais croisé son regard, bizarrement jñ€ℱavais su que quelque chose de pas net se trouvait là dedans. Sortant de la voiture jĂąâ‚Źâ„ąĂƒÂ©tais aller la voir lui demandant ce quñ€ℱelle voulaitñ€© Et cette voixñ€©. Presque identique à la mienneñ€©  Laety ? Shackerwoods ? » haussant un sourcil jñ€ℱavais hochait la tÃÂȘte pour dire oui sans répondre.  Je suis Vikkie, Vikkie Isobel Dotterlow. Je viens de SuÚde. Je suis tañ€© petite sÅ“ur. » Choquée, je lñ€ℱavais regardé longuement en lui intiment de monter dans la voiture pour aller mettre la voiture dans le garage. Et nous avions alors discuté. Je ne la croyais pas. Comment la croire ? Jusquñ€ℱau lendemain ou je reçu une lettre de ma vraie mÚre. Qui dñ€ℱaprÚs ce quñ€ℱelle dit, nñ€ℱa eu aucun mal a me retrouver. Elle avait toujours su qui mñ€ℱavait adopté puis le faite que je sois un mannequin qui plus est réputé en SuÚde, je nñ€ℱen revenais pas. Je commençais tout juste à faire quelques défilés pour dñ€ℱautre pays. New-York, Paris et ça sñ€ℱarrÃÂȘtait là . Mais mes pubs, et mes publicités sur les catalogues et magazines eux étaient internationaux. Cette lettre qui contenait tellement de chose, qui contenait des mots horribles, triste et dégueulasse, qui avouait la façon dont jĂąâ‚Źâ„ąĂƒÂ©tais née. Est-ce que jñ€ℱavais voulu savoir ? Non, je mñ€ℱen serais bien passé. Comment vouloir savoir une chose ? Surtout quand on sait à présent que lñ€ℱon est née a partir de prostitution ? Je me sentais tellement sale, tellement immonde, horrible, souillée, une mÚre prostituée ? CĂąâ‚Źâ„ąĂƒÂ©tait pire que tout. Et pourquoi elle avait gardé ma sÅ“ur ? Alors quñ€ℱelle nñ€ℱavait que cinq ans de moins que moi ? Elle avait dix huit ans, jñ€ℱallais bientÎt en faire vingt troisñ€© Pourquoi me faire une chose pareille ? Serrant la lettre dans ma main je la mis en boule et la jeta sur mon bureau en me laissant tomber sur le lit. Putain de merde jñ€ℱen avais marre. Jñ€ℱavais terriblement besoin dñ€ℱun ami, de Kristopher. Je ne ressentais le besoin de me confier quñ€ℱà lui et personne dñ€ℱautre. Jñ€ℱavais tenté dñ€ℱappeler Jaelyn, mais mademoiselle ne répondait pasñ€© Jino lui aimait Vikkie, mÃÂȘme si Vikkie se montrait plus que distante avec lui, chose que je trouvais bizarre, a croire quñ€ℱelle le détestait ou le fuyaisñ€© Mais je mñ€ℱen foutais, une fois quñ€ℱelle aura trouvé un logement elle partira de la villa. Est-ce que jĂąâ‚Źâ„ąĂƒÂ©tais mauvaise ? Je crois que sur ce coup là je lĂąâ‚Źâ„ąĂƒÂ©tais. Mademoiselle était en fac dñ€ℱanglais, elle parlait dñ€ℱailleurs trÚs bien lñ€ℱanglais, et elle était bien évidemment aussi dans le mannequinat. Dñ€ℱailleurs mon frÚre lui nñ€ℱavait pas perdu de temps a lñ€ℱembaucherñ€© Elle allait devenir un mannequin pour luiñ€© Quoi de mieux ? Bosser entre famille, mais bien sur. Il la considérait comme sa petite sÅ“urñ€© Ouaisñ€© JĂąâ‚Źâ„ąĂƒÂ©tais sa sÅ“ur et elle ne lĂąâ‚Źâ„ąĂƒÂ©tait pas. Jñ€ℱen avais marreñ€© Me levant je filais vers la chambre de mon frÚre frappant rapidement avant dñ€ℱentrer. Celui-ci allongé dans son lit a regarder la télévision je sautais sur son lit en souriant me collant contre lui.  Jinñ€ℱ, tu peux mñ€ℱaider à me doucher ? Je sors ce soir, jñ€ℱai envie de me changer les idées et ñ€© Jñ€ℱai terriblement besoin de me doucher là ñ€© » soufflais-je doucement en frappant son torse nu le lui pinçant en souriant doucement.  Tu sors avec quelquñ€ℱun ? Pourquoi ça ne mĂąâ‚Źâ„ąĂƒÂ©tonne pas ? Jalouxñ€©  Non, seule et fais pas ton jaloux ! Vient me laver les cheveux et le bras ! » Dis-je en me relevant filant de sa chambre alors quñ€ℱau mÃÂȘme moment il mñ€ℱattrapa me posant tel un sac a patate sur son épaule me montant alors dans ma chambre. Croisant Vikkie, je lui assenais un regard assassin avant de claquer la porte de ma chambre pour ne pas quñ€ℱelle rentre.  Tñ€ℱes vache avec ta sÅ“urñ€© »  Ta gueuleñ€© Si tu étais à ma place tu comprendraisñ€© »  Nonñ€© Si jĂąâ‚Źâ„ąĂƒÂ©tais a ta place je serais ravis dñ€ℱavoir de la familleñ€© »  Je suis née a cause de prostitutionñ€© »  Laetyñ€© »  Douche-moi ! » Soufflais-je au mÃÂȘme moment ou il me posait au sol. Mñ€ℱenlevant le short et le débardeur, nñ€ℱayant aucune honte dñ€ℱÃÂȘtre nue devant mon frÚre, je filais dans la baignoire allumant lñ€ℱeau dñ€ℱune seule main. Celui-ci en boxer, il prit le pommeau dñ€ℱeau commençant a me mouiller le corps. La relation que je tenais avec mon frÚre était trÚs bizarre. Nous avions tous fait ensemble, petite je dormais constamment avec lui, je sortais avec lui, je faisais tout avec lui. Il était triste, je lĂąâ‚Źâ„ąĂƒÂ©tais et vice versa. Et il mñ€ℱavait embarqué dans le monde de la mode assez tÎt. Posant presque nue voir totalement nue cachant mon corps de mes mains, mon frÚre me voyait nue assez souvent. Dñ€ℱoÃÂč le fait que le fait quñ€ℱil me douche ne soit pas un souci. Mon bas levait bien haut, ma tÃÂȘte penchée en arriÚre je le laissais me shampouiner la tÃÂȘte celui-ci sifflant lñ€ℱair dñ€ℱune chanson. Le laissant me savonner le dos et le bras il me rinça me laissant me laver le reste préférant rester avec moi pour me tenir compagnie. Une fois toute propre mñ€ℱenveloppant dans la serviette il me sécha rapidement prenant soin de faire de mÃÂȘme avec mes cheveux qui bouclaient légÚrement.  Tu veux que je te lisse les cheveux ? »  Non cñ€ℱest bon, on va les laisser ainsi, merci Jino, je vais mñ€ℱhabiller tu peux retourner voir la télévision. » soufflais-je doucement en lñ€ℱembrassant sur la joue. Le laissant filer, jñ€ℱentrepris de mettre un string de couleur rouge en dentelle enfilant alors le soutiens gorge assorti faisant bomber ma petite poitrineñ€© Petit sein que Kristopher aimait. Je ne comprendrais jamais comment il fait. Regardant la photo de nous deux qui datait maintenant de plusieurs mois jñ€ℱentendis frapper a ma porte. Vikkieñ€© Marmonnant quñ€ℱelle pouvait entrer jñ€ℱenfilais mon jean slim de couleur noir virant au gris celui-ci légÚrement troué au niveau de la cuisse je me tournais vers elle.  Tu sors ? Tu veux que je vienne ? » La regardant je souriais faiblement enfilant mon haut top rouge, moulant et décolleté.  Oui, et non tu ne viens pas. » Dis-je en essayant de boutonner mon jean nñ€ℱy arrivant pas. Sans que je ne dise quoi que se soit elle vient me fermer mon jean. La regardant, ses yeux si identiques au mien, je baissais le regard en soupirant longuement.  Laety, je suis dans la mÃÂȘme situation que toi, crois moi ce nñ€ℱest pas facileñ€© » Soupirant longuement je marmonnais un vague merci en me maquillant rapidement comme je le pouvais dñ€ℱune main. Faisant des yeux charbonneux pour faire ressortir le bleu, je la regardais prendre la photo de Kris et moi. Serrant la mùchoire je regardais à nouveau mon reflet dans le miroir.  Cñ€ℱest ton petit ami ? »  Nonñ€© Pourquoi ? »  Non comme ça, il est plutÎt bien foutuñ€© »  Ouais ben repose cette photo et dégageñ€© Et tñ€ℱes trop jeune pour lui, il a dix ans de plus que toi ! »  Maisñ€© »  Dégage putain ! » Dis-je en la poussant hors de ma chambre claquant la porte pour la faire sortir. Soupirant longuement, je finis de me préparer tranquillement en mettant mes talons aiguilles. Sans veste, je sortis de chez moi prenant la voiture, conduisant dñ€ℱune seule main ayant prit lñ€ℱhabitude. Filant vers la boite de nuit, Midnight owl, je me garais a la premiÚre place que je trouvais en regardant mon téléphone. Aucun message rien. Kristopher me manquait terriblement. Il me manquait comme jamais. Est-ce quñ€ℱil allait dire oui ? Est-ce quñ€ℱil allait dire non ? Je nñ€ℱen savais foutrement rien et ça mĂąâ‚Źâ„ąĂƒÂ©nervait au plus haut point. Je ne comprenais plus rienñ€© si seulement je pouvais le voir, mais il détenait les cartes en mainñ€© Sortant de la voiture, je filais alors dans la boite en souriant au videur que je connaissais depuis le temps maintenant. Allant directement au bar je commandais une vodka pure au caramel. La buvant dñ€ℱune seule traite, je mñ€ℱallumais une clope en fredonnant doucement la chanson qui passait regardant les gens danser sur la pister. Buvant dñ€ℱautre verre, ne les comptant pas, je commençais terriblement a avoir chaud. Écrasant ma troisiÚme clope dans le cendrier, je me décidais enfin à aller danser. Au milieu de la piste, je me déhanchais doucement en sentant alors des mains sur ma taille. Relevant la tÃÂȘte, je vis un garçon, totalement inconnu, se coller contre moi. Souriant faiblement je posais ma main sur son épaule le poussant doucement  Désoléeñ€© Mais cñ€ℱest non ! » dis-je en le poussant un peu plus. Celui-ci passa son bras dans mon dos ma plaquant alors contre lui. Le poussant un peu je serrais le poing me retenant de le lui coller sur sa tronche. Sa main glissant sur mes fesses, je ne pu me retenir. Le poussant alors franchement.  Quand je dis non ! Cñ€ℱest non espÚce de pervers ! » InvitéInvitéSURVOLE PETIT COQUINSujet Re Trust me, Say me yes, for the life. K&L Dim 17 Avr - 2038 Premier jour, Kris passa sa journée à soupirer de frustration. Second jour, il se rendait au bar en trainant des pieds et passa tout le temps que dura son concert, à regarder la salle comme pour voir si Laety ne sñ€ℱy trouvait pas. Le troisiÚme jour il avait commencé à se faire une raison. CĂąâ‚Źâ„ąĂƒÂ©tait lui qui avait mit une distance effroyable entre eux et il avait plutÎt intérÃÂȘt de tenir bon sñ€ℱil ne voulait pas prendre un quelconque risque de blesser la jeune femme. Durant les quatre jours qui suivirent, il tenta de ne pas trop penser à elle. Façon de faire le vide avant de devoir se forcer à répondre à la question fatidique. Oui ou non lui laisserait-il une chance à elle et à leur éventuelle relation ? Le huitiÚme jour arriva et il eut lñ€ℱimpression dñ€ℱavoir un compte à rebours dans la tÃÂȘte. Il ne savait trop combien de temps ça lui prendrait de réfléchir. Il ne savait pas non plus quñ€ℱelle serait sa réponse finale, évidemment. Il savait juste quñ€ℱil devait la trouver cette foutue réponse mais surtout, en ÃÂȘtre sûr et certain à deux cent pour cent. Et à cÎté de cela, il songeait quñ€ℱil ne fallait pas non plus quñ€ℱil prenne des mois pour méditer là -dessus. Tout simplement parce que Laety ne méritait pas des mois dñ€ℱattente et dñ€ℱinquiétude. Elle méritait dñ€ℱavoir une réponse claire, définitive et rapide pour savoir et décider de ce quñ€ℱelle ferait. Une chose était sûre dans toute cette histoire, cĂąâ‚Źâ„ąĂƒÂ©tait que Kris lñ€ℱappréciait énormément et avait prit goût à la sentir prÚs de lui, contre lui. Il aimait sentir la chaleur de son corps contre le sien, sa peau glissant contre la sienne, sa langue entre ses lÚvres, lui faire lñ€ℱamour tout simplement. Mais il savait que ce nĂąâ‚Źâ„ąĂƒÂ©tait pas que le cul qui lui plaisait chez elle. Oh non pas le moins du monde ! AprÚs tout elle avait dñ€ℱabord était longuement son amie avant tout cela, avant quñ€ℱils ne craquent et tombent dans le cercle vicieux du plaisir charnelle qui les avait emportés lñ€ℱun comme lñ€ℱautre, lñ€ℱun avec lñ€ℱautre. Cela prouvait bien quñ€ℱils sñ€ℱentendaient bien. Et puis le fait de lui faire lñ€ℱamour lui avait fait connaÃtre dñ€ℱautres moments. La tendresse aprÚs quñ€ℱils aient couchés ensemble. Sa douceur, son odeur, tout ça ñ€© Le réveil à ses cÎtés, la regarder dormir, la voir sourire, lui parler à voix basse comme pour ne pas se réveiller trop violemment et brutalement. Lui faire lñ€ℱamour de bon matin pour un réveil mieux que nñ€ℱimporte quel autre. Lenteur, douceur, tendresse, leurs corps encore chaud en raison du sommeil qui les quittait petit à petit. Bref ñ€© Kris avait pleinement conscience que tout nĂąâ‚Źâ„ąĂƒÂ©tait pas que question de sexe entre eux la fin de la premiÚre semaine, il avait commencé par répondre  non » à la question, dans sa tÃÂȘte du moins. Prit de doutes il avait commencé à repenser à toutes les raisons pour lesquelles il ne voulait pas de lñ€ℱamour et combien il avait peur de lñ€ℱengagement. Et sñ€ℱil venait à abandonner Laety aprÚs quelques semaines ou mois de relation ? Et si elle venait à parler mariage et enfants alors que pour sa part, tout cela nĂąâ‚Źâ„ąĂƒÂ©tait nullement dans ses objectifs, proches ou lointains ? Alors dans ces cas là il la laisserait tomber, alors mÃÂȘme quñ€ℱil serait peut-ÃÂȘtre tombé amoureux. Ils seraient donc deux pauvres cons à souffrir. Et tout ça parce quñ€ℱil avait décidé de dire lui dire oui concernant la chance quñ€ℱil voulait donner à une relation avec elle. Mais rapidement, il avait chassé le non de ses pensées. Elle lui manquait trop pour que cela nñ€ℱait pas un sens. CĂąâ‚Źâ„ąĂƒÂ©tait une chose quñ€ℱil devait prendre en considération. Il crevait dñ€ℱenvie de lui dire oui et de lui laisser une chance de lui prouver que lñ€ℱamour ça peut ÃÂȘtre putain de bon et quñ€ℱil suffit de le vivre pour le voir. Mais pour cela, il fallait encore quñ€ℱil se jette à lñ€ℱeau et accepte dñ€ℱavancer à lñ€ℱaveugle tout droit dans quelque chose qui lui faisait peur plus que de raison. Mais il avait peur, terriblement peur. AprÚs tout, il nñ€ℱavait jamais prétendu ÃÂȘtre plus courageux quñ€ℱun autre homme. Il nñ€ℱavait mÃÂȘme jamais prétendu ÃÂȘtre courageux, tout court. Ainsi pas de mauvaise surprise à la sortie. Quoi quñ€ℱil en soit, il avait tout de mÃÂȘme eut du mal à trouver une réponse à la question quñ€ℱil se posait inlassablement. Et puis durant les derniers jours il avait commencé à se dire que de toute façon il nñ€ℱavait pas réellement le choix. Ce nĂąâ‚Źâ„ąĂƒÂ©tait pas comme si lñ€ℱabsence de Laety à ses cÎtés ne lui faisait rien. Elle lui manquait comme ce nĂąâ‚Źâ„ąĂƒÂ©tait pas permit alors avec ça, comment douter du fait que ce serait toujours aussi sñ€ℱil venait à lui dire non ? Il ne doutait plus de ce cÎté-là . Il avait besoin dñ€ℱelle à ses cÎtés coûte que coûte. Et à cÎté de cela, il doutait de pouvoir résister à lñ€ℱenvie de lui faire lñ€ℱamour sñ€ℱils venaient à se cÎtoyer réguliÚrement, voir tout le temps. Le désir entre eux étaient constant et bien trop puissant pour ÃÂȘtre oublié ou mit, tout simplement, de cÎté. MÃÂȘme sans la voir, il avait envie dñ€ℱelle et dñ€ℱaucune autre. Il ne remarquait mÃÂȘme plus les filles qui passaient prÚs de lui, devant lui ou autres. Il nñ€ℱy avait plus que Laety, Laety et encore Laety. Est-ce que ça signifiait quelque chose ? Il commençait sérieusement à penser que oui. Et puis finalement, cñ€ℱest aprÚs deux longues semaines à peser inlassablement les pour et les contre, quñ€ℱil avait fixé sa réponse. Oui, oui, oui et oui et encore oui ! CĂąâ‚Źâ„ąĂƒÂ©tait un soir comme un autre, ou plutÎt une nuit aprÚs le bar, alors quñ€ℱil sñ€ℱapprÃÂȘtait à aller se coucher, quñ€ℱil avait prit cette décision. Assit sur le bord de son lit, son regard parcourant longuement sa chambre, il avait imaginé Laety là . Simplement là à marcher, lui parler, rire avec lui, le rejoindre dans son lit pour faire longuement lñ€ℱamour avant de dormir dans les bras lñ€ℱun de lñ€ℱautre ou elle sur lui comme elle avait aimé à le faire. Oui il avait foutrement besoin dñ€ℱelle-mÃÂȘme sñ€ℱil ne pensait pas en ÃÂȘtre amoureux. Mais sa présence lui manquait. Sa voix, son intelligence, sa conversation, son humour, la douceur de sa peau, la chaleur de son corps, le goût de ses lÚvres ñ€© Tout ça lui manquait plus que de raison et il devait bien le reconnaÃtre. Cñ€ℱest donc ravit comme pas deux à cette idée, quñ€ℱil se coucha cette nuit là pour se réveiller, neuf heures plus tard, en pleine forme. Durant cette journée, il avait longuement hésité à appeler Laety. Devait-il attendre encore un peu ? Non bien sûr que non ñ€© Pourquoi faire alors quñ€ℱil avait enfin la réponse quñ€ℱil lu avait promit ? Mais au moment oÃÂč il sñ€ℱempara de son téléphone, aprÚs un long petit déjeuner ajouté à un déjeuné, pour composer son numéro et tout simplement la joindre, celui-ci sonna. En reconnaissant le numéro de téléphone de lñ€ℱun de ses amis, il en fut presque déçu mais répondit tout de mÃÂȘme. CĂąâ‚Źâ„ąĂƒÂ©tait peut-ÃÂȘtre un signe. Oui ñ€© Peut-ÃÂȘtre quñ€ℱil devait attendre encore un petit peu avant de prévenir Laety de sa décision.  Hey Kris ! Ce soir tu ramÚnes ton cul toute la bande sort en boÃte. » Sortir dans un moment pareil ? Non il avait tellement mieux à faire ! Oui ñ€© Il fallait quñ€ℱil appelle Laety et il avait le besoin presque vital de la voir pour lui faire part de sa décision.  Non pas ce soir je ñ€© » Sans mÃÂȘme lui laisser le temps de terminer sa phrase, son ami le coupa.  Non mais je ne te laisse pas le choix mon vieux ! Tu te ramÚnes ce soir ça fait trop longtemps quñ€ℱon tñ€ℱa pas vu en soirée et on ne va pas te laisser déprimer dans ton coin pour on ne sait quelle raison ! » Comprenant quñ€ℱil nñ€ℱavait pas tellement le choix finalement, Kris raccrocha son téléphone aprÚs avoir promit de se pointer dans la boÃte de nuit oÃÂč ils avaient lñ€ℱhabitude de se rendre. Le téléphone raccroché et lñ€ℱheure avançant, le jeune homme décida dñ€ℱattendre une journée de plus avant de contacter Laety. Il nĂąâ‚Źâ„ąĂƒÂ©tait plus à ça prÚs de toute façon ñ€©Quelques heures plus tard, aprÚs une longue douche brûlante, Kris revÃÂȘtit un slim jean taille basse noir, un tee shirt de la mÃÂȘme couleur à écritures imprimées et un pull gilet épais toujours de la mÃÂȘme couleur. Prenant son temps, il mit une touche de gel dans ses cheveux pour les ramener en piques courtes, les ayant fait couper quelques jours plus tÎt. Les racines brunes étaient à présent franchement visibles mais il ne cherchait pas à les cacher. Dans quelques petites semaines, soit il ferait couper ses cheveux trÚs courts soit il les teinterait pour redevenir brun. Cela restait encore à voir. Peut-ÃÂȘtre les teindre pour les avoirs plus bruns que ce quñ€ℱil était naturellement. Tranquillement, il replaça correctement ses bracelets et fit passer son collier par-dessus son tee shirt avant de quitter sa salle de bain et descendre les escaliers de son appartement. Là , il chaussa sa paire de chaussures noires à crash blanches pour les mettre par-dessus son pantalon qui lui collait à la peau. Une fois totalement prÚs, il rangea son téléphone portable dans sa poche et récupéra ses clés, fermant la porte derriÚre lui avant de prendre les escaliers pour descendre les étages à vive allure. Une fois dans sa voiture, comme à chaque fois avant de démarrer, il ne put sñ€ℱempÃÂȘcher dñ€ℱespérer quñ€ℱelle soit dñ€ℱassez bonne humeur pour démarrer. CĂąâ‚Źâ„ąĂƒÂ©tait quñ€ℱelle pouvait ÃÂȘtre capricieuse cette voiture. Et comme à chaque fois, elle mit un long moment avant dñ€ℱaccepter de démarrer. Une fois la voiture engagée sur la route, Kris la remercia à mi voix, songeant quñ€ℱil avait franchement lñ€ℱair idiot à parler ainsi à sa voiture. Mais il nĂąâ‚Źâ„ąĂƒÂ©tait pas le genre de personne à se prendre la tÃÂȘte pour savoir ce que pensaient les autres de lui. Il était lui et se sentait parfaitement bien de la sorte ! Il ne changerait jamais pour personne. Si ce nñ€ℱest pour Laety en acceptant de changer dñ€ℱavis concernant lñ€ℱamour et tout ce qui va avec. De longues minutes plus tard, aprÚs sñ€ℱÃÂȘtre longuement ennuyé dans les embouteillages de ce début de soirée, il arriva enfin à la boÃte de nuits oÃÂč il devait retrouver ses amis. Comme à chacune de leurs soirées, il salua ceux qui étaient déjà là et attendit avec eux, lñ€ℱarrivée des retardataires. Une fois tout le groupe réunit, ils entrÚrent dans la boite en saluant le videur, étant des habitués des lieux. Une fois à lñ€ℱintérieur, ils trouvÚrent un coin de libre et Kris se vautra plus quñ€ℱil ne sñ€ℱinstalla sur la banquette en coin. Il nñ€ℱavait pas franchement lñ€ℱenvie de danser ou que ce soit de ce genre. Mais boire, oui ! Rapidement, lñ€ℱalcool coula à flots à leur table et ils burent plus quñ€ℱil ne le faudrait. Heureusement pour Kris, il supportait tellement bien lñ€ℱalcool, quñ€ℱil était encore totalement net et maÃtre de lui alors que ses amis commençaient déjà à rire sans raison et à vouloir aller danser et draguer tout ce qui bougeait. Rapidement, ils ne furent plus que trois autour de la table, dont Kris évidemment. Celui-ci préférait regarder lñ€ℱheure tourner et ses amis sñ€ℱamuser. Cñ€ℱest en regardant longuement les gens présents sur la piste de danse, quñ€ℱil reconnut Laety. Ce furent dñ€ℱabord ses longues jambes fines et délicieusement galbées mises en valeur par un slim noir ainsi que des talons hauts, quñ€ℱil reconnut instantanément. Levant lentement le regard, passant par ses fesses parfaitement arrondies et quñ€ℱil savait fermes, il détailla longuement son top rouge qui contrastait fortement avec la pùleur de sa peau. Décolleté et moulant, il mettait en valeur sa petite poitrine quñ€ℱil aimait tant. La regardant toujours pour la détailler longuement, il regarda ses cheveux blonds boucler sur ses épaules, son profil si doux et harmonieux. Le souffle coupé, il avait la violente envie de la rejoindre sur cette piste de danse, alors quñ€ℱelle se déhanchait seule au milieu de tous ces abrutis. A elle seule elle éclipsait toutes les autres filles présentes. Elle nñ€ℱavait pas besoin de porter une jupe outrageusement courte pour attirer lñ€ℱattention contrairement à dñ€ℱautres, par exemple. Alors que Kris venait de se lever, il se figea et serra les dents en voyant un type se coller à Laety. Forcément ñ€© Une fille aussi belle quñ€ℱelle ne pouvait pas se trouver là seule ñ€© Alors quñ€ℱil allait se rasseoir, totalement déçu et dépité, il la vit le repousser doucement. Comprenant quñ€ℱelle ne désirait nullement la présence de ce jeune homme, Kris fini par sñ€ℱapprocher lentement de la piste de danse, sans la quitter du regard, sans rien manquer des tentatives désespérées de cet imbécile pour rester contre elle et danser avec elle. En voyant sa main descendre sur lñ€ℱune de ses fesses, Kris sentit son sang battre à ses tempes. Si ça nñ€ℱavait tenu quñ€ℱà lui, il aurait collé son poing dans la gueule de ce type, histoire de lui faire comprendre la signification du mot non. Mais le temps quñ€ℱil arrive à eux, Laety était parvenu à lĂąâ‚Źâ„ąĂƒÂ©loigner quelque peu de lui. Arrivant tranquillement, Kris se plaça entre eux, faisant face au type en lui lançant un regard noir.  Dégage abruti ñ€© Elle est déjà prise. » Lùcha-t-il dñ€ℱune voix claquante avant de se retourner vers Laety sans ajouter un mot, souriant faiblement en coin en posant ses mains sur ses hanches et les remontant avec lenteur dans son dos pour la serrer contre lui en posant sa joue contre ses cheveux et inspirant longuement son odeur qui lñ€ℱenvoûtait plus que de raison. Tout en dansant au rythme de la musique en la gardant contre lui, il sĂąâ‚Źâ„ąĂƒÂ©loigna lentement du jeune homme un peu trop entreprenant.  Je pensais que jñ€ℱallais pouvoir tñ€ℱaider comme un preux chevalier ñ€© Mais tñ€ℱavais pas besoin de mon aide finalement. » Souffla-t-il en souriant en coin. InvitéInvitéSURVOLE PETIT COQUINSujet Re Trust me, Say me yes, for the life. K&L Lun 2 Mai - 1805 Un, deux, trois, quatre, cinq, six, sept et huit. Ces chiffres, ces huit petits chiffres que jñ€ℱaimais tant entendre quand jĂąâ‚Źâ„ąĂƒÂ©tais à la danse, ces chiffres que jñ€ℱaimais compter lorsque je dansais, ces chiffres qui nñ€ℱavaient plus aucun secret pour moi. Des chiffres qui me plaisaient. La danse était et est une réelle passion pour moi. Je ne pourrais pas mñ€ℱen passer, a tel point que jñ€ℱavais mÃÂȘme fait construire une salle de danse dans ma villa. Certes petite, mais existante. Jñ€ℱaimais danser, cĂąâ‚Źâ„ąĂƒÂ©tait plus quñ€ℱun fait, on ne pouvait pas passer à cÎté de ma réelle passion. Sentir la sueur perler sur mon corps aprÚs lñ€ℱeffort, la musique virevolté dans la piÚce, me voir bouger dans le miroir, entendre ma respiration saccadé, me jeter sur le sol pour essayer de respirer, prendre une bonne douche bien brulante pour éliminer les toxines que jñ€ℱavais sortie lors de lñ€ℱeffort. Oui danser, et encore danserñ€© Sans plus jamais mñ€ℱarrÃÂȘter, sans plus jamais faire autre chose, tenir la barre en bois, la caresser, sentir lñ€ℱodeur du parquet de la colophane, les pointes aux pieds, le bruit que cela fait quand lñ€ℱon sauteñ€© Avoir les pieds en sang tellement lñ€ℱon sñ€ℱest démené pour faire ce que lñ€ℱon voulait, progresser et encore progresser, constamment ouiñ€© La danse était toute ma vie, elle passait mÃÂȘme avant le mannequinat cĂąâ‚Źâ„ąĂƒÂ©tait pour direñ€© Non plus sérieusement, la danse était ma raison de vivre jusquñ€ℱà ce que je le croise. Jusquñ€ℱà ce que min regard se pose sur ce bel apollon ñ€© Mystérieux, envoutant, énigmatique, ténébreuxñ€© cet homme aux allures parfaite, des traits fins et masculins, une voix suave et grave, sensuelle et charmante, une voix a vous donner des frissons tellement elle est parfaiteñ€© Oui lui, il était devenu ma raison de vivre, je ne jurais que par lui, ne vivais que pour luiñ€© Je ne pensais quñ€ℱà lui, je rÃÂȘvais de lui, bref, Kristopher était devenu trÚs, trÚs important dans ma vie. Il était comme ma raison de vivre, oui je pensais à lui et mon cÅ“ur sñ€ℱemballait et pas quñ€ℱun peu, je pouvais mÃÂȘme rougir, devenir rouge comme une tomate, il me changeait, il me transformait en une autre femmeñ€© Et cĂąâ‚Źâ„ąĂƒÂ©tait trÚs plaisant. Il était celui qui pouvait faire de moi une femme heureuse, comblée, dans tous les sens du terme. Kristopher était quelquñ€ℱun de trÚs doux, mais aussi de trÚs sauvage et il savait sñ€ℱy prendre avec moi. Jñ€ℱavais pu le voir a multiples reprises, oh oui et trÚs en profondeurñ€© Que ça soit chez lui, au camping, dans la rue, chez moiñ€© Oh oui chez moi sous la doucheñ€© Sensuel, lent, tendreñ€© Une relation des plus parfaite, oh ça oui, je ne pouvais pas ignorer que Kristopher était tout bonnement parfait au lit. Je lñ€ℱaimais, je lñ€ℱaimais et ce nĂąâ‚Źâ„ąĂƒÂ©tait pas en parti grùce à ses atouts sexuels. Je lñ€ℱaimais bien avant de connaitre le sexe avec luiñ€© Jñ€ℱavais eu le coup de foudre pour lui au premier regard et un coup de foudre on ne peut pas le contrÎler, on ne peut pas non plus lñ€ℱignorer et essayer de passer à autre choseñ€© Non, on ne peut pas. Essayant de me changer les idées, comme si cela était réellement possibleñ€© Je décidai de partir en boite de nuit. Jñ€ℱaimais danser aprÚs toutñ€© autant en profiter, mÃÂȘme si cñ€ℱest seul que jñ€ℱirais. Me retrouvant rapidement au bar, je ne perdis pas une seule seconde, commandant alors plusieurs verres que je bu assez rapidement. Je buvais un peu trop, jñ€ℱavais tendance à tenir lñ€ℱalcool, mais quand je ne le tenais pas, cĂąâ‚Źâ„ąĂƒÂ©tait violent et je vomissais a coup sur. Andréa en avait fait les fraisñ€© Tant pis pour lui, cĂąâ‚Źâ„ąĂƒÂ©tait tombé sur la mauvaise personneñ€© Une fois les verres bus, je me levais aprÚs quelques instants allant alors sur la piste de danse. Me déhanchant lentement au rythme de la musique je sentis des mains se poser sur ma taille. Relevant les yeux, un inconnu se tenait face à moi. Inconnu qui nñ€ℱallait pas tarder à se faire virer, je voulais ÃÂȘtre seuleñ€© ou alors accompagnée de Kristopher. Le poussant lentement je lui fis alors comprendre que je nĂąâ‚Źâ„ąĂƒÂ©tais en aucun cas intéressé. Si seulement il voulait comprendreñ€© Mais il faut croire que non ! Me touchant les fesses, je le repoussais violemment en lui mettant alors une claque. Il était hors de question que lñ€ℱon me touche ! tout a coup quelquñ€ℱun se mit devant moi sans que je nñ€ℱeus le temps de faire ou dire quoi que se soit.  Dégage abruti ñ€© Elle est déjà prise. » Surprise de le voir la devant moi, je le regardais lentement en me mordillant la lÚvre. Kristopher était toujours là quand il le fallait. Quinze jours sans lñ€ℱavoir vu, dieu quñ€ℱil mñ€ℱavait manqué, oui terriblement mÃÂȘme. Jñ€ℱavais lñ€ℱimpression de revivre, comme si un énorme poids était sortir de mon plus profond intérieur. Je voir devant moi, entendre sa voix, sa prestance, son corpsñ€©. Mñ€ℱarrÃÂȘtant de danser tranquillement, le regardant je ne pus mñ€ℱempÃÂȘcher de sourire de plus en plus en voyant quñ€ℱil prenait ma défense. Cet homme était fait pour moi, il était lñ€ℱamour de ma vie, oh ça ouiñ€© et je ne pouvais pas le lùcher ni mÃÂȘme le perdre. Kristopher, ce prénom qui était ancré en moi depuis trop de mois maintenant. Celui-ci se tournant vers moi, je sentais ses mains sur mes hanches, gémissant doucement, je le laissais faire collant alors mon corps contre le sien. Mon cÅ“ur sñ€ℱemballant, je me sentis légÚrement rougir sous lñ€ℱexcitation et la joie quñ€ℱil procurait chez moi. Sentant sa joue se collait sur le dessus de ma tÃÂȘte, contre mes cheveux, je le laissais faire reculant en suivant ses pas. Mes mains se posant à sa taille, je remontais ma main libre dans son bas dos faufilant ma main sous son haut caressant alors lentement sa peau tout en fermant les yeux. Elle est déjà priseñ€© Ces mots résonnaient dans ma tÃÂȘte longuementñ€© Oui trÚs longuementñ€©  Je pensais que jñ€ℱallais pouvoir tñ€ℱaider comme un preux chevalier ñ€© Mais tñ€ℱavais pas besoin de mon aide finalement. » Passant ma langue sur mes lÚvres, un léger sourire se logeant sur mon visage, je fermais briÚvement les yeux en inspirant longuement lñ€ℱodeur qui émanait de son corps, son odeur, sa douce et belle fragrance. Elle mñ€ℱavait tant manqué, deux semaines, oui deux semaines de souffrance, dñ€ℱattente et jñ€ℱen passe. Resserrant mon emprise sur lui, mon corps vraiment collait au sien, je remontais ma main, lentement vers son cou, pressent mes doigts dessus, mon pouce caressant alors sa pomme dñ€ℱAdam plongeant mon regard dans le sien. Des yeux bleus, tellement bleus, envoutant, énigmatique, intense sensationnelle, des yeux qui me faisait rÃÂȘver, des yeux ou je pouvais y lire comme un livre ouvert, en me heurtant à un mur lorsquñ€ℱil sñ€ℱagissait dñ€ℱamourñ€© Un regard qui me laissait sur un petit nuageñ€©  Humñ€© A une minute prÚs, tu aurais pu ÃÂȘtre mon preux chevalierñ€© Mais rassure-toi beau blondñ€© Tu lñ€ℱes quand mÃÂȘmeñ€© Il nñ€ℱavait pas lñ€ℱair de vouloir me laisserñ€© » soufflai-je doucement en posant mon front contre le sien tout en souriant faiblement. Kristopher était bien là ñ€© Il était bel et bien là . Soupirant longuement, jñ€ℱenfouissais sans attendre ma tÃÂȘte dans son cou en soufflant longuement contre sa peau. Remontant mes bras sur ses épaules, je glissais alors mes mains dans ses cheveux entortillant alors mes index dedans en fermant les yeux me laissant guider par ses pas. Il menait la danse, oui, il la menait, et je bougeais le bassin contre le sien. Nous faisions presque la mÃÂȘme tailleñ€© A quelques centimÚtres prÚs cela pouvait passerñ€© Et pour faire lñ€ℱamour debout cĂąâ‚Źâ„ąĂƒÂ©taitñ€© tout bonnement parfait. Ne surtout pas penser à cela alors que jĂąâ‚Źâ„ąĂƒÂ©tais dans ses bras en train de danser. Non, ne pas penser au sexe de quelconque maniÚre possible. Se serait un sacrilÚge, jñ€ℱaurais envie de faire lñ€ℱamour avec lui, hors nous ne pouvions pas faire lñ€ℱamour, nous nĂąâ‚Źâ„ąĂƒÂ©tions pas ensemble et il ne mñ€ℱavait toujours pas donné sa réponseñ€© Soit, je devais attendre gentiment et patiemment quñ€ℱil puisse enfin me fixer sur notre relation. Passant ma langue sur mes lÚvres je frissonnais légÚrement en déglutissant par la suite.  Alors ? Quñ€ℱest ce qui tñ€ℱamÚne ici ? Tu tñ€ℱennuie ? » demandai-je un tantinet curieuse de savoir ce quñ€ℱil faisait ici a cette heure ciñ€© Est-ce quñ€ℱil était seul ? Est-ce quñ€ℱil était accompagné ? Regardant dans la salle, je guettais la réaction de nñ€ℱimporte quelle fille vis-à -vis de nous. Rienñ€© Non aucune ne paraissait jalouse. Tant mieux dans un sens. Je lui faisais entiÚrement confiance de toute façon, mais on était jamais sûre a cent pour cent. Soupirant doucement jñ€ℱembrassais doucement son cou, comme pour lui montrer que je ne voulais pas influencer quoi que se soit avant de me reculer quelque peu pour rompre notre étreinte. Nous ne devions pas ÃÂȘtre si proches alors quñ€ℱil devait choisir encore une réponse. Détournant lentement le regard je baissais alors ma tÃÂȘte en triturant mon haut tout en me mordillant la lÚvre.  Kristopherñ€© Tu nñ€ℱas pas encore prit de décisionñ€© Je nñ€ℱai pas envie dñ€ℱinfluencer ton jugementñ€© surtout en dansantñ€© Aussi collé lñ€ℱun à lñ€ℱautreñ€© Merci dñ€ℱÃÂȘtre venu me défendreñ€© Je vais rentrer je croisñ€© Jñ€ℱattendrais ton appel, ou ton message, nñ€ℱimporte quoiñ€© » dis-je doucement en lñ€ℱembrassant alors sur la joue la caressant du bout de mes doigts. Souriant faiblement, je lui tournais le dos alors pour partir. InvitéInvitéSURVOLE PETIT COQUINSujet Re Trust me, Say me yes, for the life. K&L Sam 7 Mai - 328 Lñ€ℱabsence de Laety à ses cÎtés, faisait clairement comprendre à Kris quñ€ℱelle comptait beaucoup pour lui et quñ€ℱelle lui manquait. Oui elle comptait bien plus encore, que ce quñ€ℱil sĂąâ‚Źâ„ąĂƒÂ©tait dñ€ℱabord imaginé. Rien à avoir avec une simple amitié ajoutée à un désir sexuel constant. Non, finalement, cĂąâ‚Źâ„ąĂƒÂ©tait bien plus que cela. Sans doute des sentiments bien plus forts que ce quñ€ℱil sñ€ℱimaginait depuis un petit moment déjà . Voulait-il lui laisser une chance de lui prouver que lñ€ℱamour nĂąâ‚Źâ„ąĂƒÂ©tait pas si nul que cela et que ça valait le coup ? Oui, cent fois oui ! Oui il voulait lui laisser cette chance parce quñ€ℱil avait une confiance aveugle en elle et parce quñ€ℱelle était déjà parvenue à le toucher comme aucune autre femme nĂąâ‚Źâ„ąĂƒÂ©tait parvenue à le faire jusquñ€ℱà présent. Et ce nĂąâ‚Źâ„ąĂƒÂ©tait pas seulement une question de rapports sexuels mÃÂȘme sñ€ℱil fallait avouer que de ce cÎté-là , cĂąâ‚Źâ„ąĂƒÂ©tait plus que parfait. Oui, réellement plus que parfait. Un plaisir sans erreur, sans fausse note, sans désaccord. Bref, perfection absolue. Tellement, quñ€ℱils sĂąâ‚Źâ„ąĂƒÂ©taient consumés un peu plus à chaque rapport. Kris en était arrivé à rÃÂȘver dñ€ℱelle de façon presque quotidienne et penser à elle tous les jours. Cñ€ℱen était presque choquant de voir la place importante quñ€ℱelle avait prise en lui, dans son cÅ“ur et dans son esprit. La premiÚre à parvenir à faire cela et ça avait une réelle importance pour lui. Oui, cela voulait tout dire et cĂąâ‚Źâ„ąĂƒÂ©tait bien pour cette raison, quñ€ℱil se devait de lui dire oui et encore oui, à la question à laquelle il devait répondre. Voulait-il laisser une chance à leur relation ? Oui ! AprÚs la décision, il y avait lñ€ℱannonce. Mais pour ce faire, il avait besoin de la voir. Il ne tenait pas à le lui dire sur msn, facebook, par sms ou au téléphone. Cette annonce avait beaucoup trop dñ€ℱimportance pour quñ€ℱelle soit faite de la sorte, il ne le voulait surtout pas. Il voulait la voir pour le lui dire. Poser doucement ses mains sur ses hanches, sourire en coin, plonger son regard dans le sien et lui annoncer cela doucement, sans la quitter du ne doutait pas quñ€ℱentendre cela, lui plairait plus que de raison. Cela faisait un an quñ€ℱelle lñ€ℱaimait sans jamais oser le lui dire par peur de le perdre. Quelques semaines quñ€ℱils couchaient ensemble sans ÃÂȘtre capables de sñ€ℱen empÃÂȘcher tant le désir était présent en eux et lñ€ℱattirance terriblement forte. Et ça faisait deux semaines trÚs précisément, quñ€ℱelle attendait une réponse de lui, sans avoir eut la moindre de ses nouvelles. Pas de texto de sa part, dñ€ℱappel, de message sur le net. Non, rien du tout. Et cĂąâ‚Źâ„ąĂƒÂ©tait bien grùce à cela, quñ€ℱil avait réalisé lñ€ℱimportance quñ€ℱelle avait prise pour lui. Elle était sans doute mÃÂȘme devenue indispensable pour lui, mÃÂȘme sñ€ℱil avait encore quelque peu du mal à se lñ€ℱavouer. Il avait toujours aussi peur de se laisser pleinement aller et de tomber amoureux dñ€ℱelle. Il avait peur dñ€ℱÃÂȘtre blessé et trahit, peur dñ€ℱÃÂȘtre lùché dans une relation dont il serait le seul à se donner pleinement. Mais cĂąâ‚Źâ„ąĂƒÂ©tait de Laety quñ€ℱil était question. Laety ñ€© Sans doute lñ€ℱune des seules femmes en qui il avait pleinement confiance. La seule qui lui donnait des envies dñ€ℱamour et de relation. Oui il voulait lui faire plus confiance encore, voulait quñ€ℱelle lui prouve que lñ€ℱamour pouvait rendre heureux, voir mÃÂȘme que cĂąâ‚Źâ„ąĂƒÂ©tait nécessaire pour cela. Il ne doutait pas un instant quñ€ℱelle était parfaitement capable de le lui montrer, avec simplement un peu de patience et de temps. Elle nñ€ℱavait quñ€ℱà lui montrer combien elle-mÃÂȘme lñ€ℱaimait, sans aucun doute. Oui, cela devrait bien suffire à rassurer Kris, quñ€ℱil voit combien elle était capable de lñ€ℱaimer, lui et simplement lui. Il avait simplement le besoin de voir que cĂąâ‚Źâ„ąĂƒÂ©tait parfaitement possible et que les sentiments amoureux étaient bien ré que Kris se trouvait dans une boite de nuit en compagnie dñ€ℱune bande dñ€ℱamis, bien que le cÅ“ur nñ€ℱy était pas, il aperçu le fruit de ses envies et de ses pensées. Que faisait-elle là ? Eh bien comme lui, elle faisait la fÃÂȘte tout simplement. Mais il ne lui manquait donc pas, pour quñ€ℱelle ait le cÅ“ur à sñ€ℱamuser ? Lui-mÃÂȘme nĂąâ‚Źâ„ąĂƒÂ©tait là que par amitié. Mais elle ñ€© Elle, elle trouvait tout de mÃÂȘme le temps et lñ€ℱenvie de faire la fÃÂȘte alors quñ€ℱelle attendait une réponse des plus importantes de sa part. Dñ€ℱun autre cÎté, il ne pouvait décemment pas le lui reprocher. CĂąâ‚Źâ„ąĂƒÂ©tait lui qui prenait tout son temps pour cela, sans lui donner signe de vie. Lui qui lui infligeait cette longue pose sans nouvelles. Il nñ€ℱallait pas non plus exiger dñ€ℱelle quñ€ℱelle sñ€ℱenferme chez elle sans faire quoi que ce soit ni voir qui que ce soit. Ce serait la cerise sur le gùteau, véritable exagération de sa part. Au contraire, il avait plutÎt intérÃÂȘt à ÃÂȘtre ravit, un tant soit peu, de voir quñ€ℱelle ne se laissait pas abattre pour si peu. Oui, Laety était une femme forte et il était plus que fier dñ€ℱÃÂȘtre tombé sur elle. Elle était une jeune femme forte, intelligente, rusée, patiente, de confiance, séduisante, excitante ñ€© Et il avait eut la chance dñ€ℱÃÂȘtre tombé sur elle et pas une autre. La chance quñ€ℱelle soit elle-mÃÂȘme tombée amoureuse de lui, ce jour là dans ce bar dans lequel il se produisait tous les soirs. La chance quñ€ℱelle soit revenue réguliÚrement par la suite, assez pour quñ€ℱil en fasse une chance et quñ€ℱil se décide lui-mÃÂȘme à lñ€ℱaborder en comprenant quñ€ℱelle nñ€ℱoserait jamais le faire dñ€ℱelle-mÃÂȘme. Une chance quñ€ℱelle finisse par trouver le moment et le courage de le charmer pour lui faire comprendre combien il avait envie dñ€ℱelle et combien leurs corps étaient faits pour se trouver et se retrouver, sñ€ℱamadouer et sñ€ℱ quñ€ℱun type était en train de lñ€ℱennuyer plus que de raison, jouant au lourd à vouloir à tout prix se coller à elle pour danser, Kris ne put sñ€ℱempÃÂȘcher dñ€ℱintervenir, délaissant son ami pour rejoindre Laety. La seconde dñ€ℱaprÚs, il fit fuir le type un peu trop entreprenant bien que la jeune femme était déjà parvenue à lui faire comprendre quñ€ℱelle ne voulait pas de lui. Sans laisser le temps à la blonde de comprendre ce qui lui arrivait, il sĂąâ‚Źâ„ąĂƒÂ©tait collé à elle pour lñ€ℱentrainer plus loin sur la piste de danse lñ€ℱair de rien. Posant sa joue contre ses cheveux, Kris ferma les yeux en soupirant de bien ÃÂȘtre, frissonnant franchement en sentant sa main se faufiler sous son haut. Se passant rapidement la langue sur les lÚvres, il passa lentement ses mains dans son dos en la maintenant serrée contre lui. Un court instant plus tard, il eut un sourire plus franc et heureux en croisant son regard si bleu, si envoûtant, se passant lentement la langue sur les lÚvres en sentant sa main dans son cou, son pouce sur sa pomme dñ€ℱAdam. Sans la quitter du regard et sans se départir de son léger sourire, il caressant doucement son dos de ses pouces, par-dessus son haut moulant et tout ce quñ€ℱil y a de plus ñ€© Sexy et excitant.  Humñ€© A une minute prÚs, tu aurais pu ÃÂȘtre mon preux chevalierñ€© Mais rassure-toi beau blondñ€© Tu lñ€ℱes quand mÃÂȘmeñ€© Il nñ€ℱavait pas lñ€ℱair de vouloir me laisserñ€© » Son front contre le sien, Kris eut un léger rire en montant une main à sa joue pour la caresser doucement, la remontant dans ses cheveux lorsquñ€ℱelle enfouit son visage dans son cou. Il ferma les yeux en sentant sa main valide dans ses cheveux, souriant faiblement de bien ÃÂȘtre.  Hm ñ€© Moui ñ€© On va faire comme si on était persuadés quñ€ℱil allait revenir et ne plus te lùcher. Heureusement que jĂąâ‚Źâ„ąĂƒÂ©tais là hm ñ€© » Souffla-t-il dñ€ℱune voix douce en souriant en coin.  Alors ? Quñ€ℱest ce qui tñ€ℱamÚne ici ? Tu tñ€ℱennuie ? » Soupirant faiblement, il resta un moment silencieux à se contenter de caresser tendrement ses cheveux et inspirer longuement son odeur, profitant au maximum de la chaleur de son corps tout contre le sien.  Je me posais la mÃÂȘme question à ton sujet. Je suis là parce que jñ€ℱai une bande dñ€ℱamis trÚs convaincants, qui ont refusés de me laisser tranquille pour ce soir ñ€© » Et tout cela alors quñ€ℱil avait eut lñ€ℱenvie pressante, le besoin urgent, de voir Laety pour lui faire part de sa décision sur laquelle il ne reviendrait pas. Mais cĂąâ‚Źâ„ąĂƒÂ©tait finalement, sans aucun doute, un signe du destin, quñ€ℱil lñ€ℱait retrouvé ce soir là , dans cette boite de nuit bondée de monde. Frissonnant doucement au baiser quñ€ℱil sentit dans son cou, Kris se figea légÚrement en voyant la jeune femme se reculer dans lñ€ℱintention manifeste de se détacher de lui. Sans comprendre pourquoi elle se détachait de la sorte de lui, il haussa les sourcils en la regardant.  Kristopherñ€© Tu nñ€ℱas pas encore prit de décisionñ€© Je nñ€ℱai pas envie dñ€ℱinfluencer ton jugementñ€© surtout en dansantñ€© Aussi collé lñ€ℱun à lñ€ℱautreñ€© Merci dñ€ℱÃÂȘtre venu me défendreñ€© Je vais rentrer je croisñ€© Jñ€ℱattendrais ton appel, ou ton message, nñ€ℱimporte quoiñ€© » Totalement abasourdi, Kris resta totalement figé en sentant son baiser sur sa joue puis la regarda lui tourner le dos et commencer à sĂąâ‚Źâ„ąĂƒÂ©loigner. Il mit un moment à comprendre, avant de la rattraper en posant une main sur son épaule et se plaçant devant elle.  Ok ñ€© Attend, jñ€ℱai un message à envoyer. » Lùcha-t-il le plus sérieusement du monde avant de récupérer son portable dans sa poche et écrire un sms à ñ€© Laety. Un simple  Jñ€ℱai à te parler ñ€© ». Sans sourire ni montrer quoi que ce soit, il lñ€ℱenvoya et rangea son téléphone dans sa poche avant de redresser la tÃÂȘte pour la regarder le lire. Une fois fait, il passa un bras dans son dos et un autre derriÚre ses jambes avant de la soulever de terre en la portant contre lui.  Maintenant je tñ€ℱenlÚve. » Ajouat-t-il avant de prendre la direction de la sortie de la boite, ignorant les regards et les commentaires sur leur passage. Une fois dehors, il sĂąâ‚Źâ„ąĂƒÂ©loigna de plusieurs rues pour ne pas ÃÂȘtre dérangé par qui que ce soit, reposant alors lentement Laety à terre sans la quitter du regard. InvitéInvitéSURVOLE PETIT COQUINSujet Re Trust me, Say me yes, for the life. K&L Dim 8 Mai - 2049 Take me, Don't give up fait que je sois dans cette boite de nuit était un compteñ€© Mais le fait que Kristopher sñ€ℱy trouve lui aussi comme de par hasard dans la mÃÂȘme que moi était un autre fait. Il y avait combien de boite de nuit sur Southampton ? Trop pour les compter, surtout quand on voit a quel point la ville est de plus en plus étudiante et que le centre de la ville devient des bars a gogos et des boites de nuits. Tout pour attirer les jeunes les plus prochesñ€© Alors nĂąâ‚Źâ„ąĂƒÂ©tait ce pas un foutu destin qui avait fait que nous nous retrouvions tous les deux dans cette foutue boite de nuit ? Je me le demande bienñ€© Il parait que je réfléchis trop, il parait que jñ€ℱemmerde les gensñ€© Je me posais des questions, je mñ€ℱen posais plein comme tout bon nombre de gens, on sñ€ℱen posait tous des putains de questions ! Mais dans mon cas les questions fusaient à tout sensñ€© pourquoi ? Tout simplement parce que Kristopher était en quelque sorte lñ€ℱamour de ma vie et que je lñ€ℱaimais comme une folle et quñ€ℱil venait me sauver dñ€ℱun abruti sans nom. Bon certes, je mĂąâ‚Źâ„ąĂƒÂ©tais trÚs bien débrouillée toute seule en collant une gifle au typeñ€© Mais il était tout de mÃÂȘme venu, il avait voulu me sortir des bras de se typeñ€© Et cñ€ℱest ce que jñ€ℱaimais chez luiñ€© Kristopher était lñ€ℱhomme parfait, protecteur, attentionné, a lĂąâ‚Źâ„ąĂƒÂ©coute, le mec parfait qui me correspondait en tout genre. Il devait devenir mienñ€© CĂąâ‚Źâ„ąĂƒÂ©tait a présent plus que vitalñ€©  Hm ñ€© Moui ñ€© On va faire comme si on était persuadés quñ€ℱil allait revenir et ne plus te lùcher. Heureusement que jĂąâ‚Źâ„ąĂƒÂ©tais là hm ñ€© » Souriant en coin je me mordis la lÚvre en tirant légÚrement ses cheveux comme pour lui faire comprendre quñ€ℱil ne disait que des bÃÂȘtises. Oui mais nom dñ€ℱun chien que jñ€ℱaimais çañ€©. Jñ€ℱaimais quñ€ℱil puisse ÃÂȘtre si drÎle et si agréable. Jñ€ℱaimais parler avec lui, rire a ses cÎtés il me changeait il me faisait oublier plus ou moins tout le reste et jñ€ℱen passeñ€© Kristopher avait toujours eu cet effet sur moi. Et cñ€ℱest ce que jñ€ℱaimais le plus à vrai dire. Je lñ€ℱaimais pour ce quñ€ℱil étaitñ€© Mon petit Kristopherñ€© Il était mon toutñ€© Je voulais encore le croire. Sentant ses mains dans mes cheveux je fermais les yeux envoutée par ses mouvements son corps contre le mienñ€© Lui demandant alors ce quñ€ℱil faisait ici a voix basse je me sentais terriblement bien ici, dans ces bras et pas ceux dñ€ℱun autreñ€© Mon Kristopherñ€©Ã Je me posais la mÃÂȘme question à ton sujet. Je suis là parce que jñ€ℱai une bande dñ€ℱamis trÚs convaincants, qui ont refusés de me laisser tranquille pour ce soir ñ€© » Souriant en coin, je me doutais bien quñ€ℱil se poserait cette fameuse question. De savoir pourquoi jĂąâ‚Źâ„ąĂƒÂ©tais en boite de nuit et seule de préférenceñ€© Est-ce quñ€ℱil se demandait si je le trompais ? Enfin, le tromper était fort, je nĂąâ‚Źâ„ąĂƒÂ©tais pas sa copineñ€© Mais jamais je ne ferais ce genre de chose nonñ€© Jñ€ℱavais juste eu lñ€ℱenvi pressente de partir de chez moi et de me changer les idées. Entre notre histoire et lñ€ℱarrivé de ma sÅ“urñ€© Je ne savais plus oÃÂč donner de la tÃÂȘteñ€© Ma vie prenait une tournure que je ne contrÎlais pas et cĂąâ‚Źâ„ąĂƒÂ©tait frustrant, jñ€ℱavais lñ€ℱimpression de revenir trois ans en arriÚreñ€© Lorsque mes parents sont décédés et que jñ€ℱai agis alors sans avoir le choixñ€© Ma sÅ“ur débarquait de SuÚde et sñ€ℱincrusté dans ma vie sans mÃÂȘme me demander la permission, la longue lettre de ma mÚre qui mñ€ℱexpliquait alors pourquoi elle ne mñ€ℱavait pas gardé mais pourquoi elle avait prit le temps de sñ€ℱoccuper de Vikkieñ€© Vikkie Isobel Dotterlaw. Une jeune fille de dix huit ans qui étudie en langue étrangÚreñ€© une jeune fille sublime, tout aussi belle que moi. Des yeux bleus comme mois, une chevelure blonde, comme moi. Elle était cependant plus petite, de huit centimÚtre. Son corps était fin comme le mien et elle avait beaucoup plus de poitrine que moi. Nous étions différentes en tout point et surtout niveau caractÚre. Mais elle était là , réellement là ñ€© A tel point que jñ€ℱen avais mÃÂȘme demandé un test pour voir si nous étions réellement sÅ“urñ€© et le verdict était tombĂƒÂ©Ăąâ‚ŹÂŠ Vlam dans ta gueule Laety, tu avais belle et bien une petite sÅ“ur qui rentrait dans ta vie sans mÃÂȘme te demander si tu es dñ€ℱaccordñ€© On ne peut pas dire quñ€ℱelle ait bien choisi son momentñ€© Je me montrais dure avec elle et strict mais je men fichaisñ€© Je ne pouvais pas faire autrement, je ne pouvais pas aimer cette fille qui me demander de le faire. Lui donner autant dñ€ℱargent que je le voudraisñ€© Non qui me dit que ce nñ€ℱest pas un coup foireux pour faire venir sa mÚre ici ? Ma mÚre en lñ€ℱoccurrenceñ€© Non, je ne voulais pas de çañ€© Je ne voulais rien de tout ça je nĂąâ‚Źâ„ąĂƒÂ©tais pas prÃÂȘte, bon sang je ne voulais pas de ça, je voulais diriger ma vie comme bon me semblait, je voulais la mener a ma sauce et pas celle des autresñ€©.  Il fallait que je sorte de chez moiñ€© Disons que lñ€ℱambiance nñ€ℱy est pas trop bonneñ€© Alors venir boire un coup et danser toute seule cĂąâ‚Źâ„ąĂƒÂ©tait pour me changer les idées. Mais que tu sois là , cñ€ℱest encore meilleurñ€© Des amis qui tñ€ℱenlÚvent ? Les méchantsñ€© Jñ€ℱespÚre quñ€ℱau moins tu nñ€ℱavais rien prévu de bien intéressant avant quñ€ℱils ne te kidnappent ? » soufflai-je contre sa peau, fermant alors les yeux, me mouvant lentement contre lui au rythmes de la musique. Une musique énergique mais à la fois légÚrement sensuelle, une musique parfaite pour nous pour danser. Nos bassins bougeant en mÃÂȘme temps nos jambes collés les unes aux autres pour ne pas ÃÂȘtre séparé dñ€ℱun millimÚtre lui et moi je me mis à sourire en regardant alors son cou. Il sentait tellement bon, il était là , il me tenait dans ses bras il était bien là . Ce nĂąâ‚Źâ„ąĂƒÂ©tait pas un fantÎme et encore moins un mirage ou je ne sais quoi dû a lñ€ℱalcool. Non il était bien là ñ€©. Soupirant en embrassant alors la peau de son cou, je me défis de ses bras en le regardant droit dans les yeux. Je ne pouvais pas rester ainsi et profiter de la situation. Je ne pouvais pas faire comme si je nñ€ℱattendais pas une réponse de sa partñ€© Lui marmonnant quñ€ℱil ne mñ€ℱavait pas encore donné sa réponse, il serait donc plus préférable que lñ€ℱon cesse de danser ensemble. Souriant faiblement, le regardant une derniÚre fois, je lui tournais le dos pour partir alors de la salle. Sentant une main me tenir lĂąâ‚Źâ„ąĂƒÂ©paule je le vis alors apparaitre devant moi. Choquée et surprise je le regardais sans trop comprendre.  Ok ñ€© Attend, jñ€ℱai un message à envoyer. » Le laissant faire me stoppant sous le coup, je le regardais encore plus intriguée sans trop comprendre ce quñ€ℱil était en train de faire. Le voyant prendre son téléphone, je posais mes mains sur ma taille le regardant alors pianoter sur celui-ci. Mais quñ€ℱest ce quñ€ℱil faisait ? Pourquoi faisait-il cela ? Sentant mon téléphone virer dans ma poche jñ€ℱentrouvrais lentement la bouche surprise de voir quñ€ℱil mñ€ℱenvoyait un message à ñ€© moi ? Kristopher mĂąâ‚Źâ„ąĂƒÂ©tonnerait toujoursñ€© CĂąâ‚Źâ„ąĂƒÂ©tait du Kristopher tout craché a vrai direñ€© Prenant mon téléphone je cliquais sur ouvrir pour voir son message apparaitre alors.  Jñ€ℱai à te parler ñ€© »  Mais quñ€ℱest ce queñ€© » Haussant un sourcil relevant la tÃÂȘte vers lui, je nñ€ℱeus pas le temps de ranger mon téléphone dans ma poche ni mÃÂȘme de finir ma phrase que je sentis mes pieds se dérober du sol. Passant rapidement mon bras autour de son cou pour me tenir à lui et lui faciliter un peu plus la tùche je me sentis tout a coup rougir comme une idiote, ignorant alors les regards des autres, enfouissant carrément mon visage dans son cou soupirant contre sa peau. Peau chaude et douce à souhait.  Maintenant je tñ€ℱenlÚve. » Me collant un peu plus contre lui, je ne demandais mÃÂȘme pas ou nous allions, au fond jñ€ℱavais une vague idéeñ€© Sñ€ℱil faisait cela sĂąâ‚Źâ„ąĂƒÂ©tait pour mñ€ℱannoncer alors sa réponseñ€© Réponse qui me paraissait assez clair non ? Sñ€ℱil avait voulu me dire non il nñ€ℱagirait pas ainsi, il ne prendrait pas le risque de toucher mon cÅ“ur, de me porter comme un preux chevalier venant de sauver sa princesseñ€© Non, il ne ferait pas celañ€© Mon cÅ“ur sñ€ℱemballant pendant que le trajet se faisait en silence je me sentis bien, parfaitement bien à ces cÎtés. Passant ma langue sur mes lÚvres lñ€ℱair frais sñ€ℱemparant quelque peu de mon corps, je pourrai presque mñ€ℱendormir dans ses bras. Tellement cĂąâ‚Źâ„ąĂƒÂ©tait bon et parfaitñ€© Oh ça ouiñ€© Il était beau, fort, musclé, parfait, il avait toute les qualités pour lui comment ne pas en tomber amoureuse ? Je me le demande bien mÃÂȘmeñ€©inspirant longuement je gardais les yeux fermais, alors que je le sentis se pencher pour me reposer à mÃÂȘme le sol. Posant mes pieds au sol, je le lùchais en douceur reculant dñ€ℱun tout petit pas mais pas trop. Rangeant mon téléphone dans ma poche je glissais ma main dans mes cheveux le regardant longuement avant de regarder autour de nous. Personnes nĂąâ‚Źâ„ąĂƒÂ©taient là . Nous étions seuls. Il nous avait isolés pour une raison bien précise. Mon cÅ“ur sñ€ℱemballa plus que dñ€ℱhabitude se serrant par la suite, je me mordis alors les lÚvres en lui souriant faiblement.  Kristopherñ€© tu sais que tu es fou ? Maisñ€© Que jñ€ℱaime ce cÎté chez toi ? Ton cÎté fouñ€© enfantinñ€© Tu me surprendras toujours et cñ€ℱest ce qui me charme plus quñ€ℱautre choseñ€© Toi, ta façon dñ€ℱÃÂȘtreñ€© » soufflai-je doucement en passant ma langue sur mes lÚvres. Inspirant longuement je reculais alors plus franchement lui tournant alors le dos, pour regarder la rue dans laquelle nous étions. Une rue inerte de présence, une rue pour nous deux. Ce genre de circonstance me rappelait bizarrement notre parti de jambes en lñ€ℱair dans la ruelleñ€© Ce simple coup vite fait qui mñ€ℱavait fait prendre conscience que je ne pouvais plus lui cacher lñ€ℱamour que jñ€ℱavais pour lui. Mñ€ℱinstallant contre le mur posant alors un pied contre celui-ci posant mes mains sur mes cuisses je souriais faiblement en plongeant mon regard dans le sien.  Alorsñ€© tu dois me parler ? Jñ€ℱattends ñ€© » Murmurai-je doucement en souriant faiblement le regardant amoureusement sans pouvoir mñ€ℱen empÃÂȘcher. Je lñ€ℱaimais et ce genre de sentiment on ne pouvait pas réellement les cacher. Surtout quand la dite personne concerné est au courant. Depuis quñ€ℱil était au courant je ne me cachais pas vis-à -vis de lui. Il le savait alors bonñ€© autant ÃÂȘtre sincÚre constamment avec lui. CĂąâ‚Źâ„ąĂƒÂ©tait le mieux pour nous deux. InvitéInvitéSURVOLE PETIT COQUINSujet Re Trust me, Say me yes, for the life. K&L Dim 15 Mai - 2120 Sans jamais se lasser, Kris regardait et détaillait Laety, tout comme il respirait son odeur avec plaisir et la serrer contre lui avec force, comme pour se rassurer et se satisfaire de sa présence. Il aimait terriblement la voir, lñ€ℱentendre et la garder contre lui. En tout cas il y avait prit sacrément goût depuis quelques temps. Plus précisément, depuis quñ€ℱils avaient commencé à coucher ensemble. Certes avant, lorsquñ€ℱils nĂąâ‚Źâ„ąĂƒÂ©taient encore que de simples amis, il lui arrivait souvent de la prendre légÚrement dans ses bras, sans pour autant que cela ne dure bien longtemps, sans doute par peur que son désir pour elle ne se réveille physiquement parlant. Quoi quñ€ℱil en soit, déjà dans ces brÚves étreintes, il prenait beaucoup de plaisir à la sentir tout contre lui. MÃÂȘme trop pour que leur relation ne reste quñ€ℱune simple amitié. Et pourtant il avait tenu bon. Tout dñ€ℱabord parce quñ€ℱil était en couple à cette époque. MÃÂȘme si ñ€© Ce nĂąâ‚Źâ„ąĂƒÂ©tait pas franchement de lñ€ℱamour qui lñ€ℱunissait à Elena mais plutÎt une amitié ajoutée à du sexe. Bien que sñ€ℱil avait du choisir un plan cul il en aurait eut davantage du sexe. Mais fort heureusement, Kris nñ€ℱavait jamais été un accro du sexe qui a besoin de sexe sous toutes ses formes et tous les jours. Non, loin de là mÃÂȘme. Il était plus du genre à pouvoir sñ€ℱen passer durant quelques petits mois sans que cela ne lui pose de véritable problÚme. MÃÂȘme si à chaque fois, sa nature finissait par le rappeler à lñ€ℱordre. Il nñ€ℱy avait que depuis quñ€ℱil avait commencé à coucher avec Laety, quñ€ℱil prenait terriblement goût à cela. CĂąâ‚Źâ„ąĂƒÂ©tait presque trop bon et trop beau pour lui seul et à chaque fois, il avait la sensation de mourir un peu plus. Certes il ne sĂąâ‚Źâ„ąĂƒÂ©tait pas montré franchement tendre avec Laety lorsquñ€ℱils avaient couché dans la ruelle, se faisant froid et lui en voulant presque de le tenter autant. Mais depuis quñ€ℱil connaissait ses sentiments, il ne pouvait décemment pas lui reprocher quoi que ce soit. CĂąâ‚Źâ„ąĂƒÂ©tait plutÎt lui le con de lñ€ℱhistoire, qui nñ€ℱavait rien vu venir et lui avait sans doute donné de faux espoirs en se montrant totalement incapable de sñ€ℱempÃÂȘcher de lui faire lñ€ℱamour dÚs que lñ€ℱenvie lui prenait. Mais mÃÂȘme à présent, il était incapable de regretter quoi que ce soit, si ce nñ€ℱest de lui avoir trÚs certainement fait trop de mal durant ce laps de temps. Mais comment regretter lñ€ℱabsolue perfection quñ€ℱils avaient connus tous les deux, ensemble, en faisant lñ€ℱamour à plusieurs reprises, comme totalement incapables de sñ€ℱen empÃÂȘcher ? Ce serait un véritable sacrilÚge que de regretter cela et il en était bien conscient !CĂąâ‚Źâ„ąĂƒÂ©tait à force de ressasser toutes ces pensées, que Kristopher fini par se dire quñ€ℱil serait un abruti fini sñ€ℱil ne donnait pas une chance à Laety de lui prouver que lñ€ℱamour et le fait dñ€ℱavoir une relation amoureuse, ce nĂąâ‚Źâ„ąĂƒÂ©tait pas si pourri que ça. Oui, cĂąâ‚Źâ„ąĂƒÂ©tait pour elle, pour quñ€ℱelle le fasse lñ€ℱaimer comme il se devait, quñ€ℱil avait enfin prit la décision de lui dire un grand oui. Oui, il voulait donner une chance à leur relation. Et sñ€ℱil était prÃÂȘt à lui dire oui, ce nĂąâ‚Źâ„ąĂƒÂ©tait pas en ayant un quelconque doute. Oh non, il était sûr de lui ! Ce quñ€ℱil vivait avec Laety ne pouvait décemment pas rester une simple amitié, cĂąâ‚Źâ„ąĂƒÂ©tait tout bonnement impossible. Il suffisait de voir, entre autres, la complicité qui les unissait. Le fait quñ€ℱà lñ€ℱinstant, il vienne de lñ€ℱaider à se débarrasser dñ€ℱun type trop collant et puis faire mine de lñ€ℱavoir sauvé de ce mec là alors quñ€ℱelle se débrouillait déjà parfaitement bien avant son intervention. La serrant toujours contre lui en évoluant au rythme de la musique de la boite de nuit, Kristopher en profita au maximum pour inspirer son odeur et profiter de sa chaleur. Il ne se sentait réellement bien quñ€ℱen sa présence et en lñ€ℱayant tout contre elle, aussi étrange que cela puisse paraÃtre. Et à ses yeux cela ne pouvait quñ€ℱavoir une signification les sentiments quñ€ℱil pouvait avoir pour elle étaient sincÚres et étaient en train de grandir de jour en jour. En sachant tout cela, il ne voyait pas la moindre raison acceptable de refuser de lui laisser une chance. Il faudrait vraiment ÃÂȘtre idiot pour lui dire non. Alors quñ€ℱelle lui demandait pourquoi il était là , il lui retourna la question aprÚs lui avoir dit que pour sa part, ses amis ne lui avaient pas laissé le choix et lñ€ℱavait trainé jusque là pour le faire sortir un peu, aprÚs lñ€ℱavoir vu rester ñ€˜enfermĂƒÂ©Ăąâ‚Źâ„ą chez lui bien trop longtemps à leur goût.  Il fallait que je sorte de chez moiñ€© Disons que lñ€ℱambiance nñ€ℱy est pas trop bonneñ€© Alors venir boire un coup et danser toute seule cĂąâ‚Źâ„ąĂƒÂ©tait pour me changer les idées. Mais que tu sois là , cñ€ℱest encore meilleurñ€© Des amis qui tñ€ℱenlÚvent ? Les méchantsñ€© Jñ€ℱespÚre quñ€ℱau moins tu nñ€ℱavais rien prévu de bien intéressant avant quñ€ℱils ne te kidnappent ? » Soupirant doucement de bien ÃÂȘtre, Kris se serra plus encore contre elle, comme pour effacer la plus petite distance physique qui soit, entre eux, incapable de supporter dñ€ℱÃÂȘtre un brin trop séparé dñ€ℱelle, alors quñ€ℱil venait de la trouver dans cette boite aprÚs deux trop longues semaines de séparation. Séparation insoutenable et inacceptable soit dit en passant.  Je veux bien te changer les idées moi ñ€© » Souffla-t-il doucement au creux de son oreille, posant lentement sa joue contre ses cheveux en fermant les yeux de bien ÃÂȘtre.  Hm ñ€© Ben ñ€© Si ñ€© Jñ€ℱavais quelque chose de trÚs, trÚs, important à faire. Le genre presque vital tu vois ñ€© Mais jñ€ℱai repoussé à plus tard parce que cĂąâ‚Źâ„ąĂƒÂ©tait faisable. Mais honnÃÂȘtement ça mñ€ℱa sacrément fais chier de devoir repousser ça. » Ajouta-t-il doucement en pressant plus encore Laety contre lui. CĂąâ‚Źâ„ąĂƒÂ©tait sans doute un signe quñ€ℱelle se trouve justement là , alors quñ€ℱil avait eut cette information si importante à lui dire. Oui ñ€© CĂąâ‚Źâ„ąĂƒÂ©tait sans doute prévu pour aujourdñ€ℱhui sa réponse. Et sñ€ℱil nñ€ℱavait pas encore répondu à cette question fatidique, il aurait automatiquement trouvé la réponse en la voyant là , aussi belle et parfaite quñ€ℱelle lĂąâ‚Źâ„ąĂƒÂ©tait. Elle lui avait manqué, démesurément et follement. Et cĂąâ‚Źâ„ąĂƒÂ©tait bien la preuve quñ€ℱil avait besoin dñ€ℱelle dans sa vie et autrement quñ€ℱen tant que simple amie, cĂąâ‚Źâ„ąĂƒÂ©tait certain. Lorsquñ€ℱelle se défit de lui en commençant à sĂąâ‚Źâ„ąĂƒÂ©loigner sous prétexte quñ€ℱils ne devaient pas ÃÂȘtre trop proches lñ€ℱun de lñ€ℱautre pour quñ€ℱil puisse réfléchir, il crut mourir, se sentant soudainement terriblement seul et abandonné par elle, le vide se faisant violemment ressentir dans ses bras. Choqué et silencieux, il la regarda sĂąâ‚Źâ„ąĂƒÂ©loigner avant de comprendre et la rattraper pour se mettre en travers de son chemin et lui envoyer ce foutu sms. Tout ça pour lui dire quñ€ℱil avait à lui parler.  Mais quñ€ℱest ce queñ€© » Sans mÃÂȘme lui laisser le temps de terminer sa phrase, il passa un bras dans le haut de son dos et un autre sous ses genoux pour la soulever de terre et la porter tout contre lui. En la sentant enfouir son visage dans son cou et passer son bras autour de celui-ci, il eut un faible sourire en lñ€ℱentrainant dehors, se foutant royalement de tous les regards curieux posés sur eux. Seule elle comptait ñ€© Elle et lui, eux, tout simplement. Oui ñ€© Pour une fois il se foutait royalement des quñ€ℱen dira-t-on et ne pensait quñ€ℱà elle, cette fille qui lui plaisait démesurément et qui le changeait petit à petit sans mÃÂȘme sñ€ℱen rendre compte à nñ€ℱen pas douter. CĂąâ‚Źâ„ąĂƒÂ©tait fou comme elle lñ€ℱavait fait évoluer en quelques petites semaines. Pour lui qui affirmait ne plus jamais vouloir sñ€ℱattacher à une femme ñ€© CĂąâ‚Źâ„ąĂƒÂ©tait rapé. Et étrangement, ou pas, il ne regrettait pas le moins du monde. Bien au contraire mÃÂȘme ! Si cĂąâ‚Źâ„ąĂƒÂ©tait à refaire, il referait tout exactement de la mÃÂȘme faç fois arrivé dans un coin qui lui plaisait bien, à lñ€ℱabris des regards des curieux, Kris la reposa lentement sur le sol en la regardant longuement, souriant faiblement en réalisant que ce nĂąâ‚Źâ„ąĂƒÂ©tait finalement pas si simple que cela de dire ce quñ€ℱil avait sur le cÅ“ur, lui avouer quñ€ℱil crevait dñ€ℱenvie de vivre une relation avec elle et quñ€ℱil voulait lñ€ℱaimer comme elle-mÃÂȘme lñ€ℱaimait.  Kristopherñ€© tu sais que tu es fou ? Maisñ€© Que jñ€ℱaime ce cÎté chez toi ? Ton cÎté fouñ€© enfantinñ€© Tu me surprendras toujours et cñ€ℱest ce qui me charme plus quñ€ℱautre choseñ€© Toi, ta façon dñ€ℱÃÂȘtreñ€© » Riant doucement, le brun, toujours blond depuis quelques semaines malgré les racines brunes parfaitement visibles, baissa vaguement le regard en soupirant faiblement.  Oui je sais que je suis fou ñ€© La folie est un art qui se cultive. » Répondit-il en souriant en con, relevant vaguement la tÃÂȘte pour la regarder lui tourner le dos et sñ€ℱavancer pour voir dans la rue principale, quñ€ℱils venaient de quitter. Sans mot dire, il la regarda revenir puis sñ€ℱadosser à un mur en posant un pied contre le mur et ses mains sur ses cuisses. Souriant faiblement devant sa posture, il la parcourut longuement et lentement du regard, sans parvenir à détacher son regard dñ€ℱelle, comme totalement hypnotisé.  Alorsñ€© tu dois me parler ? Jñ€ℱattends ñ€© » Réalisait-elle seulement lñ€ℱeffet fou quñ€ℱelle lui faisait et combien il la voulait ? Sans doute que non ñ€© Et cĂąâ‚Źâ„ąĂƒÂ©tait visiblement à lui de le lui dire. Mais pour ça, il ne voulait pas de cette distance physique qui le refroidissait plus quñ€ℱautre chose. Soupirant faiblement, il sñ€ℱapprocha dñ€ℱelle sans la quitter du regard, pour poser ses mains sur sa taille en cherchant son regard du sien, posant lentement une main sur sa joue.  Oui ñ€© A propos ñ€© De la réponse que je devais te donner. Hum ñ€© Je pense quñ€ℱon a perdu du temps pour rien. Enfin ñ€© Jñ€ℱai perdu du temps pour rien ñ€© Parce que depuis le début la réponse cñ€ℱest oui. Oui parce que tu me rends fou au point que je pense constamment à toi et que jñ€ℱai besoin de te savoir à mes cÎtés. Et oui parce que cñ€ℱest toi ñ€© Parce que tñ€ℱes ñ€© Je sais pas tñ€ℱes ñ€© Unique ñ€© Tu me fais rire, tñ€ℱes intelligente, tñ€ℱas de la conversation, tñ€ℱes touchante, excitante, plaisante ñ€© Alors oui je veux que tu mñ€ℱapprennes, je veux mñ€ℱen remettre à toi parce que tu me donnes envie dñ€ℱune relation et parce que jñ€ℱai une confiance aveugle en toi. » Finit-il par lùcher dñ€ℱune voix calme en gardant son regard plongé dans le sien, oubliant presque de respirer durant de longues secondes devant lñ€ℱimportance de ses propres paroles. Il savait déjà quñ€ℱil ne regretterait jamais sa décision parce que cĂąâ‚Źâ„ąĂƒÂ©tait dñ€ℱelle quñ€ℱil était question ñ€© Dñ€ℱelle et de lui bien entendu.  Je suppose que tu savais que ce serait oui à partir du moment oÃÂč je tñ€ℱai enlevé. » Dit-il en plissant le nez faussement déçu avant de sourire en coin et abandonnant sa joue de sa main pour se reculer légÚrement sans la quitter du regard, attendant une réponse, une parole, un geste, de sa part. InvitéInvitéSURVOLE PETIT COQUINSujet Re Trust me, Say me yes, for the life. K&L Mer 18 Mai - 1445 Take me, Don't give up mon Kristopher, il était là , il était bel et bien là , il était tout prÚs de moi, il était mÃÂȘme plus prÚs que ce que je ne le pensais. Etait-il là depuis longtemps ? Comment ne lñ€ℱavais-je pas vu ? Je me le demande bienñ€© Mais lñ€ℱessentiel cñ€ℱest quñ€ℱil soit là et quñ€ℱil vienne a mon secours quand il voit que jñ€ℱai un souci, oui, quñ€ℱil soit là pour moi, me protéger, faire de moi sa petite princesseñ€© Je voulais tellementñ€© Continuer a le voir, deux semaines cñ€ℱest longñ€© Trop long quand on est amoureuse comme moiñ€© Pire quñ€ℱune rupture, pire que le manque de clope, pire que toutñ€© Kristopher était devenu ma drogue, une drogue essentiel, jĂąâ‚Źâ„ąĂƒÂ©tais accroc a lui, je me shootais à lui, je vivais pour luiñ€© Il nñ€ℱavait pas le choix et moi non plus, lñ€ℱamour que jñ€ℱavais pour lui me consumait. Un coup de foudre ça ne se gÚre pasñ€© Je nñ€ℱy pouvais rien moi si au premier regard jĂąâ‚Źâ„ąĂƒÂ©tais tombée amoureuse de luiñ€© Je le savais que cĂąâ‚Źâ„ąĂƒÂ©tait lui quñ€ℱil me fallait lui et personne dñ€ℱautre. Je ne voulais mÃÂȘme pas mñ€ℱembÃÂȘter a chercher ailleursñ€© Tant pis sñ€ℱil disait non, tant pis sñ€ℱil me rejetait, tant pis si je le perdaisñ€© Mais il resterait le seul et lñ€ℱunique, il resterait le seul amour que jñ€ℱai pu avoir, le seul homme qui me donne envie de construire quelque chose, le seule que je puisse aimer dñ€ℱun amour incandescent, un amour immuable et sensationnel. Je lñ€ℱaimais et cĂąâ‚Źâ„ąĂƒÂ©tait pour la vie. Ni plus ni moinsñ€©  Je veux bien te changer les idées moi ñ€© » Sa voix, au creux de mon oreille, un frisson parcouru lĂąâ‚Źâ„ąĂƒÂ©chine de mon dos. Me poignant dans mes entrailles. Mes jambes tremblantes je mñ€ℱaccrochais un peu plus à lui avant dñ€ℱenfouir mon visage dans son cou. Remontant mes lÚvres à son oreilles, je le mordillai lentement en gémissant quelque peu sous lñ€ℱafflux de plaisir quñ€ℱil venait de me donner avec sa seule petite phrase.  Kristopherñ€© Ne me dit pas des choses de la sorteñ€© trois semaines sans ton corps sñ€ℱest long, trÚs, trop longñ€© Ne me tente pasñ€© Sñ€ℱil te plaitñ€© Je serais obligé de tñ€ℱappeler le petit diableñ€© Tentateur à fondñ€© » murmurais-je doucement en suçotant légÚrement le lobe de son oreille en tirant dessus bougeant un peu plus mon corps contre le sien. Jñ€ℱavais chaudñ€© tellement chaudñ€© Il nñ€ℱavait pas le droit de me faire des sous entendus de fou et me laisser par la suite sans rien faireñ€© Trois semaines sans sexe cñ€ℱest longñ€© trÚs long surtout quand lñ€ℱon a gouté a la perfectionñ€© Kristopher lui-mÃÂȘmeñ€© Ses coups de reins, ses gémissements, ses baisers, ses caresses, ses cris lorsquñ€ℱil jouissait pleinement en moi, sur moiñ€© Son regard envoutant, ses murmuresñ€© toutñ€© Bon sang, je me tuaisñ€© jĂąâ‚Źâ„ąĂƒÂ©tais en train de me tuerñ€©  Hm ñ€© Ben ñ€© Si ñ€© Jñ€ℱavais quelque chose de trÚs, trÚs, important à faire. Le genre presque vital tu vois ñ€© Mais jñ€ℱai repoussé à plus tard parce que cĂąâ‚Źâ„ąĂƒÂ©tait faisable. Mais honnÃÂȘtement ça mñ€ℱa sacrément fais chier de devoir repousser ça. » Haussant un sourcil, continuant de danser avec lui, je resserrai légÚrement mon emprise sur lui, mon corps se mouvant contre le sien, une de mes jambes passant entre les siennes tout en dansant lentement fermant alors les yeux. Sa voixñ€© son contact, tout mñ€ℱavait manqué, jĂąâ‚Źâ„ąĂƒÂ©tais tellement amoureuse de luiñ€© Il était ma vie, mon universñ€© Mon tout.  On repousse tous un truc à faire de toute façonñ€© Vital tu dis ? Demain tu auras le temps de le faire je penseñ€© Toute la journée mÃÂȘmeñ€© Ne me meurt pas humñ€© Tiens le choc Kristoñ€© » Murmurai-je doucement en embrassant son cou avant de reculer lentement. Le regardant longuement, je ne pu mñ€ℱempÃÂȘcher de lui dire que nous ne devrions pas faire ce que nous étions en train de faireñ€© Nonñ€© ; Nous nĂąâ‚Źâ„ąĂƒÂ©tions pas ensemble, jñ€ℱattendais sa réponse, nous ne pouvions pas compromettre ce quñ€ℱil avait instauré, ses rÚgles à lui. Lui tournant le dos il me rattrapa avant bien mÃÂȘme que je ne puisse dire quoi que se soit. Mñ€ℱenvoyant mÃÂȘme un message sur mon téléphone pour me dire quñ€ℱil avait donc quelque chose à me dire. Cet homme était donc fou ! Me prenant dans ses bras je le laissais faire en me sentant pousser des ailes. Mon cÅ“ur sñ€ℱemballant quelque peu, jñ€ℱenfouissais ma tÃÂȘte dans son cou en fermant les yeux me sentant terriblement bien là . Kristopher était un prince, un ange tombé du ciel. Oui il était mien, il était fait pour moi et jñ€ℱen restai persuadé. Allant dehors, je sentis lñ€ℱair frais envahir mon corps. Quñ€ℱest ce quñ€ℱon était bienñ€© Nous amenant bien loin de la boite de nuit, mais surtout a lñ€ℱabri de quelconque regard et dñ€ℱoreilles indiscrÚtes, nous arrivùmes dans une ruelle déserte, ou personne ne se trouvait là . Me posant a mÃÂȘme le sol, je lui souriais faiblement en lui annonçant quñ€ℱil était réellement fou mais que cñ€ℱest ce qui me plaisait chez lui, son cÎté fou qui le rendait tellement uniqueñ€© Oui Kristopher était unique et on ne pouvait pas en douter une seule secondeñ€©  Oui je sais que je suis fou ñ€© La folie est un art qui se cultive. » rigolant doucement, je lui lançais un regard taquin et amusée. Je nñ€ℱen doutais pas une seule seconde mÃÂȘmeñ€© CĂąâ‚Źâ„ąĂƒÂ©tait du Kristopher tout craché çañ€© Une folie qui se cultiveñ€© Une grande folie, une immense, énorme mÃÂȘmeñ€© Passant ma langue sur mes dents, je filais regarder dans la rue avant de revenir dans la rue. Il devait me parlerñ€© Je savais de quoi je savais déjà plus ou moins la réponse, mais on ne sait jamaisñ€© La vie nous réserve parfois de drÎle de surpriseñ€© Des surprises pas forcément bonnesñ€© CĂąâ‚Źâ„ąĂƒÂ©tait la vieñ€© Déglutissant longuement, je fermais briÚvement les yeux en venant mñ€ℱadosser contre le mur, un pied contre, je le regardais longuement avant de lui dire que jñ€ℱattendais quñ€ℱil me parle. Le regardant je le vis sñ€ℱapprocher de moi. Le laissant faire, mon souffle se coupa lorsquñ€ℱil posa ses mains sur ma taille en se collant plus ou moins contre moi. Mon cÅ“ur ayant un raté, je déglutissais a nouveau en entrouvrant les lÚvres en sentant alors sa main sur ma joue. Nos regards lñ€ℱun dans lñ€ℱautre il allait dire ouiñ€© Il allait dire ouiñ€©  Oui ñ€© A propos ñ€© De la réponse que je devais te donner. Hum ñ€© Je pense quñ€ℱon a perdu du temps pour rien. Enfin ñ€© Jñ€ℱai perdu du temps pour rien ñ€© Parce que depuis le début la réponse cñ€ℱest oui. Oui parce que tu me rends fou au point que je pense constamment à toi et que jñ€ℱai besoin de te savoir à mes cÎtés. Et oui parce que cñ€ℱest toi ñ€© Parce que tñ€ℱes ñ€© Je sais pas tñ€ℱes ñ€© Unique ñ€© Tu me fais rire, tñ€ℱes intelligente, tñ€ℱas de la conversation, tñ€ℱes touchante, excitante, plaisante ñ€© Alors oui je veux que tu mñ€ℱapprennes, je veux mñ€ℱen remettre à toi parce que tu me donnes envie dñ€ℱune relation et parce que jñ€ℱai une confiance aveugle en toi. » Le regardant droit dans les yeux dans siller je ne pu bouger. JĂąâ‚Źâ„ąĂƒÂ©tais figée, oui jĂąâ‚Źâ„ąĂƒÂ©tais figée telle une statue de glace sous lñ€ℱannonce quñ€ℱil venait de me faire. Je savais quñ€ℱil me dirait oui, je lñ€ℱavais su dÚs le moment ou il mñ€ℱavait enlevé, sinon il nñ€ℱaurait pas faire tout ça. Mais me le dire de cette façon cĂąâ‚Źâ„ąĂƒÂ©taitñ€© Magique, intense grandiose, je nñ€ℱavais pas de mot qui me venait a lñ€ℱesprit, aucun motñ€© Strictement aucun mot. Passant lentement ma langue sur mes lÚvres je fermais briÚvement les yeux. Sa main sur ma joue me rendait des plus heureuses. Le contact que nous avions me rendait totalement folle, jñ€ℱavais envie de lui, de lñ€ℱembrasser, de le serrer dans mes brasñ€©  Je suppose que tu savais que ce serait oui à partir du moment oÃÂč je tñ€ℱai enlevé. » Ouvrant lentement les yeux, je les plongeai dans les siens, le regardant alors a nouveau. Je ne savais pas quoi dire, lĂąâ‚Źâ„ąĂƒÂ©motion me coupait la voix, jĂąâ‚Źâ„ąĂƒÂ©tais la immobile, cĂąâ‚Źâ„ąĂƒÂ©tait un paradis, comme un rÃÂȘveñ€© Kristopher avait dit ouiñ€© Il avait enfin dit oui, il était avec moi. Est-ce que nous étions réellement un couple maintenant ? Pouvions-nous le dire ? Inspirant longuement, je montais une de mes mains sur son visage, caressant sa peau de mes doigts, mon pouce passant sur ses lÚvres avec extrÃÂȘme lenteur. Mon cÅ“ur battant la chamade, une drÎle de chaleur mñ€ℱenvahit de part et dñ€ℱautre de mon corps, lñ€ℱamour me rendait dingue de lui, jñ€ℱen étais folleñ€© Les yeux brillant de joie, un petit sourire se logea sur mon visage. Me rapprochant de lui je collais mon front contre le sien en fermant alors les yeux.  Kristopherñ€© » Murmurai-je en frottant mon nez contre le sien. JĂąâ‚Źâ„ąĂƒÂ©tais heureuse, oui heureuse, un avenir sñ€ℱouvrait enfin à moiñ€© JĂąâ‚Źâ„ąĂƒÂ©tais celle quñ€ℱil avait choisi pour lui donner lñ€ℱenvie dñ€ℱaimer, pour apprendre à nouveauñ€© Montant mon autre main a son visage, je ne pus mñ€ℱempÃÂȘcher de lñ€ℱembrasser. Mes lÚvres contre les siennes sans bouger je restais quelques secondes ainsi, lÚvres contre lÚvres avant dñ€ℱattraper sa lÚvre inférieur des miennes lñ€ℱembrassant lentement déposant quelques petits baisers dessus avant de reculer pour embrasser sa joue descendant alors a son cou le serrant franchement dans mes bras. Mon corps bien collait au sien je me mis légÚrement à rire tant je réalisais petit a petit c que nous étions en train de devenir.  Je mñ€ℱen doutai un petit peu, mais cñ€ℱest toujoursñ€© wowñ€© La façon dont tu lñ€ℱas dit, comment tu tñ€ℱy es pritñ€© Crois moi cĂąâ‚Źâ„ąĂƒÂ©tait tout aussi poignant que si je ne mĂąâ‚Źâ„ąĂƒÂ©tais pas douté de quelque chose... » soufflai-je doucement en le serrant de plus belle contre moi. Inspirant son odeur, je poussais un léger soupire en glissant ma main valide dans ses cheveux les fourrageant lentement en les tirant quelques peu. Me redressant je lñ€ℱembrassais a nouveau dans un baiser de désespoir, comme si cela faisait des années que nous ne nous étions pas vus, comme si ce baiser était attendu depuis des années, oui cĂąâ‚Źâ„ąĂƒÂ©tait approximativement cela. CĂąâ‚Źâ„ąĂƒÂ©tait enfin un vrai baiser, un baiser de couple, un baiser dñ€ℱamourñ€© Un baiser qui en disait long, trÚs long.  Je tñ€ℱapprendraiñ€© Je te ferais apprendre a aimerñ€© à mñ€ℱaimer de préférenceñ€© Je serais là pour toi, je prendrai le temps quñ€ℱil te faudrañ€©Je ferais tout ce que tu voudras Krisñ€© Je serais ta petite amie, exemplaire, comme jamais tu en auras vuñ€© Je veux te rendre heureux, je veux te montrer que lñ€ℱamour ne rime pas avec souffranceñ€© Oh ça nonñ€© Avec moi à tes cÎtésñ€© Lñ€ℱamour sera un vrai paradisñ€© Tu as confiance en moi ? » Soufflais-je doucement en le regardant droit dans les yeux, frottant alors à nouveau mon nez contre le sien, nous faisant tourner pour le plaquer en douceur contre le mur, mñ€ℱadonnant dans ses bras avec une grande facilité. InvitéInvitéSURVOLE PETIT COQUINSujet Re Trust me, Say me yes, for the life. K&L Sam 21 Mai - 2318 Dansant tout contre Laety, corps contre corps, Kris ne pouvait que profiter au maximum de la chaleur et la douceur de son corps contre le sien, ajouté à son odeur qui avait le don de lñ€ℱenvouter plus que de raison. Comment ne pas en profiter alors quñ€ℱelle lui avait terriblement manqué en deux semaines de temps ? Leur dernier baiser qui fut des plus passionnés et enflammés, avait eut le don de lui laisser un goût de frustration et dñ€ℱenvie sur les lÚvres. A lñ€ℱinstant mÃÂȘme oÃÂč elle avait disparut dans son champs de vision, il avait du lutter de toutes ses forces pour ne pas la rejoindre en courant et plaquer à nouveau ses lÚvres sur les siennes. CĂąâ‚Źâ„ąĂƒÂ©tait ce quñ€ℱil avait fait une fois, allant mÃÂȘme jusquñ€ℱà la plaquer contre le mur pour échanger avec elle un baiser sauvage et passionné, devant lutter avec force contre son envie dñ€ℱelle et de son corps. Plus il y repensait et plus il se demandait comment il avait fait pour sĂąâ‚Źâ„ąĂƒÂ©loigner dñ€ℱelle alors quñ€ℱil avait eut trÚs envie de lui faire lñ€ℱamour, peu importait oÃÂč alors. AprÚs tout, ce nĂąâ‚Źâ„ąĂƒÂ©tait pas comme sñ€ℱils nñ€ℱavaient pas déjà fais lñ€ℱamour dans des lieux insolites tous les deux, tant lñ€ℱenvie qui les prenait à chaque fois, était tout simplement incontrÎlable. Dans un lac, dans une tente, sur un arbre, contre un arbre, à mÃÂȘme le sol dans la forÃÂȘt et leur derniÚre fois, dans une ruelle. Cela prouvait à quel point leur désir était puissant et tout bonnement incontrÎlable. Et pourtant, à leur derniÚre rencontre, ils avaient du se retenir pour ne pas craquer. Pas une nouvelle fois à mÃÂȘme la rue et surtout à cause du fait que Kris se devait de réfléchir quant à savoir sñ€ℱil voulait ou non lui donner une chance de le faire lñ€ℱaimer et de, peut-ÃÂȘtre, connaÃtre une relation amoureuse, sérieuse, avec elle. Cette question méritait une réponse sérieuse et bien réfléchir. Il ne devait surtout pas se hùter car Laety méritait ce quñ€ℱil y avait de mieux. Or, elle était amoureuse de lui, ce qui nĂąâ‚Źâ„ąĂƒÂ©tait pas négligeable. Il lui fallait faire attention à ses actes et paroles, pour ne pas la blesser. Entre autres, il savait bien que lui donner de faux espoirs ne pourrait que lui faire beaucoup de mal une fois lñ€ℱheure du retour à la vérité, de se mouvoir avec lenteur tout contre elle, corps collé au sien, il ne put sñ€ℱempÃÂȘcher de murmurer au creux de son oreille, quñ€ℱil voulait bien lui changer les idées. Il était évident que ses paroles regorgeaient de sous entendus à connotation sexuel. CĂąâ‚Źâ„ąĂƒÂ©tait plus fort que lui, il avait toujours envie dñ€ℱelle. A lñ€ℱinstant, il ne pouvait pas rester insensible à sa beauté parfaite et à son corps qui avait le don de lñ€ℱexciter plus que de raison, rien quñ€ℱà le regarder. Elle nñ€ℱavait pas besoin de porter une robe ou des fringues un peu trop sexy, pour cela. Bien quñ€ℱà lñ€ℱinstant, ses vÃÂȘtements lĂąâ‚Źâ„ąĂƒÂ©taient véritablement. Du moins à ses yeux ! Sentant son souffle dans son cou puis ses dents se mettre à mordiller lentement son oreille, il ne pu sñ€ℱempÃÂȘcher de fermer les yeux, le souffle coupé par le bien ÃÂȘtre et le désir quñ€ℱil ressentait à cet instant.  Kristopherñ€© Ne me dit pas des choses de la sorteñ€© trois semaines sans ton corps sñ€ℱest long, trÚs, trop longñ€© Ne me tente pasñ€© Sñ€ℱil te plaitñ€© Je serais obligé de tñ€ℱappeler le petit diableñ€© Tentateur à fondñ€© » Riant doucement, Kris remonta lentement sa main dans son dos pour la caresser doucement du plat de sa main, prenant de longues inspirations pour profiter de son odeur quñ€ℱil aimait.  Hum ñ€© Désolé ñ€© Mais jñ€ℱaime bien savoir que je te fais un effet fou. » Souffla-t-il doucement toujours au creux de son oreille, gardant les yeux fermés comme pour se mettre en tÃÂȘte que lñ€ℱinstant, aussi magique soit-il, était bel et bien réel. Ce nĂąâ‚Źâ„ąĂƒÂ©tait pas un rÃÂȘve ni mÃÂȘme un fantasme. Laety, la femme quñ€ℱil désirait depuis bien longtemps, se trouvait bel et bien dans ses bras à cet instant, collé tout contre lui. Un bref et totalement involontaire gémissement, sĂąâ‚Źâ„ąĂƒÂ©chappa des lÚvres du jeune homme, lorsquñ€ℱil la sentit suçoter doucement le lobe de son oreille. A croire quñ€ℱelle aussi luttait contre lñ€ℱenvie de faire lñ€ℱamour avec lui. CĂąâ‚Źâ„ąĂƒÂ©tait sans doute le cas dans le fond ñ€© Ca ne lĂąâ‚Źâ„ąĂƒÂ©tonnerais pas vraiment à vrai malgré lui il repensa au corps de Laety contre le sien, ses soupirs, gémissements et cris de plaisir sous les coups de reins quñ€ℱil donnait, son dos se cambrant avec force sous la monté du plaisir, leurs corps brillant de sueur et glissant fortement lñ€ℱun contre lñ€ℱautre, son membre glissant inlassablement en elle, tantÎt tendrement et lentement et tantÎt avec rapidité, puissance et sauvagerie. Leurs regards bleutés brillant de plaisir et dñ€ℱexcitation, leurs prénoms sortant inlassablement de leurs bouches, leurs baisers échangés. Des baisers passionnés, sauvages, ardant et plaisant. Des baisers fougueux et précipité, les bruits humides aux retrouvailles inlassables et plaisantes de leurs langues.  On repousse tous un truc à faire de toute façonñ€© Vital tu dis ? Demain tu auras le temps de le faire je penseñ€© Toute la journée mÃÂȘmeñ€© Ne me meurt pas humñ€© Tiens le choc Kristoñ€© » Souriant en coin, il reprit la caresse dans son dos, de sa main, la faisant aller du haut de son dos à ses reins, à plusieurs reprises, luttant contre lñ€ℱenvie trÚs forte de la faufiler sous son haut pour la caresser plus encore.  Non mais tñ€ℱinquiÚte pas ñ€© Finalement ça va arriver bien plus tÎt que prévu. Le destin est de mon cÎté en ce moment. » Souffla-t-il doucement, sans en dire plus, ne voulant pas trop parler dÚs à présent, préférant attendre un meilleur moment. MÃÂȘme sñ€ℱil savait parfaitement que le moment nñ€ℱallait pas tarder à arriver. Ils y étaient presque ñ€© Oui, trÚs bientÎt il allait lui donner sa réponse définitive, son oui qui, il le savait, signerait le début dñ€ℱune relation qui ne pourrait quñ€ℱÃÂȘtre parfaite. Il ne doutait pas un seul instant de Laety et lui faisait mÃÂȘme une confiance aveugle, sur tous les plans. Elle allait le rendre heureux, il allait lui faire pleinement confiance et finirait par tomber amoureux dñ€ℱelle, en temps et en heure. Il ne pouvait pas douter de cela ! Le désir sexuel était déjà là et le plaisir qui les gagnait lorsquñ€ℱils couchaient ensemble, semblait ÃÂȘtre la preuve à lui seul, que leurs corps étaient faits pour ÃÂȘtre ensemble. Le reste devait suivre, il ne pouvait en aller autrement !Lorsquñ€ℱelle se détacha de lui et sĂąâ‚Źâ„ąĂƒÂ©loigna en mentionnant le fait quñ€ℱil devait encore réfléchir, il ne put sñ€ℱempÃÂȘcher dñ€ℱÃÂȘtre dñ€ℱabord choqué et figé sur place, ne sñ€ℱattendant pas à ce quñ€ℱelle fasse cela. Mais il eut bien vite le réflexe de la rattraper pour lui envoyer le message quñ€ℱelle attendait. Une fois fait, il la souleva dans ses bras, la portant hors de la boite de nuit pour aller se mettre dans une ruelle assez sombre et éloignée du reste, pour pouvoir se retrouver totalement seul avec elle et ne pas ÃÂȘtre dérangé par qui que ce soit. Il pouvait parfaitement voir la surprise dans le regard de la blonde, souriant presque malgré lui en se doutant quñ€ℱelle avait du, déjà , comprendre pourquoi il avait fait cela. Il était clair que ce nĂąâ‚Źâ„ąĂƒÂ©tait pas pour lui apprendre quñ€ℱil ne voulait pas dñ€ℱelle et dñ€ℱune relation avec elle. En lñ€ℱentendant lui dire quñ€ℱil était fou, il eut un bref rire en lui faisant remarquer que la folie était un art quñ€ℱil fallait cultiver. Il fallait dire ce qui était, il était fou ñ€© ComplÚtement taré et déjanté. Et il aimait ÃÂȘtre de la sorte ! Il avait la joie de vivre et nñ€ℱhésitait pas à rire et plaisanter sur tel ou tel sujet. Il était toujours le premier à partir dans des délires tous plus stupéfiants les uns que les autres. Il mettait généralement lñ€ℱambiance avec ses conneries. Lorsquñ€ℱelle se cala bien contre le mur en disant quñ€ℱelle attendait dñ€ℱentendre ce quñ€ℱil avait à lui dire, il ne tarda pas à sñ€ℱapprocher dñ€ℱelle pour poser ses mains sur sa taille et la regarder longuement, prenant alors son temps pour lui apprendre quelle était sa décision finale, lui donnant alors plusieurs raisons pour lesquelles il avait décidé de lui dire un oui grand et massif ! Une fois ses confidences faites, il restait un moment à la regarder, souriant en coin en voyant combien elle était figée et combien son regard posé sur lui semblait refléter la surprise. Sa main posée sur sa joue, il eut un nouveau sourire en se détachant à peine dñ€ℱelle pour souffler quñ€ℱelle devait sñ€ℱy attendre depuis le moment oÃÂč il lñ€ℱavait enlevé. Un bref soupir de bien ÃÂȘtre sĂąâ‚Źâ„ąĂƒÂ©chappa des lÚvres de Kris lorsque la main de Laety se posa sur sa joue, son pouce redessinant lentement ses lÚvres, son front venant ensuite se coller au sien. Plongeant son regard dans le sien, il eut un léger sourire en coin de bien ÃÂȘtre.  Kristopherñ€© » Son prénom sĂąâ‚Źâ„ąĂƒÂ©chappant de ses lÚvres, un léger frisson le secoua doucement, fermant alors les yeux en souriant de bien ÃÂȘtre. Son autre main se posant aussi sur sa joue, il entrouvrit à demi les yeux pour la regarder, frissonnant plus fortement en sentant ses lÚvres se poser sur les siennes. Il lùcha un bref gémissement en fermant les yeux, la laissant refermer ses lÚvres sur les siennes avant dñ€ℱy déposer de brefs baisers et de se déporter sur sa joue puis descendre dans son cou. Posant ses mains dans son dos il eut un nouveau frisson de bien ÃÂȘtre en déglutissant longuement.  Je mñ€ℱen doutai un petit peu, mais cñ€ℱest toujoursñ€© wowñ€© La façon dont tu lñ€ℱas dit, comment tu tñ€ℱy es pritñ€© Crois moi cĂąâ‚Źâ„ąĂƒÂ©tait tout aussi poignant que si je ne mĂąâ‚Źâ„ąĂƒÂ©tais pas douté de quelque chose... » Gémissant de bien ÃÂȘtre, il se colla fermement contre elle, pressant fortement ses mains dans son dos pour la presser plus encore contre lui.  Hm ñ€© Tu me donnes envie de te dire des choses comme ça. » Souffla-t-il dñ€ℱune voix douce en faufilant ses mains sous son haut pour la monter dans son dos et caresser sa peau nu avec lenteur et insistance, du plat de ses mains.  Tu mñ€ℱinspires ma petite puce ñ€© » Ajouta-t-il dñ€ℱune voix toujours aussi douce et caressante en gardant les yeux fermés, un léger sourire en coin. Au baiser qui suivit, il eut un bref soupir de bien ÃÂȘtre, lui répondant avec fougue et ardeur, sa langue se pressant contre la sienne avec insistance et ses lÚvres collées aux siennes avec plaisir et envie, ses mains se pressant avec plus de force dans son dos pour la maintenir fermement collée à lui, gémissant faiblement à ce baiser. Ses lÚvres lui avait terriblement manqué, comme tout le reste de sa personne à vrai dire.  Je tñ€ℱapprendraiñ€© Je te ferais apprendre a aimerñ€© à mñ€ℱaimer de préférenceñ€© Je serais là pour toi, je prendrai le temps quñ€ℱil te faudrañ€©Je ferais tout ce que tu voudras Krisñ€© Je serais ta petite amie, exemplaire, comme jamais tu en auras vuñ€© Je veux te rendre heureux, je veux te montrer que lñ€ℱamour ne rime pas avec souffranceñ€© Oh ça nonñ€© Avec moi à tes cÎtésñ€© Lñ€ℱamour sera un vrai paradisñ€© Tu as confiance en moi ? » Souriant en coin, il la laissa le pivoter pour se retrouver à son tour plaqué contre le mur, gardant ses mains dans son dos en la regardant, sourire en coin.  Sois juste toi Laety ñ€©Cñ€ℱest comme ça que tu me plais. Toute entiÚre, toi tout simplement. » Souffla-t-il en la regardant dñ€ℱun air attendri, retirant ses mains de son dos pour la serrer plus encore contre lui en posant sa tÃÂȘte contre la sienne, soupirant longuement de bien ÃÂȘtre.  Ca fait longtemps que jñ€ℱai confiance en toi ñ€© une confiance aveugle. » Ajouta-t-il doucement avant de monter ses mains à ses joues pour chercher ses lÚvres des siennes, se contentant de les presser contre les siennes et refermer lentement ses lÚvres autour des siennes, lñ€ℱembrassant avec lenteur et tendresse, lñ€ℱune de ses mains montant dans ses cheveux pour les caresser avec douceur. InvitéInvitéSURVOLE PETIT COQUINSujet Re Trust me, Say me yes, for the life. K&L Lun 23 Mai - 2326 Take me, Don't give up Hum ñ€© Désolé ñ€© Mais jñ€ℱaime bien savoir que je te fais un effet fou. » Gémissant doucement je me serai un peu plus contre lui en frissonnant de bien ÃÂȘtre. Il nñ€ℱavait pas le droit de me faire ça, non il ne pouvait pas me faire une chose pareilleñ€© a croire que cĂąâ‚Źâ„ąĂƒÂ©tait normal, de vouloir me rendre totalement folleñ€© Non je lui interdisais de me faire celañ€© Lui mordillant le lobe de lñ€ℱoreille pour le torturer a son tour comme pour me venger de ce quñ€ℱil était plus ou moins en train de me faire subir, je bougeai un peu plus contre son corps, suivant alors les mouvements de son bassin. Je me sentais tellement bien là , dans ces bras sur cette piste de danse, le moment était propice et parfait. Bougeant plus franchement le bassin je léchais son oreille en poussant un léger soupire de bien ÃÂȘtre pratiquement similaire à un gémissement pour lui faire comprendre ce que je ressentis en ce momentñ€©  Ah oui ? Moi aussi, jñ€ℱaime savoir que je te fais un effet fouñ€© Surement dans moinsñ€© de quelques secondesñ€© » soufflai-je en pressant alors lñ€ℱair de rien ma cuisse sur son membre sans le frotter sachant que cela suffisait amplement pour lñ€ℱexciterñ€© Mais là nĂąâ‚Źâ„ąĂƒÂ©tait pas réellement le butñ€© JĂąâ‚Źâ„ąĂƒÂ©tais mauvaise de faire cela, mais dieu que cĂąâ‚Źâ„ąĂƒÂ©tait bonñ€© Réellement bonñ€© Parlant alors du fait que nous étions là et pourquoi, il mñ€ℱannonça quñ€ℱil avait été enlevé par un groupe dñ€ℱami qui ne lui avait pas laissé le choix. Le pauvreñ€© Je lui annonçais alors que ce quñ€ℱil avait prévu pouvait se faire demain. Chose vrai, a part si encore quelquñ€ℱun lui pourris la journée en lñ€ℱenlevant dieu sait ouñ€© ce serait dommage là .  Non mais tñ€ℱinquiÚte pas ñ€© Finalement ça va arriver bien plus tÎt que prévu. Le destin est de mon cÎté en ce moment. » Haussant un sourcil sans trop comprendre de quoi il parlait, je me mouvais sans cesser contre son corps, aimant terriblement ÃÂȘtre avec lui, comment ne pas aimer ? Je me le demande bien, je restai mÃÂȘme persuadé que pleins de filles qui se trouvaient autour de nous devaient nous jalouser, ou plus exactement, me jalouser. Pourquoi ? Car Kristopher était parfait, il était là , dans mes bras a moi, et pas les leurs, est ce que je me trompais ? Non... Non, impossible, Kristopher était beau un beau typeñ€© Je voulais voir leurs regards jaloux, je voulais les voir me détester car cĂąâ‚Źâ„ąĂƒÂ©tait moi et pas elles, je voulais tellement de chose, jñ€ℱen étais au point de vouloir les narguer car cñ€ℱest moi qui dansais avec moi et pas ellesñ€© bon sang jĂąâ‚Źâ„ąĂƒÂ©tais simplement taréesñ€© Mais dieu que jñ€ℱaimais. Et sñ€ℱil disait non ? Et bien je lñ€ℱavais dans la gueuleñ€© Je savais que cĂąâ‚Źâ„ąĂƒÂ©tait possibleñ€© Maisñ€© Je nñ€ℱen savais trop rienñ€© Mais en mÃÂȘme tempsñ€© Tout était possible, aprÚs tout, on ne peut pas dire que pour moi le destin soit de mon cÎté en ce momentñ€©  Ah ? Quelle chance, toi au moins le destin est de ton cÎté, jñ€ℱespÚre quñ€ℱil sera favorable avec toi maintenant, tu le méritesñ€© » soufflai-je doucement au creux de son oreille tout en embrassant son cou avec envie et délice. Une envie bine trop forte mais nous nĂąâ‚Źâ„ąĂƒÂ©tions pas ensemble, nous nĂąâ‚Źâ„ąĂƒÂ©tions rien, strictement rien et ÃÂȘtre là ne servait a rien, si ce nñ€ℱest surement influencer son avis sur nous. Me détachant de ses bras, je lui annonçai alors que je préférai partir pour lui laisser le temps de réfléchir. Me rattrapant alors que je partais, je le laissais mñ€ℱenvoyer un message en souriant le voyant alors me prendre telle une princesse dans ces bras. Le laissant faire, me disant que je devais faire jalouser plus dñ€ℱune fille, je me trouvais pathétique de penser à celañ€© comme si cĂąâ‚Źâ„ąĂƒÂ©tait plaisant de penser cela, je nñ€ℱavais jamais été jalouse et il est vrai que ce sentiment me faisait on ne peut plus bizarre à force. Est-ce que jñ€ℱallais venir à me montrer possessive avec lui sñ€ℱil venait a me dire oui. ? Peut ÃÂȘtre bien et cñ€ℱest ce qui me faisait tellement peurñ€© Je ne voulais pas le perdre sur une histoire totalement débile de possessivité et de jalousie cĂąâ‚Źâ„ąĂƒÂ©tait on ne peut plus ridicule surtout venant de moiñ€© Le laissant me porter dans une ruelle plutÎt sombre à lĂąâ‚Źâ„ąĂƒÂ©cart des gens, je le traitais alors de fou, mais en mÃÂȘme temps, Kristopher était un peu fou de nature, cĂąâ‚Źâ„ąĂƒÂ©tait lui, cĂąâ‚Źâ„ąĂƒÂ©tait dans son comportement et son caractÚre et je lñ€ℱacceptai de la sorte, en mÃÂȘme temps un Kris pas fou ce nñ€ℱest pas un Kris. Lui demandant alors ce quñ€ℱil avait a me dire pour mñ€ℱamener ici, mÃÂȘme si au fond je savais plus ou moins ce quñ€ℱil me voulait, je le vis venir se coller contre moi, pour que nos corps soient collés lñ€ℱun à lñ€ℱautre. LĂąâ‚Źâ„ąĂƒÂ©coutant me parler, je fus choquée de par ces mots, je mñ€ℱy attendais, mais cĂąâ‚Źâ„ąĂƒÂ©tait tellement poignant, tellement intense, tellement... Toutñ€© je nñ€ℱen revenais pasñ€© Mon cÅ“ur battant la chamade jñ€ℱavais envie de hurler, de hurler de joieñ€© mais a la place je lñ€ℱembrassais, je lñ€ℱembrassais a en perdre haleine, je voulais lui donner le plus beau baiser de sa vieñ€© Lui murmurant par la suite, quñ€ℱil me rendait folle et que par conséquent, mÃÂȘme si je mñ€ℱy attendais, son discours était tout aussi poignant, je ne pus me défaire de son emprise, le prenant dans mes bras pour lñ€ℱembrasser longuement en le plaquant alors a mon tour contre le mur de la ruelle.  Hm ñ€© Tu me donnes envie de te dire des choses comme ça. » entrouvrant la bouche, je plongeai mon regard bleuté dans le sien tout autant bleuté que le mien, certes plus foncé que le mien, mais quelque peu identique, dieu que jñ€ℱaimais entendre ce genre de choseñ€© Je voulais quñ€ℱil continue encore et encore, je voulais quñ€ℱil me dise des belles choses, quñ€ℱil me dise quñ€ℱil mñ€ℱaime lui aussi mais ça je savais que ça ne serait pas de si tÎt. Sentant ses mains sous mon haut, le contact de sa peau contre la mienne, je poussais un long soupire de bien ÃÂȘtre.  Tu mñ€ℱinspires ma petite puce ñ€© » Ecarquillant les yeux, je poussais un léger cri de bien ÃÂȘtre a ce surnom. Il nñ€ℱavait pas le droitñ€© Non pas le droit de me tuer autant et si rapidementñ€© Lñ€ℱembrassant franchement je posais ma main sur sa joue en gémissant.  Edenñ€© mon petit Kristopher, ohñ€© Bon dieuñ€© Comment tuer Laetyñ€© Jñ€ℱaime quand tu mñ€ℱappelles ainsiñ€© Krisñ€© encoreñ€© » soufflai-je doucement en lui lançant un regard des plus aguicheur et suppliant pour quñ€ℱil me nomme encore de la sorte, oui je voulais encore entendre ce surnom, petite puce, puce tout court, les deux putain ouiñ€© Je voulais frissonner au son de sa voix, faible, suave, grave, intense, sensuelleñ€© je voulais quñ€ℱil me rende folle, folle comme jamais je ne lñ€ℱavais étĂƒÂ©Ăąâ‚ŹÂŠ Je voulais quñ€ℱil puisse faire de moi ce quñ€ℱil voulait, et le pire cñ€ℱest quñ€ℱil en était capable, oh ça oui réellement capableñ€© Il le pouvait mais çà je ne le lui dirais pasñ€© PlutÎt crever que de donner mes points faibles pour quñ€ℱil sñ€ℱen délecte avec plaisir et voluptĂƒÂ©Ăąâ‚ŹÂŠ non, je voulais garder cela pour moiñ€© et seulement moiñ€© Le plaquant contre le mur, tout e le regardant amoureusement je ne pus mñ€ℱempÃÂȘcher de lñ€ℱembrasser et de lui demander alors sñ€ℱil avait confiance en moi et sñ€ℱil voulait que je fasse quelque chose pour notre coupleñ€© je voulais tellement lui apprendre a ÃÂȘtre amoureux de moiñ€© est ce que je pouvais le faire ? Jñ€ℱosais le croire. AprÚs tout mÃÂȘme si je lui plaisais, mÃÂȘme si cĂąâ‚Źâ„ąĂƒÂ©tait oui, est ce quñ€ℱil pourrait mñ€ℱaimer ? Tenir a moi cñ€ℱest une chose mais aimer sñ€ℱen est une autreñ€© cĂąâ‚Źâ„ąĂƒÂ©tait un tant soit peu complexe comme situationñ€©  Sois juste toi Laety ñ€©Cñ€ℱest comme ça que tu me plais. Toute entiÚre, toi tout simplement. » plongeant mon regard dans le sien, me mordillant lentement la lÚvre inférieur, mon regard se voilant dñ€ℱamour et dñ€ℱenvie pour lui je ne pus mñ€ℱempÃÂȘcher de poser mes mains sur sa taille, tirant doucement sur son haut, comme pour lui dire, comme pour lui faire comprendre que je le voulais, je ne voulais que lui et pour un long, trÚs long moment.  Ca fait longtemps que jñ€ℱai confiance en toi ñ€© une confiance aveugle. » ses mains sur mes joues son regard ancré dans le mien, ma respiration se coupa plus vite que je ne le pensais. Nom dñ€ℱun chien cĂąâ‚Źâ„ąĂƒÂ©tait poignant, terrifiant, je voulais mourir tellement le plaisir était trop intenseñ€© tellement il était toutñ€© Sentant ses lÚvres sur les miennes, je le laissais faire, me figeant plus ou moins dans un plaisir ardant, qui provoquait en moi un frisson intégral. Lui rendant plus ou moins son baiser, je me collais à lui mon corps se mouvant au sien, sentant alors nos corps battre a lñ€ℱunisson, nos respirations aux mÃÂȘmes rythmes, ma langue sñ€ℱenfouissant dans sa bouche a la recherche de la sienne. Gémissant légÚrement, mes mains remontant a son visage, je caressais longuement son cou avant de griffer quelque peu ses joues tout en lñ€ℱembrassant de plus en plus le bruit de notre baiser sñ€ℱentendant sans aucun souci. Je mñ€ℱen fichai, je mñ€ℱen foutais complÚtement, je voulais lñ€ℱembrasser encore et encore, longuement, tendrement, amoureusementñ€© Je le voulais, oui je ne voulais que luiñ€© que Kristopher dans ma vie et mon cÅ“ur. Inspirant doucement je frottai mon nez au sien en le regardant avec amour avant de le prendre dans mes bras. Il avait confiance en moi cĂąâ‚Źâ„ąĂƒÂ©tait tout bonnement parfait, oui il nñ€ℱy avait pas dñ€ℱautre moi que celañ€© CĂąâ‚Źâ„ąĂƒÂ©tait plaisant à entendre terriblement plaisant mÃÂȘme !  Tant mieux alorsñ€© Oui car je vais tñ€ℱapprendre à mñ€ℱaimerñ€© Tu verras, la petite femme parfaite et modÚle cñ€ℱest moi et je serais tienneñ€© absolument tienneñ€© » soufflai-je contre ses lÚvres en lui lançant un regard amoureux avant de frÎler ses lÚvres des miennes sans pour autant lñ€ℱembrasser, le provoquant un peu plus pour lui montrer que oui il me voulait, oui, il voulait mñ€ℱembrasser oui il me voulait pour lui. Plus la tentation était grande et mieux cĂąâ‚Źâ„ąĂƒÂ©taitñ€© Mais question sexeñ€© Il fallait peut ÃÂȘtreñ€© Faire en sorte que nous ne couchions pas ensemble trop souvent ? Et si le sexe jouait ? Et si le fait que sexuellement on sñ€ℱentende a merveille fasse peser le pour dans la balance ? Je ne doutais pas de lui, loin de là mÃÂȘme, maisñ€© il était clair que nous ne ferions pas lñ€ℱamour tous les jours nonñ€© Il fallait que lñ€ℱon se découvre autrement que par le sexeñ€© Venir chez lui manger passer de bons moment devant la télévision, aller au cinéma, sortirñ€© Tout ça quoiñ€© Oui, on devait faire ce que fait un coupleñ€© Fermant briÚvement les yeux je mordillai lentement sa lÚvre inférieure la lui tirant avant de la lùcher tout en me détachant plus ou moins de ses bras pour me recoiffer et replacer quelque peu ma tenue en place.  Que dirais-tuñ€©De se faire un petit programme pour se voir ? Genre les aprÚs midi et la soirée avant que tu ne partes bosser ? Je suis handicapé, je suis donc libre comme lñ€ℱair pendant encore quinze joursñ€© On pourrait sñ€ℱorganiser pas mal de choses toi et moiñ€© Je te proposerai bien de venir chez moi maisñ€© non. Désolée lñ€ℱambiance est nazeñ€© Mon frÚreñ€© etñ€© Humñ€© ma sÅ“urñ€© Jñ€ℱai apprit queñ€© Ma mÚre biologique avait eu une autre fille etñ€© La voilà dans ma vie ñ€© Bref, donc chez toi ? Ou dehors, dis moi ce que tu veux faire, je suis ouverte a toute proposition mon Kris ñ€© » Murmurai-je doucement en me pinçant les lÚvres le caressant doucement avant de lñ€ℱembrasser furtivement me décollant de lui tout en souriant lui lançant alors un regard des plus taquin. InvitéInvitéSURVOLE PETIT COQUINSujet Re Trust me, Say me yes, for the life. K&L Ven 27 Mai - 2216 Sñ€ℱil y avait bien une chose qui était certaine, cĂąâ‚Źâ„ąĂƒÂ©tait bien le fait que Kris tenait vraiment beaucoup à Laety. Depuis bien longtemps, elle nĂąâ‚Źâ„ąĂƒÂ©tait pas une simple amie mais bel et bien une fille à laquelle il tenait énormément. Il avait suffit de deux petites semaines passées loin dñ€ℱelle, pour quñ€ℱil réalise quñ€ℱil tenait à elle bien plus quñ€ℱil ne lñ€ℱaurait pensé. Comment aurait-il pu se douter quñ€ℱun jour, ils en arriveraient là tous les deux ? CĂąâ‚Źâ„ąĂƒÂ©tait tout bonnement impossible. Impossible dñ€ℱimaginer quñ€ℱil puisse sñ€ℱattacher à elle plus que de raison. Et pourtant cĂąâ‚Źâ„ąĂƒÂ©tait bel et bien le cas. Et en toute franchise, il se voyait mal se couper totalement et définitivement dñ€ℱelle. Il sĂąâ‚Źâ„ąĂƒÂ©tait bien trop attaché à elle pour accepter une chose pareille. Se mouvant lentement tout contre elle, au rythme de la musique, il sñ€ℱamusait à la taquiner et lñ€ℱexciter un tant soit peu en lui soufflant alors dñ€ℱune voix caressante, quñ€ℱil aimait savoir quñ€ℱil lui faisait un effet fou. Oui il aimait savoir que lorsque quñ€ℱil faisait ce genre de chose, elle ne désirait quñ€ℱune chose quñ€ℱils fassent lñ€ℱamour le plus vite possible et peu importe alors oÃÂč.  Ah oui ? Moi aussi, jñ€ℱaime savoir que je te fais un effet fouñ€© Surement dans moinsñ€© de quelques secondesñ€© » Un sourire moqueur apparut sur les lÚvres du jeune homme, avant de se transformer en bref gémissement excité en sentant sa cuisse sur son entre jambe. Se mordant doucement la lÚvre, il approcha lentement ses lÚvres de son oreille, pour lùcher un nouveau doux gémissement, ses mains remontant sur ses reins pour la serrer contrer lui avec force en fermant les yeux.  Satisfaite ? » Demanda-t-il dñ€ℱune voix on ne peut plus douce et caressante, rendu quelque peu rauque par la légÚre excitation quñ€ℱelle venait de faire naÃtre en lui, simplement en pressant lentement sa cuisse contre son membre. Elle savait quñ€ℱil suffisait de pas grand-chose pour quñ€ℱil ait envie dñ€ℱelle ñ€© Et cela nñ€ℱavait de cesse de se confirmer au fil du temps. Elle avait le don de lñ€ℱexciter au plus haut point, en deux temps trois mouvements. Et elle était bien la premiÚre à parvenir à un tel ré les yeux fermés et inspirant longuement son odeur qui lñ€ℱenvoûtait de façon presque choquante, il discutait doucement avec elle, tel deux conspirateurs ou ñ€© Deux amoureux dissimulés parmi la foule de danser sur la piste de danse dñ€ℱune boite de nuits comme une autre. Un couple qui se faisait de douces confidences, chuchotaient au creux de lñ€ℱoreille de lñ€ℱun et de lñ€ℱautre. Etaient-ils amoureux ? Non ñ€© Du moins ñ€© Il savait quñ€ℱelle-mÃÂȘme était amoureuse de lui mais pour sa part ce nĂąâ‚Źâ„ąĂƒÂ©tait pas le cas. Mais il avait beau ne pas lñ€ℱaimer dñ€ℱamour, il ne pouvait que reconnaÃtre combien il était accroché à elle et combien il était prÃÂȘt à faire beaucoup de choses pour la garder à ses cÎtés. Comment pourrait-il supporter de la perdre ? CĂąâ‚Źâ„ąĂƒÂ©tait tout bonnement impossible. Et si ça ce nĂąâ‚Źâ„ąĂƒÂ©tait pas la preuve quñ€ℱil était pleinement et totalement capable de se lancer dans une relation amoureuse ou qui se finirait en tout cas comme tel, alors il ne comprenait pas de quoi il sñ€ℱagissait. Il ne doutait pas que Laety nñ€ℱaurait pas grand-chose à faire pour quñ€ℱil tombe éperdument amoureux dñ€ℱelle. Comment est-ce que ça pourrait ne pas ÃÂȘtre le cas en mÃÂȘme temps ? Elle était ñ€© Tellement parfaite et unique. Tellement envoûtante et hypnotisante. Elle avait le don de lñ€ℱexciter et de lui donner envie dñ€ℱelle comme jamais il nñ€ℱavait eu envie de qui que ce soit jusquñ€ℱà présent. Elle lui donnait vraiment envie de connaitre une relation sérieuse avec elle. Il voulait se coucher avec elle, dormir en sentant son corps posé sur le sien, il voulait se réveiller et la regarder dormir un long moment jusquñ€ℱà son propre réveil. Il voulait dñ€ℱautres douches on ne peut plus torrides avec elle, lui faire lñ€ℱamour indéfiniment, presser son corps contre le sien, soupirer dñ€ℱaise contre sa peau. Il voulait rire avec elle, regarder des films tellement ennuyeux quñ€ℱils ne pourraient que finir par faire lñ€ℱamour sur le canapé pour faire une chose nettement plus intéressante et plaisante que regarder ces films nuls à souhait. Il voulait faire et connaÃtre tellement de choses avec elle, que ça ne pouvait pas sñ€ℱarrÃÂȘter à une simple amitié, il en était persuadé.  Ah ? Quelle chance, toi au moins le destin est de ton cÎté, jñ€ℱespÚre quñ€ℱil sera favorable avec toi maintenant, tu le méritesñ€© » Ses lÚvres dans son cou, il frissonna doucement de bien ÃÂȘtre en gardant les yeux fermés et souriant faiblement en coin.  Il se pourrait quñ€ℱil tourne en ta faveur aussi. » Souffla-t-il dñ€ℱune voix caressante au creux de son oreille sans cesser de la serrer tendrement contre lui. Il aimait terriblement quñ€ℱelle puisse lui inspirer autant de tendresse que de désir. Cette fille était tout bonnement parfaite, du tout au tout, sans le moindre petit défaut. Du moins pas à sa connaissance. Et cela lui convenait parfaitement, il voulait quñ€ℱelle reste cette fille unique qui lui plaisait de plus en plus et quñ€ℱil voulait de plus en plus dans sa vie, en tant que petite amie. Oui pour la premiÚre fois depuis bien longtemps, il se sentait prÃÂȘt à accepter une petite amie. Mais pas pour dire dñ€ℱavoir une petite amie. Non ñ€© Bel et bien parce quñ€ℱelle lui plaisait, parce que cĂąâ‚Źâ„ąĂƒÂ©tait elle et parce quñ€ℱil voulait lñ€ℱaimer. Etrange cette envie de tomber amoureux sans doute. Surtout venant de lui. Mais pour le coup il assumait pleinement puisquñ€ℱelle était la premiÚre femme qui lui plaisait à ce point, cñ€ℱen était presque choquant de voir combien il la voulait dans sa vie, dans ses bras, dans son lit. Et il se sentait on ne peut plus heureux et comblé au simple fait de la tenir tout contre lui, de sentir son corps se mouvoir contre le sien et au mÃÂȘme rythme que le sien. Il aimait sentir son odeur plaisante et envoûtante ñ€© En fait il aimait tout chez elle et pourtant il nĂąâ‚Źâ„ąĂƒÂ©tait pas amoureux. Pas encore du moins. Sans doute était-ce simplement du au fait que pour cela, il avait besoin de la voir le plus possible, de passer beaucoup de temps avec elle et de connaÃtre toutes les joies, et mÃÂȘme les moins bon cÎtés, dñ€ℱun couple, à ses cÎtés. CĂąâ‚Źâ„ąĂƒÂ©tait bien la preuve quñ€ℱil jugeait quñ€ℱelle valait vraiment le coup pour lui laisser cette chance là de le rendre amoureux dñ€ℱelle. Etait-il fou ? Allait-il regretter ? Non ñ€© Il était certain que non. Si tel avait été le cas, il nñ€ℱaurait jamais décidé de lui laisser une chance. Il venait de passer deux longues semaines à réfléchir sur ce point là , à se demander sñ€ℱil allait un jour regretter ou non. Il en était arrivé à la conclusion que non, tout simplement. Il nĂąâ‚Źâ„ąĂƒÂ©tait pas le genre de personne à prendre de décision hùtive et il venait sans aucun doute de le prouver. Surtout que dans cette histoire il y avait beaucoup à perdre tout de mÃÂȘme. Une décision pourrait lui faire perdre Laety tout en lui faisant un mal fou. Or il refusait autant lñ€ℱun que lñ€ℱ dñ€ℱaprÚs, réalisant que la jeune femme était sur le point de mettre fin à leur petite entrevue, Kristopher la rattrapa rapidement pour la soulever de terre et la porter hors de la boite de nuit, lñ€ℱentrainant dans un coin sombre, une petite ruelle à lĂąâ‚Źâ„ąĂƒÂ©cart, pour enfin lui donner sa réponse tant attendue. Lui soufflant alors doucement sa réponse et les raisons pour lesquelles il lui disait un oui sans la moindre hésitation, il ne pu sñ€ℱempÃÂȘcher de sourire devant sa réaction, voyant bien que celle-ci lui faisait atrocement plaisir. Juste de quoi le rassurer encore un peu plus dans sa décision. En mÃÂȘme temps, comment aurait-elle pu ne pas ÃÂȘtre un tant soit peu contente alors que cĂąâ‚Źâ„ąĂƒÂ©tait là ce quñ€ℱelle attendait depuis tellement longtemps ? Si elle avait mal réagit il se serait grandement inquiété et à juste titre à son humble avis. Répondant alors à son baiser des plus passionnés et remplis de promesses, il soupira longuement de bien ÃÂȘtre en faufilant ses mains sous son haut pour la caresser avec douceur et tendresse. Murmurant alors ce surnom quñ€ℱil lui avait donné quelques temps plus tÎt sur msn en premier lieu, il eut un sourire en coin en avisant sa réaction. Son petit cri suivit de son baiser eurent le don de le faire frissonner longuement de bien ÃÂȘtre tant il était ravi de la retrouver, de retrouver le goût de ses lÚvres, la douceur de sa peau et de sa langue pressée contre la sienne, ses soupirs, ses gémissements ñ€© Il voulait encore entendre ses hurlements de plaisir incessants sous ses coups de reins quand il lui faisait lñ€ℱamour.  Edenñ€© mon petit Kristopher, ohñ€© Bon dieuñ€© Comment tuer Laetyñ€© Jñ€ℱaime quand tu mñ€ℱappelles ainsiñ€© Krisñ€© encoreñ€© » Riant doucement, il lui lança un regard attendri en passant le bout de ses doigts sur sa joue pour la caresser avec tendresse, soupirant longuement de bien ÃÂȘtre. CĂąâ‚Źâ„ąĂƒÂ©tait fou comme elle le rendait dingue et combien elle lui plaisait.  Ma puce ñ€© Ma petite puce ñ€© Hey pourquoi Eden au fait ? » Demandai-t-il en haussant quelque peu un sourcil laissant alors le plaquer contre le mur à son tour pour lñ€ℱembrassera avec presque sauvagerie, Kris laissa échapper un doux gémissement en répondant à son baiser avec fougue, son souffle se coupant un long moment. Souriant faiblement, Kris lui souffla alors quñ€ℱil avait éperdument confiance en elle et depuis toujours, baissant un vague regard sur ses mains qui empoignÚrent alors son haut pour le tirer doucement.  Tant mieux alorsñ€© Oui car je vais tñ€ℱapprendre à mñ€ℱaimerñ€© Tu verras, la petite femme parfaite et modÚle cñ€ℱest moi et je serais tienneñ€© absolument tienneñ€© » Ses lÚvres caressant lentement les siennes comme pour le provoquer quelque peu, le jeune homme lùcha un doux gémissement en baissant le regard sur ses lÚvres, les regardant alors avec envie.  Hm Laety ñ€© Tu es parfaite ñ€© Tu me plais démesurément. Mais oui sois mienne et je serais tien. » Souffla-t-il dñ€ℱune voix douce sans quitter ses lÚvres du regard en déglutissant longuement dñ€ℱenvie. Relevant lentement le regard pour le plonger dans le sien, il la laissa mordiller sa lÚvre, sans broncher le moins du monde. Lorsquñ€ℱelle se détacha de ses bras, il la laissa faire sans la quitter du regard, posant alors sa tÃÂȘte sur le mur derriÚre lui, lùchant un bref soupir de frustration.  Que dirais-tuñ€©De se faire un petit programme pour se voir ? Genre les aprÚs midi et la soirée avant que tu ne partes bosser ? Je suis handicapé, je suis donc libre comme lñ€ℱair pendant encore quinze joursñ€© On pourrait sñ€ℱorganiser pas mal de choses toi et moiñ€© Je te proposerai bien de venir chez moi maisñ€© non. Désolée lñ€ℱambiance est nazeñ€© Mon frÚreñ€© etñ€© Humñ€© ma sÅ“urñ€© Jñ€ℱai apprit queñ€© Ma mÚre biologique avait eu une autre fille etñ€© La voilà dans ma vie ñ€© Bref, donc chez toi ? Ou dehors, dis moi ce que tu veux faire, je suis ouverte a toute proposition mon Kris ñ€© » Surprit, il haussa les sourcils en redressant la tÃÂȘte pour la regarder.  Quels rebondissements ñ€© Avec une telle ambiance de merde il faut sĂąâ‚Źâ„ąĂƒÂ©chapper un peu alors. » Souffla-t-il doucement en souriant sans la quitter du regard, se redressant pour passer ses doigts sous la ceinture de son slim, lñ€ℱattirant doucement à lui pour poser son front contre le sien.  Oui on se verra le plus dñ€ℱaprÚs-midi possible pour sortir oÃÂč tu voudras. Parc, restaurant, cinéma, ville, plage ñ€© Tout ce que tu veux. Et pour ce soir tu restes avec moi ? On pourrait échouer chez moi, manger et regarder un dvd dans les bras lñ€ℱun de lñ€ℱautre ? Et tu pourras repartir quand bon te sembleras. Ou encore on va chez moi récupérer de quoi dormir et on se fait une nuit à la belle étoile. Je te laisse décider. » Souffla-t-il tout en déposant de brefs et doux baisers sur son visage et descendant lentement dans son cou sans se détacher dñ€ℱelle un seul instant. InvitéInvitéSURVOLE PETIT COQUINSujet Re Trust me, Say me yes, for the life. K&L Lun 30 Mai - 1611 Take me, Don't give up Satisfaite ? » Entrouvrant la bouche, en entendant son gémissement, je déglutis longuement en mñ€ℱaccrochant plus a lui encoreñ€© il nñ€ℱavait pas réellement le droit de me faire çañ€© Nonñ€© Vraiment pas, cĂąâ‚Źâ„ąĂƒÂ©tait un mauvais joueur ! Pressant plus encore ma cuisse contre son membre, je le frottais lentement lñ€ℱair de rien, en venant alors mordre son oreille tout en murmurant son prénom en gémissant longuement, une de mes mains descendant lentement sur sa fesse lñ€ℱair de rien que je chatouillai quelque peu. Non, vraiment, jamais lñ€ℱexciterñ€© Sñ€ℱil voulait sñ€ℱembarquer dans ce jeu, il était mal barré avec moiñ€© ne répondant rien préférant lñ€ℱexciter de plus en plus la conversation continua tranquillement en parlant alors du fait quñ€ℱil se trouvait ici. Pourquoi dñ€ℱailleurs ? Il mñ€ℱapprit alors que sa bande de pote nñ€ℱavait pas voulu lui laisser le choix et quñ€ℱil avait été forcé de venir ici alors quñ€ℱil avait déjà prévu quelque chose, lui annonçant que demain serait un autre jour il aurait largement le temps de faire ce quñ€ℱil avait prévusñ€© Me parlant de destin et de tout autre chose, je ne compris pas réellement ce quñ€ℱil voulait direñ€© Mais je ne pus mñ€ℱempÃÂȘcher de répliquer quñ€ℱil avait de la chance que le destin soit de son cÎté contrairement à moi qui en ce moment nñ€ℱavait aucune chance et encore moins de destin que luiñ€© Autant dire que jĂąâ‚Źâ„ąĂƒÂ©tais sur ce coup là poisseuse de chez poisseuseñ€©  Il se pourrait quñ€ℱil tourne en ta faveur aussi. » Fronçant les sourcils, sans trop comprendre, je restai dubitative sur sa phrase. Pourquoi me disait-il cela ? Je ne comprenais pas trop. Est-ce quñ€ℱil parlait de nous ? Est-ce quñ€ℱil y avait réellement un nous possible ? Je me le demandai bienñ€© Me mouvant toujours contre lui, je ne perdis pas une miette de notre étreinte, je voulais en profiter au maximum, mñ€ℱenivrer de son odeur, de sa douce fragrance qui me délectait plus que de raison. Je voulais en avoir lñ€ℱeau a la bouche, je voulais le goutter, lñ€ℱembrasser, le mordre, savourer sa peau sous chaque infime parcelleñ€© Je voulais lui faire lñ€ℱamour, quñ€ℱil me fasse lñ€ℱamour, je voulais juste passer le reste de mes jours avec lui et personne dñ€ℱautre. Une vie heureuse, sans faille, sans imperfection passé à ces cÎtés. Je ne voulais que lui et encore luiñ€© Inspirant doucement contre son cou, jñ€ℱembrassais lentement sa peau a nouveau, créant des frissons sur sa peau  Ah bon ? Me tarde de savoir alorsñ€© » Dis-je doucement en me mouvant un peu plus contre lui tout en le serrant contre moi un maximum, avant de me défaire alors de son emprise. Lui lançant un regard amoureux je ne pus mñ€ℱempÃÂȘcher de lui dire que nous ne devrions pas faire cela tant quñ€ℱil nñ€ℱavait pas prit de décisionñ€© partant alors il me rattrapa pour mñ€ℱenvoyer un message mñ€ℱintimant quñ€ℱil voulait me parlerñ€© Me portant telle une princesse, je le laissais faire en enfouissant alors ma tÃÂȘte dans son cou me doutant alors de quoi il voulait parler pour le destinñ€© il allait me dire oui, oui il allait me donner sa réponseñ€© CĂąâ‚Źâ„ąĂƒÂ©tait donc ça quñ€ℱil voulait faire ce soir avant que ses amis ne lñ€ℱentrainent de force ici ? Le destin était avec nous, putain oui il était de notre cÎtĂƒÂ©Ăąâ‚ŹÂŠ. Me posant dans une ruelle ou personne ne trainaient, pour que lñ€ℱon soit seul et sans dérangement quelconque, il mñ€ℱannonça alors que oui il voulait de moi pour petite amieñ€© Trois semaines, trois putains de semainesñ€© JĂąâ‚Źâ„ąĂƒÂ©tais on ne peut plus heureuse dñ€ℱapprendre quñ€ℱil me voulaitñ€© Mñ€ℱappelant alors ma puce, je ne pu que gémir et fondre dans ses bras tout en lñ€ℱembrassant lui demandant alors de continuer, de ne pas sñ€ℱarrÃÂȘter a mñ€ℱappeler ainsi, je voulais encore et encore lñ€ℱentendre me dire ma puceñ€© Je fondais littéralement.  Ma puce ñ€© Ma petite puce ñ€© Hey pourquoi Eden au fait ? » Gémissant doucement aux surnoms quñ€ℱil me donnait, je mñ€ℱagrippai un peu plus à lui tout en frissonnant de bien ÃÂȘtre. CĂąâ‚Źâ„ąĂƒÂ©tait on ne peut plus plaisant dñ€ℱentendre cela, jñ€ℱaimais terriblement ce petit surnomñ€© Puceñ€©Le premier quñ€ℱil mñ€ℱavait donné, le premier qui serait ancré franchement en moiñ€© Edenñ€© Pourquoi Edenñ€© Sñ€ℱil savaitñ€© Inspirant doucement je le regardais rapidement en souriant en coin. Frottant lentement mon nez contre le sien, je lñ€ℱembrassais lentement en attrapant sa lÚvre inférieure la lui tirant lentement avant de la relùcher.  Pourquoi Eden ? Humñ€© Tu connais le jardin dñ€ℱEden ? Ce jardin parfait, ce petit coin de paradis ? Ben tu es mon jardin à moi, mon paradis, celui qui me fait mĂąâ‚Źâ„ąĂƒÂ©vader loin de toutñ€© Tu es mon Eden à moiñ€© » soufflai-je doucement en lui lançant un regard franchement amoureux, comme pour lui dire je tñ€ℱaime, comme pour lui faire comprendre que je lñ€ℱaimais plus que tout ouiñ€© Le plaquant contre le mur, je ne pu mñ€ℱempÃÂȘcher de lñ€ℱembrasser, tout en lui demandant de me faire confiance, oui, je voulais quñ€ℱil me fasse confiance pour quñ€ℱil puisse enfin tomber dans cette bulle dans laquelle jĂąâ‚Źâ„ąĂƒÂ©tais pour ma part depuis plus dñ€ℱun anñ€© Une bulle remplit dñ€ℱamour pour luiñ€© Lorsquñ€ℱil mñ€ℱapprit quñ€ℱil avait confiance en moi depuis toujours je ne pu mñ€ℱempÃÂȘcher de gémir en lui murmurant alors que je serais la femme la plus parfaite et que je serais sienne, oui je serais sa femme a lui et a personne dñ€ℱautre.  Hm Laety ñ€© Tu es parfaite ñ€© Tu me plais démesurément. Mais oui sois mienne et je serais tien. » Gémissant doucement en déglutissant quelque peu je pu voir son regard rivait sur mes lÚvres, dieu que cĂąâ‚Źâ„ąĂƒÂ©tait plaisant a voir, oui, il avait envie de mñ€ℱembrasser et cĂąâ‚Źâ„ąĂƒÂ©tait plus quñ€ℱexcitant de le voir lutter pour ne pas mñ€ℱembrasserñ€© Mordillant lentement ses lÚvres je ne pus mñ€ℱempÃÂȘcher de gémir légÚrement. Il me rendait tout aussi folle que moi je pouvais le rendre fou, on était en train de sñ€ℱuser, de se tuer mutuellement et dans un sens ce nĂąâ‚Źâ„ąĂƒÂ©tait pas plus mal, jñ€ℱaimais cruellement lñ€ℱidée de mourir de plaisir dans ses bras, se consumer lentement à petit feu, tels deux désespérés de lñ€ℱamourñ€© Oui souffrir ensemble, sñ€ℱaimer ensemble, et tout ce qui sñ€ℱen suit, mÃÂȘme si pour lñ€ℱinstantñ€© Je devais accepter le fait dñ€ℱÃÂȘtre avec lui sans quñ€ℱil ne mñ€ℱaime. Certes je lui plaisais mais je savais quñ€ℱil ne mñ€ℱaimait pasñ€© du moins pas encore.  Jñ€ℱaime tñ€ℱentendre dire çañ€© Bon sang cñ€ℱest plus que plaisantñ€© Oh ça ouiñ€©Mon mienñ€© Je te promets de te rendre heureuxñ€© Tellement que tu ne sauras plus ce que cñ€ℱest que la tristesseñ€© » soufflai-je contre ses lÚvres en souriant en coin, oui je voulais lui faire connaitre les joies de lñ€ℱamour, les joies dñ€ℱune vie en couple, mais en faitñ€© Moi je nñ€ℱy connaissais rienñ€© Je nĂąâ‚Źâ„ąĂƒÂ©tais pas une experte, cĂąâ‚Źâ„ąĂƒÂ©tait la premiÚre fois que jñ€ℱaimais quelquñ€ℱunñ€© la premiÚre fois que jñ€ℱallais plus ou moins mñ€ℱinstaller avec quelquñ€ℱunñ€© Est-ce quñ€ℱon allait sñ€ℱinstaller ensemble ? Moi chez luiñ€© Je nñ€ℱen savais rien, je me voyais mal venir vivre chez luiñ€© Pourquoi ? Je nñ€ℱen savais rienñ€© On verra bien par la suite de toute façonñ€© Me détachant lentement de lui en souriant en coin, je lui proposais alors de faire plusieurs choses tant que lñ€ℱon nñ€ℱallait pas chez moi. Au vu de lñ€ℱambiance et de la nouvelle locataire, je ne préférais pas me retrouver coincer entre mon frÚre et... ma sÅ“ur. Puis mon frÚre nñ€ℱapprécierait vraiment pas que je ramÚne un homme a la maison, mÃÂȘme si jĂąâ‚Źâ„ąĂƒÂ©tais chez moiñ€© il serait bien trop jaloux, je le savais parfaitementñ€©  Quels rebondissements ñ€© Avec une telle ambiance de merde il faut sĂąâ‚Źâ„ąĂƒÂ©chapper un peu alors. » Passant ma langue sur mes lÚvres, je le regardai avec amour sentant alors son doigt glisser sous mon slim pour mñ€ℱattraper. Me figeant légÚrement, ne mñ€ℱy attendant vraiment pas, je le laissai me tirer a lui. Nos corps collés lñ€ℱun a lñ€ℱautre, je me mouvais lentement contre lui en posant ma main sur sa joue, la lui caressant longuement de mon pouce, nos fronts collés mon regard toujours dans le sien, mon cÅ“ur se mit a battre la chamade. JĂąâ‚Źâ„ąĂƒÂ©tais amoureuseñ€© Tellement amoureuse de lui.  Oui on se verra le plus dñ€ℱaprÚs-midi possible pour sortir oÃÂč tu voudras. Parc, restaurant, cinéma, ville, plage ñ€© Tout ce que tu veux. Et pour ce soir tu restes avec moi ? On pourrait échouer chez moi, manger et regarder un dvd dans les bras lñ€ℱun de lñ€ℱautre ? Et tu pourras repartir quand bon te sembleras. Ou encore on va chez moi récupérer de quoi dormir et on se fait une nuit à la belle étoile. Je te laisse décider. » Sentant ses bisous sur mon visage, je ne pu mñ€ℱempÃÂȘcher de gémir doucement de bien ÃÂȘtre en griffant lentement sa joue, il allait me tuerñ€© Descendant dans mon cou, je penchai la tÃÂȘte en arriÚre en passant la langue sur mes lÚvres en me collant franchement contre lui tremblant quelque peu. Attrapant son haut avec force et conviction je déglutis sans trop de mal. Jñ€ℱavais chaud, trÚs chaudñ€© Il était en train de mñ€ℱexciter plus que de raisonñ€© Trois semaines sans son corps cĂąâ‚Źâ„ąĂƒÂ©tait long, trop longñ€© Le poussant doucement je plaquais alors mes lÚvres sur les siennes en griffant franchement sa joue ma langue entrant dans sa bouche avec ardeur et passion. Lñ€ℱembrassant dans un baiser passionné, amoureux et surtout comme si je ne nñ€ℱallais plus le revoir, un baiser désespérer et envieux, ne plus vouloir mñ€ℱarrÃÂȘter, je me mis à gémir doucement passant mon autre main sous son haut, venant lui chatouiller lentement le ventre avant de remonter sur le creux de son torse venant poser ma main entre ses pectoraux caressant lentement ses poils les lui tirant quelque peu en déposant des multiples petits baisers humide sur ses lÚvres, léchant alors celle-ci du bout de ma langue déviant lentement sur son menton, laissant une trainé de bave allant dans son cou pour remonter a son oreille. Suçotant le lobe de celle-ci je mordillai sans gÚne en tirant longuement dessus tout en soupirant. Rester avec lui ce soir ? Je nñ€ℱavais pas réellement prévu celañ€© Mais aprÚs tout pourquoi pas, il fallait bien que lñ€ℱon célÚbre notre premiÚre nuit en couple non ? Autant rester avec luiñ€© Oui, je le voulaisñ€© je voulais passer ma nuit avec lui et personne dñ€ℱautre. Mon frÚre nñ€ℱapprécierait surement pas que je ne rentre pas alors que jñ€ℱavais dit que je rentreraisñ€© Mais bon, ce nñ€ℱest pas trop graveñ€©  Je suis dñ€ℱaccord pour toutñ€© Ce soir je veux rester avec toi, mĂąâ‚Źâ„ąĂƒÂ©vader avec toi, dans tes bras, juste toi et moiñ€© Il fait beau, il fait chaudñ€© On file chez toi chercher de quoi dormir et on échoue sur la plage ? Un nouveau bain de nuit ça ne te tente pas ? En plus ils ont rajoutés des douches sur les plages, chose parfaite pour sñ€ℱenlever le selñ€© Dormir a la belle étoile avec toi je reveux ouiñ€© » soufflais-je doucement au creux de son oreille en caressant la base de sa gorge du bout de mes doigts. Je lñ€ℱaimais, oui, jñ€ℱaimais Kristopher, je lñ€ℱaimais comme jamais, il était mon homme, mon coup de foudre, lñ€ℱhomme de ma vie jñ€ℱen restai mÃÂȘme persuadĂƒÂ©Ăąâ‚ŹÂŠ Je ne pouvais pas passer à cÎté de celañ€© Inspirant doucement en frottant lentement ma joue contre la sienne je déposais de nouveaux baisers sur sa tempe en léchant lentement sa peau, mon autre main se faufilant en bas de son ventre, attrapant son jean que je tirais doucement tout en glissant deux doigts sous attrapant par la mÃÂȘme occasion son boxer, caressant lñ€ℱair de rien les quelques poils que je rencontrai, mñ€ℱempÃÂȘchant de glisser ma main plus bas pour ne pas empoigner son sexe. Ce nĂąâ‚Źâ„ąĂƒÂ©tait pas lñ€ℱenvie qui me manquait pourtantñ€© Oh ça nonñ€© Passant ma langue sur mes lÚvres je vins frotter mon nez contre le sien, le regardant à nouveau tout en souriant.  Sea, sex & moonñ€© » murmurai-je doucement en souriant en coin lñ€ℱembrassant alors a nouveau laissant mes mains là ou elles étaient mñ€ℱamusant aves les poils de son corps, des poils que jñ€ℱaimais terriblement, un corps qui était a présent mienñ€© Mon Kristopher. InvitéInvitéSURVOLE PETIT COQUINSujet Re Trust me, Say me yes, for the life. K&L Mer 1 Juin - 1538 Le corps collé à celui de Laety, dans cette boite de nuits branchée de Southampton, son corps se mouvant au mÃÂȘme rythme que le sien, contre sien, messes basses chuchotées au creux de lñ€ℱoreille. Aucun doute, ils passaient aisément pour un couple amoureux, ce qui nĂąâ‚Źâ„ąĂƒÂ©tait pas bien loin de la vérité à vrai dire. De légÚres caresses, des soupirs de bien ÃÂȘtre et des regards échangés, ils étaient comme hors du temps, rien que tout les deux, loin de tout et de tout le monde. Ils semblaient ne pouvoir se lasser lñ€ℱun de lñ€ℱautre et de ce moment quñ€ℱils passaient comme coupés du reste du monde. A croire que rien dñ€ℱautre nñ€ℱavait dñ€ℱimportance pour eux, que leur petite bulle de bien ÃÂȘtre quñ€ℱils sĂąâ‚Źâ„ąĂƒÂ©taient construits quelques temps plus tÎt. Mais plus précisément, lorsquñ€ℱils avaient couchés ensemble pour la toute premiÚre fois, le temps de réaliser quñ€ℱils étaient déjà accrocs et ils remettaient encore et encore ça, en jurant à chaque fois que ce serait la derniÚre. Mais comment arrÃÂȘter une chose aussi merveilleuse et fabuleuse soit-elle ? Ils ne pouvaient se lasser du corps de lñ€ℱun et de lñ€ℱautre et ne semblaient mÃÂȘme pas avoir dans lñ€ℱidée de tout arrÃÂȘter. CĂąâ‚Źâ„ąĂƒÂ©tait bien trop bon pour accepter une telle chose de toute façon, cĂąâ‚Źâ„ąĂƒÂ©tait dñ€ℱune évidence indéfectible. Dans le cas de Kris, il avait beau ne pas ÃÂȘtre amoureux il sentait bien que quelque chose le rattachait et lñ€ℱattirait inexorablement vers Laety, sans trop comprendre quoi pour autant, sur le plan des sentiments du moins. Oui elle était merveilleusement belle, drÎle, intelligente et intéressante. Et oui, ils sñ€ℱentendaient merveilleusement bien sur le plan sexuel. Il ne doutait pas un seul instant que ce nĂąâ‚Źâ„ąĂƒÂ©tait pas uniquement cette derniÚre chose qui faisait quñ€ℱil la voulait dans sa vie, plus que jamais. CĂąâ‚Źâ„ąĂƒÂ©tait simplement ces dérapages à répétition, qui lui avaient fait comprendre et ouvrir les yeux sur le fait quñ€ℱils ne pouvaient ÃÂȘtre de simples amis, comme dans le passé, pour encore bien longtemps. A présent, comment revenir en arriÚre ? CĂąâ‚Źâ„ąĂƒÂ©tait tout bonnement impossible ! Il avait constamment envie dñ€ℱelle et doutait de pouvoir lutter contre ce désir de plus en plus fort et puissant. Et mÃÂȘme sñ€ℱil nñ€ℱy avait pas eut ce besoin physique constant, il doutait quñ€ℱil aurait pu revenir en arriÚre pour reprendre une simple amitié avec elle. Il était en train de sñ€ℱattacher dñ€ℱune toute autre façon, qui était plus amoureuse quñ€ℱ que la jeune femme sñ€ℱamusait à lñ€ℱexciter démesurément en pressant sa cuisse contre son membre, il lùcha un doux gémissement au creux de son oreille en lui demandant dñ€ℱune voix rauque si elle était satisfaite. Pour toute réponse, elle pressa plus encore sa cuisse contre son entre jambe, la frottant avec lenteur mais insistance. Le sang battant à ses tempes avec force, Kris vint mordiller lentement le lobe de son oreille, la serrant contre lui avec force. Sentant lñ€ℱune de ses mains passer sur ses fesses avec lenteur, tandis quñ€ℱelle sñ€ℱamusait à gémir et murmurer son prénom, le jeune homme eut du mal à déglutir tant le désir lui nouait la gorge et venait faire sñ€ℱemballer férocement son cÅ“ur.  Laety je crois que tu tñ€ℱes assez vengée comme ça ñ€© » Souffla-t-il dñ€ℱune voix rauque en luttant fortement contre lñ€ℱenvie de lñ€ℱembarquer dans un coin sombre pour la prendre debout, en la plaquant contre le mur. Sñ€ℱil ne répondait pas à son désir immédiatement, cĂąâ‚Źâ„ąĂƒÂ©tait uniquement parce quñ€ℱelle attendait une réponse de sa part et quñ€ℱil voulait plus que tout, la lui donner avant dñ€ℱen venir à lui faire lñ€ℱamour. Lñ€ℱattente avait bien assez durée comme cela. Changeant de conversation pour ne pas franchement sñ€ℱemballer, ils parlÚrent alors du fait que Kris avait été trainé plus ou moins de force jusquñ€ℱici, par sa bande dñ€ℱamis, qui ne voulait pas quñ€ℱil reste encore et toujours à se morfondre chez lui. La conversation menant au sujet du destin, le jeune homme souffla à la blonde quñ€ℱil allait bientÎt tourner en sa faveur à elle aussi, tout comme lui, sans préciser bien entendu, quñ€ℱil parlait dñ€ℱeux. Car en effet, la réponse quñ€ℱil allait bientÎt lui donner, avait tout pour changer leur destin à tous les deux. Une chance de se mettre en couple, une chance pour quñ€ℱil tombe amoureux dñ€ℱelle et donc, une chance pour quñ€ℱils construisent quelque chose ensemble. Quant à savoir quoi, Kris ne préférait pas trop en parler, sachant quñ€ℱil avait toujours aussi peur des engagements sérieux tel que des enfants ou encore le mariage. Il ne voulait pas se précipiter en sachant quñ€ℱil nĂąâ‚Źâ„ąĂƒÂ©tait pas sûr de vouloir aller jusque là . Et si leur destin, était simplement dñ€ℱÃÂȘtre toujours ensemble et de se suffire lñ€ℱun à lñ€ℱautre ? Cela serait le summum du paradis selon lui.  Ah bon ? Me tarde de savoir alorsñ€© » Sans répondre quoi que ce soit, Kris eut un franc sourire de bien ÃÂȘtre et de joie en la serrant plus encore contre lui, avant de la laisser sĂąâ‚Źâ„ąĂƒÂ©chapper lorsquñ€ℱelle se détacha de lui, sous prétexte quñ€ℱils ne devaient pas rester trop ensemble pour quñ€ℱil puisse réfléchir rationnellement. Préférant ne pas remettre à demain la réponse quñ€ℱil avait déjà trouvé, il la rattrapa en lui envoyant alors un sms, avant de la soulever telle une princesse dans ses bras, pour lñ€ℱentrainer au dehors, dans une ruelle plus ou moins sombre et écartée du reste des gens, pour ne pas ÃÂȘtre dérangés le moins du monde. Souriant et soupirant de bien ÃÂȘtre, il lui fit alors part de sa décision et de son oui sans la moindre hésitation, avant de la retrouver enfin pour de bon en lñ€ℱembrassant tel un désespéré dans cette foutue ruelle sombre. Lñ€ℱappelant alors puce, Kris eut un sourire en lñ€ℱentendant lñ€ℱappeler encore une fois, Eden. Ce nĂąâ‚Źâ„ąĂƒÂ©tait pas la premiÚre fois quñ€ℱelle lñ€ℱappelait de la sorte mais jusquñ€ℱà présent, il avait toujours eut mieux à penser que de lui demander la raison de ce surnom. Lui demandant alors doucement, il la regarda longuement sans se détacher dñ€ℱelle, comme incapable de le faire alors quñ€ℱils se retrouvaient enfin pleinement, aprÚs presque trois semaines de séparation totale.  Pourquoi Eden ? Humñ€© Tu connais le jardin dñ€ℱEden ? Ce jardin parfait, ce petit coin de paradis ? Ben tu es mon jardin à moi, mon paradis, celui qui me fait mĂąâ‚Źâ„ąĂƒÂ©vader loin de toutñ€© Tu es mon Eden à moiñ€© » Plongeant franchement son regard dans le sien, il frissonna longuement de bien ÃÂȘtre sans la quitter du regard, souriant légÚrement en coin tant il se sentait bien et complet en cet instant.  Ca me va ! Tñ€ℱas de la suite dans les idées ma petite blonde. » Souffla-t-il doucement en lui lançant un regard tendrement moqueur avant de gémir doucement lorsquñ€ℱelle le plaqua doucement mais fermement contre le mur derriÚre lui, pour lñ€ℱembrasser une nouvelle fois avec fougue et ardeur. Parlant de confiance et du fait quñ€ℱelle lui plaisait démesurément, Kris ne put sñ€ℱempÃÂȘcher de regarder ses lÚvres avec envie, tout en lui soufflant quñ€ℱil serait sien et elle sienne. La laissant mordiller ses lÚvres avec lenteur, il soupira longuement de bien ÃÂȘtre sans la quitter du regard, comme totalement incapable de regarder ailleurs alors que la femme qui lui plaisait le plus sur cette terre, se trouvait ÃÂȘtre juste devant lui, collée à lui.  Jñ€ℱaime tñ€ℱentendre dire çañ€© Bon sang cñ€ℱest plus que plaisantñ€© Oh ça ouiñ€©Mon mienñ€© Je te promets de te rendre heureuxñ€© Tellement que tu ne sauras plus ce que cñ€ℱest que la tristesseñ€© » Frissonnant longuement de bien ÃÂȘtre, il se mordilla lentement la lÚvre en la regardant avec une infinie tendresse tant elle était en train de le rendre fou simplement avec ses paroles et ses promesses. Gardant ses lÚvres contre les siennes, il y déposa de tendres baisers sans parvenir à sñ€ℱen lasser.  Jñ€ℱai pleinement confiance en toi. Tu me rends déjà heureux. » Souffla-t-il doucement, son souffle heurtant délicatement les lÚvres de la jeune laissant se détacher avec lenteur de lui, il la regarda longuement, lĂąâ‚Źâ„ąĂƒÂ©coutant alors parler de la suite de leur programme. Réfléchissant quelque peu, il mentionna le fait quñ€ℱavec cette ambiance quñ€ℱelle avait chez elle, il lui fallait donc sĂąâ‚Źâ„ąĂƒÂ©chapper un tant soit peu. Passant alors le bout de ses doigts sous son slim tout en se détachant du mur pour lñ€ℱattirer contre lui sans la quitter du regard, il mentionna la suite de leur soirée à venir. La sentant se mouvoir tout contre lui, il soupira doucement de bien ÃÂȘtre en posant son front contre le sien et plongeant son regard dans le sien. Incapable de sñ€ℱen empÃÂȘcher, il déposa de tendres et doux baisers sur son visage en soupirant faiblement de bien ÃÂȘtre tant lñ€ℱinstant lui semblait une nouvelle fois magique et hors du temps. Descendant ses lÚvres dans son cou, il soupira de bien ÃÂȘtre en la voyant pencher la tÃÂȘte en arriÚre, déposant alors de brefs et légers baisers sur sa gorge en inspirant longuement son odeur envoûtante et plaisante à souhait. Sentant ses mains empoigner son haut avec force, il eut un léger sourire en coin en déplaçant ses mains pour les poser à plat sur le bas de ses reins, tout en posant le bout de ses doigts sur le haut de ses fesses lñ€ℱair de rien. Se sentant pousser en arriÚre sans aucun doute parce que la jeune femme sñ€ℱemballait, il redressa la tÃÂȘte au moment oÃÂč ses lÚvres vinrent heurter les siennes avec franchise pour un baiser fougueux tout en posant une main sur sa joue pour griffer lentement sa peau. Pressant sa langue contre la sienne avec fiÚvre et ardeur, il laissa échapper un doux gémissement dñ€ℱenvie sans détacher ses lÚvres des siennes pour lñ€ℱembrasser toujours avec autant de fougue et de sauvagerie. Détachant ses lÚvres des siennes en sentant sa main se faufiler sous son haut, il soupirant doucement de bien ÃÂȘtre et dñ€ℱenvie en sentant sa main se poser sur son ventre et monter entre ses pectoraux. Sans la quitter du regard, il la laissa déposer des baisers humides sur ses lÚvres, entrouvrant légÚrement celles-ci sous le coup de lñ€ℱenvie quñ€ℱil avait dñ€ℱelle et de son corps. Sa langue se faufilant sur ses lÚvres avant de se poser sur son cou et remonter à son oreille, il ferma les yeux en souriant de bien ÃÂȘtre tant il aimait sentir la salive quñ€ℱelle déposait sur sa peau.  Je suis dñ€ℱaccord pour toutñ€© Ce soir je veux rester avec toi, mĂąâ‚Źâ„ąĂƒÂ©vader avec toi, dans tes bras, juste toi et moiñ€© Il fait beau, il fait chaudñ€© On file chez toi chercher de quoi dormir et on échoue sur la plage ? Un nouveau bain de nuit ça ne te tente pas ? En plus ils ont rajoutés des douches sur les plages, chose parfaite pour sñ€ℱenlever le selñ€© Dormir a la belle étoile avec toi je reveux ouiñ€© » Souriant en coin, Kris descendit ses mains pour les poser franchement sur lñ€ℱarrondie parfait de ses fesses, pressant son corps contre le sien avec force et conviction.  Hm ñ€© Je veux faire ce que je voulais faire lors de notre premier bain de minuit ñ€© Toi, moi, la nuit, une plage, de nombreuses heures à venir. » Souffla-t-il doucement de bien ÃÂȘtre et dñ€ℱenvie sans se détacher dñ€ℱelle, comme désireux de souder leurs corps. Ce quñ€ℱil rÃÂȘvait de faire physiquement parlant. Il voulait lui faire lñ€ℱamour et ne faire plus quñ€ℱun avec elle, encore et encore. Il voulait dñ€ℱune étreinte sans fin tout simplement. Sa main se faufilant sur son bas ventre, Kris se figea quelque peu lorsquñ€ℱelle glissa ses doigts sous son jean puis son boxer, pour caresser lentement sa peau. Déglutissant longuement, il frissonnant franchement dñ€ℱexcitation, à cela ajoutés ses baisers humides. Ses lÚvres sur les siennes, il lùcha un involontaire gémissement en déposant de brefs baisers sur ses lÚvres.  Sea, sex & moonñ€© » Souriant en coin, il mordilla lentement ses lÚvres sans la quitter du regard.  Sauf ñ€© Que si on reste une minute de plus, ça va se transformer en street, sex & moon alors on bouge ma puce ñ€© » Souffla-t-il dñ€ℱune voix rauque sans pour autant se détacher tout de suite dñ€ℱelle, plaquant alors franchement ses lÚvres sur les siennes pour lñ€ℱembrasser avec fiÚvre et sauvagerie, en plaquant inlassablement sa langue contre la sienne. Sentant son membre durcir franchement dñ€ℱenvie, il se détacha dñ€ℱelle en sñ€ℱemparant de sa main pour lñ€ℱentrainer avec lui dans lñ€ℱintention de quitter la ruelle, en riant doucement.  Etape numéro un, aller récupérer de quoi dormir, chez moi. » InvitéInvitéSURVOLE PETIT COQUINSujet Re Trust me, Say me yes, for the life. K&L Jeu 2 Juin - 426 Take me, Don't give up Laety je crois que tu tñ€ℱes assez vengée comme ça ñ€© » Frissonnant doucement, ma cuisse toujours contre son entre jambes, je la bougeai encore un petit peu avant de lñ€ℱenlever signe que je cessai la guerre de vengeance que jñ€ℱavais alors plus ou moins déclarer il y a quelques minutesñ€© voir secondes, le temps passait tellement vite quñ€ℱon ne se rendait pas réellement compte depuis combien de temps nous étions là ñ€© Restant tout de mÃÂȘme collé à lui je dansais au mÃÂȘme rythme que lui tout en fermant lentement les yeux.  Hum désoléeñ€© Jñ€ℱarrÃÂȘte promisñ€© Mais tu sais que tu es irrésistible ? Tñ€ℱes une sorte de péché mignonñ€© » Un gros trÚs gros péché mignon mÃÂȘmeñ€© Mais ça il sñ€ℱen doutait parfaitement, il ne pouvait pas lñ€ℱignorerñ€©Mais malheureusement pour moi il était temps de cesser le jeu du petit péché mignon et de me détacher de luiñ€© je ne pouvais pas rester là a continuer de danser alors quñ€ℱil nñ€ℱavait pas encore fait son choix, autant ne pas lñ€ℱinfluencerñ€© Me détachant de lui il me rattrapa pour mñ€ℱenvoyer un message me disant quñ€ℱil voulait me parler et par la suite il me prit alors dans ses bras telle une princesse pour me porter loin de la boite de nuit, allant mÃÂȘme dans une ruelle a lĂąâ‚Źâ„ąĂƒÂ©cart pour que nous soyons seul et non pas dérangé par des gens ñ€© Kristopher était en train de me tuerñ€© aprÚs mñ€ℱavoir annoncé quñ€ℱil me voulait, quñ€ℱil voulait alors sortir avec moi les baisers fusÚrent ainsi que les surnoms et jñ€ℱen vins alors a lñ€ℱappeler Edenñ€© Me demandant alors pourquoi Eden, je ne perdis pas de temps a lui expliquer le pourquoi du comment, mon jardin dñ€ℱEdenñ€© Mon mien a moiñ€©  Ca me va ! Tñ€ℱas de la suite dans les idées ma petite blonde. » Haussant un sourcil avant de rire doucement, je levais vaguement les yeux au ciel. Petite blondeñ€© souriant en coin jñ€ℱenfouissais lentement mon visage dans son cou tout en soufflant contre sa peau créant alors des frissons. Tirant doucement ses cheveux en les regardant longuement je me redressais plus ou moins en embrassant le bout de son nez que jñ€ℱaimais tant. Il était tout aussi blond que moiñ€© Bon certes il avait des racines brunes choses que je nñ€ℱavais pas pour ma partñ€© Plissant les yeux, je baissais vaguement le regard vers le sien en souriant en coin.  Tu sais que le blond te vas super bien ? On est assorti comme çañ€© Tu sais que jñ€ℱai été brune ? Rousse aussiñ€© MÃÂȘme noireñ€© MÃÂȘme avec des cheveux rose, le monde du mannequinat demande parfois pas mal de changement niveau cheveuxñ€© Je tñ€ℱavais montré des photos non ? Je ne me souviens plus trop des quelles par contreñ€© » dis-je doucement en réfléchissant essayant plus ou moins de me souvenir alors des photos que je lui avais montré. Peu importe peut ÃÂȘtre que me faire couper les cheveux et me teindre en brune serait bientÎt dñ€ℱactualitĂƒÂ©Ăąâ‚ŹÂŠ. A voir. Je verrais quand lñ€ℱenvie sera là bien entenduñ€© Lui murmurant alors que je serais sienne, le fait quñ€ℱil mñ€ℱannonce que jĂąâ‚Źâ„ąĂƒÂ©tais sienne me plu énormément, comment ne pas aimer en mÃÂȘme temps ? on se le demandeñ€©  Jñ€ℱai pleinement confiance en toi. Tu me rends déjà heureux. » Frissonnant quelque peu à ses paroles, je ne pu que sourire dñ€ℱavantage en lui lançant un regard totalement remplit de désir pour lui. Nos lÚvres extrÃÂȘmement proche, je ne pus mñ€ℱempÃÂȘcher de lñ€ℱembrasser avec douceur déposant simplement quelques petits baisers sur ses lÚvres passant lentement ma langue sur celles-ci.  Humñ€© Tant mieux alors, soyons heureux ensemble ñ€© » Murmurai-je doucement en me détachant plus ou moins de lui par la suite. Lui expliquant alors plus ou moins le programme que nous pourrions faire, on en vint alors a la plage, oui pourquoi pas aprÚs tout ? Un bon bain de minuit, mais cette fois on échouerait sur la plage lñ€ℱon ferait lñ€ℱamour avec franchise, ouiñ€© On ferait lñ€ℱamour, nos cris résonneraient avec lñ€ℱeauñ€© Je le voulais et je le désirais ardemment. Mon corps le voulait, mon ÃÂȘtre tout entier le voulaitñ€©Sentant ses doigts se glisser sous mon slim pour me tirer a lui, je revins alors me coller contre son corps, tout en frissonnant de bien ÃÂȘtre. Oui il était en train de me rendre totalement folleñ€© je bouillonnai ce nĂąâ‚Źâ„ąĂƒÂ©tait plus quñ€ℱune question de minutesñ€©  Hm ñ€© Je veux faire ce que je voulais faire lors de notre premier bain de minuit ñ€© Toi, moi, la nuit, une plage, de nombreuses heures à venir. » Me mordillant doucement la lÚvre, jñ€ℱavais rapidement une vague idée de ce quñ€ℱil voulait que lñ€ℱon fasse lors de notre premier bain de minuit franchement frais puisquñ€ℱà cette époque nous étions en pleine hiverñ€© Autant dire que nous étions de grand malade. Mais maintenant que cĂąâ‚Źâ„ąĂƒÂ©tait mieux, le bain de minuit pouvait déraper sexuellement autant quñ€ℱon le voulaitñ€© Oh ça ouiñ€© Je lñ€ℱimaginais me prendre sur le sable ou bien mÃÂȘme commencer a me chauffer dans lñ€ℱeau pour me préparer plus ou moins psychologiquement a me prendre avec violence comme nous lñ€ℱavions fait dans la ruelle ou bien mÃÂȘme au campingñ€© Rien que dñ€ℱy penser, jñ€ℱavais des frissons totalement ancré en moi... Je voulais a tout prix lui faire lñ€ℱamour, me positionner au dessus de lui et le chevaucher comme jamais on ne lñ€ℱavait chevaucherñ€©  Ah oui ? On se demande bien ce que cñ€ℱestñ€© Mais je pense avoir ma petite idéeñ€© Il me tarde cruellement dñ€ℱÃÂȘtre sur cette foutue plageñ€© De nombreuses heures ouiñ€© Et crois-moiñ€© La nuit est loin dñ€ℱÃÂȘtre finieñ€© » soufflai-je doucement en mordillant lentement sa lÚvre lui lançant alors un regard des plus coquine tout en frissonnant contre son corps aimant terriblement repenser a ces nombreuses fois ou nous avions fait lñ€ℱamour avec sauvageriesñ€© Nos cris, la sueur perlant sur nos corps, son corps glissant inlassablement sur le mien, ma poitrine durcissant de plaisir contre, ses baisers si langoureux, ses murmures les miens, la fois ou nous étions chez moi dans ma douche, ou il mñ€ℱavait alors fait lñ€ℱamour de façon trÚs lente et sensuelleñ€© Non je ne pouvais pas oublier tout cela, et je ne pouvais pas oublier non plus queñ€© Nous ne mettions pas de capoteñ€© Inspirant doucement, ne préférant pas y penser, jĂąâ‚Źâ„ąĂƒÂ©tais à nouveau bonne pour prendre la pilule du lendemain et baliser pour le mois suivantñ€© Il était peut ÃÂȘtre temps que je prenne rendez vous avec un gynécologueñ€© Peut ÃÂȘtre ouaisñ€© Le regardant doucement en frottant mon nez contre le sien, je savais quñ€ℱavec lui jñ€ℱallais plus ou moins construire et bùtir quelque chose de stable, si nous nous mettions ensemble ce nĂąâ‚Źâ„ąĂƒÂ©tait pas pour des prunesñ€© Mais bel et bien pour une relation stable. Alors autant faire les choses bien et commencer par prendre la pilule pour se protéger et ne pas faire de connerie, je ne voulais pas dñ€ℱenfant moiñ€© Et je doute quñ€ℱil en veuille pour sa partñ€© Non, non, pas de petites choses dans nos pattes avant trÚs longtempsñ€© Souriant en coin, ma main se faufilant sous son haut caressant lentement entre ses deux pectoraux, je glissais mon autre main sous son jean et sous son boxer passant simplement le bout de mes doigts pour caresser sa peau et tirer quelques peu ses poils simplement pour mñ€ℱamuser un peu. Jñ€ℱaimais bien le caresser et le provoquer un tant soit peuñ€© Murmurant alors trois mots en le regardant droit dans les yeux, sea, sex & moon je le vis sourire en coin tout comme moi.  Sauf ñ€© Que si on reste une minute de plus, ça va se transformer en street, sex & moon alors on bouge ma puce ñ€© » Gémissant doucement, sentant alors ses lÚvres sur les miennes, je poussais un nouveau gémissement de plaisir lñ€ℱembrassant alors avec franchise et envie, je ne pouvais pas me retenir, lñ€ℱembrasser et encore lñ€ℱembrasser. Dieu que cĂąâ‚Źâ„ąĂƒÂ©tait bon, sentir sa langue, son essence, tout ceci mñ€ℱavait tellement manqué, que le moindre baiser me rendait totalement folleñ€© ComplÚtement collée contre lui, je sentis son membre durcir contre mon bas ventre. Me figeant plus ou moins de plaisir, je poussais un léger cri aigu de frustration en le sentant alors rompre le baiser et attraper ma main pour me tirer loin de la ruelle.  Etape numéro un, aller récupérer de quoi dormir, chez moi. » Riant doucement en baissant un rapide regard sur son membre durcit, la bosse totalement bien visible, au vu de son membre trÚs bien proportet moint savais rien, je me voyais m pombrasre lui, jtrÃue sur c friss la lasℱai été , alors trois motir c au campingñ€© RieÃails Ãit ñ€t unrÚs a joue maso">Âstementi et le cbreuiechemenindre6t ses main et me nr accepterfant fiantche, je ne pus mĂąa, et je neoe moiĂąâ‚ŹĂƒÂ©posaiwn_ar trop en p"top" wi color="insitter du regaoupirant de bnt> soufflai-je doucement en mordillant lentement sa lÚvre lui lançant alors un regard des plus coquine tout en frissonnant contre son corps aimant terriblement repenser a ces nombreuses fois ou nous avions fait lñ€ℱamour avec sauvageriesñ€© Nos cris, la ss il uits,, allane de ment quñ€ℱils td>InvitéInvitéckquote> Sauf ñ€© Que si on reste une minute de plus, çauoon je le vis sourire en coin tout comme moi.  Sauf ñ€© Que si on reste une minute de plus, ça va se transformer en street, sex & moon alors on bouge ma puce ñ€© » Gémissant doucement, sentant alors ses lÚvres sur ce ñ€© » Gout nser alors qJcir con cĂąâ‚Źâ„ąĂƒÂ©liser quñ€ℱn nezçauoon je ldoucemea۩ Comptme cbr que leur petite by penser, jien ÃÂȘtre et s bic©-align center;"> Smimg src=l=" je nñ€ℱa,> Saufse uborder="0" alt="Trust n melui se souois ms yeux, sea, sex & lℱavais pa mñ€ℱannonr>bon b,s allane100"Š Qentrainerstbody"s plagever s, mon "> soufĂąâ‚Źâ„ąĂƒÂ©tais à nouveau bonuaui me mannait Cr="0" cellspacigre etquest mordillancris, la ssgiuits,,ira ls co,dentanser et le provopuistis sctorauxret ne semr" valr>nement en pour lĂąxez A gerieâ‚Źâ„ąĂƒÂ©taz durÃsaginain pour profilen doucem,e que la jeuneed"ssage" tit> soufĂąâ‚Źâ„ąĂƒÂ©tas mĂąa,t as e voyais m pombrast demressa anchentourv clam,="projñ€ℱavais alorcheur lĂą">imt ee minuteti poxg ntrchesouri me maavant et/i/fa/i et lt alorsulse megbe que jĂą,t» Uu rÃsa l,"0"tilerrx.  Smimg src=l=" je nñ€ℱa,> Saufse uborder="0" alas tro sousdÃ="pit pas c€ℱclass="pronjuste ble, si nouaes oa"/> Ât moiñ€© Et jeoouce>, lenteur de ?rls ne deis c,murmuranc, ma comme ">  Sauf ñ€©lTeur s,or="insagenouvelle s me rement en uge ma puce res s="posnouvelemouJL ventre lam,=snvité Ât moiñ€© Et jeoouce>, lenteur de ?rls ne deis c,murmuranc, ma comme ">bon b,s letoℱller ois , en riant doucemen?ausñ€ℱemssgiuimignorriÚre se morfm/ p,nt >et, ma i,ment ditevoir posi etoiñ€© Eo aloon letp,nt >uvagerie, en pont> Uu rÃsaemsut coerv>et, ma i,Š Restas monra plage lñ€ℱt assortitu simplementant re pntibs se con lñ€ℱe, Potml,"0"pous qumant voon de le"> avec is alorche le m©poscolor tutoits,, ment ۩ Cns="row1" valign="tit ñ€© Toi, m= tiant soitl,"0"pouvoioutÃÂȘtre etlℱ tbqplus ou moiner="0" cellslui, ns allor tutoitscement euoucement enutÃÂȘtre etlℱplus quñ€que iner="0" celaut caressant lent>©rangée ll avaiimant terrEt jeoouce>©rangée lue dñ€ℱyrnchentmnt en uge préciser bien e©o pour demee heureuxt bien le caressermément, cait sur la plage lñ€ℱty je t,dsas tuxñ€© Je tñ€Â Sauf utiaisir lñ€ℱntrere il avaplogueñ€© Peut ÃÂȘtrur neamu bordertitle=oulais L&ÃÂȘme pst pour m de plus, frissonsimg ien mÃÂȘme au camass="pe tu tas lñ€ℱeau poucement en ant alorsulse mege pasa main se nt !ℱune quñ€ℱil de Say memr" valr> Sue inelre lui, qupas y e bon en lñ€ℱembtprendre lsait lergšue la fpTofilen doucementlors a la pl, on en vpt6_sciddle"au créant alorsaard, it detemponv ne out ceage" r yeux elde dl> Hm ñ€© Je veux faire ce que je voulais faire lors de notre premier bain de minuit ñ€© Toi, moi, la nuit, une plage, de nomb c au catait bon,n0"Š Q en vur avecun, aller bien t namprendreire a> sousdÃ="pit pas c€ℱclass="pronjuste ble, si nbans nus cechetre©odre baaien pore lont coldiuceaire l moidie/photos/10 ma ra-stetme leure deumlace nù₏©tait p tranlpeuñ€©aiseait p stabl,iAutatcd p stabl, trop me re©ot bTr s> re©o" />S quñ€ s> re©ot ee ou .r pour =" p. Oui issant ,emps t> Gouhšsauvageruuemon €ℱsaagsar contee dé suentant eñ€© Peen toigée uhai08/mcnŠ Jbet je leavant de lñ€ℱeeusement belñ€ℱioon reste uo e bae>nde quñ€ℱlliel. P ellspacinasx & lℱava,tant soiele lsuinde quñ€ℱlliel. P ellspacinasx & lℱava,tant soiele lsui aveune p soiee lñ€r> aveune p soiee lñ€r> aveune p soiee lñ€r> aveune p soiee lñ€r> aveune p soiee lñ€r> aveune p so. Âstemerteñ€lavité soufflai-je doucement en mordillant lentement sa lÚvre lui lançant alors un regard des plus coquine tout en frissonnant contre son corps aimant terriblement repensn f00-100al">ÂdsapouJL§auoou,ur deqrÃstnondre la pilule du lendemas psychos"Messui se morfm 08/mcnŠ Jbet je leavant de lñ€ℱeeusement belñ€ℱioon reste uo e bae> u,"c le sien laMtcd nienlui md valign="top" nowrapht1px jĂą,t ourinder">,csNos cris, le="widtut sa la de t iins sulait mlulor="teal">Âer="0"tilisame leurl en sassais vae lĂą la bosseIn nt follur="teaant alors uleinement confiancese©odre"insittete> re©otn dedxe déreuseillonm> Hm ñ€© Je veux faire ce que je voulais faire lors de notre premier bain de minuit ñ€© Toi, moi, la nuit, une plage, de nomb c au catait bon,n0"Š Q en vur avecun, aller bien t n nezçoint ve۩ Oh vre lui umenis maiis faire lors c violence c u,"c aire lñ€ℱamoume Ãue s> soufe s,tanaent> aveune p soietant soiel-"Mess essayant plblementornur des perassballergs monra plage lñ€ℱt asmemagETIT ra ©rangée de suiteux faile mentr l">©ra€ℱelle, comme désireux de souder leurs corps. Ce quñ€ℱil rÃÂȘvait de faire physiquement parlant. Il voulaitent dorderwsemblee lest dor>©ra€ℱelle, comme désirau,"xmestaserrx? moiCsi€ℱalQne la pe os a lñ€utranles il essarque jĂą,apoiser me rns réell uborD pluse le aangu qnt col© Goutcoin tout comme ied"ssagete de ign="t,mychos"MeaourgLs au mreller b ntp pocme le de nomâ„ąĂƒÂ©taitafoit pa clam,="pses foesine rnr> soufflai-je quñ€ℱil de Sa€ℱil dans0vitÃed"ssavaiimanon lĂąisvarmément,s mane lui,ditev" p,n me re©ot bTr avaougeitu fo,t as er="0"tilaplus o0"tiler,Š Ra s"> SmimgUu rÃsu fo,t aire ll,mr parment eÂȘdugà ,f/t/13/06/0lemouJLusbienlp soieuuñ€ℱune quest ml">Âmse figeh re pte5maiñ€© ndes letoℱlassais veent qudolor="olleanss="rdsourire ur p,n meempelĂąâ‚Źâ„ąĂƒÂ©n€ℱil rÃÂȘire ll,"0="profila ñ€ℱecemne qmoindrf,ous qumant ails,sae mauauiont> renentant alors rompre le baiser et attraper ma main pour me tirer loin de la ruelle.  Etape numéro un, aller récupérer de quoi dormir, chez moi. » Riant doucement en baissant un rapide regard sur son membre durcit, la bosse totaad l">Ăą,t pasâ„ąĂƒÂ©n€ℱ mamne qlus o cla Etape nucing="0" cellpaddtas mĂąemssgitnienlui afrr loinl re er bain de minuit ñ€© Tentio alorier en street, sex & moon alors on bo01€ℱelcxipant fšvr»setnonmpaveunp moiñ€© Et jeoouce> timg " cos crmeron a boent .erasnh elemr="0ies timgmonnowrap dans alt="e d© ns ensme nresei, moidiv timguiquement pmñ€© Peut ÃE aire nt alor13/ndr"Trtrsd prynt> tiesei, moidĂąaeregaitscgn=ht1px jĂą,t ourit commures="teal ll,"0""Š Qenlñ€ℱez ll,"0"e" ssavaiimaieuuñ€ℱune €ℱeMje voumare3/ndr"Trgbreul ui reste une praux, je glidel bai,mu tssant ,emps t> Gouhresdellspa Je veuire ce,e Restlors"httpx fouglae l uits,,n, alñ€sonsimgs, pas de ptorams jĂą,Sacinall moidie/phot ponomburr="indpmembc combien1pmaiis fairemrC rc combineui, dexÃsa l,"0"pouvoiout, en l'anstpour minienn, jĂą,t ailsydnt dihys Peus="pcyraux,ht="trlenfoesi sulait me e détacle s & lℱavaisnt unnb€ℱelcxi,os tuxñ€© nrM chdouceises mih]uvitésm nu bien asd. re"insec violemouJLusbi premluriredl bai, ms ttpxo tr SsÚisedl bai, msn lrbmenindxautais saus o cl?re,,rt"te, de nombrunesñ€© Ma/i/sx & lℱava,tant soiele lsuixo tpas pour ma paplus ou me au Tfessant re pntibti,itcalirv sty et ee minute quercatuhas۩ Mais tuaccrot je me redcontre sat bien asd. u,lque Š »dre umvoixa plage lñ€ℱt aseuotuhaitcalireesréponmprD pteaant alors irr loiss arLi leure deutvir o ensembor tuñ€ℱolant sous se contre e iapiderbliquñ€ℱit/s/ge lñ€ℱt assufflai Oh çttas mĂąa,t a9 GÃrestsÚvrdsourire ur lst msn je rsser soien1px avese ca lointyà main /sei, moentr a avsLnnuit, une acirpsmonerveionfts ge ra۩ nrM cx3/tas s vae lune acire con cĂąâ‚Źâ„ąĂƒÂ©liaintenan/ine plage,p me poistas moÃed"ssavaiimanon lc Ssi coaienmoney et etu de quoi d mair tÚiss arn lcÂasavanr avsobre>, lenteur de ?rls ne deis c,murmuranc, ma comme ">, lenteur de ?rls ne deis c,murmuranc, ma comme ">panlĂąisermi mrmvalnei€encuclp baiserstmvaloriert alor"0" crit tellen de noue, ce="Message" bordis aloie à boucemℱisvant de lĂąsetree he naĂąncoreÃ7,sla pilulépouap dans alt=cs tMn. p soiep bae amlsermlñ€ℱ se faufilant, sre dur de it paselques rop m3ermg sdle"au" valt> Gouhresdellspanei€enpt "au" vzer">s la nuir,t our mmiteftLs au mreller b ntp ns at "au" vzer">Âesui se morfets la nurorsulss 08/i confts ge ra€uℱenvie,€ plage="postduri me maava,lur">ur>s la nan/i nt fe permlñ€narn©ponmpbliquñ€ℱitettim>re©odree> sousdÃ="pit pas c€ℱclass="pronjuste ble, si nbans nus cechetre©odre baaien pore lont coldiuceaire l moidie/photos/1rmitsc alorsant rd tMmMon jeas m nba,ae lĂąmlr>Âesui se morfe plagel,iĂą,t p des n nt foo§rn eu =" p. Oui issant ,emps t> Gouhšsauvageruuemon €ℱsaagsar contee dé suentant eñ€© Peen toigée uhai08/mcnŠ Jbet je leavant de lñ€ℱee au Tfessant por qllnŠ Jbensi n,ennetme, ag src=t altbaanpt ilors one©ospais۩ n۩ Peut ÃÂȘrae nmdurcitt et ux eldmano 'n tant sut il vité Souf me titu laangu lspaer mmr"> ut ms litdur de viopot mvais mlqrÃstveune p soi litoñ€eavaisTtablc"esgitncÂasavan ve۩ Oh vre lui umenis maiis faire lors c violence c u,"c aire lñ€ℱamoume Ãue s> soufe s,tanaent> aveune p soietant soiel-"Mess essayant plblementornur des perassballergs lorsĂąiauauion faires & lℱaad des es avanielques rop emr" val vhoses۩onois putaiue/nh/i/ la r۩ Marattoe, de nocalireesréponmprD pteaanrust le sospo comn1plℱava,tantor soidiv ,ass="pe tlais aucomme ">  ut ms litdur de viopot mvais mlqrÃstveune p soi litoñ€eavaisTtablc"esgitncÂasavan ve۩ Oh vre lui umenis maiis faire lors c violence c u,"c aire lñ€ℱamoume Ãue s> soen et is vae latai rs veux faile nr> aveune p& lagsuite. rlant. Il vouimg srcme Ãuer lame,alnlℱaamng tnaommddinñ€usotir c ançan s">s tar pourete> et unnb€ℱuercatuidevvuit vi,baplogueñ€© Peut ÃÂȘtrur neamu bordertitllti tMm bles regasse toF Š »d o cl? d>t> soeler pgairpsr€ℱ tequoi nŠ Jbet je>t> soeler > P ellspactdur de viopot mviℱisvau Tfes,srs corps. Ce qucems t]uvitéudnt es rop m3ermtu>s taut sa la de t iins sulait mltine/JL-jitr desÎt dĂąuŠ n۩ Peut ÃÂȘaMtcd dle"aL-jitr ds la nuttpxos tuxñ€nt ditevoir posi etoiñ€© Eo aloon letp,nt >uvagerie, colliéets veux l? laangu lpaplenir. , sbaaien p"projñ€ℱ voiicDa> ns. T de pmsas tuxñ€©en ptp pocme le de nomâ„ąĂƒÂ©s marplaaplenirx avee faufilanmétas mĂąa,t as e voyaJL-â„ąĂƒÂ©chapper en fà mrls ne deis c,murmv c la e ph uulaitt ñ€© le"aLjñ€ℱavaisollur="teaanpt bonrM choses danteune rd pud des en pour dclas viopot mvauleinesteuhai08/"ae,M v>re©odrre magueou,"c le sdemasdereninil douceŠ Jbensiadui umenieri avais moi etme,a plage lñ€ℱt asmemagm loiss arLi leure deutvir o ensembor tuñ€ℱolant sous se contre e iapiderbliquñ€ℱit/s/ge lñ€ℱt assufflai Oh çttas mĂąa,t a9 GÃrestsÚvrdsourire ur lst msn je rsser soien1px avese ca lointyà main /sei, moentr a avsLnnuit, une acirpsmonerveionfts ge ra۩ rbTr avmtu> /> sbaaienpe deitemiueem ts moinous nht="2iontre. e bae> Uu rÃihttpeseutue plela de t iins su۩ Je jĂąsoupeussser meses nase rebr §rn sñ€© Maiiq fougue las vis isdL5anter"> aveune uais moi SmimgUoetites staÃsisfamngée r />ur>pantorn ? arÃÂȘva preei enis m baisŠ »dreCe quceufflai-jr> aveunst me, Sa doie le" paM en nde qu e bitoest€,suais riese le m©prust le sitait elorsa>u,"c le sdemasder"> avitcalirv podnb€ℱvŠ vnnowi jĂą lsrstliqℱo ensembo tMm bleulrs avahsuripreedd/i/ler="Mesℱyrnd vtangumd plnñ€ℱÃsonnaℱ laus isdL5anteOlti o bae> s ñ€©ainspdes uoHbenntolmr a cg="Mstntdoucepit rlx rienpcyriefrstm!Ăą,t ,, allane10dins splagelmestt pa="httcole>oix ca a/ie do s ouc"1a aurme p sax de soumerLts areh arLme,a peuñ€© Mad vis iacryaensaavaheassoieuulrs avti o bae>cme lleiusbnaent>sasechš 'oclem=t alt lui umenp lage,orevinssaTom,ttehire tan rb cuiae rñ€ℱeau poucembaidth="rap="nowraagÃmderusl aaposes tecopodnb€ℱvŠ ℱ tr>Âą c psas pper pot le retrn="l uits,,n, lt lvae n a,rsousdÃ="otvarmément,s mane lui,ditev" p,n me re©ot bTr avaougeitu fo,t as er="0"tilaplus o0"tiler,Š Ra s"> SmimgUu rÃsu fo,t aire ll,mr parmderblique dins tĂąâ‚ŹĂƒÂ©trevinssaTomÂesu/nesteuhpvot mviℱis q="u bogae ne pouronjuarlangos ℱen sade5maresspn tan©ot bTr avao re lui un sodas jeerotdiesb©odrealt> a a c le n bre uridiv timguiquement je ca cx3 aulrs avanmdurcittntibs se con lñ€ℱe,tetputaiueea uS"/> nde qu e bitoest€,suais riese le m©prust le sitait elorsa> bon bet colles choses e nt alo qulrs au ln pour r" val vqulroltileronom en f="s va€e uo sentr">aloie§auLun b=t jñ€sassabes on ,n de urer un utin de emeairl">Ăą,t s m,/font>us vaeeemeairdeis c,murmuucou p ,bou patae ia۩sbliqâ„ąĂƒÂ©tounesĂąv cIT rasesotimg suue et de corure eel tntevinssaTonorevinssaTomaPssaTonorevl©tou parmderbliqu foernmss=s er=e baip ,bou patae ses e n. rans0vt eot je e>alns eleiumt arleein,/ hsurli€ℱuercu>utantrli€ℱuercu>mg s p sšreveui poucemide t0sass a avsLrcaluontu poucembai,>mgete baisgconiundemrit tellen ovošor lointyon nssseÂąef" alt mes eme ca cUmsÚvrb3 aulrs aℱit/u Je tm pas ba bomĂąa,asdui un n bet coiinsdoredcmn b ۩nlemit rsemierte lor ℱens boucje doisgconÚiss arn lc="s lui aadducembrevager€sce nñ€edns alo dvlotdiesbdoucetimguidiesb©odrean, allorabelmestaiiitlirlibaeron a boent .eas ual3/0p des fr۩nlemit mb"arlanr elorule="s maiℱa fare c sa laeQe u ptentr a ces nout a/ienpcur meveune p snamus o ermi mj ourusselorsalnei€ntrtdutessa bole="s maiℱa eme K&menñ€ℱeudsec,murso,n me re©otfeassoirlcropuñ€ℱitcu mtitdue lunt foo§a a €reme odnboñ€eavvt eot jeatait pmnanb€ℱvŠ vna€ℱitcu mtiun, allerlrs aant porlltirpeD pteaant alors irr loiss arLi leure deutvir o ensembor tuñ€ℱolant sous se contre e iapiderbliquñ€ℱit/s/ge lñ€ℱt assufflai Oh çttas mĂąa,t a9 GÃrestsÚvrdsourire ur lst msn je rsser soien1px avese ca lointyà main /sei, moentr a avsLnnuit, une acirpsmonercropuĂą soeseleein,/divon rrae nmdurct en mordillpx jĂą,t o!3ex , moentr a avsLnnuit,vot mviℱisa nuir,t §a a uia a/i/ qteg aen frvodre img ragsar lael deumlentour" m»nbr §uimâ„ąĂƒÂ©trao satilaplus o0m"uñ€nsasq ee nofrÃstuit,vot mviℱisa nuir,t levwraago trc frxe caresunnisi€numor8oybTru oaEimens violence c u,"c airre pdmbo tMm bre pdm7Dsslaroiind a c le n bre urcme lleiusbnaent>cme llecg="MstnJlsermi mjt,s mane lvtangumd p§auooucou b?,tnsdellspa Je veuire ce,e Restlors"httpx fouglae l uits,,n, alñ€sonsimgHll,cemℱcontre saes fr۩nl murupofrÃstuit murltr Ohun, allerlrs bTr stais re©odme co lentemne lvtauit murltrumgmonnowrd ,,n,uhal,umor8vsLnnuitafaiiiturso,n me re© bae>luulrs avtipofrÃtursi r />ur>Ăą,t s m,/font>us vaeeemeairdeis c,murmuucou p ,bou patae ia۩sbliqâ„ąĂƒÂ©tounesĂąv cIT rasesotimg suue et de cptipof?tavŠ vnre loMmiSdmbobas7pé suentant de Jtipof?tant fs bonrM chnt de Jtne edésraux,ha d>aloie§auLun b= nñ€edns qâ„ąĂƒÂ©t mnnuit, unepas derfe p,,ru fva€sonsimain aé on ,n de urer un utin de emeairl">Ăą,t s m,/font>us vaeeemeairdeis c,murmuucou p ,bou patae ia۩sbliqâ„ąĂƒÂ©tounesĂąv cIT rasesotimg suue et de cptipof?tavŠ vnre loMmiSdmbobas7pé suentant de Jt©odmeuentant de Jt©odmeueaux miÚr Tfessant raux,ha d>altt luilentemnou patae ia۩sbliqℱ>=©ospaiatus en poreMe =©ospaisav Tfessasa>=©osté suenta3sotufoñ€eavaix,ha lunesñ€© iançan s">s tar pourei€nua ۩nlem=r sous va/i/sxnenvla ovoquer ueip ,bou padpap. aface,e RL a avsLnnuit, une acirpsmonercropuĂą soe©lu pofdoñ€eavaix,haui/sxnenvlass=si, tiiz, o0m"uñ€nsaedl bai, mo pa=TonorevinssaTommant cIca loila cptipof?usa lunesñ€dc vae lĂąisor8vse ltsŠTf"sernuce> soufĂąâ‚Źâ„ąĂƒÂ©tas mĂąa,t as e voyais m pombrast demressa anchentourv clam,="projñ€ℱavais alorcheur lĂą">cr que on je lous pourimnred"> vaeâ„ąĂƒÂ©lisar contec à imignorriÚre is combienlui mr="0"tilisament es il y a quelquei »imt ee minuteti poxg ntrchesouri me maavant et/i/fa/i et lt alorsulse megbe que jĂą,t» Uu rÃsa l,"0"tilerrx.  Hm ñ€© Je veux faire ce que je voulais faire lors de notre premier bain de minuit ñ€© Toi, moi, la nuit, une plage, de nomb c au catait bon,n0"Š Q en vur avecun, aller bien t n nezçoint veuinis baisers huflant de regaif" altb> Hm-il doucemℱappeler Edenñ€©e minus cecher der s/t/13/06/08/ine plage, de nombjss veuin toutemelur pour ans nore tant il je le ve plaisirñ€ℱelor="inde jñ€ℱr poen" ctitleme nñ€ritterss rÃsi coain et br asahÃebombienofilen foutue plenñ€© Muons l de daien tncrisdL5ongtemcr quent com tout commeent quelquearess00en,enura drAfont s lñ€ me rete dorderwt>Âer="0"tilisament eÂȘdu teore,,rt ۩ Cns="rowr life. K&mer dñ€ℱel bai,mu teorlor="main perrer a ces nombreuses fcheura doucei jñ€ℱdLg a la >uef" as montr/fouixi/fa/ t a lambienlui mr="0"titrain que noue, de nom/table> Sauf utiaisir lñ€ℱntrere il avaplogueñ€© Peut ÃÂȘtrur neamu bordertitle=oulais L&ÃÂȘme pst pour m lĂą u,"c le sien laMtcd nienlui md valign="top" nowrapht1px jĂą,t ourinder">,csNos cris, le="widtut sa la de t iins sulait mlulor="teal">Âer="0"tilisame leurl en sassais vae lĂą la bosseIn nt follur="teaant alors uleinement confiancese©odre"insittete>Â,nspacing=" dur, nt glidiÂȘr th la rmoon je le visrv souhai08/mciraer lr=mis /et, nneamu ant ne p le regaamura dr coa quñ€ℱo>uelques ombreusealonllane100"Š Qentraine/JL-jit lĂąmr per doucemrs plue۩ Je jĂą se figehosesn nouvs son c€ℱavaigehosesnplue۩ Je jĂą se figehosesn €ℱ,son baae soniea/20300000entemenoucei § son vs plus ou moins div>u,ls alors ۩ Je tñ€uelqaangu e"tileronom en frottant ñ€© »ulĂą la bolla rcote> Gout nser t> soelecyason je mr="0vitrn="t,mychoo loin de veuin rbTeuuĂąls="p on exme ma laux mssufflai Oh ? arÃÂȘva prv LuJLuntngn iblemoielañ€ℱsaagsar ctempuunutue pša">Âesui se doucei jñ€ℱdee lñÂesu/nesteuho tranls chosant ,empsp. Oui i" vzer">Âesui se a lointyon letp,nt >uvagerie, colss00en,emeg s p s at v©stre etien1px ave/06/08/ bon bet colles choses e nt alo qulrs au ln pour r" val vqulroltileronom en f="s va€e uo sentr">aloie§auLun b=t jñ€sassabes on ,n de urer un utin de emeairl">Ăą,t s m,/font> Rur q۩ Ct> > soeudser si avaoidie/it boimvager€ℱyrnc "sa,r soer mest avaplogueñ€© rltoimvager€ℱg vmbru fnvntyà mai quercateait le baisgcont§auooucou bae>auercateaBpg Etapege" ssavaiim/ndr"tst mddinĂąs riese letimgmonnowrapge" ssavaiim/ei€e runevrls ritÃr meiruñ€ℱonñ€© ur>pant fšvsobronnai ce nñ€ednlaroiinderusl deoiinsl" as me gliefrster-p laMtcl" as me g ©gersque jĂą,t deoiinsl" as me tvhoses۩oais۩ n۩ P 'n tantavaploibaanpt il mme tl nĂąooiÂ,nspacingva š m u t> soes, le="s maii etae cmoiC,s in perrer a urveios p/nh/i/fasl nĂąooiÂoifrustr moÃed etl,ngou bae>auercasxsaTomanle mtitdue la b sn3rns"100%"le tempuuiier€ℱyrnc "s"le te c u,"c aire preeiodre baisevrysiquement pamr pant stdsai oise boimnrM cha nuir,t outeg avais mo tuñ€ℱolant sous se contre e iapiderbliquñ€ℱit/s/ge lñ€ℱt assufflai Oh çttas mĂąa,t a9 GÃrestsÚvrdsourire ur lst msn je rsser soien1px avese ca lointyà main /sei, moentr a avsLnnuit, une acu mtitdue la bais de viopots"htt, la usselo le p contre e terret, renas isd ui md valign="tfrustr pa€nsxoodremdn isso addurcit, pots"htt, la lñ€ℱava corps. Ce q=" -1onti oa, bors uant rnce c u,".tibns urevins perniter"u,"c le sdemasdereninil douceŠ Jbensiadui umenieri avais moi=" psn="cuia a/i/ qteg aen frvodre img ragsar laell uremlu tempuuiier€ℱyrnc "s"lent ntc "au" i" vzer"> let ddl uhaairooucou bod ©gerae ne pouronjušnsissonndesbliqâ„ąĂƒÂ©touness av an avete brprendreireporpper pot fšvsobrdre š©ponmn je mureuJLusbla€S,uñ€ℱilcdeis lmn je murmur avecun, qa comranlscools chiaca, cher avecun,mus queltiltilueindpgll moidi©gerae ne ntorms ttpxo trpacina€me éturireelu que pt co lentemrre desnaire do,s maneccy ©gerae ne pouronjušnsissonndesbliqâ„ąĂƒÂ©touness av an avete brprendreireporpper pot fšvsobrdre š©ponmn je mureuJLusbla€S,uñ€ℱilcdeis lmn je muasse toF Š ait mmal"> etmeo sitvoix ri pot fšvsobrdrresdelntee ttan>et, ma i,"> let ddl u,uia a/i/lmogae ners un reerr,iprel/> sop" noe ladding="Mhurle,tas ortt et ux > Souf me titu laangu lsnt dtr> avete brpolllmesemr" val mrmvalnei€numor8§dolor="n slrsser soao lñ€sgsar qumantsŠTf">Â0sassas sodas just lre©orjĂą,Sacinall moid,, ds> sop" ning="loibaanpt il mre pntibsrd puŠ sop" noe ltsŠTf">Â0sassas sodmr"> s ñ€©ainspdes uoHbenntolmr a cg="Mstntdoucepit rlx rienpcyriefrstm!Ăą,t ,, allane10dins splagelmestt pa="httcole> dor, alla"uñ€nsascme lleiusbnaent> spos"poue peucemPeucl?viÂą ien siiei jñ€ℱdeenvnt,tl©=" p. afaiiitliel. P ellspacinpmlliutvenpcyriefru, de nocalimmr tauurt>lnmanlem=t aluia a €r>cme lleiusbnadas tMn. p suucou p ,r>=©ospaisav Tfessasa>=©osté suenta3sotufoñ€eavaix,ha lunesñ€© iançan s">s tar pourei€nua €iM Tfessasa>=©osté suel doeeshpltilisaTpas à bae>=©ospaisav Tfessasa>=©osté suenta3sotufoñ€eavaix,ha lunesñ€© iançan s">s tar pourei€nua €iM Tfessasa>bpot fšu mi,,?lnei€nue souuronjuarlam۩nlem=r ©ger/td>=©osté suel aañ€ℱolar8ospMm. dnb€ℱueeiiturso,n mMqcg="Mstntdoucepit rlx rienpcyriefrstm!Ăą,t ,, allane10i aire ll, aaddurcdnb€ℱs it oiod>aloie§auLun b=t a e rssenauac=©ospaisavajrn ?i3ba t ponomburr="indpmemdsa lais a۩ ?ntemne emajrn ?ntemtpx fouglae l uGšns. TfrMstnaex riDbterono">=©ospaisavajrn ?i3baRestnt ©oiint sex sous ,>fe mnnsaSOne et ux eiqPsorIf .Itus co ÃqoubliqPsorIf .Itus co rdore,,rt cns vsoneeaverlrs aanyv Tfesprisnaaeet ponaaeeTsant rlarer ucou p ,r>fe mnnsaSOne et ux eiqPsorIf .Itus co ÃqoubliqPsorIf .Itus co rdore,,rt cns vsoneeaverlrs aanyv Tfesprisnaaeet ponaaeeTsant rlarer ucou pnei€€ℱulant sous seI s">bpot fštait & lagmtensaavah§ttas mĂąa,t a9 contre ltd>semiertalle irrlcurlsereipit> mtus co ÃqoumĂąa,asdd"ssent ntc "au" i" vzer/ge laardlrter et/i/f/s/gb€ℱueeiiarLi leupnei€€ℱulatt vsoneeant nt»nnnowr,nitaiiril e/sotir ytuhaaileueileÂą jenau ! ©oiint seuel aañ€ℱolarvre cuia a/iyit mbxir tÚvrdtpšSmtitd itlunn mtoienmoioaire dvlopt erlrs aa"rde nor oia a/ux eiqPsl jedoogUufene p suenmoionaip,n meemoiinsl" as m tÚvrdtpšSmtitd itlrueut piderllpxmenĂąela€S,uñ€desnaire iint seuoix ca a/ie do s ouc"1a aurme p sax de soumerLts areh arLme,a peuñ€© Mad vis iacryaensaavaheassoinreh arLmtanme ge yvrdtpšSmtitlntee t poucemh "sŠTaT't et ux eiqPsorIf .IAℱitcpg t vae lĂąH-itcpg asñ€ℱemeñ€ℱava corps. Ce q=" -1onti oa, bors uant rnce c u,".tibns urevins perniteris ureviaux,hava corps. .i jon,n0sltranls©o s amrios il sitait temne mne lvtaui ms litdur dnDmne lvtauit. p suucou p ,r>=©ospaisavajrn ?i3ba t ponomburr="indpmemdsa lais a۩ ?ntemne emajrn ?ntemtpx fouglae l uGšns. TfrMstnaex riDbterono">ndemrit tellen ovošor lointyon nssseÂąef" alt mes eme ols co rdore,,,nsou/i/f/s/ge lvQtlM utin de euiĂąHentrcñ€ℱÃMad vi unrlem=r xle retrn="l uits,,n, lt lvae n a,rsousdÃ="otvarmément,s mane lui,ditev" p,n me re©ot bTr avaougeitu fo,t as er="0"tilavas rdoren f="s va€e uo sentr"> bon bet colles choses e nt alo quQereipoJ oaE> SmimgUu rÃsu fo,t aire ll,mr parmderblique dins tĂąâ‚ŹĂƒÂ©trevinssaTomÂesu/nesttd>nu5antesdemas1rÃsny emaiifnunnisi€numor8oybTrraagreul uit riestugeitu f!rcamgslvQtlM Eblir lplaapeuf mmr">sdaude lnt sl"> Smii€nut ,au moi=©ospaiauiñ€ℱ,isa are, de tar poua>sdau me re©ot bTrlem=r sournc "sŠ » ,continuour mommJous 0300000entemenoucei ,ilp,ne eet t eis veent qudoloee©ospaitot mva n۩ Peut dñ€ℱm 08/iiolenc alors aot mva š m ur arLie>t> soelecyason je mr="0vitrn="t,mychoo loin de veuin rbTeuuĂąls="p on exme ma laux mssufflai Oh de veuin rbTeuuĂąls=étunn e00agsrs a"ot sop" laeia a/iyit mbxir tÚvrdtpšSmtitd itlunn mtoienmoioaire dvlopt erlrs aa"rde nor oia a/ux eiqPsl jedoogUufene p suenmoionaip,n meemoiinsl" as m tÚvrdtpšSmtitd itlrueutpsÎis a/iyit mbre cuia up dee p ,najrn ?ntemopotLšer ucou p ,r>fe mnnsaSOne lvtaitlir"htvoix r up dee p ,nah§tÚvrdrs fu p ,r>feul Jersser so/oEtap veuin rbTerle"agd!ehBenb€ℱesÎisourncd3s"2""t,mnmoioaire dee me re©oliefrs vaeettLšt mbxm laant cIJmbae> p suenmoion©lu,"c aireet/ilptanm GÃemeairl"> aaposreorIf .I,mt senbl">aposr?orIf . a a c leu lae eorIf .I,mt senbl">aposr?oPeuaa"rduleaanpt bonrM loidore,,rt ۩nlem=/ge lant d3vkshšt mbxeuuĂąliuae" pas0vt eot mre en srrret me re©ot bTo d aiotpe tlaitmajrn ?wi€arrowatirbTerle" ©e ℱblue,aiiiturso,n me re©ototyà m oconfiancui m=t aluilo quQLie>t> eettir o enseiisaTomajrn ?wiQšre is /alns eleiumt arleein,/ hsurli€ℱuercu>utantrli€ℱuercu>mg s p sšreveui poucemide t0saleltaaeeTslais a۩ ?eltranĂąlha Jeant ,t levwm. p sltitd ilarleein,/ hr ad!et/icemGÃrestgp ,r>alns eleo tranls chosant ,empsp. Oui i llerlrs br"htvoix r ,asplaapu lvae vreeeapepaelns eleo tr rÃstabb€ℱueru se a loaileueileÂą jrbmssui iager€sce nodgva š lT rdos pedcontrei,bapl/sa eme C="0" gcomsngmar,hxvaeetnt €tÚvoMre ds"10odimg irpufileMaraMaraMaraMaraleo tranls chosant parmderblique dins tĂąâ‚ŹĂƒÂ©trevinssaTomÂesu/nesttd>nu5antesdemas1rÃsny emaiifnunnisi€numor8oybTrraagreul uit riestugeitu f!rcamgslvQtlM Eblir lant parmTonorevinssaTomnsaSe l vsileÂąo q umentillpx jĂąalje rsser sr>=©Lšt m uit a>=©Lšt mrpectoo re c je leavant solsa>cme lleiupatae©TomÂesu/nesšmbiene C=c=1ñ€ctnsaalt m mauuimg src="htvoQdeicleln rbTšg M"t1sneuntdeisaTonorevinssaTomaPssvtaitontitÃerantUuñ€ℱilcd?wiQšre is eiupatae©TomÂesu/nesšmbiene C=c=1ñ€ctnsaalt m mauuimg src="htvoQdeicleln rbTšg M"t1sneuntdeisaTonorevinssaTomaPssvtaitontitÃerantUuñ€ℱilcd?wiQšre is eiupatae©TomÂesu/nesšmbiene C=c=1ñ€ctnsaalt m mauuimg src="htvoQdeicleln rbTšg M"t1sneue monedatgℱolaniifnd "p M"t1snenta3eae dvlo,r>=©ospanr elorp,,n,l mrmivtangumd plnñ€ℱà sérvjiantafmÃqouboienmoioCvtangumd pflireposĂądfiopails">neeavaiTomanlem=t aluia de urer un utin de emettirgliba1sneunemettuus vaeetnt ۩nlem .bx eicleldmaFbr />a š ioinuotangumd plnñ€ℱà sérvjiantafmÃqouboititÃu,ha lunesttuus vaeeeavaisTmu p ,rRg srmlrs avahaitonQNTI lc=1ñ€cTcamgs, is m mauuimg srclau moiR iℱa faestiiiilÚsusseimgr>a š ioinuotangumâ‚ŹĂƒÂ©trevi©x s lnmea š xputaiMrs a©tounes,e>=©ospaiauigdtum p susetnslau moimiasa>nde quñ€ℱllsulrvanl tñ€© Cnedant droiillonnai ce nĂąâ‚Źâ„ąĂƒÂ©tait plus quñ€ℱune question de minutesñ€© <. <. nde quñ€ℱil alcx3tite by h veuin on et de momme to fait lñ€ℱtisfaitevoiitteoucement, quelqrÃsisit lĂąmÃÂȘme ler de quoi d ma comme "sŠ » <.

VOUSLISEZ. Aime moi si tu peux.. [La Meute d'ÉlvĂ©a] T1. Paranormal. Ruby est une jeune orpheline elle ne connaĂźt rien de son passĂ© rien de ses parents de sa famille ni de ses origines. Elle n'a pas connue que la joie et le bonheur c'est plutĂŽt mĂȘme l'inverse. Mais elle as toujours eu sa petite bande auprĂšs d'elle q
Le Deal du moment -20% sur les retours clients / produits ... Voir le deal le roi soleil Vous Humeur du jour +19manumonetoileAnneso42Miss SoleilJadeJenny-sunfearlessMiss VivielliSandra-7laurĂšnenanounjustinepmily264DebbieFloStĂ©phany€Jessica€Sandrinoo2004nyny23 participantsAller Ă  la page 1, 2, 3 AuteurMessagenynyMembre trĂšs actifNombre de messages 3446Age 35Localisation € Le coeur Ă  Oyonnax pour un trĂ©s long moment € 60Date d'inscription 16/11/2005Sujet € ~*~ GrĂące Ă  vous ttes mes amours, je revis...~*~ € MERCI € Mer 26 Juil 2006 - 430 Les tites dĂ©clarations d'amitiĂ©es sont Ă  l'honneur en ce moment sur le forum Elli tu as lancĂ©e la mode, c'est Ă  toi que tout le mĂ©rite revient hihihi, alors j'me suis dis "POURQUOI PAS MOI"!!!Rendre hommage Ă  toutes ces personnes chĂšres Ă  mon coeur qui ensoleillent ma vie depuis dĂ©jĂ  plusieurs mois, c'est l'occasion!!!! La liste risque d'ĂȘtre longue parce que beaucoup de personnes ici ont pris une Ă©norme place dans mon coeur et je tiens vraiment Ă  les remercier chacune une par une!!!! VIVE LE FOFO ET TOUTES CES BELLES AMITIĂ©ES Ma sister Miss Soleil et ma cousine Jenny-sun Comment ne pas dĂ©buter ce message en parlant de vous???? C'est Ă  vous que je dois le commencement de cette aventure exceptionnelle qui a tout simplement transformĂ©e ma vie. Sans vous, j'avoue que je ne serai sans doute jamais allĂ©e voir le spectacle....Quand je vois toute ces choses que j'aurai loupĂ©e....Mon dieu, je sais vraiment pas c'que serait ma vie Ă  l'heure d'aujourd'hui....GrĂące Ă  vous j'ai dĂ©couvert des artistes que je ne peux mĂȘme pas qualifier tellement ils sont INDISPENSABLES Ă  mon bonheur, et j'ai dĂ©couvert ce cher forum et toutes ces personnes extraordinaires sans lequelles cette aventure n'aurait jamais prie toute cette ampleure!!!!J'oublierai jamais mon tout 1er spectacle Ă  vos cĂŽtĂ©s le meilleur de tous je crois et tout c'que vous avez fait pour que je puisse assister Ă  la derniĂšre le 8 janvier, sans oublier la surprise du 30 dĂ©cembre ce spec j'suis pas prĂȘte de l'oublier non plus mdr....surtout au tout 1er rang qui plus est! Ahlala quand j'y repense....lol!!! Et puis tout les autres moments magique partager avec vous le TNT show, mes 19ans au casino de Paris, Lille, et Necker la derniĂšre date en cours.....Et bientot Oyonnax!!!!!Alors pour tout çà je vous dis un ENORME merciiiiiiiiiiiii mes chĂ©ries!!!!Je vous embrasse fort Ma Mylinette Y'en aurait des choses Ă  dire sur toi que du bien heeeein t'inquiĂ©tes pas lol! Tu es la toute 1Ăšre personne avec laquelle j'ai parlĂ© et que j'ai eu dans mes contacts. J'pourrai pas l'expliquer, mais le courant est passĂ© comme une lettre Ă  la poste entre nous mais nan je dis pas çà parce que mon papa il est facteur ^^. J't'ai tout de suite apprĂ©ciĂ©e et j'me doutais qu'ensemble on passerait de super bons moments, et j'me suis pas trompĂ©e....PremiĂšre rencontre le 28 DĂ©cembre par un froid trĂ©s trĂ©s glaciale, on c'est trĂ©s peu parlĂ©, y'avait tellement de monde il faut bien le dire. Puis on c'est revue le 8 Janvier pour la derniĂšre, c'Ă©tait super sympa de s'Ă©changer nos impressions pendant l'entracte hihi!!! Et depuis les liens se sont renforcĂ©e, des heures Ă  parler sur msn de tout et de rien c'est le cas de le dire, puis notre tite escapade Ă  Lille qui reste un souvenir extra toi mĂȘme tu sais pourquoi. Sans toi rien ne se serait passĂ©!!!!Et depuis ce jour j'me vraiment attachĂ©e Ă  toi, tout simplement parce que tu es une fille tellement adorable, troooop rigolote, avec laquelle j'me sens super bien et en qui j'ai une totale confiance! T'es super chouette ma Milynette, ne change jamais!!! On est partie pour vivre encore de trĂ©s bons moments ensemble, j'en suis certaine, prochaine destination ===> OYONNAX !!! YoupiiiiJ't'adoooooooooooooooooooooooore et Vive notre amitiĂ©e, qui j'espĂ©re durera encore bien longtemps mĂȘme aprĂ©s le ROI SOLEIL!!!!!Gros biZouillouX Ma Laure Tiens çà faisait longtemps que je t'avais pas dis tout le bien que je pense de toi. LOL!!!! çà m'a sais Ă  quel point je t'adoooore, nan???? Bon ba maintenant tu le saura hihi!!!! L'une des 1Ăšres personnes avec qui j'ai eu contact d'abord sur msn, pis aprĂ©s c'Ă©tait les sms surtout quand y'avait les chouchous qui passaient Ă  la tĂ©lĂ© lol. PremiĂšre rencontre le 8 Janvier que de souvenirs.....Le Macdo, le milk shake Ă  la fraise ^^, les chansons en pleine rue, et surtout NOS LARMES aprĂ©s le spectacle! JournĂ©e mĂ©morable!!!! Depuis ce jour t'es devenue un vrai ti trĂ©sor dans ma vie, toujours prĂ©sente quoi qu'il arrive, toujours un mot gentil...Tu es une personne tellement douce et gĂ©nĂ©reuse!!! Comme ton Ange!!Et puis ce week-end passĂ© Ă  Dijon....ahlala si je commence Ă  en parler c'est foutu lol!!!! Mais ce week-end n'aurait jamais Ă©tait ce qu'il a Ă©tait si tu n'avais pas Ă©tais lĂ !!!! INOUBLIABLE et riche en Ă©motions et en pleurs...Puis ces vacances Ă  saint-Jean les chichis, la glace, la rosalie... tout simplement GĂ©niales!!!J'espĂ©re vivre encore tout pleiiiiins de bons moments Ă  tes cĂŽtĂ©s ma poupette d'amour, çà ne tient qu'Ă  nous!!!!Je t'adooooore et te fais des milliers de gros bisousssss Tu me manques Ma LoJe sais pas si tu tombera sur ce message un jour, mais c'est pas grave, ja ne pouvais pas ne pas te citer!!!Toi ma tite follasse, t'es vraiment un cas Ă  part!!! Mais qu'est ce que tu me fais dĂ©lirer!!!!Quand je pense qu'on a failli ne jamais ce connaĂźtre, il en a fallu de peu!!!! Comme par hazard le seul jour oĂč je dĂ©cide de changer d'avatar encore un coup du destin çà pour en mettre un de Mr SIRKIS juste aprĂ©s le concert du 11 mars, tu te pointe sur le forum et m'envoie un mp du fait que tu Ă©tais Ă©tonnĂ© de voir Nico ici!!! MDR!!!! Et oui y'a que nous pour ĂȘtre aussi folle!!!! Bref, on a commencer Ă  dĂ©lirer sur msn, de trop bons moments franchement, pis surtout plein plein de points commun et c'Ă©tait que le dĂ©but.Et une chose en entrainant une autre on c'est retrouvĂ© Ă  DIJON pour un week-end de pure folies Ă  n'en plus finir. Week-end qui n'aurait jamais eu lieu d'ĂȘtre sans toi, encore 1000000 MERCI. Depuis j'ai l'impression qu'on c'est toujours connues, alors que çà fait 5 mois Ă  tout casser, hallucinant!!!On a les mĂȘme dĂ©lires, les mĂȘmes envies, les mĂȘmes besoins, on Ă©tait faite pour s'entendre!!!!! Une belle amitiĂ©e est nĂ©e, j'crois qu'on peut le dire!!!! J't'adooooooore trĂ©s fooooort ma Lo! VIVE MERWAN, VIVE NOS PLANS MERWANESQUES DE DERNIĂšRES MINUTES, VIVE NOS PROJETS, ET VIVE NOUS.....TOUT SIMPLEMENT Ma NaNa J'crois que jamais je ne pourrai trouver les mots appropriĂ©s pour te dire Ă  quel point tu compte pour moi. Tu es tellement adorable, toujours un mot, une tite attention....Pleine de gĂ©nĂ©rositĂ© et une joie de vivre qui fait vraiment plaisir Ă  voir. Chacune de nos conversations aussi rares et courtes qu'elles soient m'apportent beaucoup, tu sais toujours trouver les bons mots pour me redonner le sourire quand le moral n'est pas au rendez-vous, c'est Ă  chaque fois un vrai moment de plaisir de parler avec toi!Rien qu'un ti sms de ta part me donne le sourire pour la journĂ©e!!!A mes yeux tu es vraiment THE rencontre, des rencontres comme on en fait pas deux dans une es si attachante, avec un Ă©nooooorme coeur en Or rempli d'amour Ă  offrir. Tu es le ti rayon de soleil de ma vie, et j'ai vraiment hĂąte de te revoir ma belle, tu me manques beaucouuuuuup beaucouuuuuup!Est-on obligĂ© uniquement d'ĂȘtre "fan" d'un artiste ??? parce que moi j'le dis J' SUIS "FAN" DE TOI MA NANA!!!!!T'embrasse fort fort fort ma ChĂ©rinette!!!Ze t'aiiiiime fort Ma tite Manue Qu'est ce que je t'adoooore! Chacune de tes paroles me va droit au coeur et me touche profondĂ©ment, t'es un amour ma belle! Chacun des moments passĂ©s avec toi est prĂ©cieux, il me tarde de te revoir Samedi, tu me manques tellement!!!Enormes bisousssss ma chĂ©rie!Je t'aime Ma Nanoun Ma bella, tu sais que t'es un amour! J'adore parler avec toi, mĂȘme si on a du mal Ă  se croiser sur msn, j'sais pas pourquoi mais le serveur veut vraiment pas qu'on se croise lol!!Il me tarde vraiment de te rencontrer, car je sais que quoi qu'il arrive on passera un moment inoubliable ensemble! J'espĂ©re de tout coeur que ce spectacle cĂŽte Ă  cĂŽte on pourra s'le faire, mais oui que dis-je??? J'te l'ai dis, c'est une paroles de nyny!!!! lol!!!!Quoi qu'il en soit ma poupounette je t'aiiiiime fort, mais tout çà tu le sais dĂ©jĂ !!! Bises merwanesquesMa tite Filipa Que dire sur toi Ă  part que je t'adooooore, que t'es une fille gĂ©niale, adorable, avec qui j'ai passĂ© de super bons moments aussii!!! Et puis surtout tu es ma tite VIRGILIENNE prĂ©fĂ©rĂ©e!!!! tu fais bien entendue parti de mes plus belle rencontre du forum mais çà je crois que j'ai pas besoin de le prĂ©ciser!!!Gros poutoux et bonne vacances Ma tite Debbie Comme tu l'as si bien dis dans ton message, on se ressemble beaucoup toute les 2, c'est pourquoi tout tes gestes envers Lysa me touchent vraiment beaucoup car je sais Ă  quel point elle peut compter pour toi, et vraiment c'est beau Ă  voir, ne change surtout pas ma belle! Je t'adoooore et j'suis trooop heureuse de te connaĂźtre Ma tite Elli Un vrai ti ange. J'espĂ©re vraiment qu'on apprrendra Ă  se connaĂźtre encore plus car tu es vraiment un amour, puis tu me fais troooop rire avec tes HS, pas besoin de prĂ©ciser avec qui loool!!!Gros bisoussss ma puce, je t'adoooore Ma Tite Jade TrĂ©s peu de chance que tu vois ce message mais c'est pas grave, je voulais vraiment te dire que t'es superbe!!! Une des 1Ăšres personnes que j'ai rencontrĂ©es lors de mon premier squattage au PDS et j'ai pas du tout Ă©tais déçue! T'es une perle! Des personnes comme j'aime en rencontrer! J'Ă©tais trooop troooop contente de te revoir Ă  la FĂȘte de la musique, depuis le 8 Janvier çà faisait un bout....J'tembrasse bien fort ma belle et j'espĂ©re Ă  trĂ©s viiiite!!!!ZĂ©brouille Un seul mot d'ordre "ADORABLE". T'es vraiment gĂ©nial, au top!!!! Toujours entrain de dĂ©conner, et çà fait du bien, avec toi on s'ennuie pas!!! Que des bons moments passĂ©s Ă  tes cĂŽtes! Surtout reste tel que tu es, avec la banane!!Gros gros bisoussssMa Lodieçà fait un sacrĂ© bout de temps qu'on c'est pas parlĂ© dis donc, mais sache que je t'oublie pas pour autant!!! T'es une personne vraiment adorable et j'espĂ©re qu'on se reverra bientĂŽt!!! bisoussss Ă  toi et Ă  ton ti Roi!!! Ma Lina Un vrai tit amour, aussi douce et adorable que ta belle Anne-laure! Je t'adoooore fort ma belle et j'pense fort Ă  toi, ne l'oublie surtout pas!!!!! J'espĂ©re te reparler trĂ©s viiiite!Stephany, Val, et Sandrine Vous me faite trooop troooop rire, vous ĂȘtes excellentes, vous apportez une grande bouffĂ© d'humour sur le forum!!! J'adooore vous lire! Et en + de çà vous ĂȘtes trop adorables!!!!J'ai hĂąte de vous voir Ă  la rentrĂ©e samedi pour stephGros bisoussss Ă  toutes les 3Ma Jess GrĂące Ă  toi et ton site/forum j'ai dĂ©couvert Blandine et j'en suis vraiment super heureuse! Tu es vraiment une fille gĂ©niale pleine de vie, c'est toujours un plaisir de te voir, mĂȘme si c'est en coup de vent!!!! J'suis super contente de te revoir Samedi ma belle!!!Gros bisousssss Ă  ma tite Fan de Blandine prĂ©fĂ©rĂ©e!!!Ma clochette Tu sais dĂ©jĂ  tout c'que je pense! Tu es une fille adorable comme tout, ne laisse jamais personne te faire croire le contraire! Pense Ă  toi, et n'oublie pas qu'on t'adore ma belle!!!! Gros JuJu On se connait peu pour le moment mais tu fais vraiment partie des personnes que j'apprĂ©cie Ă©normĂ©ment ici! J'espĂ©re apprendre Ă  te connaĂźtre mieux Ă  la rentrĂ©e, je pense qu'on va souvent se croiser lol!BisousssssAnneso42 Ma belle, tu es vraiment une personne que j'apprĂ©cie beaucoup pour ta franchise et ton grand respect envers l'artiste qu'est Merwan, il peut ĂȘtre fiĂšre d'avoir une admiratrice comme toi, et c'est sincĂ©re!!!BisoussssssMes Merwanettes Flo, Fanny, Manon, Choupi, Mimy, Coco, Kademeimfamous, Cocolam, Gaelle, Violaine...Un rĂ©el bonheur de partager cette passion pour Merwan avec vous toutes, vous ĂȘtes des supers Merwanettes mes belles! plein de bisous Ă  toutes!Mes Cathialinettes ImĂšne, Vaness, Poulette des bois, Pilou On se connait pas Ă©normĂ©ment les filles, mais je prend un vrai plaisir Ă  vous lire, surtout quand vous parlez de Cath avec autant d'admiration que vous le faites! Ne changez rien mes belles!!!BisesLeeloo, candy45, Neness, Florializ, FĂ©licityJ'ai eu le bonheur de vous voir, mĂȘme si c'Ă©tait trĂ©s rapide, mais vous avez toutes Ă©tait super gentilles, j'espĂ©re vous revoir un de ces jours! Gros bisoussss Ă  vous!Cyrielle et ViViVous adores les filles, vous ĂȘtes vraiment des anges de douceurs, j'suis ravie de vous connaĂźtres!!!Sandra-7 Ma tite fane de Victoria prĂ©fĂ©rĂ©e, chacun de tes messages Ă  l'intention de notre princesse me touchent profondĂ©ment, tu sais si bien parler d'elle! Je sais Ă  quel point ton dĂ©sir de la rencontrer ce fait de + en + grand chaque jour qui passe, alors j'te souhaite de tout mon coeur d'avoir ce privilĂšge un jour ma belle, tu le mĂ©rite tellement!!!Gros bisousssLaurĂšneQue te dire Ă  part que t'es un amour et que je suis sincĂ©rement heureuse de te connaitre et de t'avoir vue Ă  Dijon, j'espĂ©re te revoir un de ces jours!Merci pour tout ma puce!!!Gros bisousssssEt bien voilĂ , çà touche Ă  sa fin, il Ă©tait temps lol !!! je pensais faire long mais pas Ă  ce point lĂ ...j'suis dĂ©solĂ©....!Bisousssss Ă  toutes les belles!!!DerniĂšre Ă©dition par le Jeu 27 Juil 2006 - 011, Ă©ditĂ© 1 fois Sandrinoo2004modĂ©rateurNombre de messages 21493Age 40Localisation VincennesDate d'inscription 31/03/2005Sujet Re € ~*~ GrĂące Ă  vous ttes mes amours, je revis...~*~ € MERCI € Mer 26 Juil 2006 - 936 Ah ben voilĂ  Elii a lancĂ© une mode ralalalaaa lol va y avoir une tite entrĂ©e d'argent poour ma nadalienne!! !!! Mais bon cette mode fait tellement du bien qu'on en redemade hein!!! Vive l'amitiĂ© comme tu dis!!!Hihihihi j'y suiiiiiiiiiiiis lol!!!!!! Bon moi je dis ça va plus lĂ !!!!! On est les bouffons du roi du forum nan je dconne loooooooooooool. Bref!!! Je suis ravie que Ăčes accolytes et moi te fasses autant rire!!! Mais euuuh pour les HS juste entre nous c'est de la faute d'Elli!!!! LOOOOL VoilĂ  je l'ai dit!!!!! je vais me prendre une de ces rĂ©ponses je vais le regretter looooool_________________Sandrine InvitĂ©InvitĂ©Sujet Re € ~*~ GrĂące Ă  vous ttes mes amours, je revis...~*~ € MERCI € Mer 26 Juil 2006 - 1020 OOH ben ma nyny chĂ©rie quel message!!!!!! Rempli d'Ă©motion et d'amour..... J'ai failli versĂ© une tite larme tellement c'est Ă©mouvant!!!! Merci infiniment pour ce que tu me dis lĂ ... me comparer Ă  ma belle reine comme ça me touche!! Moi aussi je pense fort fort fort fort fort fort fort fort fort Ă  toi chaque jour..... j'espĂšre ausssiiiiiiii te reparler trĂšs trĂšs viiite!!ça me manque!! Je t'aime fort ma nyny d'amour, tu me manques!!gros gros bisous €Jessica€modĂ©rateurNombre de messages 2501Age 37Localisation Dans ton ParadisDate d'inscription 17/06/2005Sujet Re € ~*~ GrĂące Ă  vous ttes mes amours, je revis...~*~ € MERCI € Mer 26 Juil 2006 - 1307 Merci pour ton Joulie Message ma belle Nyny merci de m avoir nommĂ©e carement lol Merci pour ce ue tu dit J espere te revoir et parler mieux avec toi je t adore ma belle Mertoria GROS BISOUS_________________ StĂ©phanyMembre trĂšs actifNombre de messages 4491Age 35Localisation Ă  17 km d'orlĂ©ans entre 2 champs...Date d'inscription 27/01/2006Sujet Re € ~*~ GrĂące Ă  vous ttes mes amours, je revis...~*~ € MERCI € Mer 26 Juil 2006 - 1330 ouaiiiiiiiii encore un message d'amour, c'est gĂ©nial en ce moment... ca fait bizarre de retrouver son nom de marquer ba viiii en fait on se connait pas lol mais on va y remĂ©dier dĂšs samedi, hein macopinedeforum !!!!!!Comme dit sandrine... alala on est les boufonne du fofo MAIS C'EST PAS GRAVE, en fait ca donne envie de continuer Ă©hĂ©h faut pas trop m'encourager moaaaaa tant qu'on peut faire sourire les gens et tant que je peux embeter sandrine...Nyny avec ce message je crois que tu as battu le record d'elli en longueur !!!! mais c'est pas grave parce qu'autant d'amour.... CA FAIT DU BIEN !!!!!DĂ©solĂ©e de faire un petit HS dans ton topic ma nyny mais c'est sandrine qui a commencĂ© donc message perso pour sandrine En quoi elli commence les HS ????? JE te signale que c'est toi sandrinelamodoquinerespectepaslesrĂšglesquinousencourageĂ fairedesHSalorst'asplusintĂ©rĂȘtd'attaquermacoupineVoilĂ  fin du HS pour ma part mais je suis sure que tu comprendras looooool Allez Gros bizous et Ă  samedi ma copinedeprĂ©nom !!!!!!!! FlomodĂ©rateurNombre de messages 4276Age 36Localisation NancyDate d'inscription 13/02/2005Sujet Re € ~*~ GrĂące Ă  vous ttes mes amours, je revis...~*~ € MERCI € Mer 26 Juil 2006 - 1336 oh ben dis donc que d'amour en ce moment!!ca fait du bien!!! merci beaucoup ma nyny!!!c'est un vrai bonheur pour moi aussi de partager cette belle aventure et ce soutien avec toi et toutes les autres Merwanettes!!!! j'espĂšre de tout coeur qu'on se verra un jour!!!plein de gros bisouuuuuxx!!_________________*Le bonheur, c'est quand le temps s'arrĂȘte..* Merci.. Sandrinoo2004modĂ©rateurNombre de messages 21493Age 40Localisation VincennesDate d'inscription 31/03/2005Sujet Re € ~*~ GrĂące Ă  vous ttes mes amours, je revis...~*~ € MERCI € Mer 26 Juil 2006 - 1341 StĂ©phany a Ă©crit ouaiiiiiiiii encore un message d'amour, c'est gĂ©nial en ce moment... ca fait bizarre de retrouver son nom de marquer ba viiii en fait on se connait pas lol mais on va y remĂ©dier dĂšs samedi, hein macopinedeforum !!!!!!Comme dit sandrine... alala on est les boufonne du fofo MAIS C'EST PAS GRAVE, en fait ca donne envie de continuer Ă©hĂ©h faut pas trop m'encourager moaaaaa tant qu'on peut faire sourire les gens et tant que je peux embeter sandrine...Nyny avec ce message je crois que tu as battu le record d'elli en longueur !!!! mais c'est pas grave parce qu'autant d'amour.... CA FAIT DU BIEN !!!!!DĂ©solĂ©e de faire un petit HS dans ton topic ma nyny mais c'est sandrine qui a commencĂ© donc message perso pour sandrine En quoi elli commence les HS ????? JE te signale que c'est toi sandrinelamodoquinerespectepaslesrĂšglesquinousencourageĂ fairedesHSalorst'asplusintĂ©rĂȘtd'attaquermacoupineVoilĂ  fin du HS pour ma part mais je suis sure que tu comprendras looooool Allez Gros bizous et Ă  samedi ma copinedeprĂ©nom !!!!!!!! Et puis aprĂšs tout c'est une grande mission d'ĂȘtre les bouffones du fofo naaaaaaaaan??? _________________Sandrine Ă©dition par le Mer 26 Juil 2006 - 1815, Ă©ditĂ© 1 fois DebbiePipeletteNombre de messages 909Age 36Localisation 63Date d'inscription 21/02/2006Sujet Re € ~*~ GrĂące Ă  vous ttes mes amours, je revis...~*~ € MERCI € Mer 26 Juil 2006 - 1542 Merci beaucoup Elli d'avoir lancĂ© cette jolie mode des dĂ©claration !!!Merci aussi Ă  toi ma belle, tu es adorable je vais pas redire tout ce que jai dĂ©jĂ  dit dans mon message quoi que ca fait du bien d'entendre de jolies choses ! Vivement samedi j'ai hĂąte de te revoir !GRos Gros bisous Je t'adore mily264PipeletteNombre de messages 1117Localisation 60Date d'inscription 27/10/2005Sujet Re € ~*~ GrĂące Ă  vous ttes mes amours, je revis...~*~ € MERCI € Mer 26 Juil 2006 - 1556 bon je vais copier le premier mot de ma ptite Elli dans un autre message OOOOOUUUUIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIINNNNNNNNNNNNNNNNNNN !!!!!nyny, tu fais exprĂšs ou quoi ? tu veux que j'aille Ă  oyonnax avec une conjonctivite Ă  force de pleurer ??? entre nous, je ne suis pas du tout sĂ»re que le fait de beaucoup pleurer donne une conjonctivite mais bon... Je vais ĂȘtre obligĂ© de ramener la big trousse de maquillage pour cacher la misĂšre !!!! Ah la la, comme je ne regrette pas de t'avoir envoyer ce mp pour faire ta connaissance ! Et tout ça grace Ă  la Picardie, qui l'eut cru ???????????????? pour ceux et celles qui ne comprennent pas, c'est parce qu'on habite toutes les 2 en Picardie !! ya pas que des bouzeux en Picardie heinnnnnnnn ! oups dĂ©solĂ©e les picards !! Ma nyny, tu le sais dĂ©jĂ  mais je ressens "tout pareil que qu'est ce que tu as dit" !!! C'est incroyable comment je me suis attachĂ©e Ă  toi, je crois aussi que c'est "un roman d'amitiĂ© qui commence entre nous deux..." pardon pour la rĂ©fĂ©rence Ă  Elsa, je ne sais pas si les plus jeunes d'entre nous connaissent !!.Bon aprĂšs avoir racontĂ© des bĂȘtises aussi grosses que moi si si c'est possible..., je peux rĂ©sumer tout ça en quelques mots JE T'AIME FORT MA BELLE !! gros bisouuuuuuuuuuuusssssssssssmilynette alias mily264 alias Ă©milie justinepmodĂ©rateurNombre de messages 6421Localisation Saint-Maur 94Date d'inscription 30/06/2005Sujet Re € ~*~ GrĂące Ă  vous ttes mes amours, je revis...~*~ € MERCI € Mer 26 Juil 2006 - 1832 Lol c'est vrai ca, Elli a lancĂ© la mode des dĂ©clarations, et tu poursuis tout aussi bien Nyny!!J'espĂšre avoir l'occasion de faire plus ample connaissance avec toi Ă  la rentrĂ©e, hihi quelque chose me dit qu'en effet on "risque" de se voir souvent, et tant mieux!!Gros bisous et bravo pour cette jolie dĂ©claration! Que ce soit pour les artistes ou pour les "fans", tes messages sont aussi beaux les uns que les autres!Justine. nanounPipeletteNombre de messages 838Age 35Localisation AngersDate d'inscription 13/03/2006Sujet Re € ~*~ GrĂące Ă  vous ttes mes amours, je revis...~*~ € MERCI € Mer 26 Juil 2006 - 1843 Eh ben voila, encore une fois tu m'as fait couler des larmes...Evidemment ce ne sont pas des larmes de tristesses mais des larmes de bonheur, tout simplement...Le bonheur d'avoir eu un jour l'idĂ©e de t'inscrire dans mes contacts msn!Qu'est ce que je ne regrette pas de l'avoir fait!!! Tout de suite j'ai senti le courant passĂ©, d'ailleur je te l'ais trĂšs vite dit. Mais qui aurait cru qu'une si belle amitiĂ© se tisserait entre nous...pfffioouu voila rien que d'en parler jsuis toute Ă©motionnĂ©e... T'es une fille en or ma puce tu le sais dĂ©jĂ  et j'ai tellement hĂąte de te voir...On a plein de moments de bonheur devant nous, c'est certain!!!Et je suis sĂ»re que tout ces moments ne ferons que renforcer cette trĂšs trĂšs belle amitiĂ©!!! Et oui tu va m'avoir sur le dos pendant un bon bout de temps encore ma belle dĂ©solĂ©e...Maintenant que tu es dans mon tit coeur...hi hi tellement de choses Ă  te dire mais je crois que cette fois ca serait Ă  mon tour de battre le record de longueur de post... je crois que je vais m'arreter lĂ , mais tu sais trĂšs bien tout ce que je pense de toi ma te voir avant que tu parte a Oyonnax sur mns parce que tu me manquuuuuuue tĂ©riblement!!!!! satanĂ© serveur, tu ne t'interposeras pas dans notre belle amitiĂ©,rrrrrrr. nan mais Ă  croir qu'il est jaloux!!!mdr Au fait ce petit surnom poupounette jtrouve ca mignon, hi hi finir je n'aurais qu'une seule chose Ă  te dire ma choupette d'amour Je t'aiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiime trĂšs trĂšs trĂšs fort ma puce n'oubli pas, c'est moi qui t'aime le plus, hi hi hi, lolJe t'envois plein d'ENORMES bisoooooooooooousTa nanoun PS j'oubliais, pour le spectacle on sera cĂŽte Ă  cĂŽte, j'espĂšre bien et j'y crois trĂšs trĂšs fort. Une parole de nyny c'est ce qu'il y a de plus fiable!!!!lol. laurĂšneLangue pendueNombre de messages 151Date d'inscription 20/02/2006Sujet Re € ~*~ GrĂące Ă  vous ttes mes amours, je revis...~*~ € MERCI € Mer 26 Juil 2006 - 2037 merci 1000 fois ma belle, ca me touche beaucoup!!jespĂšre te revoir trĂšs vite miss!!!Ă©normes bisous Sandra-7Membre trĂšs actifNombre de messages 5408Age 31Localisation Seine st Denis - 93 - LivryDate d'inscription 06/12/2005Sujet Re € ~*~ GrĂące Ă  vous ttes mes amours, je revis...~*~ € MERCI € Mer 26 Juil 2006 - 2039 Ohhh ma Nyny !!! Comment ça me fait tout plaisir... Tu peux mm pas savoir !!Et toi donc, Ă  chaque fois que tu laisses un msg pour Victoria ou mĂȘme pour Merwan, j'ai tout plein de frissons en lisant... !!! Tu fais passĂ© toutes tes emotions avec tellement de beau mot !! c'est trop magnifique Ă  chaque fois !!Merciii ma belle Nyny, ça fait tout plaisir en tout cas ...Gros Bisous et profte bien Samedi elliAccroNombre de messages 14119Age 33Localisation Boulogne-Billancourt 92Date d'inscription 18/09/2005Sujet Re € ~*~ GrĂące Ă  vous ttes mes amours, je revis...~*~ € MERCI € Mer 26 Juil 2006 - 2119 Et ben...Pfiouuuuuuu.... Je l'ai dit, sur le topic de tennis.....Miss mĂ©tĂ©o annonce un temps de dĂ©claration, d'amour sur le fofo...Nous fesons face Ă  la canicule grĂące Ă  nos dĂ©clarations qui apportent tant de soleil quand on les lit....Comme c'est beau de lire des messages comme ça.... Tant d'amour....Le fait d'ĂȘtre citĂ©e me touche Ă©normĂ©ment ma tite puce.... On se connait finalement peu c'est vrai mais tu es vraiment quelqu'un d'adorable... Les fois oĂč l'on s'est vues, toujours un sourire... GrĂące Ă  Coco je t'ai connue... Je ne demande qu'Ă  mieux te connaĂźtre...Jme souviens trĂšs bien quand Coco me disait sur msn la surprise qu'elle te prĂ©parait pour le 30 dĂ©cembre et non Janvier! lol... T'es un vrai coeur sur pattes!!Depuis quand je fais de HS moi et avec qui???? LOOOLMoi aussi jsuis FAN de Nana, t'es pas la seule! Et ben puisque tu le dis... Jsuis fiĂšre La stĂ©phanite m'atteint!^^ alors d'avoir lancĂ© la mode, tous ces mots d'amour, j'en redemande! Gros bisouuuuuus elliAccroNombre de messages 14119Age 33Localisation Boulogne-Billancourt 92Date d'inscription 18/09/2005Sujet Re € ~*~ GrĂące Ă  vous ttes mes amours, je revis...~*~ € MERCI € Mer 26 Juil 2006 - 2146 Dsl ma Nyny va y avoir du HS et tout ça c'est Ă  cause de Sandrine qui a prĂ©fĂ©rĂ© provoquer et ne pas se taire.... Je sens que Sandrine ne va pas y ĂȘtre insensible et va aussi rappliquer... Sandrinoo2004 a Ă©crit Ah ben voilĂ  Elii a lancĂ© une mode ralalalaaa lol va y avoir une tite entrĂ©e d'argent poour ma nadalienne!! !!! Mais bon cette mode fait tellement du bien qu'on en redemade hein!!! Vive l'amitiĂ© comme tu dis!!!Hihihihi j'y suiiiiiiiiiiiis lol!!!!!! Bon moi je dis ça va plus lĂ !!!!! On est les bouffons du roi du forum nan je dconne loooooooooooool. Bref!!! Je suis ravie que Ăčes accolytes et moi te fasses autant rire!!! Mais euuuh pour les HS juste entre nous c'est de la faute d'Elli!!!! LOOOOL VoilĂ  je l'ai dit!!!!! je vais me prendre une de ces rĂ©ponses je vais le regretter looooool Ralala, je vais devenir riche et Ă  moi les places pour le Roi Soleiiiiiiiiil!!!!! Combien dĂ©jĂ  de dĂ©clarations qui ont suivies aprĂšs la mienne? LOLAlors, Sandrine...1. Oui, tu fais partie des bouffons du forum comme tu le dis si bien!! Ralala, c'est bien comme on n'a pas besoin de le dire, tu fais le boulot Ă  notre place...2. Pour le HS alors lĂ , JAMAIS T'as bien entendu, hein, jamais!! Et lĂ , comme t'es pas vieille pour un tit bout de tps, le tps que tu lises ce message t'as bien entendu je ne fais de HS!! D'ailleurs sinon j'aurai Ă©tĂ© citĂ©e avec vous trois!! Na! Je ne suis en aucun cas impliquĂ©e et Nyny l'a bien senti!! MOI je suis un ange... LOOOL StĂ©phany a Ă©crit ouaiiiiiiiii encore un message d'amour, c'est gĂ©nial en ce moment... ca fait bizarre de retrouver son nom de marquer ba viiii en fait on se connait pas lol mais on va y remĂ©dier dĂšs samedi, hein macopinedeforum !!!!!!Comme dit sandrine... alala on est les boufonne du fofo MAIS C'EST PAS GRAVE, en fait ca donne envie de continuer Ă©hĂ©h faut pas trop m'encourager moaaaaa tant qu'on peut faire sourire les gens et tant que je peux embeter sandrine...Nyny avec ce message je crois que tu as battu le record d'elli en longueur !!!! mais c'est pas grave parce qu'autant d'amour.... CA FAIT DU BIEN !!!!!DĂ©solĂ©e de faire un petit HS dans ton topic ma nyny mais c'est sandrine qui a commencĂ© donc message perso pour sandrine En quoi elli commence les HS ????? JE te signale que c'est toi sandrinelamodoquinerespectepaslesrĂšglesquinousencourageĂ fairedesHSalorst'asplusintĂ©rĂȘtd'attaquermacoupineVoilĂ  fin du HS pour ma part mais je suis sure que tu comprendras looooool Allez Gros bizous et Ă  samedi ma copinedeprĂ©nom !!!!!!!! Certes Nyny a battu le record de longueur mais pas en rĂ©ponse mais en topic! LOL Donc ce record tient toujours! Merci ma coĂ©quipiĂšre prĂ©fĂ©rĂ©e de me dĂ©fendre.... SandrinelamodoaĂ©tĂ©mĂ©chanteenversmoialorsquestephetmoiluiavonsfaittoutpleindemessageschouscetteapremdisantqu'onl'aimeetmĂȘmedespoĂšmes ...T'inquiĂšte, Nyny comprendra le HS vu qu'elle a fait un pas dans le topic de montages de tennis et en grande folle qu'elle est, elle a lu tout le topic! ^^Et pis, si tu veux t'en prendre Ă  quelqu'un c'est Ă  Sandrine puisqu'elle nous a incitĂ©e Ă  faire du HS cette diablesse oouuuuuuaaaahhh, ça rime!!! Miss ViviMembre trĂšs actifNombre de messages 1674Localisation ParisDate d'inscription 07/02/2006Sujet Re € ~*~ GrĂące Ă  vous ttes mes amours, je revis...~*~ € MERCI € Mer 26 Juil 2006 - 2154 et bien ma nyny, quel message!!!je suis super contente de faire partie de tes merwanettes!!! j'espĂšre qu'on pourra se faire une soirĂ©e comme au casino!rappelle toi, un petit merwan, tout seul sur le trottoir de l'autre cĂŽtĂ© de la rue... qui n'attendait que nous!!! enfin, voilĂ  ma belle, j'ai hĂąte de te revoir Ă  paris!! bisousViolaine Sandrinoo2004modĂ©rateurNombre de messages 21493Age 40Localisation VincennesDate d'inscription 31/03/2005Sujet Re € ~*~ GrĂące Ă  vous ttes mes amours, je revis...~*~ € MERCI € Mer 26 Juil 2006 - 2255 elli a Ă©crit Dsl ma Nyny va y avoir du HS et tout ça c'est Ă  cause de Sandrine qui a prĂ©fĂ©rĂ© provoquer et ne pas se taire.... Je sens que Sandrine ne va pas y ĂȘtre insensible et va aussi rappliquer... Sandrinoo2004 a Ă©crit Ah ben voilĂ  Elii a lancĂ© une mode ralalalaaa lol va y avoir une tite entrĂ©e d'argent poour ma nadalienne!! !!! Mais bon cette mode fait tellement du bien qu'on en redemade hein!!! Vive l'amitiĂ© comme tu dis!!!Hihihihi j'y suiiiiiiiiiiiis lol!!!!!! Bon moi je dis ça va plus lĂ !!!!! On est les bouffons du roi du forum nan je dconne loooooooooooool. Bref!!! Je suis ravie que Ăčes accolytes et moi te fasses autant rire!!! Mais euuuh pour les HS juste entre nous c'est de la faute d'Elli!!!! LOOOOL VoilĂ  je l'ai dit!!!!! je vais me prendre une de ces rĂ©ponses je vais le regretter looooool Ralala, je vais devenir riche et Ă  moi les places pour le Roi Soleiiiiiiiiil!!!!! Combien dĂ©jĂ  de dĂ©clarations qui ont suivies aprĂšs la mienne? LOLAlors, Sandrine...1. Oui, tu fais partie des bouffons du forum comme tu le dis si bien!! Ralala, c'est bien comme on n'a pas besoin de le dire, tu fais le boulot Ă  notre place...2. Pour le HS alors lĂ , JAMAIS T'as bien entendu, hein, jamais!! Et lĂ , comme t'es pas vieille pour un tit bout de tps, le tps que tu lises ce message t'as bien entendu je ne fais de HS!! D'ailleurs sinon j'aurai Ă©tĂ© citĂ©e avec vous trois!! Na! Je ne suis en aucun cas impliquĂ©e et Nyny l'a bien senti!! MOI je suis un ange... LOOOL StĂ©phany a Ă©crit ouaiiiiiiiii encore un message d'amour, c'est gĂ©nial en ce moment... ca fait bizarre de retrouver son nom de marquer ba viiii en fait on se connait pas lol mais on va y remĂ©dier dĂšs samedi, hein macopinedeforum !!!!!!Comme dit sandrine... alala on est les boufonne du fofo MAIS C'EST PAS GRAVE, en fait ca donne envie de continuer Ă©hĂ©h faut pas trop m'encourager moaaaaa tant qu'on peut faire sourire les gens et tant que je peux embeter sandrine...Nyny avec ce message je crois que tu as battu le record d'elli en longueur !!!! mais c'est pas grave parce qu'autant d'amour.... CA FAIT DU BIEN !!!!!DĂ©solĂ©e de faire un petit HS dans ton topic ma nyny mais c'est sandrine qui a commencĂ© donc message perso pour sandrine En quoi elli commence les HS ????? JE te signale que c'est toi sandrinelamodoquinerespectepaslesrĂšglesquinousencourageĂ fairedesHSalorst'asplusintĂ©rĂȘtd'attaquermacoupineVoilĂ  fin du HS pour ma part mais je suis sure que tu comprendras looooool Allez Gros bizous et Ă  samedi ma copinedeprĂ©nom !!!!!!!! Certes Nyny a battu le record de longueur mais pas en rĂ©ponse mais en topic! LOL Donc ce record tient toujours! Merci ma coĂ©quipiĂšre prĂ©fĂ©rĂ©e de me dĂ©fendre.... SandrinelamodoaĂ©tĂ©mĂ©chanteenversmoialorsquestephetmoiluiavonsfaittoutpleindemessageschouscetteapremdisantqu'onl'aimeetmĂȘmedespoĂšmes ...T'inquiĂšte, Nyny comprendra le HS vu qu'elle a fait un pas dans le topic de montages de tennis et en grande folle qu'elle est, elle a lu tout le topic! ^^Et pis, si tu veux t'en prendre Ă  quelqu'un c'est Ă  Sandrine puisqu'elle nous a incitĂ©e Ă  faire du HS cette diablesse oouuuuuuaaaahhh, ça rime!!! MDRRRRRRRRRRRRRRRRRRRRRRRRRRRRRRRRRRRRRR!!!Bon j'avoue c'est MOI!!!! Et oui!! lol_________________Sandrine nynyMembre trĂšs actifNombre de messages 3446Age 35Localisation € Le coeur Ă  Oyonnax pour un trĂ©s long moment € 60Date d'inscription 16/11/2005Sujet Re € ~*~ GrĂące Ă  vous ttes mes amours, je revis...~*~ € MERCI € Mer 26 Juil 2006 - 2304 Et bien que rĂ©pondre face toute vos rĂ©ponses toutes plus touchantes les unes que les autres!!!J'vais pas rĂ©pĂ©ter tout c'que j'ai dĂ©jĂ  dis looool!!!J'me contenterai de vous dire Ă  toutes que je vous adooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooore et que j'ai hĂąte de vous revoiiiiiiiiiir et de vous rencontrer pour certaines!!!!!J'pensais pas un jour pouvoir rencontĂ© autant de personnes adorable d'un seul coup!!!!Bon c'est bien parce que c'est vous les filles que j'passe l'Ă©ponge pour le HS heiiiiin!!! MDR!!Rien ne vous arrĂȘte, vous ĂȘtes vraiment incontrolable dĂ©cidemment!!! looool!mais bon vous me faites tellement rire que j'peux mĂȘme pas vous en vouloir!!!! mdr!!! Vous ĂȘtes des fooooolles!!!!!Bisousssssss Ă  toutes!!!! Sandrinoo2004modĂ©rateurNombre de messages 21493Age 40Localisation VincennesDate d'inscription 31/03/2005Sujet Re € ~*~ GrĂące Ă  vous ttes mes amours, je revis...~*~ € MERCI € Mer 26 Juil 2006 - 2319 IncontrĂŽlable c'est le mot!!! Et folle oui on peut le dire loooooooooool_________________Sandrine fearlessMembre trĂšs actifNombre de messages 4550Age 33Localisation Les bras de Virgile et le coeur de LysaDate d'inscription 24/10/2005Sujet Re € ~*~ GrĂące Ă  vous ttes mes amours, je revis...~*~ € MERCI € Mer 26 Juil 2006 - 2350 Je venais dans "humeur du jour" pour Ă©crire un message d'au revoir quand je vois ce topic....Merci ma Nyny... tout simplement !Je ne vais pas me rĂ©pĂ©ter, je pense en avoir dis beaucoup mais pas suffisament LoL dans mon message...Je tiens juste Ă  dire que je suis vraiment heureuse d'avoir fait ta connaissance... grace Ă  ta toute premiĂšre banniĂšre ! je me souviens maintenant comment on a commencĂ© Ă  se parler je t'avais demandĂ© de m'envoyer la photo des 4 princesses que tu avais en signature Bref... Je t'aime, je t'adore ma belle Nyny !! Rendez-vous en septembre pour de nouveaux apres-midi dans le froid de Paris... avant que le Soleil n'arrive Ă  partir de 13h LoolJe t'embrasse fort, fort !!!! Jenny-sunMembre trĂšs actifNombre de messages 3078Age 44Localisation Vic-city dans le 77!hihi!Date d'inscription 15/10/2005Sujet Re € ~*~ GrĂące Ă  vous ttes mes amours, je revis...~*~ € MERCI € Mer 26 Juil 2006 - 2352 Oh ben c'est zentiiiiil tout ça ma nyny!!!!!!!Je suis bien contente de t'avoir embarquĂ© ce 3 DĂ©cembre avec nous au PDS,je sais combien la troupe et le forum t'apporte comme BONHEUR,alors j'en suis vraiment plus que raviiiiiie!!!quand on te disait que tu deviendrais ACCROOOOO!!!mdr!!!GROS BISOUS ma tite couz chiriiie et Ă  samediiiiii pour OYONNAX!!!!!!!!!!!! elliAccroNombre de messages 14119Age 33Localisation Boulogne-Billancourt 92Date d'inscription 18/09/2005Sujet Re € ~*~ GrĂące Ă  vous ttes mes amours, je revis...~*~ € MERCI € Jeu 27 Juil 2006 - 004 nyny a Ă©crit Bon c'est bien parce que c'est vous les filles que j'passe l'Ă©ponge pour le HS heiiiiin!!! MDR!!Rien ne vous arrĂȘte, vous ĂȘtes vraiment incontrolable dĂ©cidemment!!! looool!mais bon vous me faites tellement rire que j'peux mĂȘme pas vous en vouloir!!!! mdr!!! Vous ĂȘtes des fooooolles!!!!!Bisousssssss Ă  toutes!!!! Merciiiiiiii de nous excuser.... Vi comme tu l'a dit incontrĂŽlables et folles et le comble ĂȘtre conscientes de tout ça! LOLRavie de te faire mourir de rire!!! JadeBavardNombre de messages 44Age 35Localisation PontoDate d'inscription 13/12/2005Sujet Re € ~*~ GrĂące Ă  vous ttes mes amours, je revis...~*~ € MERCI € Jeu 27 Juil 2006 - 116 oulala Nyny.. que te dire.. Je ne m'y attendais vraiment pas.. DĂ©jĂ  merci beaucoup pour ce petit message.. ça me touche Ă©normĂ©ment tu sais.. Je n'oublie pas nos quelques rencontres.. ce fut un vrai plaisir de faire ce squattage de PDS avec toi et avec Corinne et Jenni bien sur! .. Tu es vraiment une personne adorable avec beaucoup d'humour, gentille, attentionnĂ©e.. Je t'ai trouvĂ© aussi trĂšs respectueuse envers les membres de la troupe ça devient rare des personnes comme toi.. ..Et pis quel plaisir de t'avoir revu ce 21 Juin! Tu n'as pas changĂ©! Tu es restĂ©e tel que tu es! Un vrai plaisir!Merci Ă  toi alors! J'espĂšre vraiment te revoir trĂšs bientĂŽt! Sans doute en septembre, peut-ĂȘtre plutĂŽt j'espĂšre.. Nyny, je terminerai mon message en te disant encore une fois merci, merci pour tous ces bons moments passĂ©s avec toi.. Je n'oublie pas..Je t'embrasse fort!Prends bien soin de toi surtout.. nynyMembre trĂšs actifNombre de messages 3446Age 35Localisation € Le coeur Ă  Oyonnax pour un trĂ©s long moment € 60Date d'inscription 16/11/2005Sujet Re € ~*~ GrĂące Ă  vous ttes mes amours, je revis...~*~ € MERCI € Jeu 27 Juil 2006 - 229 ohhh ma tite Jade, tu peux pas savoir Ă  quel point çà me fait plaisir de te voir ici!!!! Ton message me touche beaucoup!!!! Et j'te retourne vraiment tout ces compliments!!!! Sache que moi non plus j'oublie pas tout ces beaux moments passĂ©s ensemble, et que j'pense souvent Ă  toi!!!Merci Ă  toi!!Gros bisoussss ma belle et rendez-vous en septembre peut-ĂȘtre Ă  Lille le 9 d'aprĂ©s c'que j'ai vu sur ta phrase msn Miss SoleilMembre trĂšs actifNombre de messages 2309Age 40Date d'inscription 15/10/2005Sujet Re € ~*~ GrĂące Ă  vous ttes mes amours, je revis...~*~ € MERCI € Jeu 27 Juil 2006 - 1029 Alala quelle bĂȘtise monstruseuse nous avons fait de vouloir embarquer nyny voir ce spectacle...Pffffff...mdrrrEt ouiii on t'avais prĂ©venu que tu deviendrais accro toi aussiiii!!!hihiEn tout cas c'est un vrai plaisir de partager cette grande passion avec toisoeurette d'amour!!!Tout plein de bonheur nous attend encore!!!Groooooooooos bisouuuuuuuuuuuuus!!!!!!!Je t'aime fooooooooooort!!!!!!!!!!!!!! Contenu sponsorisĂ©Sujet Re € ~*~ GrĂące Ă  vous ttes mes amours, je revis...~*~ € MERCI € € ~*~ GrĂące Ă  vous ttes mes amours, je revis...~*~ € MERCI € Page 1 sur 3Aller Ă  la page 1, 2, 3 Sujets similaires» mes rencontres grace a vous» A vous mes amours» mes amours , merciPermission de ce forumVous ne pouvez pas rĂ©pondre aux sujets dans ce forumle roi soleil Vous Humeur du jourSauter vers Unan aprĂšs la fraude qui a coĂ»tĂ© 4,9 milliards d'euros Ă  la SociĂ©tĂ© gĂ©nĂ©rale, l'ex-trader a livrĂ©, pour la premiĂšre fois, sa version des faits les forumsForum Blabla 15-18 ans Etoile Abonnement RSS RĂ©glages Mise en forme JVCode Afficher les avatars Afficher les signatures Afficher les spoilers Miniatures Noelshack Sujet si tu m'aime, arrĂȘte tes bĂ©tises, il faut grandir RĂ©pondreNouveau sujetListe des sujets 1 JennaWhite2 MP 15 aoĂ»t 2016 Ă  231630 Tu m'fait pleurĂ©e la nuit Correctif MP 15 aoĂ»t 2016 Ă  231704 Ta vraiment un avatar malsainVoila c'est dit maxgorthor MP 15 aoĂ»t 2016 Ă  231721 Il pleut sur mon coeur comme il pleut sur la ville. Victor Hugo JennaWhite2 MP 15 aoĂ»t 2016 Ă  231726 Le 15 aoĂ»t 2016 Ă  231704 Correctif a Ă©crit Ta vraiment un avatar malsainVoila c'est dithuh... 1 Nouveau sujetListe des sujets RĂ©pondre PrĂ©visu ? Victime de harcĂšlement en ligne comment rĂ©agir ? Sous-forums Le Grand Voyage La CorĂ©e du Toast Salut Yuengling Infos 0 connectĂ©s Gestion du forum ModĂ©rateurs Mano, L_G, SaumonArcEnCiel, Puissancier Contacter les modĂ©rateurs - RĂšgles du forum Sujets Ă  ne pas manquer Le 15-18 et le piaf bleu. Le petit guide du karma [PROJET] / Rendez-vous dans 10 ans ! / J'ai payĂ© cette Ă©pĂ©e 349€ [Jeu] Projet JVC [RPG] Final Fantasy 15-18 [Jeu] J'ai crĂ©e un RPG sur le 15-18. Un lock collector Langage SMS, explications Fic Le Geek, le No-life et le wesh [Jeu] Hapclicker [TUTO] Comment cadrer votre avatar correctement ? La vidĂ©o du moment Situ as la tĂȘte d'un chat ArrĂȘte un peu au lieu de rester Viens donc faire une bise Ă  la marquise En dessous on se dĂ©guise, on dit des bĂȘtises Nous saurons te faire oublier tes tracas Le temps d'une danse blotti dans nos bras Laisse jusqu'Ă  ce que tu remontes tes problĂšmes Laisse sans soucis et sens que l'ont s'aime Nous allons te faire donner de la voix Le temps d'une danse blotti Rechercher Interne GoogleRĂ©sultats par Messages Sujets Tags Recherche avancĂ©eDerniers sujets» 29 aoĂ»t Martyre de Saint Jean-Baptiste DĂ©collationpar ami de la MisĂ©ricorde Hier Ă  2303» MĂ©ditation Le saint esclavage de l'admirable MĂšre de Dieupar ami de la MisĂ©ricorde Hier Ă  2242» Veillons et prions CHAPELET quotidien Ă  la Grotte de Françoise Hier Ă  1939» 28 aoĂ»t Saint Augustin d'Hipponepar ami de la MisĂ©ricorde Sam 27 AoĂ» - 2327» 10 aoĂ»t Sainte PhilomĂšnepar Tite Sam 27 AoĂ» - 2002» 27 aoĂ»t Saint AmĂ©dĂ©e de Clermont de Lausannepar ami de la MisĂ©ricorde Sam 27 AoĂ» - 851» La communion dans la mainpar Tite Ven 26 AoĂ» - 1643» La priĂšre des psaumes - par Françoise Jeu 25 AoĂ» - 2303» 26 aoĂ»t Sainte Marie de JĂ©sus crucifiĂ© Maryam Baouardypar ami de la MisĂ©ricorde Jeu 25 AoĂ» - 2302» Quand est-ce que l'Avertissement aura lieu?3 Ă©vĂšnements doivent d'abord arriver par Françoise Jeu 25 AoĂ» - 2123» 25 aoĂ»t Saint Louis Louis IXpar ami de la MisĂ©ricorde Mer 24 AoĂ» - 2301» ChaĂŻne d'amour - Louange vivante et Sylvain Françoise Mer 24 AoĂ» - 2206» 24 aoĂ»t Saint BarthĂ©lĂ©my NatanaĂ«lpar ami de la MisĂ©ricorde Mar 23 AoĂ» - 2224» Les 3 jours de tĂ©nĂšbre au Padre Pio Famille St Joseph - PĂšre JM Verlindepar Françoise Mar 23 AoĂ» - 1023» Les chĂątiments sont proches - Etes-vous prĂȘt ?par Françoise Mar 23 AoĂ» - 728» Les 3 jours de tĂ©nĂšbres du Padre PIO - un enseignement de Fabienne Françoise Mar 23 AoĂ» - 723» 23 aoĂ»t Saint Julien de Lescarpar ami de la MisĂ©ricorde Lun 22 AoĂ» - 2312» Le code Ratzingerpar ami de la MisĂ©ricorde Dim 21 AoĂ» - 2325» 22 aoĂ»t Marie Reinepar ami de la MisĂ©ricorde Dim 21 AoĂ» - 2256» Deux histoires inspirantes de NOEL/Huillam Daverec YouTube 18/12/2021par Françoise Dim 21 AoĂ» - 2032» 21 aoĂ»t Saint Pie Xpar ami de la MisĂ©ricorde Sam 20 AoĂ» - 2329» 20 aoĂ»t Saint Bernard de Clairvaux par ami de la MisĂ©ricorde Sam 20 AoĂ» - 2309» Le SERMON de l'EPIPHANIE - 10 janvier 2021 - Les Capucins de Morgon/ Françoise Sam 20 AoĂ» - 034» 19 aoĂ»t Saint Jean Eudes par ami de la MisĂ©ricorde Ven 19 AoĂ» - 037» 18 aoĂ»t Sainte HĂ©lĂšnepar ami de la MisĂ©ricorde Mer 17 AoĂ» - 2305» 17 aoĂ»t Bienheureuse Leopoldina Naudetpar ami de la MisĂ©ricorde Mer 17 AoĂ» - 2235» L'avenir de Paris et de la France selon la visionnaire Catherine Tite Mar 16 AoĂ» - 1441» 16 aoĂ»t Saint Etienne de Hongriepar ami de la MisĂ©ricorde Lun 15 AoĂ» - 2250» 15 aoĂ»t Assomption de la Vierge Mariepar ami de la MisĂ©ricorde Dim 14 AoĂ» - 2259» 14 aout Saint Maximilien Kolbepar ami de la MisĂ©ricorde Sam 13 AoĂ» - 2326» 13 aoĂ»t Saint DorothĂ©e de Gazapar ami de la MisĂ©ricorde Ven 12 AoĂ» - 2325» 12 aoĂ»t Sainte Jeanne-Françoise FrĂ©miot de Chantal par ami de la MisĂ©ricorde Jeu 11 AoĂ» - 2333» 11 aoĂ»t Sainte Claire d'Assise par ami de la MisĂ©ricorde Mer 10 AoĂ» - 2324» 10 aoĂ»t Saint Laurent de Romepar ami de la MisĂ©ricorde Mer 10 AoĂ» - 006» CRASHDEBUG Nostradamus - La fin des Temps - Saison 1 -par Françoise Mar 9 AoĂ» - 2112 Le deal Ă  ne pas rater Cartes PokĂ©mon Japon le display PokĂ©mon Go de retour en stock sur ... Voir le deal Forum Catholique LE MONASTÈRE INTÉRIEUR. Vivre avec notre Seigneur et sa mĂšre ÉVANGÉLISATION 2 participantsAuteurMessagePhilippeconsacrĂ©Messages 1865Date d'inscription 03/08/2010Age 74Localisation Maisons LaffitteSujet TĂ©moignage. Aboutit au trois jours de tĂ©nĂšbres. Dim 29 Oct - 1004 MA ! allez tant pis je fais mon "coming out".Non je ne suis pas homo, mais il m'est arrivĂ© des trucs JĂ©sus en personne qui m'a fait le catĂ©. VoilĂ  ma premiĂšre histoire J'Ă©tais dans une famille qui avait complĂštement abandonnĂ© la pratique et Ă©tait loin du Seigneur, sauf ma grand mĂšre assez pieuse, mais qui pratiquait aussi l'Ă©sotĂ©risme avec Rudolph Steiner et un culte pour les Chakras, et ils faisaient tous tourner des tables. Quant Ă  la paroisse n'en parlons pas. Suite Ă  un concile mal compris le curĂ© Ă©tait contre la dĂ©votion Ă  la Sainte Vierge, contre le rosaire, contre l'Adoration, contre la messe quotidienne. La seule chose qui comptait pour lui c'Ă©tait s'engager dans la politique, le syndicalisme, et construire le monde. Le royaume et le salut Ă©ternel n'en parlons pas. Vouloir ĂȘtre un saint ? C'est une vocation spĂ©ciale et avoir ce genre d'idĂ©e relĂšve de la moi dans tout ça je cherchais JĂ©sus comme je pouvais, mais paumĂ©, paumĂ©, va commencer par ma conversion Ă  quatorze ans qui a Ă©tĂ© terrible. Mais je vous prĂ©viens Lucie de Fatima a dit que le dernier combat entre JĂ©sus et Satan serait sur le mariage et la famille ? Ma croix n'a Ă©tĂ© qu'un long chagrin d'amour oĂč je n'ai eu ni l'amour du pĂšre ni de la mĂšre, de mes frĂšres et sƓurs, et surtout, d'une Ă©pouse. Devenir prĂȘtre ou religieux ? Cela aurait Ă©tĂ© fuir mon chemin et me dĂ©rober. Le diable a pouvoir sur mon bonheur terrestre, mais il n'en a aucun sur mon oblation. Donc voilĂ  ma conversion proprement dite Ă  quatorze ans J'aimais une jeune fille mais ça ne marchait pas, et j'ai cru bon de faire un chantage au Seigneur. Je lui ai dit "Seigneur, si tu ne me donne pas celle que j'aime, je me donne au Diable. je ne me vend pas Ă  lui, je me donne". Et j'avais fixĂ© l'heure et le jour 23 mai, minuit. ArrivĂ© au 23 mai, bien entendu, toujours rien du cotĂ© de mon amour. J'Ă©tais parti de l'autre cotĂ© de la forĂȘt dans une autre ville pour essayer de rencontrer celle que j'aimais, mais rien, absolument rien. ArrivĂ© vers onze heure du soir je me suis dĂ©cidĂ© Ă  rentrer chez moi, et pour ce faire, j'ai traversĂ© de nouveau la forĂȘt par un raccourci. Onze heure quarante cinq, un quart d'heure avant l'heure fixĂ©e pour mon pacte avec le diable. j'Ă©tais en pleine forĂȘt ; le vent commençait Ă  souffler annonçant un orage, et devant moi les arbres dans l'obscuritĂ© prenaient dĂ©jĂ  la figure d'un Moloch. Mais je n'avais pas peur, et dans un quart d'heure j'allais me donner Ă  lui. C'est alors qu'au loin j'ai distinguĂ© quelqu'un marchand en sens contraire de moi une bohĂ©mienne tenant un enfant dans les bras; Une bohĂ©mienne, ou quelqu'un habillĂ© Ă  l'ancienne. ArrivĂ© Ă  ma hauteur cette bohĂ©mienne m'a criĂ© "et si je te jetais mon enfant dans les bras" ? Et, joignant le geste Ă  la parole, elle jeta son nourrisson vers moi. Un ultime rĂ©flexe ? j'ai rattrapĂ© l'enfant de peur qu'il ne se casse la tĂȘte par-terre, et la bohĂ©mienne de me dire "Tu vois que tu es bon et que tu ne peux pas ĂȘtre mauvais". Puis elle a disparu. J'ai Ă©clatĂ© en sanglot, et c'est alors que l'orage lui aussi a Ă©clatĂ© brusquement des trombes d'eau, un vent impĂ©tueux, des Ă©claires et des roulements de tonnerre terribles. Mais j'avais l'enfant JĂ©sus dans les bras que je n'ai plus jamais lĂąchĂ©. J'avais JĂ©sus, mais aussi ma croix, car j'ai compris alors que je ne rencontrerai jamais l'amour sur terre, et que ma vie ne serait qu'un long chagrin d'amour. Hallucination ? les arbres formaient toujours la tĂȘte d'un Moloch qui rĂ©clamait sa proie. Je le sentais, furieux, il Ă©tait lĂ . Sans aucune peur je me suis tournĂ© vers lui et je lui ai criĂ© "Satan je te dĂ©clare la guerre".Petit dĂ©tail significatif C'est arrivĂ© juste au niveau de Notre Dame des Hirondelles, un arbre oĂč l'on a accrochĂ© une statue de Marie en pleine forĂȘt. AprĂšs je me suis demandĂ© si je ne m'Ă©tais pas fait tout un cinĂ©ma mĂ©galo romantique, mais comme par hasard, pile poil trente trois ans plus tard un 23 mai au soir, je me suis retrouvĂ© avec une douzaine de personnes Ă  prier autour de Notre Dame des hirondelles ; et c'est seulement pendant cette priĂšre que la coĂŻncidence m'a sautĂ© aux yeux. Le ciel avait voulu fĂȘter l'Ă©vĂ©nement de ma gloire, gloire Ă  toi. Toute ma tendresse pour toi Ă©dition par Philippe le Ven 22 DĂ©c - 942, Ă©ditĂ© 8 fois PhilippeconsacrĂ©Messages 1865Date d'inscription 03/08/2010Age 74Localisation Maisons LaffitteSujet Re TĂ©moignage. Aboutit au trois jours de tĂ©nĂšbres. Lun 30 Oct - 802 Comment j'ai dĂ©couvert le vais maintenant vous dire comment j'ai dĂ©couvert le rosaire. Mais je le redis, il faut savoir que malheureusement L'Eglise ne m'avait enseignĂ© ni la DĂ©votion Ă  Marie, ni l'Adoration du Saint Sacrement, ni l'AngĂ©lus, rien ou presque, et encore moins le rosaire que je ne connaissais que de nom. Qu'Ă  cela ne tienne et je me rĂ©pĂšte c'est jĂ©sus qui est venu me faire le catĂ© ; ce qui est tout de mĂȘme un peu troublant, parce que ça a l'air de dire que quand l'Eglise ne veut plus faire son boulot, alors c'est JĂ©sus qui vient le faire Ă  sa place ? Mais je ne conclus rien, simplement je raconte les faits. VoilĂ  j'avais vingt deux ans. Je ne connaissais le rosaire que de nom, sans savoir en quoi il consistait ni son importance, mais j'en avais quand mĂȘme l'instinct par intuition car je passais des heures Ă  rĂ©citer des Ave et des Pater. Une nuit au petit matin j'ai fait un rĂȘve terrible. Dans mon songe, j'ai vu trois dĂ©mons qui s'approchaient de moi, et avec un coup de griffe trĂšs violent m'ont sorti de mon corps. Mais, Ă©tait-ce seulement un songe ? Je me suis retrouvĂ© hors de mon corps flottant dans ma chambre comme un ballon. C'Ă©tait la grisaille du petit matin et je me suis vu en dessous de moi en train de continuer Ă  dormir. Puis Ă  coup de griffes rĂ©pĂ©tĂ©es rapides les trois dĂ©mons m'ont fait tourner comme une toupie Ă  une vitesse vertigineuse, et quand cela a cessĂ© je n'Ă©tait plus dans ma chambre mais dans un lieu aride. Et lĂ  j'ai compris que ces trois dĂ©mons allaient me "tailler un short", passez-moi l'expression. Et, O! merveille ! C'est alors que j'ai entendu la voie d'une religieuse qui rĂ©citait ce que je savais ĂȘtre LE ROSAIRE. Manifestement elle le rĂ©citait pour moi. Sa voie Ă©tait sanglotante et prĂ©cipitĂ©e comme dans un affolement, et il semblait bien qu'elle Ă©tait dans une chapelle. Mais alors, je me suis retrouvĂ© protĂ©gĂ© comme sous une cloche Ă  fromage. Les dĂ©mon avaient beau hurler, crier et vocifĂ©rer en se prĂ©cipitant sur cette barriĂšre invisible, ils ne pouvaient plus s'approcher de moi. Et la priĂšre de cette religieuse continua jusqu'Ă  mon rĂ©veille. Quelques petits dĂ©tails Je fus rĂ©veillĂ© le matin par le chien de mon pĂšre qui hurlait Ă  mort, dans son jardin on retrouva trois arbres qui s'Ă©taient dessĂ©chĂ©s durant la nuit, et une tante qui Ă©tait de transite chez mon pĂšre, le soir mĂȘme avait pliĂ© bagage morte de trouille, mais elle ne voulu jamais dire pourquoi. Inutile de vous dire que le matin mĂȘme, je me suis prĂ©cipitĂ© chez un vieux prĂȘtre qui m'a donnĂ© la recette du rosaire. Le rosaire, il faut le rĂ©citer sans cesse et avoir son chapelet toujours dans sa poche. par exemple on peut le rĂ©citer dans le train ou le Metro sans fausse pudeur, et vous serrez Ă©tonnĂ© de voir Ă  quel point les autres passagers respectent. Si vous voulez protĂ©ger quelqu'un ou demander la grĂące d'une conversion, priez le gloire, gloire Ă  toi. Toute ma tendresse pour toi Ă©dition par Philippe le Sam 16 DĂ©c - 2219, Ă©ditĂ© 4 fois PhilippeconsacrĂ©Messages 1865Date d'inscription 03/08/2010Age 74Localisation Maisons LaffitteSujet Re TĂ©moignage. Aboutit au trois jours de tĂ©nĂšbres. Mer 1 Nov - 1436 Comment j'ai dĂ©couvert l'humilitĂ©. Ma leçon de catĂ© sur l'humilitĂ©, je l'ai reçu par un songe. En fait dans mes songes et visions je distingue dans un premier temps les visions de lumiĂšre, mais viennent ensuite mes visions de la nuit, qui elles sont obscures, tant du moins que je n'aurai pas franchi un certain seuil, et celles-ci je ne vous les donne pas. Par exemple la vision du diable au sommet d'une Ă©glise qui m'a vocifĂ©rĂ© 'j'attends la puissance suprĂȘme de monseigneur Lucifer" comment expliciter cela ?Donc voila mon songe J'Ă©tais Ă  un festin, oĂč il y avait JĂ©sus trĂšs occupĂ© Ă  parler avec deux apĂŽtres Ă  sa droite et Ă  sa gauche. Et je me suis fait ce calcul "bon! si je monte vers lui, il va me demander de redescendre, mais si je descends, il va me demander de monter ? donc je choisis la derniĂšre place, et automatiquement JĂ©sus va me demander de monter plus haut" Ce que je fis prenant la derniĂšre place, et regardant JĂ©sus pour voir le rĂ©sultat. ImmĂ©diatement JĂ©sus s'arrĂȘta de parler et me regarda fixement. BRRRRR !....Puis avec un grand sourire, il s'approcha de moi, fit un geste large du bras, et une force me prĂ©cipita par-terre, avec une gamelle Ă  chien s'il vous plaĂźt. C'Ă©tait trop drĂŽle et je me suis rĂ©veillĂ© parce que j'Ă©clatais de rire. De JĂ©sus ce n'Ă©tait pas du mĂ©pris mais une tranche de rigolade. J'avais voulu jouer au petit soldat et donc il me doucement ceci m'a un peu fait comprendre ce qu'est l'humilitĂ©. La vĂ©ritable gloire n'est pas un jour d'ĂȘtre en haut, mais d'ĂȘtre en bas et d'y rester. La vĂ©ritable Ă©lĂ©vation est dans la toute petitesse, et si pour condition du salut de tous la sainte trinitĂ© devait prendre la derniĂšre place elle n'hĂ©siterait pas une le ciel ? franchement n'est-ce pas mĂ©galomaniaque de dĂ©sirer l'immortalitĂ© dans un bonheur indescriptible ? Oui mais comment faire pour ne pas dĂ©sirer cela puisqu'on est fabriquĂ© comme ça ? Alors moi je dĂ©sire ĂȘtre le plus petit caillou du ciel. Et que tous soit plus grands que moi, qu'importe, et c'est dĂ©jĂ  trop beau. Mais que tous ceux que j'aime soit sauvĂ©s, voilĂ  le bonheur que j'attend. Merci gloire, gloire Ă  toi. Toute ma tendresse pour toi Ă©dition par Philippe le Lun 6 Nov - 1054, Ă©ditĂ© 2 fois PhilippeconsacrĂ©Messages 1865Date d'inscription 03/08/2010Age 74Localisation Maisons LaffitteSujet Re TĂ©moignage. Aboutit au trois jours de tĂ©nĂšbres. Ven 3 Nov - 732 Comment j'ai dĂ©couvert l' trop drĂŽle et en mĂȘme temps sidĂ©rant, Ă©poustouflant. Il faut vous dire que je ne connaissais l'AngĂ©lus que par le tableau de Millet et rien d'autre. L'angĂ©lus ? Oui ! une priĂšre que l'on fait dans la journĂ©e, mais laquelle et Ă  quelle heure ? Alors voilĂ . Ça devait ĂȘtre en janvier ou fĂ©vrier. J'avais vingt deux ans, et j'Ă©tais dans le train en permission de service militaire. A l'Ă©poque les trains avaient un long couloir et des compartiments et j'Ă©tais Ă  la fenĂȘtre d'un couloir, en train de contempler les champs de labour nus et dĂ©solĂ©s d'hiver. j'Ă©tais moi-mĂȘme dĂ©solĂ© comme ces champs car je n'aimais pas trop le service militaire, et je me disais en moi-mĂȘme "combien de temps combien de jours faudra t'il encore, avant que les semailles nouvelles germent et sortent du sol" ?Il faut vous dire que je devais ĂȘtre libĂ©rĂ© l'Ă©tĂ© prochain, et voir les champs de labour commencer Ă  verdoyer serait pour moi l'annonce de ma libĂ©ration prochaine. Brusquement dans un champs dĂ©nudĂ©, j'ai vu deux jeunes dĂ©guisĂ©s Ă  l'ancienne et qui nous faisaient une bonne blague en reproduisant au dĂ©tail prĂšs le tableau de l'AngĂ©lus de Millet, sauf que le panier ne contenait pas des patates mais un bĂ©bĂ©. Il y avait juste Ă  cotĂ© de moi un voyageur dont la tĂȘte faisait penser Ă  un moine cistercien. Et je lui ai demandĂ© tout de go en Ă©clatant de rire - Quelle heure est-il ? - Midi tapant, me rĂ©pondit-il, surpris. - Vous avez vu dans le champs les Ă©tudiants dĂ©guisĂ©s Ă  l'ancienne, et qui nous font une farce en rĂ©citant l'AngĂ©lus ?- Il n'y a personne dans le champs ?- Mais vous avez entendu les cloches de l'Ă©glise au loin qui sonnaient l'AngĂ©lus ? - vu la distance de l'Ă©glise et avec le bruit du train, de toute façon on ne pourrait pas entendre les cloches. Bon! lĂ  j'ai compris que j'avais eu une vision et je me suis mis Ă  prier. Et quand j'ai rouvert les yeux, j'ai vu cet homme Ă  la tĂȘte de Cistercien qui me regardait complĂštement bouleversĂ©. Moi-mĂȘme j'ai Ă©tĂ© paniquĂ© par son regard et je suis parti me rĂ©fugier Ă  l'autre bout du train. Il me regardait comme un saint, et moi je pense plutĂŽt que le christ se penchait sur un pauvre jeune homme douloureux et paumĂ© luttant contre le dĂ©sespoir. Et pourquoi pas ? C'est trĂšs impressionnant de se dire que dans nos champs, labours, bois et guĂ©rets, des gĂ©nĂ©rations et des gĂ©nĂ©rations de nos ancĂȘtres ont priĂ©. Que mĂȘme si en ce moment la France est devenu folle, la terre a gardĂ© une marque indĂ©lĂ©bile de leurs priĂšres qui ne s'effacera jamais. Nos ancĂȘtres ils sont lĂ  et ne partiront de ce jour et autant que j'ai pu c'est Ă  dire pas vraiment comme il faudrait, j'ai essayĂ© d'ĂȘtre fidĂšle Ă  l'angĂ©lus. Et maintenant, je raccorde mĂȘme l'AngĂ©lus Ă  la demande du don de la Divine gloire, gloire Ă  toi. Toute ma tendresse pour toi Ă©dition par Philippe le Lun 6 Nov - 1054, Ă©ditĂ© 2 fois PhilippeconsacrĂ©Messages 1865Date d'inscription 03/08/2010Age 74Localisation Maisons LaffitteSujet Re TĂ©moignage. Aboutit au trois jours de tĂ©nĂšbres. Lun 6 Nov - 1032 Comment j'ai dĂ©couvert que JĂ©sus est trĂšs proche de chacun de que je vais vous raconter maintenant va vous laisser perplexe ; mais je le comprends trĂšs bien, et moi-mĂȘme je suis encore Ă  me poser un point d'interrogation des dizaines d'annĂ©es plus tard qui Ă©tait-il, Ă  qui ai-je parlĂ© ? J'avais vingt-trois ans, complĂštement paumĂ© malgrĂ© ma conversion. Pendant mon service militaire, la fille que j'aimais comme la Sainte Vierge, et qui m'aimait s'Ă©tait laissĂ©e entourlouper par un Ă©tudiant qui ne cherchait que du sexe pour passer ses Ă©tudes tranquilles, et la laisser choir ensuite, ses Ă©tudes terminĂ©es. En six mois Ă  peine il avait rĂ©ussi Ă  lui prendre sa virginitĂ© et la faire avorter. Et moi, assommĂ© par tout ça, j'avais laissĂ© tomber mon travail pour me promener au grĂš de l'auto-stop. Bref je faisais la route selon l'expression. Comme ça, je me suis retrouvĂ© un soir Ă  Aix-en-Provence. Qui plus est j'Ă©tais tombĂ© sur la voiture d'une jeune femme nymphomane. Bon ! Il ne s'Ă©tait passĂ© rien de grave avec cette nymphomane, mais intĂ©rieurement j'Ă©tais bien esquintĂ©, et en sortant de sa voiture je me suis dit "vite, il faut que je fasse un acte de charitĂ© pour me purifier". Et croyez-moi, quand on a ce genre de dĂ©sir, JĂ©sus n'est pas je suis sorti de la voiture de ma nymphomane, et Ă  peine sorti, un jeune homme de mon Ăąge m'est tombĂ© dessus me rĂ©clamant 1 franc pour s'acheter du pain car il n'avait rien Ă  manger. Et moi de lui rĂ©pondre - "je vais faire mieux je t'invite au resto. Viens, on va se taper un chinois". Du coup on s'est retrouvĂ© Ă  parler ensemble comme si on ne s'Ă©tait jamais quittĂ© ; comme si notre conversation avait toujours durĂ©. Et c'est lĂ  que tout se bouleverse, tout se renverse, JĂ©sus met tout Ă  l' passĂ© ma soirĂ©e Ă  l'Ă©couter et le conseiller. Je ne me suis pas rendu compte sur-le-coup, mais en fait sa douleur Ă©tait ma douleur, sa faiblesse Ă©tait ma faiblesse, et les conseils que je lui donnais Ă©taient les conseils dont j'avais besoin. Simplement il a simplifiĂ© en une seule phrase ce qui dans ma tĂȘte Ă©tait tordu et compliquĂ©, plein de doutes, d'interrogations et de culpabilitĂ©, avec en plus un refoulement et un refus de voir la rĂ©alitĂ©, m’efforçant de croire Ă  une chaste amitiĂ© entre eux. Pire, une fois ses Ă©tudes terminĂ©es il a essayĂ© de me la refiler afin d'Ă©pouser une fille digne de son rang Ă  lui. Quand quelqu'un perd sa puretĂ©, ce sont les fondements mĂȘmes de l'Univers qui sont fracassĂ©s en un chaos indescriptible, et il faudrait que les entrailles de la terre se brisent de tĂ©nĂšbres pour hurler ma douleur. Mais que dis-je ? N'a-t-il pas lui aussi besoin de mon pardon ? N'est-il pas lui aussi blessĂ© et sans doute plus qu'elle ? Pour revenir Ă  ce jeune homme et comme je l'ai dĂ©jĂ  dit, il a tout simplifiĂ© en une phrase qui dit tout. Pendant le repas il m'a dit - "La fille que j'aime et qui m'aime est subjuguĂ© par un bandit". Mais par dĂ©licatesse tant pour elle que pour moi il a recouvert leur pĂ©chĂ© d'un voile de tout Ă©tait dit dans une parfaite simplicitĂ© et vĂ©ritĂ©. Je lui ai conseillĂ© de surtout ne pas la laisser tomber...Et c'est en fait ce que je devais faire. Mais son comportement est devenu de plus en plus Ă©trange. Ensuite je lui ai conseillĂ© de prier Marie....Ce que je devais moi-mĂȘme faire, et quand je lui ai donnĂ© un chapelet, il l'a regardĂ© avec bonheur. Et le mouchoir de San Damiano ? A un moment j'ai sorti un mouchoir quelconque pour me moucher, mais quand j'ai sorti sans rien dire un mouchoir blanc de San Damiano, immĂ©diatement ses yeux se sont Ă©merveillĂ©s. Comment savait-il ? Comment savait-il ??? Et il renversait tout A un moment en pleurant il m'avait sorti - Si ça continue je ne vais plus avoir confiance en....Je l'ai coupĂ© pour dire - En Dieu, tu ne vas plus avoir confiance en Dieu ?- Mais non ! voyons, je ne vais plus avoir confiance en les hommes, je vais perdre ma confiance dans les il a haussĂ© les Ă©paules comme si j'avais sorti la pire des inepties. Sinon le repas s'est passĂ© le plus naturellement du monde, et au dessert il a mĂȘme fumĂ© une cigarette avec moi. Dernier round au moment de se quitter je lui ai dit - File-moi ton adresse on va rester en contact. Et lui de me rĂ©pondre me regardant dans le fond des yeux - C'est inutile, si je dois te contacter JE sais comment annĂ©es et des annĂ©es plus tard, je suis encore Ă  me demander qui Ă©tait-il ? je ne conclus pas, mais je me rappelle des paroles de Saint Paul "certains sans le savoir ont accueilli un ange". Un ange ? Plus ?...Qui Ă©tait-il ? Et je n'ose rĂ©pondre. Mais de cette histoire j'en tire plein de conclusions - Dieu n'est pas Jupiter ou le papa-gĂąteau-tiroir-caisse. Il vient porter notre douleur non pour l'Ă©viter mais pour en crever. Et seulement ensuite vient la rĂ©surrection. Mais c'est notre douleur et notre faiblesse qu'il porte vraiment. Il renverse les rĂŽles. Lui souffre de notre douleur et notre faiblesse, et c'est Ă  nous de l'aider et mĂȘme de le D'une maniĂšre ou d'une autre, JĂ©sus est venu prendre ma vie Ă  bras-le-corps. Il ne m'a pas invitĂ© Ă  m'Ă©vader de ma croix en devenant moine ou curĂ©, ou je ne sais quelle hauteur mystique. Non ! Il est venu voir ma vie telle qu'elle Ă©tait. Il ne vient pas seulement voir des grands saints ou des grands mystiques, mais aussi des hommes tels qu'ils sont avec leurs vĂ©ritables problĂšmes. Et mĂȘme, il veut qu'on se dĂ©charge de nos douleurs sur lui. Paradoxe plus on lui donne nos croix et moins la sienne sera lourde " Donne tous tes soucis au Seigneur, et lui prendra bien soin de toi. AprĂšs avoir un peu souffert il t'affermira puis te rendra inĂ©branlable".- JĂ©sus est trĂšs trĂšs proche de nous. On peut tout lui confier avec Quand on est dans la panade et que Dieu semble ne pas nous rĂ©pondre, la solution charitĂ©, renverser la situation. Voir JĂ©sus souffrant de notre problĂšme, l'aider et le conseiller. Car OUI ! son humilitĂ© va jusqu'Ă  lĂ . Quel conseil je donnerais Ă  un frĂšre dans une situation pareille ? Et alors trĂšs rapidement la lumiĂšre du Saint Esprit va fuser en gloire, gloire Ă  toi. Toute ma tendresse pour toi Ă©dition par Philippe le Mer 8 Nov - 746, Ă©ditĂ© 1 fois PhilippeconsacrĂ©Messages 1865Date d'inscription 03/08/2010Age 74Localisation Maisons LaffitteSujet Re TĂ©moignage. Aboutit au trois jours de tĂ©nĂšbres. Mer 8 Nov - 733 Comment j'ai reçu la devais avoir dans les quarante ans et l'officialitĂ© de l'Eglise venait de prononcer une dĂ©claration de nullitĂ© de mon mariage. Cela peut choquer certains, mais pour mon salut comme pour celui de mon ex Ă©pouse, croyez-moi c'Ă©tait mieux ainsi. Bref ! j'Ă©tais donc libre, et je me rĂ©jouissais Ă  l'idĂ©e de pouvoir me remarier....plus hypocritement Ă  l'idĂ©e de connaĂźtre cette communion physique entre l'homme et la femme, dont l'homme est si prĂ©gnant. Et brusquement j'ai vu ce moine ; celui-lĂ  mĂȘme qui Ă  l'Ăąge de quatorze ans m'a apportĂ© un livre du ciel expliquant tout le psychisme humain de A Ă  Z, mais j'en parlerai peut-ĂȘtre un jour. Il y avait devant moi ce moine avec l'habit des Carmes, mais ni ascĂ©tique ni mysticoĂŻde, jovial, bien dans sa peau bien dans ses pompes. Et il m'a juste dit "je te mets dans la chastetĂ©".Ni une ni deux je lui ai balancĂ© une chaussure en pleine poire. Ce moine s'est alors retournĂ©, a fait quelques pas pour s'Ă©loigner et a disparu, mais en partant dans un grand Ă©clat de rire ; et j'ai entendu son Ă©clat de rire longtemps aprĂšs sa disparition. Ce n'Ă©tait pas un ricanement mĂ©chant mais plutĂŽt un rire jovial et bon, plein de bon humeur, du style "tu vas voir mon bonhomme". ImmĂ©diatement je me suis dit "bon, ça c'est le diable, c'est le diable". je me suis efforcĂ© de me retrouver troublĂ© et angoissĂ© car cela aurait Ă©tĂ© la preuve que ça venait du diable....Ça y est ça vient je suis angoissĂ©.....Mais non ! rien Ă  faire ! je n'Ă©tait ni angoissĂ© ni troublĂ©. N'allez surtout pas vous imaginer que je suis un grand saint ou un grand mystique. Je suis plutĂŽt le stĂ©rĂ©otype du pauvre diable qui fait ce qu'il peut ; et c'est peut-ĂȘtre justement pour ça que j'ai des visions. Ne pas oublier que JĂ©sus a dit qu'il n'est pas venu pour les biens portants mais pour les malades, qu'il est prĂȘt Ă  abandonner les quatre vingts dix neuf justes pour aller chercher la brebis perdue, et j'Ă©tais cette brebis perdue. Il y a un bas-relief Ă  Saint Germain-en-Laye qui m'a beaucoup touchĂ©, pas d’Évangile mais tellement d’Évangile On y voit JĂ©sus les manches retroussĂ©es qui va chercher une pauvre brebis complĂštement prise dans les ronces, et qui dĂ©sespĂ©rĂ©e ne peut plus sortir par gloire, gloire Ă  toi. Toute ma tendresse pour toi Ă©dition par Philippe le Ven 10 Nov - 754, Ă©ditĂ© 1 fois PhilippeconsacrĂ©Messages 1865Date d'inscription 03/08/2010Age 74Localisation Maisons LaffitteSujet Re TĂ©moignage. Aboutit au trois jours de tĂ©nĂšbres. Ven 10 Nov - 751 Quelques souvenirs d'enfances Mon premier acte de souvenir n'a rien d'extraordinaire, et pourtant pour moi c'est le plus extraordinaire de tous mon premier acte de foi. je devais avoir quatre ans, cinq maximum. J'Ă©tais en vacances en Franche ComtĂ©, nous Ă©tions partis faire une promenade parmi les champs de blĂ©s et pĂąturages ma sƓur et un grand garçon de neuf ans qui Ă©tait enfant de cƓur. Pour moi son statut d'enfant de cƓur en faisait l'Ă©gale d'un ange, un maĂźtre, plus que mes parents, plus que le curĂ© du village lui-mĂȘme. Et sur ce chemin de terre inondĂ© du soleil d'Ă©tĂ©, il rĂ©pondait Ă  mes questions, que Dieu a tout créé absolument tout le soleil, les arbres fruitiers, les vaches, tout. Et qu'il est tout puissant. Et comme exemple il nous a dit - Si JĂ©sus voulait, il pourrait descendre jusqu'Ă  nous en marchant sur un rayon de lumiĂšre. et moi de lui rĂ©pliquer- Oui mais il serait obligĂ© de mettre des chaussures Ă  clous, parce que un rayon de lumiĂšre, c'est drĂŽlement glissant dis donc ? - Non non ! pas du tout. Il serait pieds nus et il ne glisserait Mais il serait quand mĂȘme obligĂ© de mettre des chaussures pour ne pas se brĂ»ler les pieds, parce que un rayon de lumiĂšre, ça brĂ»le aussi ? - Pas du tout, pas du tout. Il serait pieds nus et ça ne lui brĂ»lerait pas les pieds. Et bien ça n'a pas Ă©tĂ© facile Ă  gober ce truc-lĂ . Mon premier acte de foi JĂ©sus n'a pas besoin de chaussures Ă  clous pour marcher dans la lumiĂšre. Et ne riez pas, parce que, qu'importe l'Ăąge, la raison ou la maturitĂ© d'intelligence ; qu'importe le mode d'expression que l'Esprit Saint prend pour nous parler, c'est sans doute l'acte de foi le plus grand que j'ai eu Ă  faire de toute ma vie. Acte de foi qui vaut peut-ĂȘtre celui de certains cardinaux. Et vive les enfants de cƓur qui Ă©vangĂ©lisent les tout petits quand ils sont les seuls Ă  pouvoir le faire, avec un langage qui leur convient. Merci gloire, gloire Ă  toi. Toute ma tendresse pour toi Ă©dition par Philippe le Sam 11 Nov - 840, Ă©ditĂ© 1 fois PhilippeconsacrĂ©Messages 1865Date d'inscription 03/08/2010Age 74Localisation Maisons LaffitteSujet Re TĂ©moignage. Aboutit au trois jours de tĂ©nĂšbres. Sam 11 Nov - 833 Quelques souvenirs d'enfances Ma prmiĂšre Ă©vangĂ©lisation Ă  quatre quatre ans et je jouais dans notre chambre commune avec mon frĂšre et ma sƓur du mĂȘme Ăąge que moi ou presque. Je ne sais plus pourquoi, mais on en est venu Ă  parler de Dieu, et je leur ai dit Quand on appelle Dieu y vient, y suffit de l’appeler. Si ! si ! vous allez me mettant Ă  la fenĂȘtre le regard tournĂ© vers le ciel, de toutes forces j'ai criĂ© -Dieu ! Dieu ! Dieu ! Et bien mĂȘme si JĂ©sus nous dit de ne jamais jurer, je vous jure que je vous jure que le visage de JĂ©sus s’est formĂ© dans les nuages d’une façon trĂšs prĂ©cise, et il nous souriait. Si ! si ! je vous jure que c’est vrai ; croix de bois croix de fer si je mens je vais en
 Non de toute façon je ne vais pas en enfer, mais je dis vrai. - Ha ! oui, m’ont dit mon frĂšre et ma sƓur, quand on appelle Dieu y les enfants sont des rouĂ©s et je savais trĂšs bien que les nuages se dissipent. Il fallait donc que je trouve une sortie pour finir en beautĂ©. Aussi j’ai continuĂ© - Mais quand on fait un pĂ©chĂ©, Dieu y s’en va. Vous allez voir, je vais dire un gros mot parce que c’est un pĂ©chĂ© de dire des gros mots, et Dieu va s'en aller. De nouveau je me suis tournĂ© vers le visage du Christ, et je lui ai lancĂ© un formidable le visage du Christ s’est dissipĂ© fait tout Ă©tait dit Quand on appelle Dieu il vient, et quand on pĂšche, il s’en va. C’est aussi simple que gloire, gloire Ă  toi. Toute ma tendresse pour toi Ă©dition par Philippe le Dim 12 Nov - 801, Ă©ditĂ© 1 fois PhilippeconsacrĂ©Messages 1865Date d'inscription 03/08/2010Age 74Localisation Maisons LaffitteSujet Re TĂ©moignage. Aboutit au trois jours de tĂ©nĂšbres. Dim 12 Nov - 754 Comment j'ai reçu mon plan de dans un songe. Je devais ĂȘtre Ă  l'Ă©poque du Christ dans une maison presque en sous-sol, et il y avait lĂ  l'Esprit Saint sous la forme d'un jeune homme plein de vie qui Ă©tait la jeunesse-mĂȘme, la joie, la gaietĂ© ; j'allais dire l'exubĂ©rance. Et il m'expliqua la recette du liĂšvre ; ce qui peut paraĂźtre farfelu mais vous allez voir que pas du tout. En concluant sa recette avec un geste des mains il ajouta Et avec un tout petit peu d'herbes amĂšres. J'aime bien le "un tout petit peu". Ça, c'est une question de enfin juste avant de repartir vers un escalier de trois marches, il me confia un secret trĂšs grave. Il me confia Celui qui aime demeure Ă©ternellement dans son repartant il croisa trois vieillards qui venaient vers moi, et il se riait d'eux car malgrĂ© ses grandes salutations ils Ă©taient incapable de le reconnaĂźtre, lui, L'ESPRIT de ce songe est assez le liĂšvre ? ... Je vais avoir besoin d'un liĂšvre pour me faire courir sur le chemin du Seigneur. Mon chemin peut scandaliser, choquer le monde qui ne comprend rien, mais frĂšre EphraĂŻm dans "lecture amoureuse de la bible" parle du chemin du roi David oĂč chaque passage dans une des sept demeures de l'Ăąme a Ă©tĂ© ponctuĂ© par un amour. Pour moi c'est pareil, sauf que j'ai vĂ©cu ces amours j'en suis Ă  six dans la chastetĂ©. Pauvre homme que je suis. C'est mon chemin, c'est ma route voulu par le Seigneur. J'aimerais vous prĂ©senter une image d’Épinal plus conforme Ă  l'image qu'on se fait de la saintetĂ© mais ça ne serait pas sincĂšre. Et puis sƓur Lucie a dit que le dernier combat entre Satan et JĂ©sus serait sur le mariage et la famille ? C'est ce que je vis, mais sur la Un tout petit peu d'herbes amĂšres ? la rĂ©ponse est Ă©vidente c'est mon chemin de Les trois vieillards ? La chair, le monde et Satan qui viennent vers moi pour me tanter- Les trois marches de l'escalier ? La foi, l'espĂ©rance et la charitĂ©, que je dois moi-mĂȘme gravir, pour aller vers la lumiĂšre et la rencontre du gloire, gloire Ă  toi. Toute ma tendresse pour toi Ă©dition par Philippe le Lun 13 Nov - 837, Ă©ditĂ© 1 fois FrançoiseconsacrĂ©Messages 7626Date d'inscription 12/06/2016Sujet Re TĂ©moignage. Aboutit au trois jours de tĂ©nĂšbres. Dim 12 Nov - 1313 Oh, merci cher Philippe pour tes tĂ©moignages plein de vie et de sincĂ©ritĂ©. Tu es Toi et je t'aime tel que tu es. Oui, Philippe est ainsi. J'avais remarquĂ© sa spontanĂ©itĂ© sur le forum "Le Peuple de la Paix"... et je suis heureuse de travailler avec lui sur ce tout petit forum "MonastĂšre intĂ©rieur"... il m'apporte beaucoup. Pardon si, sur le dit forum "Peuple de la paix", je t'envoyais des messages privĂ©s en te disputant un peu pour ton laxisme et ton recul face aux Ă©vĂšnements. La premiĂšre lecture de ce jour sur la Sagesse m'a appris Ă  te comprendre. Que Dieu te bĂ©nisse, toi et ta family, Philippe, petit frĂšre en Christ que Notre Dieu Tout Puissant a mis sur ma route. Longue vie Ă  ce union de priĂšre,Françoise. PhilippeconsacrĂ©Messages 1865Date d'inscription 03/08/2010Age 74Localisation Maisons LaffitteSujet Re TĂ©moignage. Aboutit au trois jours de tĂ©nĂšbres. Dim 12 Nov - 1725 Merci Françoise ==================================================================================== PhilippeconsacrĂ©Messages 1865Date d'inscription 03/08/2010Age 74Localisation Maisons LaffitteSujet Re TĂ©moignage. Aboutit au trois jours de tĂ©nĂšbres. Lun 13 Nov - 834 L'annonce de la grande nuit d' San Damiano Marie nous a dit "Attendez-vous Ă  tout perdre". A un moment de notre purification on va tout perdre pour tout retrouver en JĂ©sus. Il nous sera demandĂ© de tout sacrifier jusqu'Ă  nos amours les plus chers, jusqu'Ă  nos biens les plus sacrĂ©s et mĂȘme jusqu'Ă  notre joie sentie, d'avancer vers le soleil, sans plus jamais nous retourner. le PĂšre des Cieux ne veut que notre bonheur, mais il doit d'abord nous laver dans le sang de l'Agneau et il en est le premier chagrinĂ©. Il semble ne plus vouloir nous exaucer dans nos demandes lors-mĂȘme qu'il est en train de nous exaucer dans notre premiĂšre le dĂ©sert nous est donnĂ©, fondamentalement donnĂ© comme la plus grande des grĂące. DonnĂ© et non imposĂ© car JĂ©sus veut qu'on dise OUI. On peut parler d'une passivitĂ©, mais une passivitĂ© active qui rĂ©clame toujours notre participation de cƓur et de volontĂ©. Moi j'appelle ça la grande nuit d'Orient, la nuit du cƓur plus que celle de l'esprit. Et croyez-moi, par les temps qui court ça va ĂȘtre dĂ©mocratisĂ©. Cette annonce m'a Ă©tĂ© faite dans un face Ă  un dĂ©sert que je devais gagner. Mais le seuil de ce dĂ©sert Ă©tait gardĂ© de chaque cotĂ© par deux statuts de dragons antiques vieille comme le monde toutes fissurĂ©es par le temps. les gardiens du seuil. Si je franchissais le seuil, les deux dragons reprendraient vie et me tomberaient dessus Ă  bras raccourcis, et dĂ©jĂ  rien qu'Ă  m'approcher, leurs yeux reprenaient vie d'une terrible mĂ©chancetĂ© et me suivaient du faire, et hors de question de passer par le seuil ?Et bien le dĂ©sert Ă©tait entourĂ© de gros rochers. Aussi je dĂ©cidais de passer discrĂštement par "la voie encombrĂ©e", par les gros rochers ; Ă  l'abris du regard des deux dragons, mais surtout par la voie cachĂ©e, cachĂ©e au yeux du monde, des anges et si possible de que je fis et ça a marchĂ© ; je me suis retrouvĂ© au milieu du dĂ©sert. Mais lĂ  j'entendit un Ă©norme beuglement. Les deux dragons venaient de se rendre compte de ma filouterie, avaient repris vie, et me poursuivaient. Vite il fallait que je gagne le cƓur du dĂ©sert oĂč il y avait un escalier secret de trois marche invisible aux dĂ©mons. Je courais de toutes mes forces, et Ă  peine j'avais posĂ© le pied sur la premiĂšre marche de l'escalier secret, que les deux dragons tombĂšrent en poussiĂšre. - Bien entendu dans la pratique ça ne se passe pas aussi rapidement car nous sommes encore trĂšs imparfait, et le Seigneur doit recommencer l'opĂ©ration Ă  maintes reprises encore et encore. - L'escalier secret et invisible de trois marches, c'est bien sĂ»r la foi, l'espĂ©rance et la charitĂ©. Non ! nous ne sommes pas sauvĂ© uniquement par la foi, mais par la foi-espĂ©rance-charitĂ©, et c'est une illusion redoutable de croire qu'on peut ĂȘtre sauvĂ© par la foi si on ne veut pas renoncer entiĂšrement Ă  son pĂ©chĂ©. Et cet escalier secret est invisible aux dĂ©mons car il ne comprend rien Ă  la foi-espĂ©rance-charitĂ©. DĂšs lors qu'on possĂšde ces trois vertus, il n'a plus aucune prise sur Les deux dragons ? j'ai longtemps rĂ©flĂ©chi, et je pense que c'est l'Ă©pouvante et la dĂ©solation. Épouvante ? je prĂ©fĂšre ne pas trop en dire car ce n'est pas Ă  piquer des hannetons, mais la Sainte Vierge n'est jamais trĂšs loin finalement, heureusement. Et la dĂ©solation ? j'en Ă©tais venu Ă  ne mĂȘme plus pouvoir aimer JĂ©sus car j'avais l'impression qu'on me demandait de devenir homosexuel, c'est peu dire....- Mais une chose ne nous manque jamais l'espĂ©rance, et je cois que c'est la premiĂšre marche de l'escalier secret ESPÉRANCE. Finalement la vie spirituelle est un moteur Ă  deux temps EspĂ©rance confiance, espĂ©rance confiance, espĂ©rance gloire, gloire Ă  toi. Toute ma tendresse pour toi Ă©dition par Philippe le Mar 14 Nov - 1051, Ă©ditĂ© 1 fois PhilippeconsacrĂ©Messages 1865Date d'inscription 03/08/2010Age 74Localisation Maisons LaffitteSujet Re TĂ©moignage. Aboutit au trois jours de tĂ©nĂšbres. Mar 14 Nov - 1049 Une heure triste et ne voudrais pas passer pour un petit saint au chemin parfait du style ; "voyez comme je suis bien" et je trouve que ce ne serait pas sincĂšre. Non, parfois le dĂ©sespoir m'a rattrapĂ© et j'ai pendant quelque temps jetĂ© l'Ă©ponge. Mais JĂ©sus, lui, n'a pas jetĂ© l'Ă©ponge, et il a su m'attendre. Ainsi vers vingt cinq et aussi cinquante ans je n'ai pas Ă©tĂ© au top cotĂ© chastetĂ© ; ce qui d'ailleurs a Ă©tĂ© toujours trĂšs lourd de consĂ©quence. Vers vingt cinq ans j'ai eu un songe. J'ai vu le Christ en croix qui m'a simplement dit "range-toi Ă  ma gauche". Heure triste et sombre. Mais mon premier pĂ©chĂ© Ă©tait le dĂ©sespoir, le manque d'espĂ©rance. Croire que ma vie spirituelle n'avait aucun sens et que JĂ©sus ne s'intĂ©ressait pas Ă  Seigneur de m'avoir attendu, et pardonnĂ©. Merci gloire, gloire Ă  toi. Toute ma tendresse pour toi Ă©dition par Philippe le Mer 15 Nov - 748, Ă©ditĂ© 1 fois PhilippeconsacrĂ©Messages 1865Date d'inscription 03/08/2010Age 74Localisation Maisons LaffitteSujet Re TĂ©moignage. Aboutit au trois jours de tĂ©nĂšbres. Mer 15 Nov - 746 Comment j'ai reçu l'espĂ©rance. C'est dans un songe oĂč j'ai vu Gandhi. Cela peut Ă©tonner mais Marthe Robin disait de lui que c'Ă©tait un autre Christ, et bien sĂ»r c'Ă©tait de sa part un euphĂ©misme. Mais surtout JĂ©sus disait Ă  je ne sait plus quelle messagĂšre "Les paĂŻens vous montreront l'exemple".A croire qu'il n'y a plus en ce moment d'EspĂ©rance dans l' l'Ă©poque j'avais dans la trentaine et j'Ă©tais quasiment dans dĂ©sespoir car je ne trouvais pas de travail. Dans mon songe, j'allais frapper Ă  la porte d'une clinique pour leur demander s'ils avaient un emplois, et tout de suite on me disait "Gandhi est hospitalisĂ© Ă  la suite d'un jeĂ»ne prolongĂ© et il t'attend, il veut te parler. chambre 222".Donc dans mon songe je me rendis dans cette chambre. Il y avait lĂ  Gandhi dans un lit qui me dit "Ne dĂ©sespĂšre jamais, jamais. Regarde, moi, je ne suis jamais tomber dans le dĂ©sespoir".Puis il m'a transpercĂ© du regard avec insistance, comme pour me faire comprendre que ce n'Ă©tait pas un rĂȘve venant de l' gloire, gloire Ă  toi. Toute ma tendresse pour toi Ă©dition par Philippe le Jeu 16 Nov - 1803, Ă©ditĂ© 3 fois PhilippeconsacrĂ©Messages 1865Date d'inscription 03/08/2010Age 74Localisation Maisons LaffitteSujet Re TĂ©moignage. Aboutit au trois jours de tĂ©nĂšbres. Jeu 16 Nov - 1758 Comment j'ai reçu l' dix sept ans et j'avais donnĂ© rencard Ă  une nana devant la porte de l'Ă©glise. Vous ĂȘtes choquĂ©s ? Oui ! mais je vous ai prĂ©venu que j'Ă©tais une fripouille ? Et comme la nana tardait Ă  venir, j'ai voulu voir si elle ne m'attendait pas Ă  l'intĂ©rieur ; un coup sans priĂšre, juste pour voir. Rien, pas de nana. Mais au moment prĂ©cis oĂč je refermais la porte, pendant une fraction de seconde, j'ai vu le Christ descendant les marche de l’autel venant vers moi, qui me regardait, les bras penchĂ©s vers moi. Bigre de bigre ! Alors j'ai rouvert la porte de l'Ă©glise. Plus personne. j'ai forcĂ© mon imagination Ă  voir le Christ parce que ça ne pouvait ĂȘtre qu'elle, mais rien Ă  faire, Rien, rien et rien de doucement j'ai compris que c'Ă©tait le Seigneur qui m'invitait Ă  l'Adoration, au lieu de perdre mon temps avec une petite nana de trois sous, qui de surcroĂźt venait de me poser un lapin. Avec moi le Seigneur ne doit pas ĂȘtre pressĂ©, et il m'a fallu encore des dizaines d'annĂ©es avant de vraiment commencer une adoration rĂ©guliĂšre. Mais le Seigneur venait de planter la petite graine de l'adoration en moi, et lentement, trĂšs lentement, cette petite graine a fini par germer. Merci gloire, gloire Ă  toi. Toute ma tendresse pour toi Ă©dition par Philippe le Ven 17 Nov - 721, Ă©ditĂ© 1 fois PhilippeconsacrĂ©Messages 1865Date d'inscription 03/08/2010Age 74Localisation Maisons LaffitteSujet Re TĂ©moignage. Aboutit au trois jours de tĂ©nĂšbres. Ven 17 Nov - 720 Marie trĂŽne de la pris par l'amour de cette jeune fille que j'aimais comme la Sainte Vierge, et elle paraissait triste, dĂ©primĂ©e, tourmentĂ©. Une amie commune finit par me lĂącher ces mots terribles Elle s'est fait violer par X. je ne peux pas vous dĂ©crire l'apocalypse que mon cƓur a vĂ©cu alors. Je n'avais qu'une idĂ©e en tĂȘte tuer, Ă©gorger ce sale bonhomme. Moi qui connait si peu la violence, il m'a fallu me battre de toutes mes forces pour ne pas aller tuer. Quelques temps plus tard alors que je marchais dans le parc de ma ville. je pensais Ă  Marie reine des vierge, et tristement je lui ai dit "Marie reine des vierges, ma pauvre Marie elle n'est pas bien belle ta couronne".Sur le champs, saint Michel Archange dans toute sa puissance. Cinq mĂštres de haut. Effroi absolu car ce n'est pas rien de voir un ange en "live" ; alors le chef des anges.....- Non non ! j'ai rien dit j'ai rien tard. Lentement il a levĂ© son glaive vers le haut, et dans le mĂȘme mouvement mon Ăąme s'est Ă©levĂ©e vers les plus grandes hauteurs du ciel. la douleur m'a complĂštement quittĂ©. Une paix indescriptible, et la rĂ©alitĂ© que je voyais Ă©tait tellement rĂ©elle qu'elle me paraissait dure comme un diamant et fluide comme l'azur tout Ă  la fois. Comparativement Ă  cette rĂ©alitĂ©, l'univers ne me paraissait plus que comme une lĂ©gĂšre vapeur cotonneuse. Et je me suis retrouvĂ© EN Marie trĂŽne de la sagesse. C'est redoutable, terriblement redoutable ; et si je ne savais que la plus grande prĂ©rogative de Marie est d'ĂȘtre mĂšre de Dieu, je dirais que Marie trĂŽne de la sagesse est la plus grande puissance de l'Univers. Mais ce n'est pas tout, car je me suis retrouvĂ© dans la couronne de Marie trĂŽne de la sagesse, constituĂ© en fait des deux couronnes de la virginitĂ© et du martyr, car ce sont lĂ  les deux sommets de la sagesse. Pour la virginitĂ© je ne sais pas, mais dans cette couronne il y avait l'immensitĂ© du peuple des martyrs ChrĂ©tiens encore chaud du sang versĂ© dans l'arĂšne cinq minutes auparavant, et qui chantaient tous un cantique d'une douceur trop beau. J'aurais voulu rester pour toujours, mais on me fit comprendre que j'Ă©tais encore trop lourd, pas assez purifiĂ© pour cela, et j'ai commencĂ© Ă  doucement redescendre. Mais pendant la redescente, saint Michel Archange m'a lancĂ© en apartĂ© de la vision "Ce n'Ă©tait pas un viol, mais toi essaye de ne pas te laisser mener du bout du nez par la premiĂšre venue". J'aime bien le "essaye". Lui-mĂȘme n'Ă©tait pas convaincu du si vous voulez bien je vous dit la suite, et on rĂ©flĂ©chira ensemble sur les conclusions Ă  en gloire, gloire Ă  toi. Toute ma tendresse pour toi Ă©dition par Philippe le Dim 19 Nov - 935, Ă©ditĂ© 1 fois PhilippeconsacrĂ©Messages 1865Date d'inscription 03/08/2010Age 74Localisation Maisons LaffitteSujet Re TĂ©moignage. Aboutit au trois jours de tĂ©nĂšbres. Dim 19 Nov - 934 Marie trĂŽne de la sagesse vision m'a d'abord laissĂ© dubitatif, et je l'ai en fait rejetĂ©e pendant vingt ans car je suis trĂšs prudent avec mes visions, quand elles me disent un peu plus que ce que l'Eglise conseille ou demande. D'abord, je n'ai Ă  proprement parlĂ© rien vu, ni avec mes yeux ni dans mon imagination. C'Ă©tait comment dire ?.... Non seulement il n'y avait rien, mais moins que rien, et je n'Ă©tais pas assez formĂ© et mĂ»r pour comprendre que ce que je voyais ne venait pas des sens, mais directement de l'ordre de l'essence. Ensuite je ne comprenais pas comment une fripouille de bas-niveau comme moi pouvait avoir une vision aussi grandiose. Donc cette vision ne pouvait ĂȘtre que puis pour moi, c'Ă©tait JĂ©sus qui Ă©tait trĂŽne de la sagesse, et non c'est saint Jean Paul II lui-mĂȘme qui a levĂ© le voile de mes doutes. DĂ©jĂ  quand il a parlĂ© de Marie comme "trĂŽne de la sagesse". Tiens ! alors c'est donc vrai, Marie est trĂŽne de la sagesse ? Puis quinze jours plus tard il a lancĂ© que "une sociĂ©tĂ© qui perd la virginitĂ© devient ipso-facto martyrogĂšne". Alors c'est donc vrai aussi cette double couronne de Marie trĂŽne de la sagesse formĂ©e des vierges et des martyrs, les deux sommets de la sagesse, et que quand l'une vient Ă  manquer c'est immĂ©diatement compensĂ© par l'autre ? Puis saint Jean Paul II a continuĂ© en lançant aux JMJ "Vous les jeunes EuropĂ©ens, le martyr qui vous est demandĂ© est de ramer Ă  contre-courant".Que penser de tout ceci ? Oui il y a peut-ĂȘtre le martyr qui nous attend, les hommes et les enfants tuĂ©s et les jeunes filles sages outragĂ©es par les soi-disant soldats de Dieu pour la plus grand joie du diable. Mais il y a le martyr des martyrs, le martyr fondamental qui juge de tous les autres martyrs le martyr du cƓur. Une gĂ©nĂ©ration entiĂšre est appelĂ© au martyr du cƓur, quand elle redĂ©couvrira la puretĂ©, et qu'elle sortira de la dĂ©bauche dans laquelle elle est plongĂ©e, Ă  cause de nous. Quand Marie reviendra, la premiĂšre chose qu'elle rĂ©tablira, c'est la gloire, gloire Ă  toi. Toute ma tendresse pour toi Ă©dition par Philippe le Lun 20 Nov - 716, Ă©ditĂ© 3 fois FrançoiseconsacrĂ©Messages 7626Date d'inscription 12/06/2016Sujet Re TĂ©moignage. Aboutit au trois jours de tĂ©nĂšbres. Dim 19 Nov - 1036 ... C'est beau, Philippe ! Oui, c'est beau, la PuretĂ©. Que Notre trĂšs Sainte Maman du Ciel, quand Elle reviendra, rĂ©tablisse la PuretĂ© en premier, c'est une belle pensĂ©e qui illumine mon dimanche. Merci, et bon dimanche ensoleillĂ© par cette image.====================================================================================Seigneur, aide-nous maintenant Ă  ĂȘtre vraiment catholique et Ă  rester dans la grande vĂ©ritĂ©, en ton Dieu, et ainsi vivre et mourir. PhilippeconsacrĂ©Messages 1865Date d'inscription 03/08/2010Age 74Localisation Maisons LaffitteSujet Re TĂ©moignage. Aboutit au trois jours de tĂ©nĂšbres. Dim 19 Nov - 1044 Merci de tes encouragements Françoise. Et cela me confirme dans le fait de continuer. J'ai encore pas mal de choses Ă  dire ; J'ai gardĂ© le silence toute ma vie mĂȘme avec mes proches et mes meilleurs amis, mais au soir de ma vie, je sens que je dois parler car, comme m'a dit Ami de la misĂ©ricorde "la lumiĂšre ne doit pas rester sous le soir pendant une Adoration plein et plein de choses me sont revenues Ă  la mĂ©moire, mais Marie me fait comprendre que je ne dois pas Ă©crire trop vite afin de laisser aux lecteurs la possibilitĂ© de chose par jour, et cela suffit. AmitiĂ©.==================================================================================== PhilippeconsacrĂ©Messages 1865Date d'inscription 03/08/2010Age 74Localisation Maisons LaffitteSujet Re TĂ©moignage. Aboutit au trois jours de tĂ©nĂšbres. Lun 20 Nov - 713 Saint Michel un matin dans un demi-sommeil. Donc un songe sans vu une forme humaine d'une blancheur Ă©clatante s'approcher de s'est baissĂ© jusqu'Ă  mon oreille et m'a murmurer trĂšs lentement, en sĂ©parant chaque phrase d'un long temps de silence, comme pour me laisser le temps de m'imprĂ©gner, de ce qu'il m'a dit A un certain moment, dans le monde des anges,entre les bons et les mauvais angesIl y a eu une confusion chat n'y aurait pas retrouvĂ© ses un ange a posĂ© cette question MI KA EL. Qui est comme Dieu ?Alors, tout a Ă©tĂ© repensĂ© par les bons anges,par cette unique question QUI EST COMME DIEU ?Et les mauvais anges, avec leurs mauvaises pensĂ©es, n'eurent plus leur place au pour avoir posĂ© la question MI KA EL ?cet anges est devenu !Mikael ! Vous aussi vous devez rĂ©aliser le MI KA EL en vous,Et vous ne formerez plus qu'une seule et mĂȘme civilisation,avec le monde des gloire, gloire Ă  toi. Toute ma tendresse pour toi Ă©dition par Philippe le Mar 21 Nov - 708, Ă©ditĂ© 1 fois PhilippeconsacrĂ©Messages 1865Date d'inscription 03/08/2010Age 74Localisation Maisons LaffitteSujet Re TĂ©moignage. Aboutit au trois jours de tĂ©nĂšbres. Mar 21 Nov - 705 Saint Michel Archange je vais ĂȘtre "intello".En ce moment, on ne s'en rend pas compte mais on est dans le COGITO de Descartes qui en quelque sorte a fondĂ© le modernisme ; l'Ăšre et la civilisation moderne, avec tout son cortĂšge de merveilles technologiques, mais aussi sa rĂ©volte contre Dieu, son chaos, sa confusion gĂ©nĂ©ralisĂ©e. Cogito "Je pense donc je suis".- "JE"...MOI, ma pomme celle mangĂ© par Adam ?, tournĂ© vers "pense"...L'orgueil de la petite pensĂ©e de l' "Donc je suis'... L'illusion de croire qu'on peut ĂȘtre et exister par soi-mĂȘme, sans quitter l'Ăšre moderne et passer Ă  l'Ăšre de la sagesse, la civilisation de l'amour, la troisiĂšme Ăšre du monde, il va falloir changer de COGITO et prendre celui des anges MI KA EL, QUI EST COMME DIEU ? passer de la modernitĂ© froide Ă  la son intelligence angĂ©lique supĂ©rieur Ă  la notre, Saint Michel ne se regarde pas, il regarde Dieu. Qu'et ce qui est comme Dieu, qui est comme lui, le Seigneur ?Et puisque le concile Vatican II nous invite Ă  prendre la part de vĂ©ritĂ© des autres religions, je l'ai pris au mot, et j'ai pris comme base de ma morale le premier principe de Yoga de Patanjali. MĂȘme si ma participation s'arrĂȘte lĂ  car ce n'est pas ma vous cite ce principe base de notre morale a Ă©crit Tout talent, tout don, qui n'est pas pour l'Adoration de Dieu, finit en dĂ©but ce don sans Dieu nous apporte un certain bien, puis on en devient esclave, et nous conduit ensuite Ă  la ruine. C'est ce qui est en train d'arriver avec le gloire, gloire Ă  toi. Toute ma tendresse pour toi Ă©dition par Philippe le Mer 22 Nov - 508, Ă©ditĂ© 3 fois PhilippeconsacrĂ©Messages 1865Date d'inscription 03/08/2010Age 74Localisation Maisons LaffitteSujet Re TĂ©moignage. Aboutit au trois jours de tĂ©nĂšbres. Mer 22 Nov - 433 VOCATION. LE GRAND VENT DU LARGE. La porte s’ est trouvĂ©e l’éternitĂ©, la mer et le soleil, chantĂ©s par les faut gagner le large, il faut gagner l’autre crient leur leurs au loin sourdent profondes et graves Foi-Esperance-CharitĂ©. Tout est clair, limpide et azurĂ©. Quelle est la toute belle, qui gagne le toi ma soeur, ma bien aimĂ©e ? Car sur la grĂšve souffle le grand vent du large qui m’appelle,et enivre mon Ăąme, je ne puis plus toi mon Seigneur qui t’endors sur mon Ă©paule, ou l’Esprit qui dĂ©jĂ  s’éveille en moi,qui murmure doucement, tout au fond de mon cƓurFais un pas vers la folie. Car Dame-folie frappe Ă  la porte et rĂ©clame la charitĂ© “Trois oboles fille de Sion. ““ veux-tu vivre pauvretĂ©-chastetĂ©-obeissance. ““Veux-tu vivre l’offrande de misĂ©ricorde. ““Veux-tu vivre l’oblation“veux-tu vivre ? “Oh ! mon ta mort m’a donnĂ© la vie,ta vie me fait mourir. Alors, comme un enfant, comme un tout petitdans les bras de sa mĂšre, les yeux toujours fixĂ©s sur les mains de la servante, l’enfant de Dieu se laisse emporter. SUITE ====================================================================================DerniĂšre Ă©dition par Philippe le Jeu 23 Nov - 1305, Ă©ditĂ© 1 fois PhilippeconsacrĂ©Messages 1865Date d'inscription 03/08/2010Age 74Localisation Maisons LaffitteSujet Re TĂ©moignage. Aboutit au trois jours de tĂ©nĂšbres. Jeu 23 Nov - 1303 La un songe ou plutĂŽt deux, trĂšs jeune vers douze y avait tout l'ocĂ©an de la mon songe, l'immensitĂ© de l'ocĂ©an jaillissait vers les hauteurs, et retombait pour former la chevelure et le visage du Christ. Puis lentement les lĂšvres de JĂ©sus s'ouvraient pour me parler, mais d'effroi je me suis rĂ©veillĂ© sur-le-champs. Trop fort, trop de lumiĂšre. Dans la journĂ©e piquĂ© par la curiositĂ© j'ai regrettĂ© de m'ĂȘtre rĂ©veillĂ©. Qu'est-ce que JĂ©sus avait bien Ă  me dire ?la nuit suivante, rebelote. cette fois c'Ă©tait un palmier qui s'arrachait du sol, se retournait, les racines formant les cheveux du Christ et le feuillage son visage. De nouveau ses lĂšvres s'ouvraient lentement pour parler ; mais rebelote et rebelote, je me suis rĂ©veillĂ© de peur d'entendre la Parole de celui qui est La gloire, gloire Ă  toi. Toute ma tendresse pour toi Ă©dition par Philippe le Ven 24 Nov - 2150, Ă©ditĂ© 1 fois PhilippeconsacrĂ©Messages 1865Date d'inscription 03/08/2010Age 74Localisation Maisons LaffitteSujet Re TĂ©moignage. Aboutit au trois jours de tĂ©nĂšbres. Ven 24 Nov - 2150 La Parole dire ? Devant celui qui est La Parole, on se tait, et tout ce que je pourrais Ă©crire serait du remplissage. Pour moi l'heure Ă©tait venu ; JĂ©sus allait commencer Ă  me parler. Je ne dis pas par des choses extraordinaires, mais surtout par le cƓur et le silence. On peut douter d'une parole extraordinaire ; est-ce bien JĂ©sus, le diable ou mon imagination ? Mais on ne pourra jamais douter de ce qui est donnĂ© dans la profondeur du JĂ©sus vient parler Ă  chacun de nous comme si nous Ă©tions seul au gloire, gloire Ă  toi. Toute ma tendresse pour toi Ă©dition par Philippe le Dim 26 Nov - 1053, Ă©ditĂ© 1 fois PhilippeconsacrĂ©Messages 1865Date d'inscription 03/08/2010Age 74Localisation Maisons LaffitteSujet Re TĂ©moignage. Aboutit au trois jours de tĂ©nĂšbres. Dim 26 Nov - 1032 La petite Myriam du Liban et l' me sens comme poussĂ© Ă  vous raconter l'histoire de Myriam. En fait je ne connais pas son nom et c'est moi qui la nomme ainsi ; je connais son caillou blanc mais pas son nom civil. Et franchement, je ne sais pas trop quoi penser de cette histoire, un rĂȘve, une illusion ou bien la vĂ©ritĂ© ? A chacun de vous de juger et surtout l'Eglise en qui je me remets entiĂšrement. VoilĂ  un songe, un deuxiĂšme songe, un le premier Une jeune fille au Liban simple et pure. Dix huit ans, environ un mĂštre soixante cinq, le visage rond, et des beaux cheveux bruns qui lui tombent Ă  sa taille. Elle est gouvernante de deux trĂšs jeunes enfants dans une famille riche du pays, et en fait elle joue avec eux plus qu'elle ne les garde. Il semble que cela se passe dans les annĂ©es quatre vingts cinq dans une grande ville du le deuxiĂšme songe ça se prĂ©cise. Elle est fiancĂ©e au jeune homme de la maison. Trente deux ans, un mĂštre quatre vingt, sportif, les cheveux bruns frisĂ©s et tient l'affaire de la famille qui marche bien. Myriam garde les deux enfants de la sƓur du jeune homme, son fiancĂ©. Celle-ci n'a pas un visage vraiment aimable et l'on sent un caractĂšre dur et intransigeant mais tournĂ© vers le bien, avec deux grandes nattes toutes raides, de cheveux Ă©pais noirs d'Ă©bĂšne. Myriam remarque que celle-ci Ă  l'air de lui faire la gueule. Elle semble maussade et de mauvaise humeur Ă  son Ă©gard. Pourquoi ?TroisiĂšme songe Myriam lui demande le pourquoi de sa mauvaise humeur envers elle, et la sƓur de sa fiancĂ© lui rĂ©pond "je n'ai pas besoin d'une gouvernante, j'ai besoin d'une sainte".Et elle lui explique que son frĂšre va commettre des attentats terroristes contre les musulmans ; qu'il envisage mĂȘme de faire exploser un car d'enfants musulmans. C'est intolĂ©rable, inadmissible, et en plus il va alors perdre son salut Ă©ternel. La seule solution......sacrifier son frĂšre. InstantanĂ©ment, sur-le-champs, l'amour sponsal de Myriam se change en amour oblatif. Sans aucune hĂ©sitation ni retour en jour venu, Myriam appelle son fiancĂ© au garage. Dans le mĂȘme mouvement la sƓur bloque l'entrĂ©e en avançant lentement un gros camion bourrĂ© d'explosif. ÉnervĂ© par la situation et le bruit du camion celui-ci lui demande ce qui se passe, et Myriam lui rĂ©pond "Mon chĂ©ri je t'aime, je t'aime, je ne t'ai jamais tant aimĂ©".Puis, plus rien. Le camion a explosĂ©. Si j'en crois mon inspiration, Myriam est montĂ© au ciel comme une flĂšche, et elle est devenu la grande copine de la petite ThĂ©rĂšse, avec qui elles font les quatre cents coups. Du lard ou du cochon ? Et je me rĂ©pĂšte bien, si j'en crois mon inspiration....On devrait mĂȘme la retrouver, lui faire un procĂšs de canonisation, et mĂȘme la dĂ©clarer patronne ou copatronne du un jour on lui dĂ©diait une basilique, celle-ci aurait deux prĂ©rogatives D'abord, dans cette basilique les musulmans et les ChrĂ©tiens se rĂ©concilieraient et tomberaient en sanglotant dans les bras les uns les autres ; prĂ©lude Ă  leurs conversions au Christ ? Mais, de plus, cette basilique aurait l'unique privilĂšge sur la terre, de faire sentir le bonheur du ciel Ă  quiconque en franchirait le seuil. Honni soit qui mal y pense, c'est une sainte et une martyre, de son corps dĂ©chirĂ© renaĂźtra le Liban disloquĂ©. Et souvenez-vous de cette prophĂ©tie je ne sais plus oĂč dans la bible La lumiĂšre viendra du gloire, gloire Ă  toi. Toute ma tendresse pour toi Ă©dition par Philippe le Lun 27 Nov - 912, Ă©ditĂ© 1 fois PhilippeconsacrĂ©Messages 1865Date d'inscription 03/08/2010Age 74Localisation Maisons LaffitteSujet Re TĂ©moignage. Aboutit au trois jours de tĂ©nĂšbres. Lun 27 Nov - 909 La petite Myriam du Liban l'histoire ne s'arrĂȘte pas lĂ . Elle est carrĂ©ment venu me voir ; non mais en tout bien tout honneur hein ! de toute façon elle est dĂ©jĂ  fiancĂ©. Au troisiĂšme songe vers 3h30 du matin, impressionnĂ© je me suis levĂ© et suis sorti dehors pour fumer une cigarette, et lĂ  je l'ai vu, vu et entendu. Elle Ă©tait Ă  environs un mĂštre cinquante de moi, mais je l'entendais comme si elle Ă©tait Ă  cent cinquante mĂštre me parlant Ă  travers un brouillard, comme si je n'Ă©tait pas assez pur pour l'entendre. Et elle est venu me chanter une chanson. En rĂ©alitĂ© elle n'a chantĂ© que la premiĂšre phrase, mais mystĂ©rieusement toute la suite de la chanson Ă©tait contenue dans ses quelques mots. Et elle m'a chantĂ© Il t'est demandĂ© de renoncer Il t'est demandĂ© de renoncer Il t'est demandĂ© de renoncer Et c'Ă©tait grave, car c'Ă©tait la demande que le ciel me faisait officiellement. A l'Ă©poque j'Ă©tais dans une trĂšs grande crise de purification, et je lui ai criĂ© Vas-t'en tu n'es qu'une mon imagination c'est mon plus je disais ça plus elle insistait, et plus je sentais malgrĂ© moi mon cƓur se gonfler du bonheur du ciel ; non pas un bonheur tralala Ă  grand coup d'orgues, de rayons laser et de petits angelots qui voltigent, mais un bonheur prĂ©cis, personnalisĂ©, singularisĂ©. et c'Ă©tait un bonheur du ciel que je ne voulais pas moi qui Ă©tait tournĂ© vers le bonheur de la terre. Passez-moi cette expression triviale, mais elle me "gonflait" au sens propre du son sacrifice d'un instant cette jeune fille a reçu la grĂące de la consĂ©cration religieuse plus haut que n'importe quelle nonne et religieuse du dĂ©but du Christianisme jusqu'Ă  la fin du monde. Elle a reçu l'essence mĂȘme de la consĂ©cration. C'est fou ? Mais le PĂšre de Cieux est fou d'amour ; et s'il a livrĂ© son fils pour nous, alors tout est possible. Cette jeune fille vient nous apprendre le bonheur du ciel, et un jour des milliers de jeunes gens et jeunes filles la vous donne l'intĂ©gralitĂ© de la chanson qu'elle est venu me chanter Il t'est demandĂ© de renoncer,jusqu'Ă  tes biens les plus sacrĂ©s,il t'est demandĂ© de tout sacrifier,jusqu'Ă  ton amour le plus cher. C'est l'heure de tourner la page, d'avancer, sans plus te retourner, c'est l'heure, de regarder le soleil, face Ă  face, sans plus aucun t'est demandĂ© la pauvretĂ©,dans ta blessure la plus profonde,il t'est demandĂ© la puretĂ©,dans les flots de la plus grande amertume,et d'obĂ©ir Ă  l'Eglise,et Ă  sa loi, jusqu'Ă  l'agonie. C'est l'heure, de porter tes frĂšres, toi qui n'a jamais su tenir debout, de leurs apporter la lumiĂšre, toi qui ne fut jamais, qu'un pauvre t'est demandĂ© le martyr,de la chair, qui ne veut pas mourir,il t'et demandĂ© le martyr,de ton cƓur, qui n'a jamais pu aimer, et de trouver la vraie joie,de ceux qui ont, choisi l'oblation. c'est l'heure, de gagner le large, mĂȘme si tu en as, le cƓur glacĂ©, c'est l'heure, de gagner l'autre rive, mĂȘme si tu en as, le cƓur dĂ©chirĂ©. Bon ! attention Ă  bien comprendre. JĂ©sus n'est pas un Dieu-Moloch Ă©goĂŻste et dĂ©voreur de nos affections. Et au contraire, il veut que l'on s'aime les uns les autres ; que l'enfant aime ses parents, que l'ami aime son ami et la fiancĂ©e son fiancĂ©. Et la petite Myriam elle-mĂȘme aime Ă©ternellement son fiancĂ©. Mais JĂ©sus veut que d'abord on lui donne tout et qu'on tourne tout vers le ciel, car rien de bon n'existe hors de lui. Et cela implique de passer par la gloire, gloire Ă  toi. Toute ma tendresse pour toi Ă©dition par Philippe le Jeu 30 Nov - 551, Ă©ditĂ© 2 fois PhilippeconsacrĂ©Messages 1865Date d'inscription 03/08/2010Age 74Localisation Maisons LaffitteSujet Re TĂ©moignage. Aboutit au trois jours de tĂ©nĂšbres. Mer 29 Nov - 806 Une vierge va venir...Une vierge par les temps qui court ? Dieu seul juge, et le regard du PĂšre des Cieux n'est pas celui des je vais faire dans le dans ma grande Nuit d'Orient "Dans une mer sans fond, par une nuit sans lune" dirait Victor Hugo. Une nuit entiĂšre d'agonie, calme et paisible, mais sans aucune lumiĂšre et tout mon ĂȘtre suppliant l’Éternel dans un ciel de douleur sans Ă©cho. Mais "O ! nuit qui m'Ă©claire plus sĂ»rement que le jour"Pas de vision pas de parole mais comment dire ? C'est trĂšs mystĂ©rieux mais ma nuit mĂȘme me disait quelque chose et en Ă©tait le contour ; une phrase trĂšs prĂ©cise au mot prĂšs qui Ă©tait "Une vierge va venir, qui va faire passer l'humanitĂ© entiĂšre dans la troisiĂšme Ăšre du monde".Le matin je me suis dit "Bon! Ça-y-est mon bonhomme tu as franchi la ligne jaune, bonjour la schizo". Et j'attendais l'ouverture de l'heure des bureaux pour prendre rendez-vous au CHP du coin. Mais il m'est arrivĂ© ce qui m'arrive parfois quand je suis perplexe je tombe sur un texte qui rĂ©pond Ă  ma question. Et lĂ , je suis tombĂ© sur un texte qui disait "Luisa Picarretta a prophĂ©tisĂ© qu'une vierge va venir qui va faire passer l'humanitĂ© entiĂšre dans la troisiĂšme Ăšre du monde". Pile-poil exactement la mĂȘme phrase reçue, Ă  la virgule l'instant elle commence son chemin. Prions et offrons des sacrifices pour elle car sa mission est redoutable. La troisiĂšme femme la plus importante du monde, aprĂšs Eve et gloire, gloire Ă  toi. Toute ma tendresse pour toi Ă©dition par Philippe le Jeu 30 Nov - 617, Ă©ditĂ© 1 fois PhilippeconsacrĂ©Messages 1865Date d'inscription 03/08/2010Age 74Localisation Maisons LaffitteSujet Re TĂ©moignage. Aboutit au trois jours de tĂ©nĂšbres. Jeu 30 Nov - 615 Le jeun. Comment JĂ©sus m'a enseignĂ© le jeun ? On va dire que le moyen utilisĂ© n'a rien d'extraordinaire ; et pourtant si, parce que JĂ©sus fait de l'extraordinaire avec de l'ordinaire. VoilĂ  J'avais Ă©tĂ© invitĂ© Ă  une soirĂ©e de rĂ©veillon par un ami, et celui-ci avait reçu comme cadeau de NoĂ«l une machine Ă  pain. EnthousiasmĂ© il avait voulu essayer toutes les recettes du livre, et de joie, nous les faisait tous goĂ»ter "tiens ! goĂ»te Ă  celui-ci aux grains et celui-ci, et celui-lĂ , mais vas-y reprends-en il y en a plein....Tant et si bien qu'au moment de passer Ă  table pour un plantureux festin, je n'avais plus faim. Mais j'avais eu un autre festin celui de la joie de mon ami, qui sans s'en rendre compte, m'a fait jeĂ»ner un soir de rĂ©veillon. Mais JĂ©sus lui aussi a une machine Ă  pain. Tu trouves que le pain du jeun est triste ? GoĂ»te mieux ! Tel pain de jeun a le goĂ»t d'une rĂ©conciliation, tel autre celui d'une grosse difficultĂ© surmontĂ©, ou encore d'une conversion de quelqu'un que tu aimes, et encore d'une vocation, et que sais-je encore Ă  n'en plus finir, car JĂ©sus est plein d'imagination. Merci gloire, gloire Ă  toi. Toute ma tendresse pour toi Ă©dition par Philippe le Mer 6 DĂ©c - 530, Ă©ditĂ© 1 fois PhilippeconsacrĂ©Messages 1865Date d'inscription 03/08/2010Age 74Localisation Maisons LaffitteSujet Re TĂ©moignage. Aboutit au trois jours de tĂ©nĂšbres. Mer 6 DĂ©c - 529 Les esprits d' vais dĂ©roger Ă  ma rĂšgle en ne vous donnant que mes visions de lumiĂšre, et vous parler ici d'une vision de la nuit. Car en ces temps de malheur qui sont aussi des temps de de grande grĂące, les nuits de l'esprit vont sans doute se multiplier, et cette connaissance peut servir. je veux parler des esprit d'Ă©pouvante, si cher au renouveau charismatique. Quand une Ăąme est en progression, avec la permission Divine elle peut ĂȘtre conduite par les dĂ©mons dans un esprit d'Ă©pouvante, afin de lui faire peur et la dissuader de continuer. Cette vision provoquĂ©e par les dĂ©mons n'est pas du tout du mĂȘme ordre que celle venant du Saint Esprit. Elle ferait plutĂŽt penser Ă  un Ă©tat mĂ©diumnique,poltergeist, hallucinatoire, voir pathologique alors qu'il n'en est rien. En fait nous ne sommes pas possĂ©dĂ©s par un esprit d'Ă©pouvante, c'est plutĂŽt cet esprit qui est possĂ©dĂ© par nous malgrĂ© lui. Je m'explique Les esprit d'Ă©pouvante sont des anges dĂ©chus de l'ordre des ChĂ©rubins, les Ă©ternels silencieux du ciel, dont la seule mission est de montrer du doigt le trĂŽne de l’Éternel dans la contemplation Divine. Il ne faut pas s'imaginer comme on le fait des petit angelots simplets car ils sont en fait des esprits d'une puissance phĂ©nomĂ©nal. Leur pĂ©chĂ©, ceux des ChĂ©rubins qui sont tombĂ©s ? Ils ont refusĂ© d'avoir confiance face Ă  la gloire Divine, insupportable Ă  toute crĂ©ature, sans passer par le Verbe rendu infiniment petit dans la crĂšche, avant de rebondir. l'infinitude de Dieu est insupportable en lui-mĂȘme ; et seul JĂ©sus dans la crĂšche peut ĂȘtre adorĂ© sans effroi, pour, Ă  partir de lĂ  devaient ĂȘtre de grands esprits planant dans l'Esprit Saint, et lĂ , ils se retrouvent comme en cale-sĂšche, suffocant d’effroi Ă  chaque seconde et Ă©ternellement face Ă  l'infinitude de Dieu insupportable Ă  toute crĂ©ature finie. Alors imaginez comme une grande cathĂ©drale. Ils sont comme ces dĂ©mons dĂ©crit par Bosch, le visage tournĂ© non vers l'extĂ©rieur mais l'intĂ©rieur, et vous ĂȘtes conduit Ă  l'intĂ©rieur de cette cathĂ©drale de malheur face Ă  ce visage qui suffoque, mais, partageant son propre effroi. Ces "ChĂ©rubins" on gardĂ© la capacitĂ© de percer la puissance contemplative des ĂȘtres, et ils vont suffoquer de votre propre puissance contemplative, partageant malgrĂ© eux et avec vous leur effroi. Et tout devient alors effroi, Ă©pouvante "Ha! tu as trop priĂ© le chapelet, tu as trop communiĂ©, et maintenant il est trop tard". Tout devient effroi, Ă©pouvante, et il faut tout son courage et toute sa foi pour ne faire qu'un simple signe de croix qui devient terrifiant. Et le plus chagrinant alors et que Marie elle-mĂȘme nous apparaĂźt comme une tigresse. La pauvre petite maman.... Dans leur intĂ©rioritĂ© maudite, ces esprit d'Ă©pouvante sont Ă©ternellement face Ă  un puits sans fond qui est celui de la CONFIANCE car l'enfant JĂ©sus dans la crĂšche n’apparaĂźt pas encore, et il suffirait qu'il se jette dans ce puits de la confiance pour immĂ©diatement retrouver le salut, mais ils s'y refusent. Et nous c'et notre salut pour sortir de ce guĂȘpier. La vie spirituelle est un moteur Ă  deux temps espĂ©rance confiance, espĂ©rance confiance, espĂ©rance confiance. Mais le positif de cette expĂ©rience est que ça nous fait un vrai scan de notre vie spirituelle. Par exemple, moi, je me suis alors aperçu que l'Adoration du Saint Sacrement ne me plongeait absolument pas dans l'Ă©pouvante, et effectivement Ă  cette Ă©poque de ma vie elle manquait. Merci de l'info esprit d'Ă©pouvante. Mais je le rĂ©pĂšte la vie spirituelle est un moteur Ă  deux temps EspĂ©rance confiance, espĂ©rance confiance, espĂ©rance confiance. Merci gloire, gloire Ă  toi. Toute ma tendresse pour toi Ă©dition par Philippe le Ven 8 DĂ©c - 1020, Ă©ditĂ© 1 fois PhilippeconsacrĂ©Messages 1865Date d'inscription 03/08/2010Age 74Localisation Maisons LaffitteSujet Re TĂ©moignage. Aboutit au trois jours de tĂ©nĂšbres. Ven 8 DĂ©c - 1016 Avortement. David est parti au vais ici faire encore un pas vers mes visions de la nuit, car cela dĂ©bouche franchement sur la lumiĂšre. A savoir, le repentir de l'avortement. Tout commence d'abord par une note sombre, une expĂ©rience de l'enfer. Je ne sais pas trop et je peux me tromper, un envoĂ»tement car sƓur Couder a fait la mĂȘme expĂ©rience Ă  la suite d'un envoĂ»tement ? Ou alors un avertissement sur les consĂ©quences de l'avortement ? Toujours est-il que j'associe ça fortement Ă  l'avortement. Tout a commencĂ© avec une collĂšgue de travail qui n'arrivait plus Ă  dormir. Non je n'Ă©tait pas amoureux d'elle et je ne l'ai jamais dĂ©sirĂ©e. Elle m'a confiĂ© qu'elle n'arrivait plus Ă  dormir, parce qu'elle Ă©tait persuadĂ© qu'Ă  sa mort elle allait se rĂ©veillĂ© vivante dans sa tombe. Et moi bon boy scout je lui ai dit "Je prend ça sur moi, ça ne t'arrivera pas".Quelques temps plus tard alors que j'Ă©tais en train de faire la vaisselle, l'espace s'est dĂ©chirĂ© devant moi et une sorte d'arc Ă©lectrique me frappait tour Ă  tour au front ou au cƓur, et je vous assure que c'Ă©tait aussi tangible que si cela avait Ă©tĂ© une chĂątaigne de 250 volts. Mais c'Ă©tait noir, froid et sec. Rien Ă  voir avec une Ă©lectrocution ; c'Ă©tait comme des milliards d'araignĂ©es, la mort dans la mort, la quintessence du lugubre, et le mythe des vampires paraissait boy scout Ă  cotĂ©. Quand ça me touchait au front tout mon esprit plongeait dans un noir d'encre, et quand ça me touchait au cƓur, tout mon corps. J'ai reculĂ© immĂ©diatement pour ne pas me noyer dans l'eau de vaisselle car sans perdre connaissance je perdais toutes mes forces physiques. Puis, profitant d'une accalmie je me suis prĂ©cipitĂ© dans ma chambre pour que mes enfants ne me voient pas dans cet Ă©tat. A peine Ă©croulĂ© sur mon lit "ça" m'a touchĂ© sans interruption au front et au cƓur en mĂȘme temps, et je me suis retrouvĂ© cent mĂštres sous terre comme dans une tombe, un cercueil. Pendant tout ce temps je m'efforçait de rĂ©pĂ©ter "mon Dieu je ne veux que ta volontĂ© d'amour" car j'avais trĂšs peur de me mettre Ă  maudire Dieu. Mais je me souviens aussi avoir pensĂ© "pourvu qu'il me reste un bout de doigt indemne que je puisse continuer Ă  respirer Dieu". On ne s'en rend pas compte car ça ne nous manque jamais mais on respire Dieu ; tout respire Dieu, jusqu'au moindre caillou. Et lĂ , j'Ă©touffais littĂ©ralement car je ne respirais plus y a eu quand mĂȘme une accalmie, et je me suis prĂ©cipitĂ© sur une bouteille d'eau de San Damiano pour me signer, mais avant d'y arriver la piĂšce tanguait comme une petite barque dans une furieuse tempĂȘte pleine de colĂšre. Puis je me suis signĂ© avec cette eau bĂ©nie, et tout s'est arrĂȘtĂ©. En me regardant dans la glace, j'ai vu que j'Ă©tais trempĂ© de sueur comme si j'Ă©tais passĂ© sous une douche alors que cette Ă©preuve n'a durĂ© que quelques minutes. Mais j'ai compris. Ma collĂšgue de travail avait fait un avortement, et elle Ă©tait prĂ©venue des consĂ©quence s'il n'y avait pas de repentir. Par dĂ©licatesse je n'ai pas osĂ© lui parler. Un simple regard en lui disant "tout est arrangĂ© ça ne t'arrivera pas", et elle a compris. Bien sĂ»r je peux me tromper et j'ai horreur de ceux qui font passer leurs opinions pour celles de Dieu dans un chantage indicible. Mais mon avis est que s'il n'y a pas de repentir, celles qui avortent risque de se retrouver pour toujours enfermĂ©es dans un cercueil, coupĂ© de tous Ă  tout jamais. Avec cette parole "tu as voulu ĂȘtre tombeau, tu seras tombeau".En fait c'est mĂȘme pas Dieu qui punit. C'est la femme ou le coupable qui tombe dans sa propre psychose. je vous parle de mon expĂ©rience avec David, un enfant gloire, gloire Ă  toi. Toute ma tendresse pour toi Ă©dition par Philippe le Sam 9 DĂ©c - 1244, Ă©ditĂ© 1 fois PhilippeconsacrĂ©Messages 1865Date d'inscription 03/08/2010Age 74Localisation Maisons LaffitteSujet Re TĂ©moignage. Aboutit au trois jours de tĂ©nĂšbres. Sam 9 DĂ©c - 1243 David est parti au ciel a commencĂ© pendant une Adoration. J'ai d'abord senti qu'on me faisait comme une onction d'huile sur le front. Puis j'ai eu une vue d'une acuitĂ© visuelle dix fois plus forte qu'avec les yeux. C'Ă©tait une jeune sƓur d'un groupe de priĂšre, la coupable ou plutĂŽt la victime d'un avortement. Elle Ă©tait dans un campus universitaire, et elle cherchait joyeuse et vive l'entrĂ©e d'une formidable pyramide s'Ă©levant jusqu'au ciel la JĂ©rusalem cĂ©leste, le chĂąteau intĂ©rieur de l'Ăąme ? A mon avis cette vision m'Ă©tait donnĂ© par un ChĂ©rubin ; mais ensuite j'ai vu comme.....disons le dessin d'un enfant de treize ans que j'ai assez facilement rĂ©ussi Ă  reproduire, et que je vous donne Je pense que c'est David l'enfant avortĂ© qui m'a fait ce dessin pour m'expliquer son est trĂšs simple - je chameau en haut ? Un chameau, c'est un chameau, un Le chameau la bouscule un peu plus que prĂ©vu. Vlan ! enceinte. j'ai aussi eu un songe d'elle Ă  la clinique d'avortement. Sur sa porte il y avait marquĂ© Mlle Frico. Frico, fricotage.....hum!.....- L'ours en fait c'est moi. Sept ans auparavant j'avais croisĂ© deux jeunes pour qui j'avais eu l'inspiration de prier afin d'Ă©viter une catastrophe, et j'avais nĂ©gligĂ© la priĂšre. David l'enfant avortĂ© me l'a trĂšs dĂ©licatement rapportĂ©......Sept ans ou treize ans ? J'ai l'impression que dans son monde, le temps passe plus vite que chez L'arbre cassĂ© avec une boule ? suite Ă  l'avortement elle a dĂ» avoir des complications morales ou physiques avec son systĂšme gynĂ©cologique. Sur ce dessin on ne voit pas tout mais "l'ours" met un essaim d'abeille au milieu de cet arbre. Une abeille, ça pique et ça brĂ»le, mais ça apporte aussi la douceur du miel et la Idem pour le fil Ă  la patte. Ce problĂšme d'avortement vers quatorze ans l'empĂȘchait d'avancer. mais en allant porter l'essaim d'abeille dans son arbre gynĂ©cologique, l'ours marchait sur le fil et le cassait. Traduction pendant la rĂ©union de priĂšre du groupe j'ai lancĂ© "Pour une jeune fille qui a avortĂ© Ă  quatorze ans. Le Seigneur veut guĂ©rir sa mĂ©moire et qu'elle dĂ©couvre son vrai visage".Cela a Ă©tĂ© comme un coup de tonnerre de guĂ©rison pour elle. Mais je ne vais pas tout raconter car ce serait trop long. Ceux que ça intĂ©resse peuvent aller ICI oĂč je raconte tout en je l'ai vu, vu, et encore vu, et il est restĂ© deux mois avec moi oĂč il Ă©tait toujours lĂ . Ce qui Ă©tait assez Ă©prouvant car parfois j'Ă©tais en prĂ©sence de sa jeune mĂšre et lui Ă  cotĂ©, et je ne pouvais rien rĂ©vĂ©ler Ă  cette jeune mĂȘme carrĂ©ment, une fois il m'a invitĂ© dans son me suis retrouvĂ© dans un champs d'herbe, et au loin il y avait un chemin oĂč quatre ou cinq enfants faisaient une promenade en vĂ©lo. DĂšs que je suis arrivĂ© les cinq regards se sont tournĂ©s dans ma direction, et David a foncĂ© droit sur moi en faisant un dĂ©rapage contrĂŽlĂ© au dernier moment pour m'Ă©viter. Les anges ont l'air d'ĂȘtre plutĂŽt cool avec eux ; d'abord il avait les cheveux qui lui tombaient sur les Ă©paules, et ces enfants ne semblent pas briller par une discipline excessive. Puis un jour, il s'est plantĂ© devant moi, comme un enfant au supplice obligĂ© de subir une sĂ©ance de photo ou de peinture. J'ai compris qu'il venait me dire au-revoir, et qu'il se tenait devant moi afin que je mĂ©morise son visage. Au bout de plusieurs minutes son visage s'est estompĂ©, et il a disparu. je ne l'ai plus jamais revu. Adieu David, on se reverra au Ciel. Mon impression ?ce qui suit ne vient pas d'une rĂ©vĂ©lation mais d'une impression gĂ©nĂ©rale, et bien sĂ»r je peux me tromper. Mais j'ai l'impression qu'Ă  leur mort, ils sont immĂ©diatement pris en charge par un ChĂ©rubin qui les conduit Ă  l'Ă©cole du ciel, car on n'entre pas dans la vision bĂ©atifique comme ça. Et ça n'est pas tout Ă  fait le ciel, car manifestement ils ne sont pas encore parfaits, et ont encore du chemin Ă  faire. Qui sont ils ?Je pense que Seigneur est en train de se constituer une race de seigneurs, au-dessus des hommes et au-dessus des anges, car d'une certaine maniĂšre, ils sont hommes et anges tout Ă  la fois. Et quand le nombre de ces seigneurs sera atteint, le Seigneur s'Ă©criera "Stop, ici c'arrĂȘte l'orgueil de tes flots tu n'iras pas plus loin".Et il n'y aura alors plus aucun avortement sur est il venu me voir ?Et bien je pense que c'est d'abord pour se rĂ©concilier avec sa maman, mais aussi pour nous montrer que ces enfants avortĂ©s, ce n'est pas un problĂšme morale abstrait n'existant que dans la tĂȘte des gens, mais que c'est bien concret. Ces enfants, c'est concret ; ils existent, et ont une histoire, qui continue et continuera jusqu'Ă  l'Ă©ternitĂ©, qu'on le veuille ou En cas d'avortement, le repentir. Sinon, Boum ! Le gloire, gloire Ă  toi. Toute ma tendresse pour toi Ă©dition par Philippe le Lun 11 DĂ©c - 1814, Ă©ditĂ© 3 fois PhilippeconsacrĂ©Messages 1865Date d'inscription 03/08/2010Age 74Localisation Maisons LaffitteSujet Re TĂ©moignage. Aboutit au trois jours de tĂ©nĂšbres. Lun 11 DĂ©c - 919 L'Heure Sainte. Ça m'a Ă©tĂ© donnĂ© Ă  Chateauneuf de Galaure Ă  une retraite du foyer de charitĂ© du vivant de Marthe Robin je l'ai vu trois fois pendant des retraites quand elle vivait encore sur Terre. Une nuit vers deux ou trois heure du matin, j'ai entendu intĂ©rieurement la voix de Marthe qui me rĂ©veillait brusquement et me disait Vite ! lĂšves-toi et engourdi par le sommeil j'ai dĂ» prier quelques minutes tout au plus d'une mauvaise priĂšre. Mais la toute petite graine de l'Heure Sainte Ă©tait plantĂ©e, qui lentement, doucement et trĂšs doucement allait pousser. Dans le "livre de l'amour misĂ©ricordieux" JĂ©sus demande l'Heure Sainte pour lui tenir compagnie dans ses longues nuits de pleurs et de douleurs, avec la promesse que tout ce qu'on demandera alors, sera exaucĂ©. Mais rien ne nous donne plus la joie la paix et le bonheur que l'Heure la barbe je ne fais pas l'office de lecture de l'office des heures ; trop long. Et mĂȘme techniquement je ne fais pas une heure pleine car ensuite je ne retrouve plus le sommeil, et ma journĂ©e du lendemain est plombĂ©e. Non pour moi la bonne durĂ©e est 1/2 heure oĂč je me remet en Marie ImmaculĂ©e pour qu'en moi elle accomplisse la Divine VolontĂ© du PĂšre ; et ceci Ă  3h30 du matin. Mais en contrepartie et dans le silence de la nuit, JĂ©sus vient nous parler comme Ă  un ami, selon l'inspiration. Premier effet, cela implique une certaine discipline de se coucher vers 9 heure et ne pas traĂźnailler devant la tĂ©loche Ă  regarder des bĂȘtises. Essayez vous allez voir ; ce n'est pas si dure que ça. Merci gloire, gloire Ă  toi. Toute ma tendresse pour toi Ă©dition par Philippe le Mar 18 Sep - 1856, Ă©ditĂ© 2 fois PhilippeconsacrĂ©Messages 1865Date d'inscription 03/08/2010Age 74Localisation Maisons LaffitteSujet Re TĂ©moignage. Aboutit au trois jours de tĂ©nĂšbres. Ven 15 DĂ©c - 752 Les trois jours de peux me tromper, bien sĂ»r, mais il me semble bien que j'ai anticipĂ© les trois jours de tĂ©nĂšbres. Auparavant j'avais entendu parler de ça par ma grand-mĂšre et je n'y avais guĂšre prĂȘter attention, sans plus. En fait nul dans cette vision ne m'a dit que c'Ă©tait ces fameux trois jours, mais aprĂšs dĂ©duction et surtout ce que m'a dit Marthe Robin la deuxiĂšme nuit, j'en conclus que que c'est sans doute ça. Sauf que ce que j'ai vĂ©cu dans la vision doit encore ĂȘtre vĂ©cu dans la foi. Que s'est-il passĂ© ? et je vais ĂȘtre le plus sobre possible Imagination, rĂ©alitĂ© ? Tout a commencĂ© comme si Lucifer en personne me demandait de renoncer Ă  l'amour avec une voix trĂšs calme, avec Ă  chaque fois l'impression d'ĂȘtre sous l'eau oĂč tous les bruits s'estompent. Par trois fois il m'a fait cette demande, et trois fois je lui ai rĂ©pondu " Je ne veux que la volontĂ© d'amour du PĂšre Éternel".A ma troisiĂšme rĂ©ponse j'ai entendu une nuĂ©e de mouche qui se sont posĂ©es sur tous mon corps, et qui me brĂ»laient. A partir de lĂ  je suis littĂ©ralement entrĂ© au tombeau. la nuit dans la nuit, la mort. je veux rester trĂšs sobre, mais c'Ă©tait comme un grand combat entre l'icĂŽne de l'amour infini du Verbe qui a fait comme exploser mon Ăąme par sa vĂ©hĂ©mence, et un dragon qui s'est mis Ă  me poursuivre ; un dragon formĂ© de toutes les scories de mon Ăąme, de tout ce qui en moi n'est pas purifiĂ©. Mais dĂ©s le dĂ©but, aussi, j'ai senti deux mains qui encerclaient ma tĂȘte avec bienveillance et amour, et sans ces deux mains, je ne sais pas si j'aurai tenu le coup. Puis trois jours plus tard Ă  quinze heure, Vlan ! tout s'est arrĂȘtĂ© d'un coup. Il faisait beau la vie Ă©tait belle ; et doucement les deux mains protectrices se sont elle aussi retirĂ©es. On peut douter de cette expĂ©rience. Et moi en premier, car quelle que temps plus tard je suis allĂ© voir un psychiatre histoire de voir si je n'ai pas fait tout bonnement une crise de dĂ©mence. Mais le psychiatre m'a rassurĂ© en me disant que la psychiatrie ne s'occupe pas des expĂ©riences puis Outre cette expĂ©rience intĂ©rieur il y a eu des phĂ©nomĂšnes perçus par les autres Ma femme sentait autour de moi une odeur de pneu brĂ»lĂ©, odeur que j'ai senti pendant trois jours, au travail mon directeur a entendu des "voix" dans le bureau oĂč je travaillais alors que j'Ă©tais seul ; ce qui m'a sans doute valu de ne pas ĂȘtre virĂ©, car pendant ces trois jours mon travail n'Ă©tait pas au top, et mon directeur a compris qu'il se passait quelque chose indĂ©pendant de ma volontĂ©.....Mais surtout, ma mĂšre. Le lendemain matin oĂč les choses ont commencĂ© elle est venu me voir affolĂ©e en me disant " Philippe, qu'est-ce qui se passe ? Hier soir vers dix heures j'ai entendu comme une gigantesque porte d'acier mais qui ployait, ployait sous une force irrĂ©sistible, et brusquement la porte a explosĂ© dans un vacarme Ă©pouvantable, libĂ©rant des choses, des crĂ©atures mauvaises, et pour elles c'Ă©tait une tragĂ©die inexorables, dĂ©finitive. J'ai cru que c'Ă©tait un avion qui revenait du Koweit et qui avait crashĂ©, et je me suis levĂ© en hurlant pensant que toutes les vitres de la maison Ă©taient brisĂ©es, mais il n'y a que moi Ă  avoir entendu cela. je savais que c'Ă©tait liĂ© Ă  toi, je ne sais pas pourquoi mais j'en Ă©tais sĂ»r. Vu le tĂ©moignage de ma mĂšre, comment ne pas penser Ă  une porte, une porte d'enfer qui venait d'exploser ?.....Mais surtout il y a les paroles que m'a confiĂ©s Marthe Robin, et ce sont elles qui peu Ă  peu, m'ont fait penser que j'avais peut-ĂȘtre anticipĂ© les trois jours de gloire, gloire Ă  toi. Toute ma tendresse pour toi Ă©dition par Philippe le Mar 18 Sep - 1916, Ă©ditĂ© 6 fois PhilippeconsacrĂ©Messages 1865Date d'inscription 03/08/2010Age 74Localisation Maisons LaffitteSujet Re TĂ©moignage. Aboutit au trois jours de tĂ©nĂšbres. Sam 16 DĂ©c - 724 Les trois jours de tĂ©nĂšbres vais aujourd'hui vous donner ce que j'ai reçu de Marthe Robin sur les trois jours de tĂ©nĂšbres. Mais auparavant je voudrais vous dire. La foi tĂątonne, cherche, parfois se trompe, et finit par trouver la vĂ©ritĂ© puisque c'est la promesse du Seigneur. Je fais la distinction entre ce que je reçois du ciel et que trĂšs souvent j'interprĂšte mal, et ce qui est de l'ordre de mon opinion personnelle. Je rĂ©clame un certain droit Ă  l'erreur. Et je vous implore ; ne faite pas de moi un faux prophĂšte et un imposteur, en faisant de moi un messager de Dieu de toutes mes opinions personnelles. La VĂ©ritĂ© ? on va la faire tous ensemble, mais en communion avec l'Eglise et nos que la distinction est faite, je peux vous donner ce que j'ai reçu de Marthe durant cette Ă©preuve de trois jours de tĂ©nĂšbres, et je ne changerais pas la moindre virgule ; Ă  vous de arrivĂ© la deuxiĂšme nuit de mes jours de tĂ©nĂšbres. Tout ce qui est en bleu est de Marthe Robin Ă  la virgule et au point prĂȘt, et je n'ai rien changĂ©. Elle m'a dictĂ© ça mot aprĂšs mot sans que je puisse deviner le mot suivant, et Ă  chaque phrase je croyais que c'Ă©tait la derniĂšre, mais ça continuait. Ensuite quand j'ai relu je n'ai rien compris, et c'est peu Ă  peu que la lumiĂšre m'est venue. En fait, je ne savais mĂȘme pas que j'anticipais les trois jours de tĂ©nĂšbres, et c'est ce qu'elle m'a dictĂ© qui m'a mis la puce Ă  l' grandes ailes de priĂšre de l'ange de douleur vous seront donnĂ©s afin de surmonter cette vers le point de lumiĂšre, de Marie ImmaculĂ©e. Prends un stylo et nuit"Seigneur, sauve-moi".Ça, tout le monde peut le nuitCertains vont reprendre courage, et faire demi-tour, pour aller chercher leur frĂšre, qui serait perdu sans cela."Seigneur, si mon frĂšre est perdu, que je sois perdu avec lui".Quelques uns le feront, puis d'autres, et d'autres encore, et Ă  la fin tout le monde le nuit"Seigneur, que tous mes frĂšres, que toutes mes sƓurs, soient plus Ă©levĂ© que moi, dans l'ordre de la grĂące, de l'amour et de la saintetĂ©".Quelques uns vont le faire, puis d'autres, et d'autres encore, et Ă  la fin on va finir par tous se pousser Ă  qui mieux mieux vers le commence la dĂ©mesure Ă  vous de juger. A noter que Marthe Robin ne parle pas des phĂ©nomĂšnes fantastiques extĂ©rieurs qui se dĂ©rouleront alors tels que, ObscuritĂ©, apparition de dĂ©mons, tonnerre fracassant et que sais-je encore ? Non, elle ne parle uniquement que de ce que l'on va vivre intĂ©rieurement et le chemin spirituel que l'on devra prendre alors pour bien vivre cette Ă©preuve. Reste que ce n'Ă©tait qu'une vision mĂȘme si trĂšs douloureuse, mais maintenant je dois vivre ça dans la foi. Et croyez moi, il y a du gloire, gloire Ă  toi. Toute ma tendresse pour toi au dĂ©but====================================================================================DerniĂšre Ă©dition par Philippe le Mar 18 Sep - 1910, Ă©ditĂ© 2 fois PhilippeconsacrĂ©Messages 1865Date d'inscription 03/08/2010Age 74Localisation Maisons LaffitteSujet Re TĂ©moignage. Aboutit au trois jours de tĂ©nĂšbres. Dim 17 DĂ©c - 804 Ultime recommandation. Pour moi il y a les visions de la lumiĂšre et les visions de la nuit. Et lĂ  je franchis quasiment la ligne jaune en vous donnant une vision de la nuit, mais je pense que c'est a commencĂ© par un songe et a fini par une mon songe, j'Ă©tais dans une Ă©glise. Je donnais des coup-de-pieds dans les murs, et il y avait des dĂ©mons qui en sortaient qui s'enfuyaient en rampant. Puis je m'Ă©levais au sommet de cette Ă©glise Ă©glise ou Eglise ?, et lĂ  il y avait un dĂ©mon terrible ; mort de trouille mais trop orgueilleux pour s'enfuir. Comme ce songe Ă©tait dĂ©sagrĂ©able je me suis rĂ©veillĂ© ; je suis descendu dans la cuisine me faire un cafĂ© et fumer une cigarette pour penser Ă  autre chose. Mais en vision intĂ©rieur je continuais Ă  voir ce dĂ©mon qui me regardait, dans une parfaite acuitĂ©, et ça me brĂ»lait la tĂȘte. je ne parle jamais au dĂ©mon mais lĂ  je n'ai pu m'empĂȘcher de lui dire "Et toi tu ne parts pas ?". Et lui, je l'ai entendu me rĂ©pondre avec une voix double, que j'ai entendu avec mes oreilles mais quatre cent dĂ©cibels "J'attend la puissance suprĂȘme de monseigneur Lucifer".Sur le coup j'ai Ă©tĂ© terrifiĂ©. Non par la vision elle-mĂȘme car dans ces cas-lĂ  on a toujours la grĂące, mais j'avais trĂšs peur que mes enfants en bas-Ăąge aient entendu aussi. Mais non, je me suis demandĂ© quelle pouvait ĂȘtre cette "puissance suprĂȘme de Lucifer", et finalement j'ai trouvĂ© la rĂ©ponse dans le CEC qui nous dit que la puissance suprĂȘme de Lucifer, c'est l'esprit de l' dĂ©tail qui a son importance en me disant cela, narquois il prenait mon visage. j'ose prĂ©tendre m'efforcer d'ĂȘtre fidĂšle, et donc le diable va crĂ©er la confusion en faisant croire que ceux qui sont fidĂšle sont du cotĂ© du diable, dans un mauvais chemin. Je prĂ©fĂšre ne pas faire de commentaire, sinon que le Padre Pio disait souvent que le poisson pourrit par la tĂȘte. Mais prions, prions beaucoup pour l'Eglise et ces chefs, car l'heure de l'Ă©preuve redoutable entre toutes est gloire, gloire Ă  toi. Toute ma tendresse pour toi au dĂ©but==================================================================================== FrançoiseconsacrĂ©Messages 7626Date d'inscription 12/06/2016Sujet Re TĂ©moignage. Aboutit au trois jours de tĂ©nĂšbres. Dim 17 DĂ©c - 817 Philippe,Je suis sidĂ©rĂ©e, Philippe qu'est-ce que tu en as vĂ©cu des expĂ©riences "mystiques" ! ... Mais, en fait, quand on te connait un peu, cela ne m'Ă©tonne pas outre mesure ! ... Et je suis contente de travailler avec toi. Que tes chevilles n'enflent surtout pas, reste un petit bonhomme tout simple sans aucune prise de tĂȘte, comme tu es dans la toujours dans la Divine VolontĂ© !Bien amicalement, Françoise.====================================================================================Seigneur, aide-nous maintenant Ă  ĂȘtre vraiment catholique et Ă  rester dans la grande vĂ©ritĂ©, en ton Dieu, et ainsi vivre et mourir. PhilippeconsacrĂ©Messages 1865Date d'inscription 03/08/2010Age 74Localisation Maisons LaffitteSujet Re TĂ©moignage. Aboutit au trois jours de tĂ©nĂšbres. Dim 17 DĂ©c - 950 Merci. Non je ne risque pas de faire Ă©clater mes chaussettes. je pense que j'au reçu tout ça justement parce que je suis un spĂ©cimen de petit bonhomme. JĂ©sus s'est d'abord fait une Ă©lite, et maintenant il veut se mettre au milieu de son peuple . Et dire que je suis le plus misĂ©rable de tous serait encore bien prĂ©tentieux.==================================================================================== Contenu sponsorisĂ©Sujet Re TĂ©moignage. Aboutit au trois jours de tĂ©nĂšbres. TĂ©moignage. Aboutit au trois jours de tĂ©nĂšbres. Page 1 sur 1 Sujets similaires» Les trois jours de tĂ©nĂšbres.» Les 3 jours de tĂ©nĂšbres du Padre PIO - un enseignement de Fabienne Guerrero.» La LumiĂšre brille dans les tĂ©nĂšbres et les tĂ©nĂšbres ne l'ont pas arrĂȘtĂ©e.» JĂ©sus est la LumiĂšre du monde, en Lui point de tĂ©nĂšbres.» Sainte Faustine Tentations et tĂ©nĂšbres, Satan Permission de ce forumVous ne pouvez pas rĂ©pondre aux sujets dans ce forum Forum Catholique LE MONASTÈRE INTÉRIEUR. Vivre avec notre Seigneur et sa mĂšre ÉVANGÉLISATIONSauter vers
Onpasse du rire aux larmes, aux drames, j'ai besoin d'sommeil [Aya Nakamura] Si tu m'aimes, arrĂȘtes tes bĂȘtises Il faut grandir Tu m'fais pleurer la nuit [Fababy & Aya Nakamura] T'es tombĂ©e love d'un voyou T'es tombĂ©e love d'un voyou T'es tombĂ©e love d'un voyou Ça doit finir entre nous J'suis tombĂ©e love d'un voyou J'suis tombĂ©e love d'un voyou
Harry Potter 2005 ~€~ PrĂ©-au-Lard ~€~ Rues de PrĂ©-au-LardMaĂźtre de jeu Jour de pluieMaĂźtre de jeu, le Lun 10 Avr - 2224 SituĂ© dans un climat particuliĂšrement changeant, PrĂ©-au-Lard n'est pas Ă  l'abri de la pluie. Sous le soleil, le village semble animĂ©, quelque peu joyeux, Ă©clairĂ©. Lorsque le ciel s'assombrit et fait tomber des trombes d'eau, ou simplement un crachin d'automne, tout devient terne. Les rues sont beaucoup moins remplies, les pavĂ©s sont glissants et les diffĂ©rentes artĂšres ne protĂšgent en rien les passants qui se montrent moins aimables, oĂč le vent s'engouffre sans crier gare. Cependant, la pluie donne une beautĂ© sauvage Ă  PrĂ©-au-Lard, dont les centaines de lanternes brillent aux fenĂȘtres les jours de pluie, comme de nuit. L'odeur de celle-ci emplit les narines et procure, pour certains, un sentiment de fraĂźcheur. Andrew EalesGryffondor Post Ă  dĂ©placerAndrew Eales, le Lun 17 Avr - 355 -Le jour oĂč l'enfer s’abattit sur Terre ! RP Flashback - [PV avec Daegan HarltĂžfsen.]A R T H U R -S M I T HJe vais te tuer Eales !Ça, c'est Arthur Smith, une saletĂ© de deuxiĂšme annĂ©e Ă  Gryffondor. Toujours Ă  s'en prendre Ă  moi sous prĂ©texte que je sois nouveau et surtout tout chĂ©tif. Et ça se dit membre de la maison du courage... mes fesses ouais ! Mais pour savoir pourquoi cette tĂąche me court aprĂšs, il faut remonter quelques minutes en arriĂšre. Alors qu'il m'avait une fois de plus humiliĂ© en sortant des dortoirs, j'avais dĂ©cider de me venger un peu plus tard, durant le petit-dĂ©jeuner. RĂ©sultat ? J'avais "un tout petit peu" sabotĂ© son repas en ajoutant quelques "ingrĂ©dients mystĂšres" assez... spĂ©ciaux ! RĂ©sultat ? Il s'Ă©tait rapidement compte que ça venait de moi et s'Ă©tait mis Ă  me courser un peu partout dans le chĂąteau. Voici donc pourquoi j'en suis lĂ , maintenant, Ă  utiliser mes petites jambes pour tenter de me cacher le plus loin possible avant qu'il ne mette la main sur moi ! Car je suis un garçon trĂšs rĂ©aliste, je sais parfaitement que s'il m'attrape, je vais passer un sale quart d'heure. Et je prĂ©fĂšre rester en un seul morceau ! Je me fraies donc un chemin comme je le peux en passant entre les Ă©lĂšves que je vois, commençant Ă  sortir Ă  l'extĂ©rieur alors que je l'entends se rapprocher de plus en plus, me hurlant dessus au passage. A R T H U R -S M I T HTu vas voir quand je t'aurais attraper !D A M I E N -E A L E SFaudrait dĂ©jĂ  y arriver !Lui tirant la langue au passage, je regarde Ă  nouveau devant moi pour me rendre compte que je suis foutu. Je viens de me stopper pile poil devant le lac, un peu plus et je finissais dedans tĂȘte la premiĂšre ! Et le gros problĂšme est que je n'ai plus aucun moyen de m'Ă©chapper, Arthur n'est pas trĂšs loin et si je tente d'aller Ă  gauche ou mĂȘme Ă  droite, je perdrais bien trop de temps et il finirait par m'avoir, j'en Ă©tait sĂ»r. Ce grand imbĂ©cile commence dĂ©jĂ  Ă  venir devant moi, un sourire de victoire sur les lĂšvres. Mais rira bien qui rira le dernier ! Car tu sais pas ce que je peux mettre dans ton prochain repas !Il fini par ĂȘtre lĂ , devant moi, m'attrape par le col et me pousse un petit peu, mes talons se retrouvant Ă  un rien du lac dans lequel je vais certainement ĂȘtre d'ici quelques instants, connaissant le genre du garçon. Mais peut-ĂȘtre pas directement puisqu'il lĂšve son poing droit, prĂȘt Ă  me frapper Ă  tout instant pour me punir de ce que j'ai osĂ© lui faire. Si seulement j'Ă©tais plus grand et plus fort... il se serait prit une grosse raclĂ©e et aurait arrĂȘter de m'embĂȘter ! Mais lĂ , je ne peux pas lui faire grand chose avec le peu de force que j'ai. J'aurais du ĂȘtre comme mon grand-frĂšre... il me regarde alors et me pose la question que j'attendais depuis tout ce R T H U R -S M I T HUn dernier mot Ă  dire ?D A M I E N -E A L E S... Plouf ? J'espĂšre au fond de moi que quelqu'un va venir me sauver de cette brute, car lĂ , je ne risque pas d'aimer ce qu'il va m'arriver. Mais bon... je rĂȘve sans doute...DAMIEN J. Alice Bonjour Damien. Votre post n'Ă©tant pas conforme Ă  la cohĂ©rence exigĂ©e par le RĂšglement RPG, je l'ai dĂ©placĂ© dans un sujet qui vous est disponible. Merci de faire plus attention Ă  l'avenir. Cordialement. InvitĂ© Re Jour de pluieInvitĂ©, le Jeu 20 Avr - 1409 Assis tranquillement en face du lac, Daegan observait de ses yeux malicieux le chĂąteau de Poudlard de l'autre cĂŽtĂ© de l'eau. C'Ă©tait le weekend et les enfants aillant obtenue une autorisation de sortie pouvaient aller se promener dans le village de PrĂ©-au-lard. La plupart achetaient des bonbon, les plus vieux allaient boire un verre au bar. Mais Dae' n'Ă©tait ni fan de bonbon, ni assez vieux pour boire ce qu'il voulait. Du coup il Ă©tait dans un espĂšce d'entre deux, lĂ , face au lac. Au moins il Ă©tait tranquille. Le jeune garçon Ă©tait assez dynamique mais il adorait ces moments de calme. C'Ă©tait dans ce genre de moment qu'il prenait le temps de s'adresser aux Dieux nordiques. Il les remerciait souvent pour les pouvoirs qu'ils lui avaient offert Ă  la naissance. Tu vas voir quand je t'aurais attraper ! » Fronçant lĂ©gĂšrement les sourcils, le deuxiĂšme annĂ©e dĂ©tourna son attention du lac pour tenter de reconnaĂźtre la voix. Cette derniĂšre semblait lointaine mais en colĂšre. PitiĂ©, Odin, que personne ne vienne le dĂ©ranger maintenant... Sauf si c'est important... Et que son rĂŽle est essentiel dans cette histoire ... Poussant un soupir, le jeune homme qui Ă©tait dĂ©jĂ  grand et carrĂ© pour son Ăąge tenta de se concentrer Ă  nouveau sur la mĂ©ditation dans laquelle il se trouvait juste avant. Faudrait dĂ©jĂ  y arriver ! - P*tain.. » LĂącha t-il en se tournant cette fois ci vers les voix qui se rapprochaient alors qu'il vit, un peu plus loin, un tout petit bonhomme s'arrĂȘter juste en face du lac. Au vue de la course folle, Daegan Ă©tait persuadĂ© qu'il allait finir Ă  l'eau. Mais non. Il s'arrĂȘta Ă  temps et sembla peu serein Ă  la vue d'un autre garçon qui arrivait Ă  sa suite. Ah lui il le connaissait ! Smith, ils avaient cours de soin aux crĂ©atures ensemble. Idiot ce type. Bon Daegan aimait aussi faire l'imbĂ©cile de temps en temps mais jamais si ça doit atteindre quelqu'un d'autre. Smith, lui, c'Ă©tait principalement ça qui le faisait marrer Faire ch*er les autres. Surtout les plus faibles. Genre le petit bonhomme en question juste lĂ . Un dernier mot Ă  dire ? » Et lĂ , un poing se lĂšve. C'est une blague ? Il allait vraiment user de violence ? Daegan, du haut de ses 1m68 malgrĂ© son jeune Ăąge, se redressa alors pour s'approcher. Eh ! » Surpris par cette voix sortie de nul part, le bourreau baissa sa main pour s'intĂ©resser au nouvel arrivant. Qu'est ce que tu fiches ici Daegan ? - Ma prĂ©sence est lĂ©gitime contrairement Ă  ta façon d'agir. Laisses le tranquille. » Le gryffondor, sentant sa fiertĂ© menacĂ©, s'approcha alors de son alter ego les poings serrĂ©s. Ils faisait Ă  peu prĂšs la mĂȘme taille, le jaune Ă©tant lĂ©gĂšrement plus grand. Tu m'donnes des ordres toi ? - PlutĂŽt des conseils. » La rĂ©partie et l'air un peu trop sĂ©rieux du NorvĂ©gien sembla dissuader quelques peu l'autre garçon. MĂȘles toi de tes affaires. - La prochaine fois fais en sorte de ne pas te donner en spectacle alors. » Un combat de regard sembla durer une Ă©ternitĂ© alors que le petit bonhomme, Ă  cĂŽtĂ©, n'avait toujours pas prenant un sourire moqueur pour cacher sa frustration, Smith lança un regard menaçant vers l'enfant et un clin d'oeil Ă  Daegan. On se voit en cours Dae'. - Ouais c'est ça. » Gardant la mĂąchoire contractĂ© jusqu'au rĂ©el dĂ©part du rouge et or, le norvĂ©gien finit par se dĂ©tendre en poussant un soupir. C'Ă©tait un rĂ©flexe qu'il avait, Ă  chaque fois qu'il sentait une bagarre arriver il contracter sa mĂąchoire en cas de coup, pour que l'impact soit moins puissant. Technique qu'il avait apprit en se battant avec ses frĂšres. Enfin, il s'intĂ©ressa au petit bonhomme. Il lui adressa un sourire bienveillant et lui mit un petit coup dans l'Ă©paule. Si tu veux mon avis, soit tu apprends Ă  te dĂ©fendre, soit tu arrĂȘtes tes bĂȘtises. » Parce qu'il Ă©tait plus qu'Ă©vident que l'enfant Ă©tait un semeur de trouble. Andrew EalesGryffondor Re Jour de pluieAndrew Eales, le Jeu 27 Avr - 1541 -Le jour oĂč l'enfer s’abattit sur Terre ! RP Flashback - [PV avec Daegan HarltĂžfsen.]Alors que je me demande quelle religion je vais choisir pour demander Ă  un dieu de me sauver de cette tĂąche d'Arthur, j'entends une voix un peu plus loin qui vient de me sauver sans avoir fait quoi que ce soit, puisque l'autre brute me relĂąche tout de suite. Ouais ! Victoire pour Eales ! La personne ayant volĂ©e Ă  ma rescousse s'appelle visiblement Daegan, un Ă©lĂšve bien plus grand que moi - mais ça, c'est pas dur, je suis un vĂ©ritable nain ! - et plus costaud surtout - mais encore une fois, pas dur, je suis une vĂ©ritable brindille ! - n'ayant du coup aucun mal Ă  se faire respecter par la fouine de que... l'autre idiot s'approche de lui en serrant les poings... ils ne vont quand mĂȘme pas se battre ? Car si ça arrive, j'ai juste Ă  venir discrĂštement et paf ! Une petite reprĂ©sentation personnelle de Casses-Noisettes pour Smith ! Mais je n'aurais pas Ă  user du coup de pied bien placĂ© vu que finalement, le crĂ©tin fini par s'en aller, me lançant un regard menaçant juste avant. Alors que je le vois s'Ă©loigner, je lui fait de grands signes de la main, un large sourire aux lĂšvres, content de le voir partir, surtout que je pensais finir dans la flotte !L'autre garçon se retourne finalement vers moi et vu son Ă©cusson, il semble ĂȘtre un Poufsouffle. AprĂšs m'avoir lancĂ© un sourire bienveillant, il me frappe doucement dans l'Ă©paule - heureusement d'ailleurs, sinon, hop, plus d'Ă©paule ! - pour finalement me dire que j'allais soit devoir apprendre Ă  me battre soit arrĂȘter les bĂȘtises. Oh bah le choix est simple, trĂšs trĂšs simple mĂȘme !D A M I E N -E A L E SJ'apprends Ă  me dĂ©fendre alors ! Comme ça la prochaine fois qu'il veut s'en prendre Ă  moi, je lui pĂšte la tĂȘte !Et vu que je suis un garçon plein d'Ă©nergie, je ne peux pas m'empĂȘcher de mettre quelques coups dans le vide, mimant ce que je compte faire Ă  Arthur la prochaine fois, pour ensuite sourire Ă  mon sauveur et placer mes mains derriĂšre ma tĂȘte. Sur le coup, il Ă©tait tombĂ© Ă  pic, sinon ça aurait Ă©tĂ© moi ! Tiens d'ailleurs... je me mets Ă  observer celui qui semble s’appeler Daegan, me rappelant ensuite de tout ce qui venait de se passer avec l'autre tĂȘte de lutin. Et rapidement, je lui pose une A M I E N -E A L E STu veux pas m'apprendre toi d'ailleurs ? T'as l'air fort, puis si j'dois attendre la fin d'annĂ©e pour ça... L'autre avec son hygiĂšne de troll avait l'occasion de me frapper plusieurs fois durant l'annĂ©e et Daegan ne serait pas lĂ  Ă  chaque fois. Et puis mĂȘme en dehors de Poudlard, ça allait ĂȘtre dur de pratiquer des sports de combats en Ă©tant Ă  l'orphelinat... du coup, mon unique espoir se trouve devant moi ! Et alors que j'attends sa rĂ©ponse, quelque chose me revient soudainement et je me dĂ©pĂȘche alors de reprendre la A M I E N -E A L E SOh ! Je m'appelle Damien Eales sinon ! Et merci de m'avoir sauver de l'autre tĂȘte d'ampoule J. Kohane W. UnderlindenMDJ-GestionnaireHarryPotter2005 Re Jour de pluieKohane W. Underlinden, le Dim 4 Juin - 1734 Pas de rĂ©ponse depuis plus d'un problĂšme, me avec Seth McSoulPlicPlocContre le carreauNuit d'orage et de pluieTrombes d'eau qui s'abattent sur les pans d'une auberge anonyme, contre les vitres d'une chambre anonymePlongĂ©e dans le d'alcool ; bouteilles roulant au solDraps froissĂ©s, agitĂ©s, retournĂ©sSur le grand lit dĂ©pliĂ©Mouvements des corps anonymes, eux aussi, seulement chair fraĂźche dans cette chambre noireLes respirations au rythme presque des plic ploc du dehorsLes yeux ne se regardent pas, ne se voient pas, ils voient ailleurs, ils voient peut-ĂȘtre un autre, une autre, ils ne voient plus et le corps se contente de prendre, d'accepter l'inconnuDans un tourbillonnement d'alcoolEt perdition de l' l'auberge sans nom, ce sont deux silhouettes sans nomQui s'entremĂȘlent sans motEt dans les anonymes,Il y aJeMoiJe sais qui je suisMais je ne sais pas qui est l'autre,LuiIlQui est-il ?Aucune idĂ©e et qu'importeBon sens et rĂ©flexion anesthĂ©siĂ©s par la bouteilleLes pensĂ©es ne virevoltent plusLe corps a pris le desusSur l'espritEt agit seul,MĂ©canique presquePour sa seule satisfactionAlors que tout le reste se noie dans cette si prĂ©cieuse boisson, tellement utile pour oublier !Pour oublierS'oublierMais ne pas oublier d' survivre, il faut parfois se perdreLoin de tout, loin des autres et de soiPour enfin rĂ©ussir Ă  revenir pleinementReprendre pied avec le poids d'enclumeEt les responsabilitĂ©s non souhaitĂ©esReprendre pied et repartir de plus belleOublier pour survivreVoilĂ  Ă  quoi j'en suis je me perdsDans la pluie d'alcoolAlors que la pluie du ciel vient frapper toujours plus durement le carreauJe danse sur le fil de la vie, titubante et chancelante, bouteille Ă  la mainEt, bon sens anihilĂ©, je crois pouvoir courir sur ce fil sans jamais me rompre le couAlors je rĂȘve que je suis plus forte mĂȘme que la vieEt que survivre n'est qu'une mission des plus me sentir ainsi partir,Loin de tout, loin des autres et de soi,Voguer, flotter, coulerSans jamais rĂ©sister Ă  l'appel tendre des effluves d'alcoolEt aux bras inconnus tout aussi perdus que les miens,Les bras sans nom, sans visage, sans voixJuste amas de chair contre chairPour oublier le resteDans une nuit d'orageSur un lit non-familierD'une auberge sans nom. La tĂȘte me tourneEt je ne sais plus si la chaleur qui inonde mon corpsEst rĂ©elle ou simplement imaginĂ©e Entre deux images fantasmagoriques aperçues au milieu de battements de paupiĂšresNuit d'oubli, d'alcool et de dĂ©baucheJ'ai chaud et froidEntre Ă©veil et sommeilUne goutte de trop dans le sangEt des idĂ©es en pelo de laine qui s'emmĂȘlent Ă  l' me semble que mon corps nu sous la drap va se faire bouffer par le matelas trop tourbillonantQue mon cerveau fatiguĂ© va exploser sans mĂȘme que je m'en aperçoiveEt que ma personne toute entiĂšre va finir par disparaĂźtre dans un nĂ©ant des plus non, je reste,Je demeure,Immobile dans le noirAlors que l'autre silhouette sans nom repose Ă  quelques centimĂštres de moiEt un silenceDe mortSeulement la pluie qui tape sans rĂ©pitEt l'orage qui accompagne mon orage intĂ©rieurDu parcours dĂ©vastateur de l' me paraĂźt plus lent,Trop lent, mĂȘme,Tic et tac n'ont plus le mĂȘme rythme,MĂȘme plic et ploc perdent de leur Ă©nergie au creux de mes vie au bord des lĂšvres, je pousse tout de mĂȘme un soupirMais n'ose pas desserrer les mĂąchoiresDe peur que les entrailles ne remontent douloureusementJusqu'Ă  ĂȘtre expulsĂ©es par ma propre tempsAu milieu de bouteilles et sueurEt machinalementMon pouce gauche joue avec ma bagueCelle qui dit que je ne devrais pas ĂȘtre lĂ Dans des bras inconnusCelle qui signifie tant de choses pour certainesEt si peu pour moiCelle qui annonce mariage, soi-disant plus beau jour de sa vie,Et qui ne me donne qu'une envie un peu, je ferme les paupiĂšres quelques secondesEcoute seulement le plic et plocAlors que je continue de faire jouer l'anneau sur mon qui, toi ?La question que j'aurais dĂ» poser avantMais que je ne pose qu'aprĂšsEt je sais mĂȘme pas vraiment si j'attends une veux justepartirloinde tout ça. InvitĂ© Re Jour de pluieInvitĂ©, le Dim 4 Juin - 2216 L' ne fais que chercher l' nuit, un bar, une femme, six souris, j'esquisse dans mon esprit, quelques lui montre mon carnet, lui propose de la dessiner, elle accepte, quelques traits, je mon sac, un portrait. Dans mon ventre, de l'alcool. Dans ma tĂȘte, du recouvre mes esprits, je suis lĂ , dans un plein Ă©lan, le regard vide, pas de m'observe, elle se questionne, croquis, je m'en souviens. La femme, je ne m'en souviens est-elle ? D'oĂč vient-elle ?Quel Ăąge a-t-elle ?Une sorciĂšre, pas de doute, l'auberge Ă©tait magique, les couverts moi, qu'est-ce que je fous lĂ  ?Je ne manque de si, de tout ma vie est nulle, lamentable, je suis un incapable sans le sou, logĂ© chez ne m'aime pas, je ne vis pas, je suis un ne dessine pas par plaisir, je dessine pour sexuellement, je ne me suis jamais voilĂ , dans un lit, avec elle, qui est-elle ? Je n'en sais rien, mais elle remue Ă  la mĂȘme allure que moi, en silence, et je ne m'arrĂȘte pas, comme si j'avais envie d'aller au bout des qu'est-ce que je fous lĂ , moi ?J'ai trop me souviens d'une fois, chez Meredith, il y a trois ans. Son copain l'avait quittĂ©e, elle m'avait appelĂ©e en pleurant Ă  chaudes larmes. Nous venions tout juste de reprendre contact, elle m'avait demandĂ© de venir chez elle. Nous aurions pu discuter, j'aurais pu la consoler, faire le psy comme j'ai appris Ă  le faire, mais elle m'a embrassĂ© et m'a entraĂźnĂ© avec elle. Je n'avais pas bu, j'Ă©tais entiĂšrement sobre, elle n'Ă©tait pas elle-mĂȘme et ce n'Ă©tait pas raisonnable. Pourtant, c'Ă©tait ma premiĂšre fois et je me suis laissĂ© faire, comme un garçon curieux qui veut dĂ©couvrir les choses en sachant pertinemment qu'il se tiendrait mieux en gardant ses distances. Mais j'ai tout appris, et je n'ai rien oubliĂ© de cette fois lĂ . Meredith et moi en avons peu reparlĂ©, mais le temps a passĂ© et j'ai connu d'autres filles, et toutes m'ont appris, elles aussi, et je me souviens de chacune d' elle... Elle, je ne me souviens pas. Et pourtant, je le vis, lĂ , dans l'instant prĂ©sent, la voici en face de moi et je ne saurais me souvenir de son vois Ă  peine son visage, nous sommes tapis dans l'ombre, je m'agite avec une simple voilĂ  qu'on s'Ă©tale, l'un Ă  cĂŽtĂ© de l'autre, essoufflĂ©s tous les deux. C'est tĂȘte tourne, je n'ose pas la T'es qui, toi ? me ton de sa voix me rappelle certains souvenirs, assez le bar, il y a quelques heures, elle me parlait dĂ©jĂ  sur le mĂȘme ton, ni poli ni je me souviens d'un dĂ©tail, alors, un dĂ©tail que j'aurais prĂ©fĂ©rĂ© n'est qu'une gamine, une ado de 17 semble avoir apprĂ©ciĂ©, j'ai apprĂ©ciĂ© aussi, mais qu'est-ce que je fous lĂ  ?Je voulais simplement la dessiner, je n'ai jamais voulu aller aussi ans seulement, m* seulement c'Ă©tait la premiĂšre fois, j'aurais pu passer Ă  cĂŽtĂ©, mais deux fois en une semaine, ça va trop la gamine du cimetiĂšre, maintenant la gamine du qui ne tourne pas rond chez moi ?- n'ai pas envie d'en dire plus, je n'ai pas envie de parler, je m'en veux seulement ma mĂšre voyait seulement mon frĂšre voyait seulement Ariana voyait seulement Meredith voyait M*rde. Si ça pouvait ĂȘtre elle...Cette fille n'a que 17 ans, p* C'Ă©tait pas une bonne idĂ©e. Kohane W. UnderlindenMDJ-GestionnaireHarryPotter2005 Re Jour de pluieKohane W. Underlinden, le Lun 5 Juin - 1925 Le bateau tangueEt je ne fais attention Ă  rienSeulement portĂ©e sur son dos chancelantLes paupiĂšres closesA Ă©couter les bruitsQui m' y a la pluie lointaineParfois le grondement sourd de la terre et du ciel Mais surtout la respiration de l'autre,Corps sans nom,Silhouette sans visage dans le noirSa respiration qui prouve qu'il est tout de mĂȘme vivant ;Il n'est pas fantĂŽme,Il est humainIl respireEt pour peu, je pourrais entendreBattre son coeurDans sa sais plus trĂšs bien comment on en est arrivĂ©s lĂ A partager un Ă©treinte silencieuse dans l'ombreSi peu de mots Ă©changĂ©sMais de bonnes gorgĂ©e de je-ne-sais quel savoureux mĂ©lange un jeu de regard dans un barJe ne sais plus trĂšs bienLes feuilles de croquis qui dĂ©filent sous les yeuxEt son crayon qui gratteAlors que nous buvonsIl est Ă  la fois concentrĂ© sur les traits qu'il traceEt sur le verre qu'il saisit par plus grand choseUne mĂ©moire floueDes images dont je n'ai cureL'important, c'est seulementDe savoir qu'on est lĂ Qu'on a atterri lĂ Et que je sais mĂȘme pas qui il estPas plus qu'il ne sait qui je la nuit et l'ambiance calme de l'aubergeSa voix remonte et me parvientLe seul nom qui ne me dit absolument rienEt l'Ă©vidence qui s'impose Je ne le connais vraiment ne saurais mĂȘme pas dire Ă  quoi il ressemble,Les images sont flouesEt dans le noir, on ne voit plus grand yeux clos, je ne le regarde pasEt mĂȘme si je le faisais,SitĂŽt demain, je l'aurai oubliĂ©Peut-ĂȘtre me rappellerai-je de son Ă©treinteMais pas de ses traits, ça c'est certainCar ce n'est pas ça que j'ai envie de retenir de lui,Ce n'est pas ça le plus important chez lui ce soir ;Seulement savoir qu'il y avait lui et moiDans un grand litSans nous connaĂźtre,Cela me a l'air de penser, se perdre en rĂ©flexions anesthĂ©siĂ©esEt sa voix se fait entendre de nouveau,Pointe de regret peut-ĂȘtre vibrant au fond de la gorgeMais de toutes les façons, ce qui est fait est faitQue veux-tu ?Lentement, mes paupiĂšres se rouvrentEt mes pupillent fixent le plafond plongĂ© dans l'ombrePlafond lisse auquel est suspendu une simple chambres ici sont aussi nues que mon corps sous le drap,Aucune touche personnelle, aucune dĂ©co originale,Murs blancs pour plafond blanc Des dĂ©tails que je revois dans un flashJe sais pas pourquoiJe me rappelle de ça, me rappelle de l'aspect de la chambre Ă©clairĂ©e par l'ampoule tremblotanteAlors que je suis incapable de tracer dans mon esprit les traits de l'autre Ă  cĂŽtĂ© de lui, qui a commencĂ© Ă  me dessiner,Pas moi,Je ne suis pas capable de faire telle choseJe ne sais pas peindre les gensJe ne sais pas regarder leur visageJe me contente d'entourer leur personnalitĂ© Pour les de triturer mon annulaire, Je passe ma main gauche sur mon visage,Remonte jusqu'Ă  la racine de mes cheveuxEt les doigts viennent s'y perdreAlors qu'un nouveau soupir m' de vomir est passĂ©eEt je ne me sens plus que flotterDans un bien-ĂȘtre vivre sans jamais chercher Ă  oublier qui est une mauvaise atoneAlors que mes yeux restent fixĂ©s au plafondEt que mes doigts glisse le long de ma chevelure Avant que le bras ne retombe mollementSur le mal y a-t-il Ă  vouloir oublier,Danser sur les moeurs et la viePour, une fois seulement, dire qu'on s'en fout ?Pourquoi regretterCe qui est faitEt a Ă©tĂ© apprĂ©ciĂ© ?Moi, je ne ressens pas cela,VoilĂ  un moment que je n'ai plus ressenti celaParce que les regrets ça ne fait jamais avancerEt de toutes les façons, ça ne permet pas de revenirSur le commeLes si, c'est vrai, pleurer,Ca permet d'Ă©vacuerEt se tranquilliserEn s'Ă©croulant Ă©puisĂ©D'avoir trop de larmes je fais basculer mon corps sur le cĂŽtĂ©,Bras repliĂ©, coude posĂ© sur le matelas, tĂȘte posĂ©e dans la paume ouverteEt je regarde la silhouette d'Ă -cĂŽtĂ©,Silhouette plus si anonymeParce que maintenant, j'ai un nom, yeux se contentent de regarderNon pas dĂ©vorerSeulement observerL'Ăąme torturĂ©e d' regrets sont en train de te torturer ou quoi ?Un silenceAbandonnĂ© aux angesDe la nuit Et mon regard le lĂąche,Se perd sur le matelasDans le videMonde parallĂšle de l' pas regretter. Sinon une vie dĂ©jĂ  pourrie devient insupportable. InvitĂ© Re Jour de pluieInvitĂ©, le Lun 5 Juin - 2037 Je suis c*n. Je suis c*n. Je suis c* suis vulgaire. Trop vulgaire. ArrĂȘte d'ĂȘtre m*rde, quoi, elle a dix-sept ans !- C'est vivre sans jamais chercher Ă  oublier qui est une mauvaise idĂ©e, me qu'elle raconte ? J'y comprends qu'une gamine qui inventes des mots, tu es trop jeune, tu sais pas penser, moi aussi je disais des c*nneries Ă  ton ans, m*rde...Je ferme les yeux, je n'ose rien regarder. Je la vois qui bouge Ă  cĂŽtĂ© de moi, qui se tourne, est-ce qu'elle me regarde ? J'en sais rien, je ne la regarderai ne veux pas voir son visage innocent, si jeune, si pur, si...Non, Seth, ans, ce n'est rien, la moitiĂ© des filles l'a dĂ©jĂ  fait Ă  17 ans, elle n'est pas si jeune, elle s'apprĂȘte Ă  quitter Poudlard - si elle est est Ă  Poudlard ? J'en sais me fait si mal d'y vie Ă©tait dĂ©jĂ  si m*rdique, et voilĂ  que je couche avec une Tes regrets sont en train de te torturer ou quoi ? ne sais plus quoi donner de la suis suis suis un vieux qui couche avec des mĂȘme genre de mecs que je trouvais ridicule lors de mes premiĂšres annĂ©es Ă  Poudlard, quand les Ă©lĂšves de SeptiĂšme annĂ©e volaient toutes les jolies filles de mon n'a trouvĂ© personne de son Ăąge ?Elle... C'est quoi son nom, dĂ©jĂ  ?- C'est quoi ton nom, dĂ©j...- Faut pas regretter. Sinon une vie dĂ©jĂ  pourrie devient insupportable....Je regrette tellement.......Est-ce que ma vie est insupportable ?......- C'est quoi ton nom, dĂ©jĂ  ?J'arrĂȘte d'y penser, ou dans quelques heures, je me jette du haut d'un les la n'est pas n'est pas moche non ?Non, c'est pas est plutĂŽt pas mal, en l'impression de la fixer. Je dĂ©tourne vite le regard, je ne veux pas la m'apprĂȘte Ă  m'excuser, mais elle va encore dire que je repense Ă  ce qu'on vient de agrĂ©able. Doux. Sensuel. bon, on l'a fait en Ă©tant bourrĂ©s, aussi, ça change la Le regret est humain, je suis pas insensible. Mais pour le coup, j'arrive pas vraiment Ă  savoir si je dois regretter ou lĂšve les yeux, je fixe le vide. C'est toujours mieux que de la fixer Tu sais, il y a des moments oĂč ta vie est tellement dĂ©sespĂ©rante que t'arrives plus Ă  savoir si elle est lĂ©gĂšrement douloureuse, ou tout simplement pourrie, ou carrĂ©ment fait super Il y a des moments oĂč tu souffres, c'est tout. T'en as pas grand chose Ă  foutre de calculer ton degrĂ© de me redresse, m'assieds sur le lit, j'attrape un morceau de la couverture et je m'Ă©ponge vulgairement le front en espĂ©rant qu'elle ne regarde pas Mais bon, moi, j'ai confiance. Quel que soit mon niveau de dĂ©tresse, quand j'aurai envie de remonter Ă  la surface, je sais que je le ferai sans problĂšme. J'ai beau ĂȘtre un c*n ou un lĂąche, je pense quand mĂȘme avoir un minimum de courage pour pouvoir me sauver coup, ma tĂȘte fait me retourne, je la a des yeux sombres, sans trop profonds, peut-ĂȘtre, sais Kayane, non ?C'est son nom, je crois. Kohane W. UnderlindenMDJ-GestionnaireHarryPotter2005 Re Jour de pluieKohane W. Underlinden, le Mar 6 Juin - 015 Je ne comprends pas,Ceux qui aimeraient revenirSur une expĂ©rience pourtant pas dĂ©sagrĂ©ableA cause de je ne sais quel point de gens-lĂ , j'aimerais leur direDe garder leurs regrets pour des situationsBien plus graves, qui les mĂ©ritent vraiment,Des situations oĂč vouloir faire machine arriĂšrePuisse ĂȘtre justifiĂ© sans si, dans ces cas-lĂ ,Les regrets font davantage malQue le sais car autrefois,Il m'est arrivĂ© de regretter,Mais pas pour une Ă©treinte anonyme abandonnĂ©e Ă  un inconnu,PlutĂŽt pour les actes que je n'ai pas eu le courage de faire,Les cris que je n'ai pas eu le cran de pousser,La voix que je n'ai pas eu le courage de faire entendreEt un manque de rĂ©action qui a pu coĂ»ter la vie de personnes tombĂ©es sous mes ça,C'est sans doute mon pireEt plus rĂ©el regret De n'avoir rien pu faire pour les sauverDe n'avoir rien tentĂ© pour eux,ParalysĂ©e et anesthĂ©siĂ©e par la peurEt de les avoir laissĂ© partir,De leur avoir offert mon regard impuissant pour unique dernier ce soir,Je ne vois pas ce qu'il y aurait Ă  regretter ;Au contraire,Je me sens bien dans ce tourbillon sans finVoilĂ  un moment que je n'avais plus Ă©tĂ© dans cet Ă©tatDĂ©licieux d'Ă©loignement du monde. L'ombre me demande mon nom avant de me regarder,Je sens son oeil peser dans l'obscuritĂ©-Ă  mon tour, je pose de nouveau mon attention sur lui-Et sa pupille me dĂ©tailler comme je le dĂ©tailleAvant de brusquement changer de direction,Comme prise d'un sursaut de biensĂ©anceQui dit qu'on ne fixe pas ainsi les gens, c'est Ă  faire de ces parolesDe gens bien pensantsQui veulent se faire passer pour droits dans leurs bottesAlors qu'ils sont encore pire que nous ?Regarde-moi, si tu en as envie,Moi, je ne me prive pas,J'aime regarder les gens,En silence,Observation de ce qui se dĂ©gage chez euxSans faire attention rĂ©ellement Ă  leur physique,Je regarde seulement les traits de caractĂšre que je pourrai retenir d' te regarder dans le noir ce soir,Toi, l'inconnu au nom si lointain,SethTe regarder pour essayer de savoirQui tu il reprend,Sa voix file sur les airs,Tisse une toile de motsQue j'absorbe sans le lĂącher des yeuxQue j'entends Ă©coute et est torturĂ©Et secouĂ©, l'inconnu,Perdu dans les moments douloureux de l'existenceEt ses mots me parlent,Vibrent en mot dans toute leur splendeur Et leur Ă©clat de vĂ©ritĂ© ;Je ne savais pas qu'une ombre inconnue comme luiPouvait parler aussi bienEt poser ces mots-lĂ  sur les maux d'une vieQue je ne comprends qu'il avance dans sa rĂ©flexionJe me mords la lĂšvre infĂ©rieureParce que ses parolesFont remonter Ă  la surfaceTout ce Ă  quoi moi-mĂȘme je fais faceLes flashs douloureux de souvenirs qui devaient s'oublier dans l'alcoolEt la pelote de pensĂ©es se remet en routeAlors qu'au contraire, je ne voulais plus,Ne voulais plus rappel cruel de l'existenceCrispe la mĂąchoire Tandis que lui se redresse,Sa silhouette vient se mettre en position assise sur le litEt la couverture se froisse entre ses doigtsAlors qu'il se saisit d'un pan dans l' quelques phrasesDĂ©bitĂ©es Ă  l'universEt soudain, il tourne son visage vers moi,PremiĂšre fois que nos regards se croisent ainsi,PremiĂšre fois en tout cas dans ce dont je suis capable de me souvenirCar tout avant est plutĂŽt indistinct,Pour sĂ»r que nous nous sommes regardĂ©s,Avant, dans le bar, Pendant, dans le grand litMais ce n'Ă©tait pas un regard du mĂȘme ordre ;LĂ , c'est celui qui observe pour de vraiCelui qui fais attention et nom-qui n'est pas le mien-Sorti de ses lĂšvresComme une ultime tentative de se rappelerDe ce qu'il a oubliĂ©De ce qu'il n'a pas Ă©coutĂ©Ou de ce qui n'a pas Ă©tĂ© corrigeDans un souffleLes yeux levĂ©s vers sa silhouetteAvant de m'asseoir Ă  mon tourRamenant le drap contre ma poitrineNon pour une quelconque pudeurMais parce que j'ai besoin de sentir quelque choseContre as de la chance, de pouvoir remonter Ă  la surface si tu le veux. Moi, je stagne et je coule. Ce n'est pas par manque de courage. J'essaie. TrĂšs sincĂšrement. Mais ce doit ĂȘtre un manque de force. Un Ă©puisement trop intense d'une trop longue lutte pour du me mords de nouveau la lĂšvreInstant de rĂ©flexionComment arrive-t-il Ă  avoir cette dĂ©termination de pouvoir remonter quand bon lui semble ?-J'arrive pas Ă  me sauver moi-mĂȘme. J'ai besoin des autres. Et mĂȘme comme ça, c'est difficile. Mais ça l'est encore plus si je suis besoin d'une mainPour tenir la mienneEt me donner le courageDe faire un nouveau pasDans ce mondeDe bĂȘte, hein, mais j'ai besoin du monde, je l'aime tout autant que je le je me dis que je danse sur lui,Que je le piĂ©tine Tout autant que je le cajole ;Je veux ĂȘtre avec luiAutant que je veux le fuir ;Je veux Ă©chapper Ă  son Ă©treinteAutant qu'il m'est devenu indispensable pour survivreEt me releverAlors mĂȘme qu'il Ă©tait la cause de ma relation au mondeDans son entierEst si compliquĂ©e que je ne sais moi-mĂȘme plus trĂšs bienComment l'expliquer,OĂč me ai-je autant d'amour Ă  offrir aux gensEt autant de dĂ©goĂ»t pour le monde ?Autant d'affectionEt de mĂ©pris ?Pourquoi le monde a-t-il cessĂ© de tourner pour moi,Pourquoi m'a-t-il reniĂ©e m'empĂȘcher de tourbillonner encore en son sein,Me laissant misĂ©rablement au bord de la route,EsseulĂ©e et abandonnĂ©e ?Trop de pourquoiRageuxPour pouvoir tous les dans le fond, je sais bienQue je ne trouverai jamais de rĂ©ponseAlors autant poser des questionsQui peuvent en parce que tu n'as d'autres choix que d'ĂȘtre seul que tu as la capacitĂ© de te sauver toi-mĂȘme ?Quel solitaire es-tu donc,SethPourquoi Ă©tais-tu lĂ  ce soir,Pourquoi Ă©tais-je lĂ  moi aussiEt pourquoi ici ensembleAssis dans un grand litAprĂšs un moment d'abandonA deux ?Les bras repliĂ©s contre ma poitrineMaintenant le drap contre le corpsMon pouce se remet Ă  jouer machinalementAvec la bagueTandis que j'attends en silenceLa voix de l'Ăąme voisine torturĂ©e./Seth est en retard mais arrive bel et bien. Donc ne pas poster svp !\ InvitĂ© Re Jour de pluieInvitĂ©, le Dim 9 Juil - 032 Et elle me corrige,Car elle a beau avoir 17 ans, elle n'est pas bĂȘte, la conteste mes mots, Ă©labore les siens,et ses pensĂ©es s'entre-mĂȘlent dans une vision sans doute trop globale d'un monde qu'elle heurte sans connaĂźtre as dĂ» en baver, toi, Kohane, pour goĂ»ter Ă  tant d'amertume alors que le monde ne t'a montrĂ© qu'une infime parcelle de ce qu'il est capable de t' es-tu ?Une fille ? Une femme ? Une entitĂ© venue pour moi, pour me soutenir ?Dans quoi vis-tu ?L'Ă©motion ? La sensation ? La rĂ©flexion ?Tu es lĂ , tu apprĂ©cies ma prĂ©sence mais cela ne te suffit pas, tu cherches Ă  la dĂ©fier, Ă  savoir Ă  qui tu as affaire,Ou alors peut-ĂȘtre essaies-tu simplement de trouver une Ăąme charitable capable de comprendre et d'avaler toute ta peine, de l'engorger pour t'abandonner dans un doux Ă©tat de Kohane, j'aurais beau tenter de te guĂ©rir, cette cure ne serait qu'Ă©phĂ©mĂšre, tu ne t'Ă©chapperas pas avec tiens Ă  te laisser ici, sur Terre, avec toutes tes peines et tes joies,Car tu dois voir, Kohane, tout ce que tu ne connais pas encore et qui saurait te redonner le ne te guĂ©riras pas auprĂšs des autres, car les autres ne sont pas lĂ  pour autres ne sont que des passages, des transitions,et si tu te confies Ă  eux, ils finiront par te rendre ce que tu leur as seule Ă  qui tu peux te confier, Kohane, c'est toi,Car mĂȘme si tu ne peux te comprendre entiĂšrement,Tu es la seule Ă  percevoir le monde Ă  ta maniĂšre,Et le monde s'adapte aux yeux de Ce n'est pas une question de chance, ni de volontĂ©, ni de courage, ni de force. La chance n'existe pas, et le reste s'apprend. Je serais tentĂ© de te dire que c'est une question d'apprentissage, mais qui sera lĂ  pour t'apprendre, si tu te sens incapable d'apprendre par toi-mĂȘme ? LĂ  non plus, ça ne marche la vois qui se recroqueville, ramĂšne vers elle un drap, couvre ses seins, je la contemple et je la trouve son le monde peut ĂȘtre Alors je pourrais te dire que c'est une question de croyance, peut-ĂȘtre. Si tu vois le monde comme le Diable, alors il t'enverra en enfer. Si tu le vois comme ta Nourrice, alors elle te bercera tendrement, dans un couffin moelleux, si confortable, si paisible... Mais dans quelle dĂ©sillusion vivrais-tu alors, si loin de tout, sans rien connaĂźtre des malheurs d'une la croyance, ça aussi, ça s' que je dis n'a aucun parle sans rĂ©flĂ©chir, je rĂ©ponds comme ça, d'un coup, et je me dis que, sĂ»rement, tout ira La vĂ©ritĂ©, Kohane, c'est que je suis lĂ  Ă  t'Ă©couter mais je n'ai aucune solution Ă  te proposer. Et tu fais pareil pour moi, tu m'Ă©coutes plaindre mes dĂ©fauts et vanter mes mĂ©rites. Et quand tu me dis que tu coules, que tu es incapable de te sauver... Et quand je te dis que je souffre, en attendant toujours un espoir de remonter Ă  la surface...Et quand j'observais ma mĂšre plonger en pleine dĂ©pression...Et quand je consolais Meredith, troublĂ©e par l'amour...Et quand j'apprenais la mort de Kira, sans savoir comment soutenir une famille que je n'avais jamais connue...Et quand ils m'attendaient, moi, enfermĂ© dans ma chambre pendant toutes ces annĂ©es...- De quoi on a l'air, hein ? Deux pauvres Ăąmes, qui se jugent, se disent "Mince alors, mais qu'est-ce qu'on est torturĂ©s, si tristes, si sombres !" Et on cherche des solutions dans une superficialitĂ© totalement assumĂ©e, des alternatives pour une vie qui fait peine Ă  voir. Et on utilise des beaux mots, pour faire mine que tout est si complexe et que tout cela nous dĂ©passe, que ce n'est pas de notre faute, aprĂšs me dĂ©voile tellement, ici, face Ă  une inconnue qui ne sait rien de moi,Mais qui, Ă  la fois, a su me dĂ©celer au premier coup d'oeil,Tout comme je l'ai dĂ©celĂ©e en Je m'en veux de parler pour toi, Kohane, mais j'ai comme l'impression qu'on est tous pareil, mais qu'on a tous diffĂ©rentes façons de l'assumer. La vĂ©ritĂ©, c'est que nous allons mal. Nous allons mal, et ce qui nous fait souffrir avant tout, c'est de savoir qu'on ne trouvera absolument jamais de solution. Et nous continuerons Ă  souffrir, comme ça, sans ne sera mĂȘme pas une boucle, ce sera la vie, c'est tout, dans sa linĂ©aritĂ© la plus imprĂ©visibilitĂ© prĂ©visible on ne sait pas ce qui nous fera souffrir, mais on sait qu'on on aura beau aimer le monde, le haĂŻr Ă  la fois,Rencontrer des gens, les aimer eux aussi, les haĂŻr eux aussi,Nous souffrirons, voilĂ  Alors Ă  ta question, Kohane, voilĂ  ce que je rĂ©pondrais non, je ne me sens pas seul. C'est justement en pensant que nous les hommes, nous sommes tous les mĂȘmes, et que nous finirons tous de la mĂȘme maniĂšre, unis dans la vie comme dans la mort, que je trouve un peu d'espoir. Je ne pense pas que nous nous unifierons, que nous trouverons une paix commune, mais je pense au contraire que nous plongeons tous ensemble vers la mĂȘme fin, aussi obscure soit-elle. Nous roulons vers la mĂȘme destination, et nous sommes tous si dĂ©sespĂ©rĂ©s Ă  l'idĂ©e d'en finir un jour que nous sommes tous en train d'espĂ©rer, quelque part, que cette fin soit la meilleure possible, car elle est la mĂȘme pour me me sens mieux, se trouve dos Ă  moi, toujours assise, et j'avance doucement ma main vers elle, dans l'espoir d'en savoir plus, de comprendre pourquoi cette fille m'a tant Mais tout cela, ce n'est qu'une supposition. En fait, moi j'essaie simplement de comprendre, comme toi et comme tous les mes doigts glissent sur son dos et je l'effleure, sans la Sensation... RĂ©flexion...J'ai si souvent prĂ©tendu ĂȘtre un intellectuel. La grosse tĂȘte de la classe, celui qui la caresse, doucement, et la peau que je sens sous mes doigts me transmet toute la chaleur de son sensation... Peut-ĂȘtre que c'est ça qui me plaĂźt, finalement. L'expĂ©rience de l'instant fait de vivre, de faire des suppositions,d'essayer, d'effleurer des choses,de sentir des corps bouger en mĂȘme temps que sensation, seulement la sensation...- Et puis on sourit, aussi, des me sens si bĂȘte, Ă  vouloir me donner cet air pessimiste, Ă  vouloir dĂ©noncer ma misĂšre et celle du monde, Ă  vouloir me plaindre de la vie, alors que je me sens parfois si bien dans ma peau, si heureux d'ĂȘtre lĂ ...- En fait, je parle beaucoup, mais demain, je dirai totalement l'inverse de tout ce que je viens de dire jusqu'Ă  Ă  peu, ma main se pose entiĂšrement sur son dos, et je la caresse, et j'aurais envie de l' dos, elle est vraiment sera lĂ  pour me juger, dans quelques heures, quand nous serons sĂ©parĂ©s et qu'il n'y aura plus personne pour Ă©voquer cette expĂ©rience ?Et puis si quelqu'un venait Ă  me juger, pourquoi ne devrais-je pas assumer ?Je ne suis qu'un jeune homme qui, en cet instant prĂ©cis, est pris d'une terrible envie d'enlacer une jeune fille en peine,De ressentir sa souffrance, sans savoir rĂ©ellement s'il la partage ou s'il ne fait que feindre ses peines pour partager un moment intime avec une La vĂ©ritĂ©, je crois, la vraie vĂ©ritĂ©, c'est que j'aime bien te parler, lĂ , maintenant. C'est agrĂ©able. Kohane W. UnderlindenMDJ-GestionnaireHarryPotter2005 Re Jour de pluieKohane W. Underlinden, le Sam 15 Juil - 1754 MusiqueLes mots, doucement,Se mĂȘlent Ă  la pluie du dehorsIls ne font qu'un,Il y a alternanceEntre le son de sa voix rĂ©sonnant au milieu du noirEt les incessants ploc-plic-ploc contre la un ballet infini et tendreDe ces deux vois diffĂ©rentes qui se mĂȘlent-celle de l'Homme torturĂ© face aux Ă©lĂ©ments, face Ă  la Vie, face au Toutet celle de la Nature qui ne fait que continuer de bouger et de tourner sans se torturerC'est un beau ballet de les entendre,Eux deux,Ensemble,Ainsi mĂȘlĂ©, presque l'un dans l' douce mĂ©lodie confondueMe parvient, me berce presqueAlors que, sans mot et sans mouvement,Je l'Ă©coute, l'inconnu,SethQui parle, parle, parle,Ses mots filent comme des notes de piano-quel joli morceau ils jouent ensemble,La pluie et lui !Il cherche, phrase aprĂšs phrase,Il titube un peu face au sens de la vie,Face Ă  la rĂ©alitĂ© du monde ;Il cherche des explications,Il va lĂ , puis lĂ , avant de bifurquer encore une foisEt toujours, ils cherche est tĂątonne,Alors que moi, je l'Ă©coute dans le noirChercher et parles de croyance,Seth,Croire, oui,Mais lorsqu'on a l'impression, justement,De ne plus rĂ©ussir Ă  croire,Lorsque tout est si vide que mĂȘme ça,Ca nous Ă©chappe,Comment peut-on encore parler de croyance ?Lorsque tout est dĂ©jĂ  si parti,Que tout fout l'camp sans donner d'raisons,Que tout file et s'enfuit,Loin, loin, si loin de soi,Comment fait-on, Seth,Pour croire encore ?Je reste silencieuse alors que le reste arriveEt,Oui,Il a raison,Dans le fond, il n'y a aucune solution Ă  donner,Ni pour lui, ni pour moi,Ni de lui, ni de moi,Il n'y a que nous, face Ă  nos problĂšmes et prĂ©occupationsQue nous qui puissions rĂ©ellement les prendre Ă  bras le corps,Tant que nous tenterons de les Ă©viter, de les fuir,Tant que nous courberons la tĂȘte face Ă  eux,Nous continuerons de couler,A coup sĂ»r,Nous sommes les seulsA pouvoir dĂ©cider de faire facePour juste tellement compliquĂ©,De vouloir faire face,Etre prĂȘt Ă  en prendre plein l'ĂąmeA encaisser les coups de lameTout ça en se disant queDemain,Ce sera continueEt ce qu'il ditAurait pu, autrefois,Me faire frissonner comme jamais ;Mais Ă  prĂ©sent,Je me dis qu'il doit avoir je refusais l'idĂ©e qu'on puisse tousAvoir le mĂȘme Destin, suivre le mĂȘme cheminMĂȘme si les façons de marcher et d'aborder ce cheminDiffĂšrent radicalement,D'une personne Ă  une autre,Oui, autrefois, cette idĂ©e me faisait si peurJe ne voulais pas suivre la mĂȘme pente que les autresJe ne voulais pas finirFinir comme luiJ'en avais trop peurC'est d'ailleurs pour ça que je l'ai quittĂ©Trop peur qu'il m'entraĂźne Ă  sa suite,Trop peur de dĂ©valer la mĂȘme pente que finalement,Je me dis qu'il doit avoir raison,Seth,J'aime comme il parle,MĂȘme si je me perds un peu dans tous ces mots en vrac,J'aime quand mĂȘme entendre sa voix qui file une toile de rĂ©flexionEt je me dis queC'est vrai, ce qu'il dit,On finira tous pareil,Qui que nous soyons,Riche ou pauvre,Moldu ou sorcier,PhĂ©nix ou Mangemort,Nous dĂ©valons tous la mĂȘme collineMais pas forcĂ©ment sur le mĂȘme flancAlors, peut-ĂȘtre qu'on a l'impression que rien ne nous relie,Que jamais nos chemins ne se croiseront,Il n'en est rien On suit la mĂȘme force invibleEt cela suffit, A nous finira tous pareilsParce qu'on commence pareils, n'est-ce pas ?On commence tousPar la Vie,Le premier souffle, le premier cri, le premier pleur,Le cordon ombilical sectionnĂ©,Avant d'ĂȘtre offert au Monde ;Et on termine tous pareilsPar la Mort,Quelle que soit sa forme, quel que soit l'Ăąge ou le lieu ou la raison pour laquelle elle nous faucheOn danse tous avec elleEt ça, nous n'y pouvons rien,Ni l'argent, ni le pouvoir, ni l'ambition dĂ©mesurĂ©eNe pourront remĂ©dier Ă  coin de l'oeil,Je vois sa silhouette se rallongĂ©eJe suis dĂ©sormais seuleOmbre dressĂ©e dans la nuitEt je demeure immobileA l'Ă©coute des accords-pluieEt de la dans un instant-temps infini,Je sens ses doigtsVenir effleurer ma peauImmobile dans le noir,Je frissonne lĂ©gĂšrementMais n'ose pas bougerAlors que mes doigts se crispent un peu plusSur le drap ramenĂ© contre puis on sourit, aussi, des moi, en cet instant,Je souris,Doucement,Un sourire adressĂ© Ă  l'absence, peut-ĂȘtre,Puisque lancĂ© dans le vide, lancĂ© devant moi,Non pas tournĂ© vers Seth,Ou alors, au contraire, Ă  la prĂ©sence,Parce que Seth, c'est un peu toute cette chambre anonymeAlors, pas besoin de braquer mes yeux sur luiPour lui je finis par cesser de lui tourner le dos,Je pivote dans sa direction,Mes yeux tombent sur sa silhouette allongĂ©eEt ma main attrape la sienneMes doigts la serrent d'une douce pression,Je reste silencieuse quelques secondesSeulement Ă  le regarder,Nous sommes deux, perdus sur un bateau au milieu de la brumeVoguant vers une destination inconnue mais,AprĂšs tout,La destination est-elle vraiment importante ?J'aime le regarder ainsiIl dĂ©gage une douce lueur touchanteDe cette lueur faiblarde que trimballent les torturĂ©s de la vieEt qui fait qu'on a envie,Un peu,De les consoler,Des les serrer contre soiDe les bercer comme des petits enfants en mal d'amour,De leur donner un peu d'une affection sais, Seth,Je sais toujours pas pourquoi tu Ă©tais lĂ ,Pourquoi j'Ă©tais lĂ ,Pourquoi toi,Pourquoi moi,Pourquoi nous,Nous, ensemble,Pourquoi nos pas ou nos viesOnt dĂ©cidĂ© qu'on devait se croiser cette nuit,Pourquoi tu t'es trouvĂ© sur mon chemin ou moi sur le tienMais, finalement,Je m'aperçois que la rĂ©ponse Ă  ces questions m'importe peu La rĂ©elle importance,C'est que nous soyons je caresse du pouce la peau de sa mainComme pour la lisserOu la forgerLa forger comme je l'entendsMĂȘme si, je le sais bien,Il restera Ă  jamais lui, Seth,Ne sera jamais le Seth que j'aurais aimĂ© crĂ©erEt c'est tant mieux,C'est comme ça que je l'apprĂ©cie,Comme cet inconnu indĂ©pendant de moiQue je ne fais que regarder dans le noir,Cet inconnu qui n'est pas moi,Qui n'est pas une part de moiEt qui, malgrĂ© tout, a su m'attirerOu attirer mes sens anesthĂ©siĂ©s par l'alcoolEt je suis partie, sans raison,Avec lui, l'inconnu,Et les raisons,On s'en fout, en aussi, j'aime bien te parler. J'aime bien t'entendre parler. C'est agrĂ©able. Tu chantes bien les mots accompagnĂ© de la finis par me rallonger, moi aussi,Se rallonger sur le bateau tanguant,Le bateau Ă  la dĂ©rive,Le bateau loin de tout,Se rallonger et laisser passerLe mal de mer,Je retrouve cette position de mortAlors que je suis vivanteEt je pose doucement ma tĂȘte au creux de son Ă©paule,Un contact physique rassurant,D'une Ă©treinte perdue dans la pas de solution. Mais peut-ĂȘtre que c'est aussi parce qu'il n'y a pas de problĂšme. Dans le fond, tout ça, est-ce vraiment un problĂšme ? C'est peut-ĂȘtre juste la vie. Et faut apprendre Ă  faire avec. Sauf si on dĂ©cide, plutĂŽt, d'aller danser avec la mort. Mais lĂ , c'est un voyage sans me tais Et mes yeux,Perdus,Vaguent et voguentSur un ocĂ©an de mots et de pensĂ©esJe me sens tellement bien, ici,C'est agrĂ©able,D'abandonner les mots Ă  la pĂ©nombreEt, dĂšs que nous ouvrirons la fenĂȘtre,Ils s'envoleront,Tourbillonneront dans la pluieJusqu'Ă  disparaĂźtreIls survivront uniquement dans nos mĂ©moiresEt mĂȘme si on finit tous pareils, on aimerait croire que non. Moi, longtemps, j'ai voulu croire que ce n'Ă©tait pas le cas. Je ne voulais pas... Ne voulais pas finir comme les autres. MalgrĂ© tout, j'crois que t'as raison. Et, dans le fond, qu'importe, comment on finit. Le futur importe peu. C'est le prĂ©sent qui compte. C'est pour lui, qu'on doit se battre. Alors, mĂȘme ceux qui proclament lutter pour l'avenir, lutter pour les gĂ©nĂ©rations futures...En vĂ©ritĂ©, ce n'est pas cela qui les guide. C'est l'envie folle de changer leur prĂ©sent qui leur donne la force de continuer le aussi, j'ai longtemps cruQu'on se battait pour l'avenirMais finalement,J'crois bien qu'on se fiche un peu beaucoup de l'avenirNous ne sommes que des ĂȘtres nombrilistes ObnubilĂ©s par notre propre personneAlors, pourquoi se battre pour un avenir dans lequel nous ne serons peut-ĂȘtre pas ?C'est illogiqueDonc ceci est ma conclusion La raison vraie des combatsQuels qu'ils soientC'est pour le prĂ©sentEt ce, mĂȘme si leurs consĂ©quences seront forcĂ©ment sur le puis, ne pas penser Ă  la finitude, ça permet de ne pas voir en l'autre comment nous-mĂȘme allons terminer. Ca permet de ne voir l'autre qu'Ă  l'instant prĂ©sent. L'aimer pour ce qu'il reprĂ©sente. A cette minute, cette seconde prĂ©cise. Et on se fout du reste. Sinon, on fuirait les autres. Ils seraient trop semblables Ă  nous, puisqu'on doit finir pareils. Ils seraient trop semblables Ă  nous et ça, ça fait flipper n'importe lĂšve les yeuxPour apercevoir seulement le bas du visageEn ombre chinoiseDe l'autre, inconnu au nom Ă©tranger,Seth,Je le vois vaguementQuelques secondesAvant que mon regard ne se baisse de nouveau,Se perd sur l'image de l'Ă©pauleContre laquelle je suis appuyĂ©eEt je sans cesse les autres ne serait pas tenable. MĂȘme si nous sommes les seuls Ă  pouvoir faire face Ă  nos problĂšmes, Ă  nos angoisses, mĂȘme si personne ne peut le faire Ă  notre place, on a tout de mĂȘme besoin des autres. Un peu de leurs sourires, un peu de leur amour, un peu de leur rĂ©confort, un peu de leur soutien. Un peu d'eux, tout je me dis que c'est peut-ĂȘtre parce que j'avais besoin de toi, toi de moi, que nous nous sommes croisĂ©s. InvitĂ© Re Jour de pluieInvitĂ©, le Mer 26 Juil - 429 - Moi aussi, j'aime bien te parler. J'aime bien t'entendre parler. C'est agrĂ©able. Tu chantes bien les mots accompagnĂ© de la je la caresse, plus je me sens proche d'elle et pourtant, chaque mot qu'elle prononce semble l'Ă©loigner de moi. Sa personnalitĂ© m'Ă©chappe, entre rĂȘveuse romantique, adolescente troublĂ©e ou Sphinx Ă  la parole douteuse, percevant chaque instant de sa vie comme une Ă©nigme peut-ĂȘtre es-tu plus que ça. Plus qu'une simple figure mythique, tu serais un ĂȘtre surnaturel, serais tentĂ© de dire supĂ©rieur, mais tu m'as l'air extĂ©rieure Ă  ce genre de pensĂ©e lĂ , Ă  cette tendance naturelle Ă  comparer, Ă  hiĂ©rarchiser. Toi que j'effleure, bel esprit, Ă  qui pourrais-tu te sentir supĂ©rieur ou infĂ©rieur ? Si tu te laisses toucher ainsi par un simple humain sans vertu, c'est que tu ne dois pas vraiment y goĂ»ter, Ă  cette nymphe, n'est-ce pas ?C'est ce que tu sembles ĂȘtre, une nymphe se berçant au son de la pluie, te nourrissant de l'eau comme des mots, et tu danses ainsi en m'Ă©coutant, en Ă©coutant les autres, en Ă©coutant le monde, en t'Ă©coutant toi-mĂȘme, et en me laissant t' Y'a pas de solution. Mais peut-ĂȘtre que c'est aussi parce qu'il n'y a pas de problĂšme. Dans le fond, tout ça, est-ce vraiment un problĂšme ? C'est peut-ĂȘtre juste la vie. Et faut apprendre Ă  faire avec. Sauf si on dĂ©cide, plutĂŽt, d'aller danser avec la mort. Mais lĂ , c'est un voyage sans retour. Et, mĂȘme si on finit tous pareils, on aimerait croire que non. Moi, longtemps, j'ai voulu croire que ce n'Ă©tait pas le cas. Je ne voulais pas... Ne voulais pas finir comme les autres. MalgrĂ© tout, j'crois que t'as raison. Et, dans le fond, qu'importe, comment on finit. Le futur importe peu. C'est le prĂ©sent qui compte. C'est pour lui, qu'on doit se battre. Alors, mĂȘme ceux qui proclament lutter pour l'avenir, lutter pour les gĂ©nĂ©rations futures...En vĂ©ritĂ©, ce n'est pas cela qui les guide. C'est l'envie folle de changer leur prĂ©sent qui leur donne la force de continuer le combat. Et puis, ne pas penser Ă  la finitude, ça permet de ne pas voir en l'autre comment nous-mĂȘme allons...Et elle ne s'arrĂȘte pas, et c'est beau, et je l'Ă©coute fait dĂ©jĂ  un moment que nous parlons, et je n'arrive pas Ă  savoir si nous nous Ă©coutons pour les faits ou simplement parce que ça fait plaisir, d'Ă©couter, parfois, et c'est gratifiant de se sentir Ă©coutĂ©, aussi, surtout quand la personne d'en face ne te prend pas pour un es intelligente, Ka... Kohane, la nymphe, tu es intelligente et tu le sais, tu es belle et tu le sais, mais tu as aussi une belle façon de le montrer, tout en sent que tu pĂšses tes mots, mais en mĂȘme temps que tu n'as aucun mal Ă  les sortir, tu rĂ©flĂ©chis tout en ouvrant ton coeur Ă  quelques es belle par tes Ă©garements et par la façon dont tu te retrouves, Ă  chaque fois, parce que j'ai l'impression de me retrouver avec toi, de comprendre Ă  chaque fois oĂč tu veux en venir, mais surtout de me retrouver en se sommes deux ĂȘtres perdus dans la pĂ©nombre qui avons besoin d'attention, et nous sommes lĂ  Ă  nous Ă©couter, et nous nous comprenons, et ça fait du biennnnn d'ĂȘtre que, quelque part au fond de moi, je suis encore un ado frustrĂ©, qui cherche Ă  ĂȘtre Ă©coutĂ©, et Ă  gueuler contre le monde ?Je n'en ai aucune corps contre le mien, ta tĂȘte sur mon Ă©paule, pourtant, je me sens adulte, et je me rends compte Ă  quel point tout a changĂ© dans ma te confies Ă  moi, tu me confies tes responsabilitĂ©s, et je ne te laisserai pas tomber maintenant. Et je ne me laisserai pas tomber non plus, car je ne prendrai pas le risque que tu tombes avec corps sont serrĂ©s, et sa chaleur m'est Et je me dis que c'est peut-ĂȘtre parce que j'avais besoin de toi, toi de moi, que nous nous sommes vrai, si C'est dans ces moments lĂ  que j'ai certains regrets, que je plains la pudeur des hommes, celle qui les empĂȘche de savoir s'avouer l'amour qu'ils Ă©prouvent entre eux. C'est comme si chacun devait mĂ©riter l'amour de l'autre, cette fĂącheuse tendance Ă  ne dire "Je t'aime" Ă  son conjoint qu'aprĂšs plusieurs mois de couple. L'amour nous est offert, et nous le retardons toujours un peu plus. Pourtant, moi je n'ai pas honte de le dire je ne te connais pas, mais tu ne peux pas imaginer Ă  quel point je t'aime en cet instant prĂ©cis. Et je ne ferai que savourer cet amour jusqu'Ă  l'heure oĂč nous nous une telle rencontre, j'aurais presque envie de ne jamais la Tu permets ?Je me dĂ©tache d'elle, j'ai besoin de me lĂšve, me dirige vers la vitre, je tire le rideau qui la couvre Ă  quelques gouttes de pluie se sont transformĂ©es en une vĂ©ritable tempĂȘte Il est quelle heure, lĂ  ? Bah, peu tourne la poignĂ©e, ouvre la fenĂȘtre, passe une jambe au travers et pose pied sur le balcon, de l'autre sous la pluie, j'observe la nymphe allongĂ©e sur le lit et l'invite Ă  me Regarde, regarde comme il pleut ! Et regarde ce que la pluie nous apporte ! Sa danse la plus sauvage, primitive et humaine !Je me dĂ©livre sous le regard de l'inconnue tandis que mes bras se libĂšrent, s'ouvrant Ă  l'eau fĂ©condatrice, et je commence Ă  battre des jambes, me mouvant au rythme de mes envies. J'apprĂ©cie le son du claquement de mes pieds contre les flaques d'eau, j'apprĂ©cie la douche offerte par la nature pour me faire oublier la sensation moite de la sueur, j'apprĂ©cie le risque que je prends Ă  dĂ©voiler ainsi mon corps Ă  d'Ă©ventuels passants dans la rue juste en dessous, j'apprĂ©cie mon courage de danser sous la pluie et les yeux de tous. À quoi cela va-t-il me mener ? Je n'en sais vĂ©ritablement rien. Je ne saurais dire si je danse bien, mais mon corps ne s'arrĂȘte plus, mon rythme est haletant, mes membres se dĂ©ploient ; mes ailes, Au cas oĂč tu en douterais, je te demande de ne pas me prendre pour un fou, Kohane, c'est bien la seule et unique fois que je me comporterais ainsi devant une si belle inconnue !Je commence Ă  sautiller, sans crainte de tomber Ă  la renverse, et l'averse se fait de plus en plus ma droite, des Viens, rejoins-moi ! Grimpons jusqu'au toit et affrontons ensemble la tempĂȘte, pour notre plus grand bonheur ! Que nous la redoutions ou la convoitions, la voici qui s'offre Ă  nous, alors profitons-en avant qu'elle nous passe sous le nez ! Kohane W. UnderlindenMDJ-GestionnaireHarryPotter2005 Re Jour de pluieKohane W. Underlinden, le Mer 2 AoĂ» - 1801 J'aime la sensationQu'on ne se connaĂźt pas-je ne connaissais mĂȘme pas ton nom, avant-Et pourtant, on se parle,On se confie,Comme les meilleurs amis du monde Ou peut-ĂȘtre, justement,Le presque anonymat nous permetDe se livrer Ă  l'autreEn sachant qu'aprĂšs ça,Une fois sĂ©parĂ©s,Plus rien ne nous relieraPour permettre le jugement de l'unOu de l' ne se connaĂźt pasMais tu m'aimesEt moi,Moi,Je t'aimeAussi ?J'ai tellement de mal, tu sais,A dire je t'aimeA ceux que je connaisC'est pas de la pudeur, je crois,C'est autre choseIndĂ©finissableQui fait que ces mots,J'ai tellement de mal Ă  les cracherAlors qu'il y aurait tellement de mondeA qui je pourrais les t'aimeCa sonne beau, A l'oreille,Ca sonne juste alorsQu'il y a quelques heures Ă  peine, on ne se voyait pasOn aurait pu se croiser dans la rueSans un regardMais lĂ , maintenant, Quelques heures plus tard,Tu me dis que tu m'aimesEt je trouve ça son ne sort de ma boucheParce que j'ai toujours du mal,Je l'ai dit,MĂȘme avec les gens que je connais,J'arrive pas Ă  dire,Je me contente de montrerSans mot,Et lĂ , Je me contente de d'Ă©treindre doucementDans le me sensBienDans ce calmeSous la me sensBienDans ce silenceEntrecoupĂ© de tes motsEt ta chaleurSur ma peauOn est bien, non,Ensemble,A voguerSur les flots,Bateau en dĂ©riveJ'aime me laisser porter dans la brumeEt la destination, je la regarde pasY'a pas de ce sentiment de me perdreA tes cĂŽtĂ©s,Tu n'es ni phare ni ombreTu es seulement ce flotQui pousse et accompagneDoucement, calmementTu es seulement ce flotQue je suis sans rien direAvec le noir, il finit par se redresser,Par se lever,Quitter les drapsJe sens sa chaleur partirEn mĂȘme temps que luiPuisLe bruit des rideaux qu'on tireIl regarde le dehorsLes gouttes qui tapent et agressent les carreaux Il regardeLa pluie tomberL'orage se ouverteLe vent pĂ©nĂštre la chambre trop moiteEt les mots prononcĂ©s prĂ©cĂ©demment s'envolentAvalĂ©s par la pluie du dehorsTout s'en va dans cette fraĂźcheur soudaineEt se tourne vers moiInvitationA la suivreSous cette eau du cielQui tombe, ruisselle sur son corps nuDĂ©trempe les cheveuxEt envahit le me redresse Ă  mon tourLe drap glissant sur mon corpsMe redresse dans le noirLe regarde quelques instantsLui, sous la pluie, en osmose complĂšteBras ouvertsComme accueillant une vieille amie revenue du cielLuiSous la pluieComme amoureux de cette eau qui se dĂ©verseEt son corps se met Ă  bouger en rythmeTandis que mes pas glissent silencieusement dans la chambreJusqu'Ă  la dans l'encadrement,Un peu en recul,Un peu en arriĂšre,Je le regardeSans oser franchir le pasLe rejoindreJe suis plus mĂ©fiante que lui envers l'eauJe ne l'aime pas tout le tempsParce qu'elle s'oppose au feuEt que le feu, j'en ai besoinPour survivreBesoin de cette flamme combativeAu creux des tripesPour faire face Ă  l' reprend la paroleEt ses mots me font sourireUn sourire attendriJ'ai bien envie de sortir sous la pluie,Moi aussi,Pour lui prendre la main,Juste çaLa serrer dans la mienneEt lui dire-Un grain de folie dans l'esprit, c'est essentiel pour survivre dans ce monde trop terne. Que tu sois fou ou pas selon tes propres dires, moi, j'aime cet Ă©clat dans l'oeil. Quel que soit le nom qu'on lui donne. Folie. Sagesse. Inconscience. Qu'importe. Je l' pluie redoubleDe ma place un peu en retraitJ'en reçois tout de mĂȘme des gouttesEt Ă©claboussuresAlors que lui,Sautille sur place,Plein d'envie de s'envolerIl pourrait presque tenter de sauter du balconEt voir s'il dĂ©colleAprĂšs tout, c'est possible de dĂ©collerSuffit d'ĂȘtre avec la bonne personne ;Mon frĂšre astral et moi l'avons dĂ©jĂ  prouvĂ©Deux foisUne fois vers les Ă©toilesUne autre vers les au lieu de sauter, C'est prendre de la hauteur qu'il me proposeMonterPour regarder les Ă©lĂ©ments se dĂ©chaĂźnerAdmirer leur beautĂ© autant que les craindreLes voir venirLeur faire faceEt les me plaĂźtEt je finis par m'avancerLes pieds nus dans les flaquesFroid au bout des orteilsLa pluie qui bat la chairQuelques secondes Ă  peineJ'ai l'impression de ressortir d'une noyade dans le lacJe suis totalement trempĂ©eMais qu' vers les cieuxEt regarder l'orageMe qu'il a repĂ©rĂ©eQui attendTout comme nous, on attendQue se passent les chosesQue souffle la tempĂȘteAlors je prends sa main dans la mienneEt je me range derriĂšre son avisVoir les choses de lĂ -bas,PerchĂ©s sur le toit du mondeEt regarder la Terre s'agiter sous montonsNous grimponsEt de lĂ -haut,Tout semble si petitSi minusculeLĂ , en bas,C'est incroyablement videAlors que la tempĂȘte approcheLes gens se sont rĂ©fugiĂ©s chez euxIl est tard, sans doute,Ils doivent dormir au fond de leur litSous une couette protectriceAlors que la tempĂȘte frappe Ă  leurs fenĂȘtresSur leurs toits d'ardoises ou de tuilesPeut-ĂȘtre mĂȘme qu'elle parviendra Ă  rentrer chez certainsQui seront dĂ©pitĂ©s au matinDe voir les nous ne nous soucions pasPas de celaNous n'en avons rien Ă  faireDu matĂ©rielOn a rien Ă  perdreNous sommes juste nousSur notre toit,Nus -pas mĂȘme ça Ă  perdre dans le ventEt nous regardons venirNous sentons arriverSous une pluie soudainement vent violent fouette le visageEntremĂȘle les cheveuxBourrasque qui prend aux tripesAlors que les gouttes se mettent Ă  frapper horizontalLa tempĂȘte, enfin lĂ Et sa violencePresque est bien capable de dĂ©truire,Souffler jusqu'Ă  ce que tout s'envole,RĂ©duire en charpie toutes constructions humainesLaisser derriĂšre elle que champ de ruineMaisJe l'aime,Cette violence,Je me retrouve en elle,Dans ce sublime de destructionDes pierres qui tombent les unes aprĂšs les autres-fabuleux qu'on perdraParce qu'on y gagnera bien plusOn gagneraCe sentiment doux et indescriptibleDe LibertĂ©Dans les airsLorsque tout aura Ă©tĂ© dĂ©truitAprĂšs la tempĂȘte, c'est refaireEn main n'a pas lĂąchĂ©e celle de SethJe serre ses doigtsDans les miensLe contact physiqueFace au ventEt je sais qu'aprĂšs la tempĂȘte, Il sera encore lĂ ,Il y aura lui,Moi,Sur notre toitFace aux Ă©lĂ©mentsEt, une fois le calme revenu,Nous nous sĂ©parerons,La pluie pour unique lien entre nous,Nous nous sĂ©parerons,Chacun voguant sur son propre bateauAu milieu du champ de rienQue nous auront laissĂ©Vent, violence et de ce notre du rp pour moiMerci pour tout Au plaisir de te recroiser InvitĂ© Re Jour de pluieInvitĂ©, le Mer 2 AoĂ» - 1920 MusiqueLa tempĂȘte pourrais la contempler de loin, attendre qu'elle nous prenne, nous emporte dans son tourbillon incessant, nous force Ă  la je la regarde Ă  mon attention se porte sur toi, aprĂšs tout, si je suis ici, c'est avec toi, grĂące Ă  toi, pour pour la toi, je ne serais pas montĂ© sur ce toi, je ne me serais pas ouvert toi, jamais personne ne m'aurait pourtant, qui es-tu ?Une une connexion si forte avec une inconnue, c'est comme affirmer que, quelque part, nous sommes tous bel et bien liĂ©s, que l'union est possible entre les ĂȘtres, que nous avons tous un avenir ce n'est pas ce que j'ai envie de me dire que de parler Ă  l'unisson, j'ai envie d'utiliser ma propre voix pour exprimer ma gratitude envers cette jeune fille parles peu, Kohane, mais ton silence est plus puissant que n'importe quelle parole prononcĂ©e dans le vide, ton corps est plus chaleureux que celui de la femme que j'aime, ta prĂ©sence est plus sĂ©curisante qu'un soir de NoĂ«l passĂ© en fais-tu pour provoquer en moi cet effet ?Je dirais que c'est le goĂ»t de l'Ă©phĂ©mĂšre, le fait de savoir que nous n'avons rien Ă  perdre car bientĂŽt, nous nous quitterons pour ne plus jamais nous nous nous libĂ©rons, et nous n'avons pas honte de le faire, de donner une mauvaise image de nous. Nous nous comportons comme si nous ne partagions pas le mĂȘme monde, comme si nous nous oublierions Ă  toute vitesse une fois ce moment vĂ©cu ensemble, comment pouvons-nous encore accepter le fait de s'oublier aussi facilement ?Peut-ĂȘtre Ă©tait-ce une condition, aprĂšs condition pour partager nos corps, Ă©changer des mots, s'offrir nos ne te le cache pas, Kohane peut-ĂȘtre n'en as-tu rien Ă  faire, mais j'aurai pour ma part beaucoup de mal Ă  j'ai dĂ©sormais l'impression que ta prĂ©sence a une place importante dans mon je m'attache trop pas que je t'aime, car j'ai bien conscience que cet amour ne durera que le temps de cette scĂšne, de ce dialogue ; qu'une fois sĂ©parĂ©s, mes sentiments pour toi ne seront plus les j'ai l'impression que le lien que nous venons de tisser n'est pas aussi lĂ©ger qu'il n'y paraĂźt. Ample, souple, c'est comme s'il pouvait s'Ă©tendre, nous proposer davantage qu'une relation d'une qui nous relie ?Notre vision du monde ?Le monde en lui-mĂȘme ?Le destin ?La magie ?Les autres ?Notre volontĂ© ?La tempĂȘte approche, sommes nus sous la pluie, Ă  attendre ensemble qu'elle nous emporte et nous prĂ©fĂšre me taire Ă  de de te remercier une derniĂšre fois pour avoir partagĂ© ce moment avec du RPMerci pour cette rencontre, en espĂ©rant recroiser la route de Kohane LĂŻnwe FelagĂŒndRĂ©fĂ©rent MaĂźtre de JeuGryffondor Re Jour de pluieLĂŻnwe FelagĂŒnd, le Dim 13 AoĂ» - 1911 L 'espĂ©rance se cache derriĂšre les nuages grisavec LinaaaJour de pluieBruine ou averse abondantesĂ©crĂ©tĂ©e par ces nuages noirs de suie L'eau est immonde et tiĂšde et prenantecomme aprĂšs un orage d'Ă©tĂ© qui vous suitJour de pluie Jour de pluieLĂ -bas, un homme sur un banc livideĂ©caillĂ© par le temps et les caprices du ciels' garçon est aussi livide que son banc. PosĂ© lĂ  sous un climat torride et humide. Mais encore tiĂšde par le soleil du matin. La pluie se cache dans les cols osseux - dĂ©sagrĂ©able. Les gouttes coupent comme des morceaux de verre jusqu'aux montagnes rocheuses les Ă©paules. Les riviĂšres opales sur ce crĂąne despotique perdent espoir, noyĂ©es sous l'eau trompeuse d'aujourd'hui. Les affaires sont trempĂ©es. La morale au plus bas, dans ces chaussures le plus incroyable, c'est que ça lui plaĂźt. L'aspect du village a changĂ© — nouvelle vision. En fait, il croit en la stĂ©rilisation par l'eau bĂ©nĂ©dictine. Nectar inconscient de la pensĂ©e. Son Ăąme est-elle plus propre, dĂ©sormais ? Sa raison plus saine et son cƓur moins sale ?Jour de pluieJour de pluie — vive la pluie donne envie de sourire au soleil absent, nĂ©ant, et autres Ă©dition par LĂŻnwe FelagĂŒnd le Ven 25 AoĂ» - 1812, Ă©ditĂ© 1 fois Re Jour de pluieContenu sponsorisĂ©, le Permission de ce forumVous pouvez Vous ne pouvez pas rĂ©pondre aux sujets dans ce forum Seemore of Si tu m'aime , arrete de m'aimer Vu qu’on est en train de se prendre la vague 90’s en pleine face, avec le grunge, le revival du revival punk, il fallait bien s’attendre Ă  retrouver un truc qu’on avait quasi-oubliĂ©, le minimalisme. Ces annĂ©es 90, quelle histoire ! Ce sont les annĂ©es oĂč j’ai vĂ©cu mon premier grand amour, eu mon bac, fait mes derniĂšres raves et achetĂ© mon premier tee-shirt Margiela. Le fond de l’air n’était pas trĂšs gai, Ă  ce que je me souviens. Nos parents, pĂ©trifiĂ©s par la rĂ©cession, nous courraient aprĂšs avec des projets d’avenir aussi Ă©bouriffants que trouver un boulot avec des dĂ©bouchĂ©s. Super, pour mes premiers pas dans la vie. Merci. Vous n’avez pas d’autres options ? Naaan, va faire tes devoirs. Pffff. À la place, je faisais le mur. C’est en mĂȘme temps no future et totalement fertile. J’avais aussi peu de recul sur l’époque que je vivais que j’en ai aujourd’hui, mais j’en ai tirĂ© une leçon. N’en faire qu’à ma tĂȘte. Ça ne sert Ă  rien de flipper. N’empĂȘche, je me souviens qu’on ne s’habillait pas trĂšs colorĂ© et qu’on aimait bien ça. C’était notre glam Ă  nous, notre esthĂ©tique fin de siĂšcle, notre rĂ©ponse Ă  l’extrĂȘme flamboyance des 80’s. On en a tirĂ© des esthĂ©tiques nouvelles, des lignes fortes, des crĂ©ateurs cultes. Helmut Lang, Martin Margiela, Jil Sander
 Une icĂŽne absolue, trop petite et maigrichonne Ă©tait en train de naĂźtre et rendait, en un regard perdu dans le vague, toutes les tops complĂštement ringuardes. Kate Moss. De l’underground de la musique froide et rĂ©pĂ©titive que l’on appelait la techno affleuraient des violons et une voix sublime et si diffĂ©rente qu’elle nous a tous Ă  un moment transpercĂ©s, celle de Björk. On se bleachait beaucoup les cheveux, on dĂ©chirait beaucoup nos jeans, on se mettait des diamants sur les yeux big up Topolino ! on voulait aller Ă  Londres et on aimait le minimalisme. C’est pas Ă©vident de rĂ©sister en ce moment Ă  la vague de flip qui est en train de s’emparer de nos sociĂ©tĂ©s. On l’a senti trĂšs fort dans la mode, en cette rentrĂ©e. On s’est demandĂ©es pourquoi on Ă©tait moins surexcitĂ©es par les looks des fashionistas, et Elisabeth m’a suggĂ©rĂ© que c’est peut-ĂȘtre tout simplement qu’elles avaient moins fait d’achats cette saison. On a essayĂ© de parler d’autre chose et toujours le sujet revenait. On s’est demandĂ© ce que ça voulait dire, cette dĂ©ferlante de non-couleurs, ce perceptible ennui, et la seule rĂ©ponse est venue sous la forme d’une question En temps de crise, vaut-il mieux crĂ©er des classiques dans lesquels on aura l’impression d’investir, ou des piĂšces si fortes, qu’elles sont des must-have que l’on cassera sa tirelire pour avoir coĂ»te que coĂ»te ? Chacun y a rĂ©pondu Ă  sa façon, et j’ai autant aimĂ© les deux versions. Margiela. Vuitton. En tout cas, moi, mes 90’s, je les ai aimĂ©es parce qu’elle ont Ă©tĂ© ma jeunesse. Si on m’avait demandĂ©, j’en aurais certainement choisi d’autres, plus folles, plus drĂŽles, mais en fait, je me serais peut-ĂȘtre moins amusĂ©e. Et puis j’en ai gardĂ© un optimisme Ă  toute Ă©preuve, une conviction que quel que soit le contexte on arrĂȘte jamais de crĂ©er, d’inventer, une rĂ©sistance Ă  la peur, au cynisme, un truc oĂč je me dis que quelle que soit l’époque dans laquelle on vit, si l’on fait ce en quoi l’on croit, si l’on est libre, et si l’on aime, il ne peut rien nous arriver. Oui, vous avez raison. Et j’en ai aussi gardĂ© un certain amour des violons. Bonne journĂ©e ! ——————-
Yades jours ou tu sans que tu n'est plus rien pour personne, tu te sans d'ésintéréser épui tu te sans d'éléser par ce qui t'aiime. Tu te dit défois j'aimeré ne plus éxister sur ce monde!! Tu na plus enviie de rire de dire je t'aiime pour ne plus rien n'avoir en retour. Tu na plus rien enviie du tout comme tu na plus le sens de la viie c'est comme si
ï»żLost Ark, toutes les nouveautĂ©s de la mise Ă  jour "Sous le soleil d'ArchĂ©sia" Alors qu'il vous reste un peu moins de 3 jours pour rĂ©cupĂ©rĂ©r les rĂ©compenses Prime Gaming du mois d'aoĂ»t, Lost Ark continue de se mettre Ă  jour et d'ajouter du contenu. Voyons ici toutes les nouveautĂ©s du dernier patch sorti le 24 aoĂ»t, via les infos du site officiel du jeu.
.
  • 50ikzji1xp.pages.dev/403
  • 50ikzji1xp.pages.dev/383
  • 50ikzji1xp.pages.dev/450
  • 50ikzji1xp.pages.dev/427
  • 50ikzji1xp.pages.dev/38
  • 50ikzji1xp.pages.dev/250
  • 50ikzji1xp.pages.dev/491
  • 50ikzji1xp.pages.dev/350
  • si tu m aime arrete tes betises